« Attention à la vapeur que ça va dégager!! Mettez vous quand même à l'abri! »

Pas d'éclair ce round ci Appel de la Foudre Réflexe DD17 pour 1/2 dgts: 3/5éclairs - 36rd

En cours :EnchevétrementD 15 Réflexe: durée 290rd

Selim se dit que Nadya avait réussi son sabotage après tout. Sans prendre le temps d'observer les efforts de la prêtresse, il se remit à beugler :

« Véo, ralentis les flammes si tu peux mais pas de risque inutile, descends dès que ça craint ! Fred, gouvernante puis gnomes, on se retrouve en bas ! Ferrèol, on va monter récupérer le "prisonnier" et alerter Denmel et Nadya ! »

Malheureusement, l'eau n'avait pas l'air de faire grand chose au feu. Du coup, quand Nadya passa en intimant de la suivre, elle lui enchaîna le pas.

Le dragon n'allait pas tarder à être invivable et il ne fallait pas rester.

Pendant un instant le jeune druide observa ce que produisait la création de l'eau, oui peut être que cela allait ralentir et peut être que cela leur donnerait un peu plus de temps pour sortir les personnes encore vivantes de ce future brasier.

Il emboita le pas à grandes enjambées pour suivre le lieutenant et grimper à l'étage supérieur. Maintenant il fallait faire vite et peut être prévoir de sortir par une corde, car peut être que le feu leur couperait la redescente.
Le fait de voir Véolia prendre la suite de la citadine ne l'avait pas vraiment enchanté, mais il n'avait pas non plus voulut la retenir!!

Ils se présentèrent devant la grande porte en bois. « Je sais même pas si Demnel a récupéré ou pas les diverses choses, documents, plans ou autres!! Sélim, on va ouvrir la porte, je vais renvoyer la végétation, occupe toi du novice, moi je regarde au cas ou il y ai des documents! »

Puis il commença à pousser un des battant de la porte.


Si mon sort est encore actif, je le stoppe.


Pas d'éclair ce round ci Appel de la Foudre Réflexe DD17 pour 1/2 dgts: 3/5éclairs - 36rd

En cours :EnchevétrementD 15 Réflexe: durée 290rd

Selim n'était qu'à moitié surpris que le prisonnier ait disparu. L'objectif était atteint, il fallait maintenant espérer avoir le temps de quitter la structure en vie.

« Allez, on évacue ! Laisse tomber les docs ! » ordonna-t-il une nouvelle fois, en laissant Ferrèol passer devant pour être le dernier à quitter le dragon, comme le voulait l'ordre militaire. Il se servait de sa cape pour recouvrir son visage, espérant réduire la percée des volutes nauséabonds qui le malmenaient de toute part.

Modifié par un utilisateur samedi 22 mars 2014 15:40:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Selim eut un instant de recul. S'ils sortaient par les battants des armes de siège, comment pouvait-il être sûr que tous les autres étaient bien sortis ? Puis il se ravisa, les ordres étaient clairs et les flammes probablement assez directives...

« Entendu ! » dit-il en aidant Ferrèol à ouvrir un passage assez large pour pouvoir sortir.

Il sortit ensuite ses 45 m de corde, son outil magique auquel il fit prendre une forme de maillet et une pointe de fer afin d'assurer la prise de la corde. Puis il entama la longue descente.

« Descends, je te garantis pas d'arriver en bas à temps ! »

Les flammes dévoraient rapidement l’espace et la matière. Le bois sec des parois, de la charpente, des planchers, de l’ossature s’embrasa et tout le Dragon d’Acier prit feu de l’intérieur. Les plaques de protection en fer rougissaient sous l’intensité du brasier, impossible de mettre la main dessus sans se brûler. A l’intérieur, les matériaux inflammables comme les draps, vêtements et autres matières légères avaient été détruites et un fumée noire s’élevait du monstre inerte mais envahissait aussi les pièces, les coursives et les échappées. Ferrèol et Sélim au quatrième niveau ouvrirent un panneau devant l’une des catapultes, faisant par là même un énorme appel d’air et provoquant une explosion de flamme soudaine qui traversa le hall où ils se trouvaient. Le plancher craquait sous le poids des objets plus lourds comme le lit du géant ou la couche de l’ogre, mais ce n’était rien comparé au plancher sous les amas de pierres destinées aux catapultes et sous les engins de siège eux-mêmes. L’escalier en colimaçon pour descendre n’était plus qu’une colonne de feu. Si le duo hésitait encore à passer par l’ouverture qu’ils venaient de faire, il deviendrait suicidaire de tenter l’aventure par l’intérieur. Tout le niveau 3 devait à présent n’être qu’un immense brasier qui dévorait les étages au-dessus et en dessous.

Au niveau 2, Frédrigo, Véolia et Denmel poussaient les gnomes et la cuisinière vers le niveau inférieur. Le plafond cédait par endroits, faisant tomber des amas de planche enflammées qui devenaient autant de pièges dangereux voire mortels. Les gnomes ne se firent pas prier et coururent aussi vite que leurs petites jambes affaiblies par la maltraitance et des années d’esclavage le leur permettaient. Les craquements du bois, le crissement du métal qui ployait sous la chaleur couvraient les bruits extérieurs des combats qui faisaient rage. Enfin au moment où la cuisinière descendait péniblement les marches de l’escalier menant au niveau inférieur, le plafond tout entier céda sous le poids et l’encombrement des niveaux au-dessus et le trio de sauveteurs dut se jeter dans l’escalier pour échapper à la mort. Descendant prestement au rythme de la vieille femme en surcharge pondérale et à son souffle saccadé et souvent coupé par l’effort, le groupe émergea dans la salle de garde où Nadya les attendait tandis qu’elle poussait les grands battants des portes Nord après avoir débloqué et ouvertes les portes Est et Ouest, laissant ainsi trois ouvertures dont une très large, accessibles. Les prisonniers n’attendirent pas pour sortir tout comme le groupe dont il manquait pour l’instant deux membres : Ferrèol et Selim…

Dehors, monstres, soldats rapaces et cavaliers de Verlashu s’étaient écartés du Dragon d’Acier qui devenait un immense brasier qui dégageait une chaleur si intense qu’elle en devenait insupportable. L’air était troublé tout autour, les flammes et la fumée noire s’élevaient très haut et seraient probablement visibles à des lieues à la ronde, pourquoi pas depuis la cité blanche, la capitale de l’Arbenfield, mais plus sûrement du front où se déroulaient les affrontements entre les troupes de Waldemar Hildebrass, baron de Sutercle et celles de Gaétiàn Branwald, baron d’Arbenfield. Le groupe et ceux qu’ils venaient de sauver s’éloignèrent rapidement de l’immense fournaise, de plusieurs dizaines de mètres, avant que la chaleur devienne supportable. Ils étaient comme étourdis, quelque peu hagards, conscient d’avoir échappé de peu à une mort atroce et ils regardaient comme beaucoup autour le symbole du mal être détruit par les flammes. Ils notèrent que le dragon avait relevé la tête à hauteur de ce qui devait être le troisième niveau et que celle-ci était tournée vers lui-même. Autour dans la clairière, c’était l’hallali parmi les hordes humanoïdes. La débâcle avait déjà commencé depuis peu après l’arrivée et les charges successives des seigneurs cavaliers, ici des orques couraient ventre à terre vers les bois les plus proches espérant ne pas être coulés sur place par une lance de cavalerie en pleine charge à moins que ce soient les flèches qui parlent, là des goblours qui résistaient stupidement et se faisaient piétiner par des chevaux lancés au galop, ici encore des hobgobelins qui aveint compris qu’il était temps de trouver refuge dans un autre lieu plus accueillant le temps de se rassembler et d’ourdir un plan ou une tactique pour reprendre l’avantage, là des gnolls qui fuyaient les jambes à leur cou en paillant et poussant des cris plus proches cette fois du couinement plaintif que du rire moqueur des hyènes. Les combats les plus violent opposaient les hommes du nord qui semblaient ne pas vouloir se rendre ni fuir et formaient un pôle de résistance grâce à leur fortin de bois contre les charges des chevaux. Mais cette résistance semblait bien bénigne face à la force des seigneurs cavaliers.

Les seigneurs cavaliers, tous en avaient entendu parler, tous en avait vu, surtout ceux qui avaient traversé le Velashu pour des pèlerinages ou des voyages vers les terres du sud comme Véolia, Frédrigo et Denmel qui tout trois avaient et jusqu’à Magnimar. Nadya les avait aussi déjà vu, mais c’était il y a 8 ans, lorsqu’il y eut les évènement tragiques que connut le fief de Sutercle. Morggedhon avait rassemblé une armée de gobelins, kobolds, orques et gnolls et avait assiégé le château du baron tout comme Bourg, un petit village fortifié à l’époque. Les seigneurs cavaliers étaient arrivés à l’aube après une nuit de combats et d’assauts contre le château et ils avaient libéré le fief et pourchassé les humanoïdes jusqu’aux Monts Rouges. L’histoire disait que c’était grâce à un groupe d’enfants que tout Sutercle fut sauvé, un groupe qui venait de perdre leurs parents, leur hameau, Khelgür, qui avait été entièrement détruit lors du passage de l’armée de Morggedhon qui se faisait appeler le Dieu Noir. Ces courageux enfants ont relevé la tête et sont allé chercher des adultes puissants pour lutter contre l’envahisseur, c’est ainsi que les cavaliers furent prévenus et qu’ils sont venus à la rescousse. Armine faisait parti de ce groupe d’enfants, même s’il venait de Bourg et que c’était ce jour là qu’il avait quitté le village pour Khelgur, ce jour là qu’il avait été obligé de quitter la bande de gosse des rues qu’ils étaient, Armine, Brass, Armant et Nadya… Une vague de nostalgie traversa les pensées de la jeune femme. Armant avait été tué pendant cette stupide guerre des pavés, Armine avait péri assassiné par les sbires du Masque. Brass était peut-être encore en vie, s’il avait survécu aux batailles depuis qu’il était au front. Mais aujourd’hui voilà que les seigneurs cavaliers revenaient pour sauver Sutercle et l’Arbenfield, car maintenant c’était certain, les plans machiavéliques de Morggedhon avaient encore échoué et la paix allait revenir.

Pendant ce temps Ferrèol et Selim déroulaient une longue corde sur la douzaine de mètre de haut que faisaient les étages du monstre. Ferrèol se glissa en bas avec une facilité déconcertante. L’homme était plutôt trapu et les jambes épaisses tellement il avait les muscles gonflés et noueux, on ne soupçonnait que rarement avec quelle facilité il passait ce genre d’obstacles avec un tel gabarit, Selim ne l’avait jamais vu, mais Ferrèol avait déjà prouvé ses talents de grimpeur lors des explorations sur les toits de Bourg, mais aussi quand le groupe était descendu dans la faille des falaises rouges, du temps où les Rapaces étaient encore des ennemis. Descendant presque en rappel, le jeune cueilleur de baies n’eut aucun mal à se retrouver rapidement en bas et Selim s’élança en dernier, alors que l’air devenait irrespirable et que la chaleur devenait suffocante. Selim était habitué à l’escalade depuis son apprentissage de soldat forestier. Cela faisait pratiquement parti de leur quotidien et par ailleurs les jeux de corde étaient presque sa spécialité, s’en servant aussi et surtout comme système de piège. Mais ce n’était pas seulement ses talents de grimpeur qui suffiraient cette fois, mais une once de chance et ce fut lorsqu’il entendit un craquement désagréable en haut et que la corde se détendit aussitôt qu’il comprit que le point d’ancrage dont il s’était servi venait de céder et poinçon et corde dévalaient la hauteur aussi vite que lui. Ce fut à ce moment là que Selim aurait aimé être véritablement un rapace… La chute fut brutale et soudaine. Ferrèol se précipitait déjà vers lui pour l’aider à se relever puis à le soutenir pour l’éloigner du monstre d’acier qui prenait feu et se brisait de toutes parts. Ils s’éloignaient encore que dans un fracas épouvantable de bois brisé, d’explosion et de crépitement de feu, de métal qui se tord et fond sous la chaleur que le Dragon d’Acier s’effondra avant de basculer petit à petit vers l’avant, c'est-à-dire la mine de houille. La bascule sembla durer une éternité, tout le monde s’éloignaient de la machine infernale et presque au ralenti, le Dragon bascula dans l’ouverture de la mine et se désagrégea dedans en de multiples morceaux de bois brisé et enflammés et de plaques de métal entrant en fusion.

La fin du Dragon d’Acier fut accueillie par un silence soudain et éphémère. Des cors sonnaient la retraite ou plutôt la débâcles pour les monstres humanoïdes, d’autres les charges des cavaliers, les combats firent rage encore pendant un bon moment tandis que le groupe se rassemblait, abasourdit par l’évènement, ils avaient l’impression que tout autour bourdonnait, les cris, les sons semblaient déformés, comme s’ils étaient ou sortaient d’un véritable cauchemar. Ils se regardaient les uns les autres, percevaient des mouvements autour, évitaient des dangers comme des flèches ou des monstres passant près d’eux pour s’enfuir ou tenter de les attaquer au passage. Instinctivement, ils firent parler les armes et les sortilèges pour défendre leurs vies, une éternité passa et le soleil était déjà haut dans le ciel, à son zénith lorsque les bruits, les sons, les mouvements devinrent plus nets, le calme revenait et une foret de lances et de chevaux se formait dans la clairière tandis que des groupes de cavaliers poursuivaient les trainards et pourchasseraient le plus loin possible chaque monstre qui avait réussi à fuir. La mine était en feu, des cadavres jonchaient le sol de partout, une véritable apocalypse, mas surtout un groupe impressionnants de chevaux caparaçonnés, d’homme en ramure les chevauchant, de lances, de haches, d’épées, d’arcs, L’un d’eux derrière faisait cabrer son cheval tandis qu’il poussait un cri de guerre puis il traversa l’assemblée qui s’écarta sur son passage. Son cheval soulevait la poussière et le bruit de ses sabots ressemblait au roulement du tonnerre. L’homme avait les cheveux longs qui dépassaient du casque, avec deux tresses qui tombaient devant, une barbe longue et fournie, les traits de son visage était marqué par les ans, ce devait être un vétéran, son armure était composée de plaques de métal se chevauchant et accrochées à sa tunique de cuir. Elle était teinte de vert sombre comme les feuilles des arbres ou la prairie et dessus apparaissait le symbole du cheval blanc qui charge. Son cheval lui aussi portait une barde de métal ornée du même symbole sur son poitrail mais aussi sur le caparaçon qui le recouvrait presque entièrement.

L’homme portait un casque nasal surmonté d’une tête de cheval, de la maille descendait dans le cou jusqu’aux épaules, l’homme paraissait grand, tout comme sa monture et il avançait au petit trop pour gagner le centre du cercle formé par les cavaliers. Arrivé jusqu’à hauteur du groupe, il arrêta sa monture et enleva son casque, se penchant vers le bas pour parler aux personnes à pieds, le regard sévère, les sourcils froncés, il venait tout comme ses cavaliers d’essuyer une grande bataille et les stigmates de celle-ci se voyaient partout. Il paraissait blessé, une blessure bénigne qui semblait ne pas l’affecter outre mesure. Son tabar était souillé du sang de ses ennemis, son bras avait du frapper, frapper et encore frapper levant la lourde épée qu’il avait rangé au fourreau tandis qu’il approchait. Un homme dans l’assemblée de cavaliers tonna – « A genoux devant le seigneur-cavalier Horan ! » – Les lances se baissèrent devenant menaçantes. Mais L'homme en armure leva la main en signe de paix et les lances se levèrent aussitôt. Il prit la parole, une voix calme, claire, forte, autoritaire.« Alors c’est vous !.. 6 personnes qui à elles seules parviennent à semer la zizanie sur plusieurs centaines de monstres humanoïdes. Il semblerait que le destin vous place assurément sur ma route. C’était vrai il y a 8 ans, il me semble, c’est vrai aujourd’hui. Mais qui êtes vous et qu’est-ce qu’il se passe au juste ? Votre messager n’a pas été très concis, c’était tellement urgent, d’après lui, que nous arrivions à temps, je comprends à présent que nous avons eu raison de chevaucher jour et nuit pour ne pas manquer ce rendez-vous. Vous et la poignée de soldats là-bas seraient sans doute morts sinon. »

Modifié par un utilisateur dimanche 23 mars 2014 21:40:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ferrèol avait vu Selim finir à descendre en même temps que sa corde, mais pourquoi avait il insisté pour passer en dernier sachant que le druide avait une échappatoire et pas les airs??
Il l'avait relever tout en sortant la baguette de soins, et en la faisant crépiter.

Le spectacle qui s'annonçait n'était pas sans lui rappeler huit ans auparavant. Il chercha ses compagnons pour se regrouper et réfléchir pour la suite à donner. Mais les cavaliers qui se voulaient encore une fois les sauveurs de la contrée, eurent vite fais de mettre un terme à la bataille.

Devant le chevalier qui se présentait à eux, Ferrèol fit un pas en arrière, et laissa parler le Lieutenant. Ce n'était pas à lui le sauvageons à prendre la paroles.



Selim récupère 15pv

Modifié par un utilisateur dimanche 23 mars 2014 22:24:09(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le moine regarda les restes calcinés du dragon d'acier. La folie de ces créatures capable de créer un tel monstre le dépassait. Mettre autant d'ardeur, d'énergie et de volonté pour construire une telle machine revenait à se détruire soit même. Faisant fi de cette folie il se tourna vers l'homme à cheval et le salua respectueusement. Il laissa parler ses compagnons, beaucoup plus à l'aise dans ce domaine que lui même. Il s'assura que Nadya allait bien sans pour autant se montrer plus bienveillant que nécessaire. Sa notoriété grandissante était une sorte d'avertissement pour Denmel. Il préférait le domaine de l'anonymat où il se sentait beaucoup plus à l'aise.

« Nous sommes loin d'avoir terminer notre travail ici. Je dois faire en sorte que mon père ne soit pas mort en vain. »

A un moment ou la prêtresse ne prit pas la parole, et ou le chevalier ne lui répondait pas, Ferrèol encore en retrait, lui toucha le bras. Et lui murmura discrètement.

« Ne leur fait pas chercher quelqu'un qui ne doit plus exister!
Je ne sais pas si tu te souviens le jeune qui avait été possédée au château, et qui avait empoisonné tout le monde, ainsi que l'assassin dans Bourg.
Margatruc ne laisse pas grand chose des personnes qu'il possède. J'ai bien peur que comme précédemment, l'apprenti sorcier là haut ne soit plus qu'un amas de chair, carbonisé, maintenant!! »