Nekahan avait reçu le message le en fin de journée. Il était intrigué et inquiet. Deux de ces rares amis de l'académie lui demandaient de l'aide sans rien précisé. Le message disait :

« Nous avons besoin de toi, rejoins nous au repos du scribe ce soir.
Rose et Maelangol »

Bien entendu Nekahan n'avait pas hésité une seconde, ces amis avaient besoin de lui, voir pire, pouvaient être en danger. Il avait fait son paquetage pris ces affaires d'exploration et demandé à Sarlar de se transformer en corbeau.
Ce dernier rechignais à se transformer, il était plus difficile pour lui de communiquer sous cette forme. Mais ça sécurité et celle de son maitre passait par là. En plus il était tout excité de partir à l'aventure.



« Haaa enfin du mouvement ! Les bibliothèques m'ont fait pousser des poils dans les mains. »

Nekahan ne fit aucun commentaire, et finit de se préparer, puis il prit la route de l'auberge. C'était l'heure du repas et il en profiterait pour manger quelque chose sur place.

Je te laisse m'introduire au moment qui te convient.
Petite question, est-ce que les diablotins son courant et admis dans la cité ? Je suis partit du principe que non mais je me trompe peut-être.

Modifié par un utilisateur lundi 14 avril 2014 13:00:04(UTC)  | Raison: Non indiquée

Du coin de l'oeil, Maelangol vit Nekahan entrer dans la taverne et s'approcher de leur table. L'homme, lui, toussa dans son poing, comme pour s'échauffer,puis reprit la parole.
« Je me demandais si vous étiez intéressés par l'achat de créatures magiques... Voyez-vous,j'ai mis la main sur cette étrange petite vase... »
La forme dans le flacon s'agita légèrement, produisant de petites bulles.

Nekahan remarque que l'homme est nerveux, mais il a surtout l'impression qu'il veut plaire aux mages attablés. Il a l'air un peu gêné, mais Nekahan ne peut déterminer si c'est à cause d'une timidité naturelle ou de la nature de la créature dans son gros flacon.

Maelangol n'en est pas sûr,mais il croit qu'il s'agit de ce qu'on appelle une vase "neutre", inoffensive et souvent la base d'expériences de transmutation.
si qqn veut tenter un jet d'alchimie, d'art de la magie ou de conn. mystères...

Après avoir sommairement étudié la vase en question, Maelangol demanda, septique : « et vous en demandez combien ? Elle n'a pas vraiment l'air extra-ordinaire. »

Nekahan se levât de sa table lorsque Rose lui fit un signe et cassât du même coup son stratagème. Toujours aussi spontanée ma petite Rose pensât-il.

Il s'approchât, se mit entre le vendeur et la table, laissant une visibilité à ces amis.

« Si je peux me permettre, vous essayer d'arnaquer mes collègues, je peux un trouver un pour moins de100 pièces d'or. Bien entendu il y a l'effort à fournir pour le trouver, mais le double du prix… voyons revoyez votre offre je vous prie. »

Sarlar, perché sur l'épaule de Nekahan, croassât pour appuyer les dire de son maitre.

« Et puis elle m'a l'aire peu commode votre vase. » dit-il en la regardant de plus proche.



Je suis intéressé mais j'aimerai en savoir plus sur ce qu'il faut faire pour la rendre plus agressive tout en la rendant obéissante.

• Jet d'art de la magie : 1d20+11 donne [15] + 11 = 26
• Jet de bluff pour la négociation du prix si besoin : 1d20+10 donne [17] + 10 = 27

Lorsqu’Argus reçut la missive de ses collègues étudiants, il fut d’abord surpris. Ce n’est pas comme s’il avait été le plus populaire de ses congénères. Après un bref effort de mémoire, il se rappela de Rose grâce à qui il avait pu réussir ses premières années avec ses pompes fort bien écrites : La Théorie des Plans Inférieurs, j’y ai jamais rien compris … Il se remémora également quelques passes d’armes avec Maelangol dans l’arène du Martial : il avait beaucoup appris sur l’équilibre des lames avec son confrère elfique, qui se battait de manière fort différente que lui avec sa toute fine épée elfique.
Comme les souvenirs étaient plutôt agréable, et que depuis le diplôme il n’eut pas réellement d’occasion de se lancer de nouveaux défis, accaparé par les « nécessités familiales », il se dit qu' «  un peu d’action, ça me ferait pas de mal. En plus, je pense que cette auberge est plutôt conviviale ! »
Après avoir enfilé sa chemise de maille, puis sa tunique par dessus, le mage se mit en route vers l'auberge.

Argus entre dans l’auberge et s’assied sur un tabouret au bar, sa voix amicale mais puissante tonne: «  Ola Aubergiste, une Grande choppe je te prie !  ». Il scrute alors la salle des yeux cherchant l’une ou l’autre connaissance, après avoir payé l'aubergiste avec un bon pourboire.

« Bah nous ça vas, comme tu peut le voir, on boit un verre, on nous propose des affaires, on à même le droit à une leçon de négoce. »
Depuis que Nekahan avait prit la négociation en main, Maelangol se retenait de rire, en voyant la tête du marchand face au requin qui le plumait. Nekahan était un commerçant dans l’âme, capable de vendre des chaussettes à un cul-de-jatte.
Bref, un allié précieux dans le monde des affaires

Nekahan salue le marchant:
« C'est un plaisirs de faire affaire avec vous, je me nome Nekahan, comment vous appelez-vous?  »

Puis il regarde sa nouvelle acquisition en disant.

« Ca intéresse l'un de vous ? Sinon je la garde. »


c'est pas facile avec le téléphone, pour info je suis 4 jours à la montagne donc moins présent

Modifié par un utilisateur vendredi 18 avril 2014 21:58:15(UTC)  | Raison: Non indiquée

Une fois que la transaction est terminée, Argus se lève et rejoint ses anciens camarades de classe à leur table. Il pose une choppe aussi massive que lui sur la table et s'installe:
« Bonjour à vous, Camarades, j'ai bien reçu votre message. Je vois que vous poursuivez vos affaires en ingrédients magiques ésotériques. » dit-il en regardant la vase.
«  Quel bon vent nous amène à nous réunir ?  »