Autour de la taverne, ou dans les navires à quai, est-ce qu'on peut déjà repérer quelque chose de particulier : sentinelles, dockers qui restent sur la zone... ?

« Dites moi Nefti », murmura Pahelor tout en vérifiant instinctivement la présence de sa dague, « y a t'il ici quelqu'un dont le visage, ou l'accoutrement, vous dirait quelque chose ? Du genre à l'avoir déjà croisé à la vente aux enchères ? »


J'examine les lieux avant de m'approcher en essayant de repérer à la fois des sentinelles (ou tout autre truc louche), ainsi qu'une fenêtre le long du ponton ouest où je pourrais jeter un oeil... l'accès au ponton semble t-il surveillé ?

Sarrel fredonnait tout bas, presque malgré lui.

« Et quand ils ont bien bu
Ils se flanquent le nez au ciel... »

Mais pourquoi j'ai ça dans la tête moi ?

Il s'était placé dans l'une des ruelles adjacentes de manière à garder un point de vue sur Pahelor tout en restant protégé par des caisses ou des tonneaux. Il avait détaché son arc et passé quelques instants à le bander. Une fois la corde mise, il avait réajusté ses carquois, en avait sorti une flèche et l'avait encochée. Son regard allait du bâtiment aux fanions des bateaux afin de déterminer le vent et son influence sur ses prochains tirs.

C'est parti !

• Perception : 1d20 donne [19] = 19

...On entend une rengaine au loin....

Quand les six compagnons se rapprochèrent de l'Auberge du Marin Malchanceux, ils remarquèrent de suite que la porte principal qui donnait sur la rue était barrée de planches de bois. Elles ne semblaient pas très solidement fixé au mur.

Il n'y avait pas foule devant l'auberge en cette heure de début de soirée, les dockers comme les marins préféraient, et on les comprend les endroits un peu plus ouvert, pour se remplir la panse, la vessie et profiter de leurs pièces d'argent où de cuivre, durement gagnées.
Le groupe ne remarqua personne qui semblait particulièrement suspect, à part peut-être ce docker qui déchargeait des tonneaux, ou ce marin qui parlait à une fille de joie qui semblait elle aussi en fin de compte suspect et ces deux enfants qui jouaient à torturer ce rat n'était pas des vigies pour on ne sait quelle ennemi caché.
C'est entouré de tout ces ennemis potentiels que Pahelor sortit de l'ombre de la ruelle qui donnait sur l'auberge et s'en alla trainer sur les pontons, mais les planches pourries de ceux-ci ne facilitaient pas la discrétion, et les craquements et autres gémissements du bois semblaient remplir tout l'espace autour du bâtiment, à tel point que Pahelor était sur que tout la rue s'était retourné sur lui au moment où il avait commencé à marcher sur ces planches.

Eladia regardait le halfeling avancer vers l'auberge en serrant ses petits poings en raison de la tension.

Quel courage dans ce petit être. Je ne sais si j'aurai la capacité de relever un tel défi. Trouverai-je grâce aux yeux de Sarenrae dans cette quête mystérieuse ?

« Je m'occupe de l'entrée de gauche ... s'il y a un problème. » proposa Lorac en tirant nerveusement sur les tresses de sa barbe d'une main et en tenant son urgrosh de l'autre.

Modifié par un utilisateur mardi 14 septembre 2010 21:54:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

En s'adressant à Lorac, « Laisse Sarrel s'occuper des sorties, et vient avec moi t'occuper de l'entrée de devant, à deux on prendra moins de coups et de toute façon, pour ce que je connais des nains, tu n'apprécierais pas de passer à travers le ponton et de plonger en armure dans l'eau du port. »

Pahelor s'avança sur le ponton semblant sur d'être discret, malgré les craquements horribles que faisaient les planches de bois pourri, le sol était d'ailleurs très glissant et il fallait marcher prudemment pour ne pas tomber. Toute les fenêtres étaient bouchées par des planches. Pahelor regarda pas une des fenêtres, il ne voyait pas grand chose, sauf qu'il y avait de la lumière à l'intérieur, et il avait l'impression de voir une forme au dessus d'une sorte de comptoir.

La porte de devant pouvait être "explosé" comme l'avait suggéré Sari el Tarek, mais d'abord, il aurait fallu enlever les planches qui se croisaient en travers de l'ouverture comme le pensé Lorac, le pragmatisme des nains était légendaire.

« et puis ceux qui sont pas d'accord, il lève la main, le nain leur mettra un grand coup de hache dans la gueule ! » continua Lorac ironiquement.

Modifié par un utilisateur mardi 14 septembre 2010 21:53:35(UTC)  | Raison: Non indiquée