Armure de Légionnaire infernal. Ces armures reconnaissables sont semblables à des harnois de maître qui offrent des avantages supplémentaires à leur propriétaire s’il fait partie des Légionnaires infernaux.
Armure de plaques. L’armure de plaques combine des éléments du harnois et de la cotte de mailles, intégrant plusieurs grandes plaques de métal sculpté et une armature de mailles. Si cette armure protège les zones vitales de plusieurs couches d’armure, elle n’est pas sculptée en fonction de la carrure de l’individu, réduisant davantage la mobilité du porteur qu’un harnois complet. Les armures de plaques incluent des gantelets et un casque.
Armure de plaques agile. Cette armure de plaques est fabriquée dans un style spécialement conçu pour donner plus d’aisance lors de certaines activités physiques. Le malus d’armure aux tests d’Escalade et aux tests de saut n’est que de -4 (les versions de maître et en mithral de cette armure réduisent ce malus et le malus normal). En outre, contrairement à la plupart des armures lourdes, le porteur peut quand même courir à quatre fois sa vitesse au lieu de trois fois sa vitesse.
Armure lamellaire en fer*. L’armure lamellaire est un type d’armure constitué de petites plaques de différents métaux qui sont fixées en rangées parallèles par une fine corde. Les plaques lamellaires peuvent être faites de cuir laqué, de corne, voire même de pierre, mais les armures de fer et d’acier sont les plus courantes. L’armure lamellaire peut être façonnée en différentes formes, y compris en pièces isolées telles que des cuirasses, des jambières ou même des vestes complètes. Les propriétés des combinaisons et des pièces spécifiques de l’armure lamellaire sont définies par leur matériau.
Armure lamellaire en pierre*. L’armure lamellaire est un type d’armure constitué de petites plaques de différents métaux qui sont fixées en rangées parallèles par une fine corde. Les plaques lamellaires peuvent être faites de cuir laqué, de corne, voire même de pierre, mais les armures de fer et d’acier sont les plus courantes. L’armure lamellaire peut être façonnée en différentes formes, y compris en pièces isolées telles que des cuirasses, des jambières ou même des vestes complètes. Les propriétés des combinaisons et des pièces spécifiques de l’armure lamellaire sont définies par leur matériau.
Clibanion. Le clibanion est composé de bandes de métal superposées fixées sur une armature de cuir ou de tissu résistant. Ces attelles sont plus grandes et plus résistantes que celles qui composent l’armure d’écailles, améliorant la protection qu’elle offre au porteur, aux dépends de la flexibilité. Un clibanion s’accompagne de gantelets.
Crevice. La crevice est composée de bandes de métal superposées et fixées sur un solide support de cuir et de chaînes. La taille des plaques de métal, des bandes de métal interconnectées et des couches de l’armure intérieure en font un moyen de défense plus important que les armures similaires, telles que l’armure d’écailles ou le clibanion.
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Harnois. Cette armure de métal se compose de multiples plaques de métal interconnectées et superposées intégrant les avantages de nombreux types d’armures inférieures. Le harnois (ou armure de plaques complète, comme on l’appelle souvent) inclut des gantelets, des bottes de cuir lourdes, un casque à visière et un épais rembourrage cousu sous l’armure. Chaque harnois doit être spécialement taillé pour son porteur par un maître armurier, bien qu’il soit possible de réajuster une armure récupérée pour l’adapter à son nouveau porteur, pour un prix allant de 200 à 800 (2d4 × 100) pièces d’or.
Kusari gusoku*. Le kusari gusoku ressemble à l’armure tatami-do mais le katabira (sorte de veste de mailles) se porte à la place du plastron.
O-yoroï*. Exclusivement porté par les samouraïs de haut rang, l’o-yoroï (ou « grande armure ») est une armure lourde de combat faite de divers composants supplémentaires incluant des plaques et des lamelles. Chaque armure est taillée pour un individu particulier et porte la marque esthétique de son propriétaire. Lors de la finition, l’armure est colorée et scellée avec une dernière couche de laque. La pièce maîtresse de l’o-yoroï est une cuirasse se composant de deux parties : un renforcement indépendant pour le flanc droit, que l’on appelle un waidate, et un kikko. La partie supérieure du waidate se compose d’une plaque de fer recouverte de cuir. Les bretelles de cuir de la cuirasse (les watagami) sont également renforcées de plaques de métal. Un certain nombre de pièces supplémentaires sont fixées à la cuirasse, dont de larges épaulières lamellaires, une manche de kikko pour le bras protégé, des jambières de fer laqué portées par-dessus des collants de soie matelassés et une protection du bassin. L’élément caractéristique de chaque combinaison d’armure est un casque kabuto et le masque ho-ate qui l’accompagne. Il est possible de fabriquer les masques ho-ate en cuir renforcé ou en métal. Ils représentent un visage effrayant comme celui d’un oni], d’un dragon ou d’autres créatures mythologiques.
Plate de pierre.
Dans l'Art de la guerre, cet objet est aussi appelé "manteau de pierre". | |
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Cette armure est fabriquée par les forgerons nains à partir de plaques de basalte alchimiquement renforcées. La plate de pierre est une armure lourde et encombrante mais elle offre une protection exceptionnelle à son porteur. Elle est principalement utilisée par les druides nains qui ne peuvent pas porter d’armure en métal.
Plate flexible. Cette armure lourde est similaire à un harnois mais elle est un peu plus légère et sacrifie une part de protection pour bénéficier d’une meilleure flexibilité et d’une plus grande mobilité.
Tatami-do*. Porté par les samouraïs comme une alternative plus légère à l’o-yoroï, le tatami-do est une armure flexible intégrale combinant les lamelles métalliques et les composantes du kikko pour faire une combinaison de mailles sur une armature de tissu. Il inclut généralement un casque kabuto escamotable ou un capuchon renforcé, ainsi que des protections pour les bras, des épaulières et des protections pour les cuisses.
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