École du boxeur. Cette école privilégie les coups de pied et de poing rapides, généralement lorsque le combattant tourne autour de son adversaire. Nombre de ces coups sont portés sur une même zone ou sur des parties du corps qui affaiblissent la cible, chaque coup réussi augmentant la douleur et les dégâts infligés.
École du cogneur. Les puissants et violents coups de pied et coups de poing sont visiblement la marque de fabrique de cette école. Sa philosophie martiale est profondément marquée par l’idée que porter un coup puissant au bon endroit fera suffisamment mal à l’adversaire pour l’envoyer au tapis.
École du djinn. Les adeptes de cette école font appel aux esprits des tempêtes pour triompher de leurs adversaires, par la rapidité et la ruse. Les maîtres sont capables d’absorber et de dévier les attaques électriques et de faire tomber la foudre sur leurs adversaires.
École du dragon. L’École du dragon retranscrit la puissance, la grâce et la férocité des dragons. Ses pratiquants utilisent un jeu de jambes acrobatique et des attaques très puissantes pour vaincre leurs ennemis. Les secrets les mieux gardés de cette école comprennent l’absorption de toniques alchimiques et des séances de méditation profonde qui rappellent le long sommeil des dragons.
École de l’efrit. L’École de l’efrit se concentre sur l’agressivité et la vitesse et s’inspire d’êtres de feu. Les maîtres de cette école sont capables de dévier les flammes et de les contrôler, d’immoler leurs ennemis et d’invoquer des jets de feu élémentaire.
École de l’empoigneur. Basée sur les prises et sur la lutte, cette école privilégie les puissantes étreintes à une main, le repositionnement rapide des adversaires saisis et la capacité à déplacer et à blesser un ou deux adversaires.
École de l’enfant de la terre. Ce style de combat a été développé par un groupe de nains et de gnomes qui se consacraient à la lutte contre les géants et à leur extermination. Les adeptes de cette école apprennent à améliorer leur défense et à rester insaisissables pour les géants. Les maîtres finissent même par savoir comment terrasser ces puissantes créatures en visant les pieds, les chevilles et les genoux.
École de la grue. L’École de la grue se concentre sur la défense et les ripostes agiles. Ses adeptes sont connus pour leur posture gracieuse, sur une jambe, et leurs techniques de replis des bras qui rappellent les grandes ailes des grues.
École du jann. Cette école a connu d’humbles débuts dans les traditions folkloriques de plusieurs peuples qui utilisaient des techniques de combat à mains nues similaires. Quelles que soient leurs différences techniques, les adeptes ont tous un style fluide qui privilégie les coups de pieds rapides et puissants. Ils sont toujours en mouvement et possèdent un jeu de jambes gracieux qui les fait parfois passer pour des danseurs, une erreur qui a permis à l’école de se développer en secret et de rester l’arme cachée des opprimés. Les versions ouvertement agressives de cette école perdent leur aspect dansé mais conservent son agilité et ses extraordinaires coups de pied.
École du kirin. L’École du kirin utilise les facultés d’observation comme une arme. Ses pratiquants repèrent les faiblesses de leur adversaire et attendent le moment idéal pour frapper, afin de ne pas gaspiller le moindre mouvement ni le moindre effort. L’École du kirin est très populaire parmi les rares ordres qui mêlent l’entraînement monastique et les études profanes. Quelques magiciens qui veulent affiner leur corps en même temps que leur esprit la pratiquent aussi.
École de la mante. Cette école de combat se base sur les techniques de chasse de la mante religieuse. Ses adeptes combattent les mains tournées vers le bas, pour imiter les pattes crochues de la mante. Ils utilisent des coups précis pour toucher les zones sensibles comme les yeux, la gorge et les points vitaux.
École du marid. L’École du marid cherche à imiter la force fluide des rivières et des profondeurs glacées de l’océan. Les maîtres sont capables de résister à un froid sévère, de manipuler l’eau pour frapper leurs ennemis de loin et de geler leurs adversaires sur place.
École de la panthère. Les élèves de la panthère oublient la prudence alors qu’ils se lancent à l’assaut de leurs ennemis. Ceux qui parviennent à maîtriser ce style font de leur mobilité inégalée une arme qui leur permet de frapper leurs ennemis lors d’une série de ripostes éclair.
École du sanglier. Ce style de combat sauvage à mains nues a été élaboré par une tribu d’orques qui n’aimaient pas les armes. Ils préféraient massacrer leurs ennemis avec leurs poings nus ou à coups de dents. Au fil des siècles, diverses races ont suivi l’École du sanglier, surtout des gobelinoïdes, des ogres et des trolls. Ce style consiste à attaquer son ennemi avec autant de sauvagerie et de cruauté que possible, afin de briser le moral adverse. Les fanatiques de cette école utilisent des réactifs végétaux ou alchimiques pour durcir leurs ongles et leurs dents et vont parfois jusqu’à se mutiler pour changer leurs ongles en griffes et aiguiser leurs dents.
École du shaitan. Les adeptes de cette école enveloppent leurs poings de minéraux acides issus des profondeurs de la terre. Leurs puissants coups permettent à l’élément caustique de dissoudre la chair de leurs ennemis et de les mettre hors de combat.
École du singe. L’École du singe est renommée pour sa vitesse et son agilité. Elle mêle le combat au sol aux coups portés lors d’un saut ou d’une roulade, lors d’une série d’assauts qui ne laissent aucun répit à l’adversaire, afin de le désorienter et de le blesser en tirant parti d’une mobilité supérieure.
École du serpent. L’École du serpent privilégie les mouvements rapides et changeants. Ses adeptes gardent les mains ouvertes, avec les doigts collés pour imiter la tête d’un serpent. Ils sont capables de frapper quand on s’y attend le moins, avec une vitesse fulgurante.
École du tigre. Cette école cherche à imiter la puissance et la fureur des grands tigres. Ses adeptes utilisent leurs mains comme des griffes et perfectionnent l’art des frappes doubles et des attaques en chaîne.
École de la tortue alligator. Cette école met l’accent sur la défense active à une main. Ses adeptes utilisent toutes sortes de prises, de clefs et de parades circulaires pour se protéger et ils recourent aussi à une méthode d’immobilisation handicapante.