Source : Bestiaire p.173, Codex monstrueux p.102
PX 400
Mort-vivant de taille M, CM
Init +2 ; Sens vision dans le noir 18 m (12 c) ; Perception +7
Défense
CA 14, contact 12, pris au dépourvu 12 (Dex +2, naturelle +2)
pv 13 (2d8+4)
Réf +2, Vig +2, Vol +5
Attaque
Corps à corps morsure, +3 (1d6+1 et maladie et paralysie) et 2 griffes, +3 (1d6+1 et paralysie)
Attaques spéciales paralysie (1d4+1 rounds, DD 13, les elfes sont immunisés contre cet effet)
Caractéristiques
For 13, Dex 15, Con -, Int 13, Sag 14, Cha 14
BBA +1, BMO +2, DMD 14
Langues commun
Écologie
Environnement terre ferme
Organisation sociale solitaire, bande (2-4) ou meute (7-12)
Trésor standard
Capacités spéciales
Maladie : fièvre des goules (Sur). Morsure - blessure ; JS Vigueur DD 13 ; incubation 1 jour ; fréquence 1/jour ; effet affaiblissement temporaire 1d3 Con et 1d3 Dex ; guérison 2 réussites consécutives. Le DD dépend du Charisme. Lorsqu'un humanoïde meurt de la fièvre des goules, il se relève sous la forme d'une goule dès que sonne minuit. Il ne conserve aucune des capacités qu'il possédait de son vivant et n'est pas soumis au contrôle des autres goules, la chair des vivants l'attire et il se comporte comme une goule normale. Ceux qui possèdent 4 DV ou plus se relèvent sous la forme de blêmes.
| Cette créature humanoïde possède de longues dents acérées et sa peau pâle semble avoir été étirée autour d’un corps affamé.Les goules sont des morts-vivants qui hantent les cimetières et dévorent les cadavres. Selon certaines légendes, les premières goules auraient été des humains cannibales revenus de la mort à cause de leurs appétits contre nature. D’autres parlent plutôt d’humains qui se seraient repus en dévorant les cadavres en putréfaction de leurs frères puis qui seraient
morts à cause des terribles maladies qu’ils avaient ainsi contractées. Quoi qu’il en soit, la véritable origine de ces charognards morts-vivants reste vague. Les goules se tapissent aux abords de la civilisation (dans ou près des cimetières, ou dans les égouts des villes), là où elles peuvent mettre la main sur d’amples réserves de leur nourriture favorite. Elles préfèrent les corps en décomposition et enterrent d’ailleurs souvent leurs victimes pendant un moment afin d’en améliorer le goût. Si la faim les y pousse, elles dévorent parfois des proies fraîchement tuées. La plupart des goules de la surface vivent de manière primitive mais certaines rumeurs parlent de cités souterraines composées de goules dirigées par des prêtres vénérant d’anciens dieux cruels ou d’étranges seigneurs-démons de la faim. Les habitudes alimentaires de ces goules « civilisées » n’en sont pas pour autant moins horribles. En fait, l’idée d’une table bien dressée lors d’un banquet de goules est peut-être même plus terrifiante que celle d’un repas fraîchement extrait de son cercueil. BlêmeLes blêmes sont des goules qui possèdent l’archétype « évolué ». La paralysie des blêmes affectent même les elfes. Les blêmes se regroupent en meutes ou dirigent des bandes de goules normales. L’odeur de mort et de corruption qui émane de ces créatures est si puissante qu’elles gagnent la capacité extraordinaire de puanteur (rayon de 3 m, Vigueur DD 15 annule, fiévreux pendant 1d6+4 minutes). LacédonCes cousins aquatiques des goules vivent près des récifs cachés et des dangers qui menacent les navires. Les lacédons ont une vitesse de déplacement de base de 9 mètres et une vitesse de nage de 9 mètres.
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