Othair s'était rapproché, mais pas suffisamment. Il n'avait encore aucune des raclures vertes à portée de marteau... Il jura, cracha par terre et se déplaça pour rejoindre Arslann..

Il était désormais au coeur du combat, là où son marteau serait plus utile.

« Par Torag » Hurla-t-il

Double déplacement

Réfléchir, réfléchir, réfléchir vite et bien...
Allez mon vieux Dwallin, tu n'es pas un guerrier comme tes compagnons, mais tu as bien deux ou trois truc dans ta manche à sortir...

Dwallin se précipita par la brèche ouverte dans la barricade afin de plonger son épée dans le corps du gobelin le plus proche, trop occupé par ses compagnons pour faire attention à lui



Déplacement en M5 et attaque du gob à portée

Modifié par un modérateur lundi 11 décembre 2017 23:01:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Chose incroyable, un des nabots verts avait tenté de le blesser, lui le représentant de Torag ici dans ces cavernes. Othair le regarda, et il sentait la peur gagner cette peau verte... Elle tremblait de tous ces membres. Il n'eut pas de doute sur le fait qu'il avait peur de la puissance des nains ici présents.

« Je vais amener ici un peu de rédemption auprès de ton peuple. »

Avec un sourire, il leva son marteau et la sentence de Torag tomba toute inondée de teintes dorées.



Attaque en puissance sur le gob... Mais j'ai bien peur de le rater...

Modifié par un utilisateur jeudi 21 décembre 2017 14:46:58(UTC)  | Raison: Non indiquée

Aragrim tente de donner un coup rapide sur l'un des gobelins mais même sa haine ne lui permet pas de faire mouche. Il devait prouver qu'il était lui aussi un guerrier digne de ce nom.

Modifié par un modérateur dimanche 11 février 2018 20:24:22(UTC)  | Raison: Non indiquée

ne brèche était ouverte dans les défenses des Gobelins de la nuit et leurs deux maîtres sorciers esclavagistes duergars. Les jeunes barbouzes s'y étaient engouffrés tandis que de l'autre côté de la barricade d'autres jeunes barbouzes tenaient de force le passage. Les Gobelins étaient pris en tenaille dans cette première traverse et même s'il n'y avait pas d'échappatoire ni en haut ni en bas, de l'autre côté un nain géant menaçait ceux qui se faufilaient trop près de son épée toute aussi démesurée. Aragrim fut le premier à tenter sa chance face à la créature qui avait réussi à le blesser. Cette dernière devait se sentir du reste désespérée. Un poney énervé sur ses talons, deux nains face à elle et d'autres en haut qu'un seul de ses congénères ne saurait retenir longtemps. Avec l'énergie du désespoir, elle esquiva aisément l'attaque du fils Poingdanel.

Le Forgerune eut plus de chance. Agrandit, il avait une meilleur allonge et d'un coup tout aussi violent que puissant, il trancha et écrasa les chairs du Gobelin de la Nuit qui s'agitait près du dévot de Torag. La lame ne laissa aucune chance de survie à la créature. Puis il enjamba tant bien que mal la barricade dressée par les monstres. Il devait pendant un bref instant se tenir à ce qu'il pouvait pour enjamber l'obstacle, abaissant ses défenses pendant ce cours laps de temps. Ce fut suffisant pour que le Gobelin désespéré qui bloquait Aragrim, tente de saisir cette opportunité pour se débarrasser de cet adversaire de taille. Mais son arme s'écrasa sur l'armure d'Eldrick qui maintenant prenait toute la place sur la traverse. Les secondes de l'audacieux Gobelin étaient comptées.

Enfin Arslann tenta d'apporter son eau au moulin dans l'avancée des nains contre les Duergars. Ceux-ci s'étaient réfugiés en arrière ligne afin de rester loin des menaces adverses et ainsi ils pouvaient utiliser leur maléfices. Pour aider l'Ambassadeur du royaume de Kadrin, il tenta de profiter de son allonge pour frapper devant Gulkrik le Gobelin qui lui barrait la route. Peut-être fut-il surpris de l'avancée fracassante d'Eldrick, peut-être eut-il peur de blesser l'Ambassadeur, si bien qu'Arslann fut quelques instants déstabilisé et faillit même tomber sur Gulkrik en se raccrochant à lui, histoire de bien le gêner. Il ne sut par quel miracle il n'en arriva pas là. Il se cogna simplement à l'Ambassadeur sans le gêner ni tomber, c'était comme s'il venait de se cogner contre un roc qui n'avait même pas tressailli ni bougé.


à Othair/minas84 de jouer,
Puis à Gulkrik Deux-Lames.

es cris de guerre, les incantations, les râles avant la mort résonnaient dans le tunnel. Le serviteur de Torag devait prendre son mal en patience. La route vers les ennemis du Maître des Maîtres Artisans était encombrée et il ne pouvait passer. L'ambassadeur du royaume de Kadrin lui ouvrit un passage. De son épée, il perfora le Gobelin devant lui qui se ploya en deux sous la douleur. De sa hache il le décapita sans autre forme de procès avant de s'avancer généreusement autour du second ennemi à peau bleu nuit afin de laisser la place derrière lui. Ce faisant, la créature enta de profite de cette opportunité pour frapper Gulkrik mais ce dernier dévia aisément l'arme meurtrière.

De leur côté, ceux que les anciens appelaient les Égarés devaient voir que ça commençait à sentir le roussi pour eux. De concert, ils se reculèrent d'un pas avant de psalmodier de nouveau tout en touchant la pierre noir qu'ils tenaient à deux. A nouveau trois projectiles zigzaguèrent prenant leur source depuis la pierre pour aller frapper cette fois l'un des jumeaux qui devenait sans doute trop près d'eux à leur goût. Boïndil Coup-Fatal encaissa la décharge de magie destructive avec un grognement de colère et toisa les Duergars du regard - « J'arrive mes mignons, j'arrive ! »


- Othair peut jouer à cet instant. Gulkrik à libéré la voie, déplacement possible jusqu'à [J4] sans prendre d'AO.

Sinon à Dwallin/Saaltyn de jouer,
Puis aux Jumeaux Voddkha.

Dwallin avança, frolant ses compagnons de justesse, afin de se mettre à portée du quatrième gobelin de la nuit.
La créature était occupée à se battre contre Gulkrik et Othair, frappant, mordant, esquivant... Le fils de marchand profita d'une ouverture, alors que le gobelin de faisait pas attantion à lui pour lui enfoncer son épée d'estoc dans le corps.

Le géant ressenti la douleur du coup du gobelin, il y en avait partout de ses sales bestioles, dans sa rage les tambours de guerres accéléraient, le fracas de la bataille le nourrissait. Pour en finir avec tout ses adversaires, Eldrick puisa dans la force de ses runes invoquant une corne sur son front et il attaqua à la fois avec son épée et sa corne chacun des gobelins autour de lui bien décidé à en finir avec eux.




Action rapide : Forme martiale : corne
Action complexe : attaque épée (gob4) et corne (-5 pour la corne) (gob6)

Sorts actifs :
Armure
Bouclier
Repli expéditif
Agrandissement
Bénédiction (d'ARSLAN)

Nouvelles carac : Taille G; Force 20 ; Dext 12 ; Attaque épée à deux mains :1d20+8; dégâts:3d6+7; allonge ; CA : 18; Vitesse : 12 cases de base



Eldrick avait libéré le passage, Arslann en profita pour courir à toute vitesse vers les exilés.

«  Magrim soit loué, que sa fureur s'abatte sur ces dégénérés »

Double déplacement jusqu'en G6

Modifié par un utilisateur vendredi 16 février 2018 17:35:04(UTC)  | Raison: Non indiquée

e jeune Poingdanel devait faire honneur à sa famille. Déjà que celle-ci ne faisait pas partie des plus dignes dans les strates rigides de la hiérarchie naine, il devait donc en faire dix fois plus que les autres pour prouver sa valeur et ainsi recouvrir sa famille de son aura. Mais cette fois encore, la vile créature des profondeurs semblait se tortiller tel un asticot devant la pointe de l’hameçon, empêchant de se faire transpercer par celui-ci, sauf que la jeune barbouze en face de lui tentait de l’écraser avec son lourd marteau de pierre probablement contre la paroi rocheuse sur son flanc ou tout simplement sur le sol. Le lourd pavé de pierre passa à côté, le Gobelin de la Nuit dégoulinait davantage à chaque coup qui tombait sur lui, cette sueur sans doute issue de la terreur. Il était perdu, il le savait et pourtant il s’accrochait à la vie avec l’énergie du désespoir et cette énergie lui avait porté chance jusqu’à maintenant…

Un cri de rage résonna par-dessus le tumulte des bruits du combat. Le maître des runes venait de se faire pousser une corne bestiale et monstrueuse sur le front. Frappant de sa lourde épée à deux mains taille géante, grâce au sort qui avait modifié sa taille et par là même tout ce qu’il portait, il attaqua la créature qui pensait être hors de portée et protégée par la barricade entre le géant nain et lui. Cette erreur lui fut fatale. La lame trancha de la tête vers le bas, sectionnant, éclatant et écrasant tout sur son passage, chairs, os, mais aussi le cuir de l’armure que le Gobelin portait et partiellement les éléments de barricade qui séparaient les deux adversaires. Le Gobelin n’eut pas le temps de prier qui que ce soit, il n’était plus qu’un amas de chairs et de sang putride, inerte, le sang qui venait d’éclabousser par ailleurs ceux qui étaient autour de lui, c’est-à-dire l’Ambassadeur du royaume de Kadrin, le dévot de Torag et même partiellement Dwallin qui pourtant se trouvait dans le coin de la barricade. Se laissant envahir par la rage des tambours de guerre, Eldrick se baissa vers le Gobelin de la Nuit qui se trouvait sur sa gauche et contre qui se battait toujours avec vaillance Aragrim. Il essaya de l’embrocher avec sa corne, mais encore une fois, la chance était du côté de la créature. Il s’en était fallu de peu. La corne n’ayant tout simplement pas réussi à transpercer le cuir de son armure… Il y eut comme une odeur fétide d’un seul coup qui se propagea autour du Gobelin à mesure qu’il vidait vessie et contenu de son intestin sur place.

N’ayant plus d’obstacle devant lui, le dévot de Magrim se faufila à côté de Dwallin, puis d’Othair, puis de Gulkrik qui lui emboita le pas afin de rejoindre les jumeaux qui à présent allaient s’en prendre aux Exilés. Ces derniers avaient vu toutes leurs défenses tomber, ils étaient désormais vulnérables devant un groupe supérieur en nombre et probablement en force devant eux. Seul un Gobelin de la Nuit résistait encore et toujours aux assaillants, mais à part un miracle, il n’allait pas venir à bout seul du groupe de nains. Son seul espoir résidait en la magie des Duergars, une magie sombre, fourbe et cruelle au point que les Gobelins préféraient mourir plutôt que d’être munis par eux.


A Othair/minas84 de jouer,
puis aux Ashkars.

Modifié par un utilisateur samedi 24 février 2018 18:14:12(UTC)  | Raison: Non indiquée

e la même façon que ses comparses, le dévot du Grand-Maître des Maîtres artisans se déplaça à la suite de Gulkrik et Arlsann qui l’avaient précédé. Il s’était lui aussi rapproché des prochaines cibles : les deux Égarés comme l’appelaient les aînés, des nains autrefois, qui sans doute étaient leurs cousins jadis, appartenant à des clans aussi fiers que les leurs, mais qui avaient abandonné la Quête vers le Ciel pur rester dans les profondeurs. Les nains de la surface les appelaient les Égarés ou les Exilés, ils avaient subis la perversion du Mal des Profondeurs, leur morphologie avait évoluée, ils étaient moins robustes que leurs cousins de la surface, leur peau avait pris une teinte grise qui leur valait aussi le nains de nains gris ou Duergars, ils nourrissaient une haine farouche contre le peuple fier et robuste de la surface, estimant que ceux-ci les avaient abandonné. Ils avaient découvert et maitrisaient une magie sombre. Elle s’apparentait à la magie profane mais ils l’utilisaient de façon étrange qui ne ressemblait en rien à celle qu’on enseignait dans les écoles de magie on qu’on développait spontanément chez ceux qui avaient un héritage particulier. Cette pierre qui ressemblait à une petite boule de cristal mais semblait-il d’un matériau plus solide, certes translucide, troubles, comme si c’était un énorme morceau de verre plein, poli en surface. L’un tenait la pierre, l’autre posait sa main dessus et ensembles ils lançaient sortilèges qui s’apparentaient à ceux qu’on connaissait en surface comme les projectiles magiques. Mais d’autres étaient sans doute sans commune mesure ou ressemblance à la très vaste liste de sorts connus par les plus puissants magiciens de la surface.

Cette fois, les deux lascars étaient directement sous la menace de Boïndil Coup-Fatal qui n’était plus seul puisque son jumeau n’était pas loin derrière ni les jeunes barbouzes qui s’étaient faufilées à la suite de Gulkrik. Ils se concentrèrent sur la pierre tous les eux, tout en prenant garde à rester sur la défensive par rapport à un éventuel coup fatal de celui qui en portait le surnom. Ils perdirent instantanément consistance pour finir par disparaitre dans un nuage de fumée noire avant que celle-ci ne se dissipe comme si un petit courant d’air venait juste de souffler à cet instant précis sur lui. Le jumeau frappa tout de même précisément à l’endroit où ils se trouvaient le quart de seconde précédent, savait-on jamais, mais son arme ne rencontra que le vide… Les Duergars avaient disparu. Quant au Gobelin restant, il montra d’un seul coup beaucoup moins de vaillance contre les assaillants, comme si la disparition de ses deux maîtres avaient enlevé un lourd fardeau sur ses épaules. Il retrouva la couardise légendaire qui caractérisait son peuple lorsqu’ils étaient en sous nombre par rapport à leurs ennemis. Il essaya de trouver une échappatoire mais il n’y en avait aucune. Eldrick et Aragrim eurent tôt fait d’en finir avec ce petit gêneur, à deux contre un, le Gobelin de la Nuit n’avait aucune chance.

Le combat était désormais fini. Gulkrik Deux-Lames avait rejoint les Jumeaux qui restaient dos à dos arme en main à scruter partout autour en cas où les Duergars réapparaîtraient quelque part et lanceraient un maléfice de façon fourbe et sournoise. Mais ce ne fut pas le cas. Il était temps maintenant de panser ses plaies, de déblayer le passage encombré par les barricades dressées par les Gobelins de la Nuit et de se remettre en route. On appela le Péager pour qu’il rejoigne le groupe des assaillants avec sa mule et les poneys restés en arrière sous sa garde. Sous les directives de ce dernier, les jeunes barbouzes nettoyèrent le tunnel à commencer par les chausses - trappes répandus sur une grande surface, puis on chargea les éléments de barricade et les cadavres des puantes créatures sur la mule et les poneys, ceci ne devant pas rester à encombrer le passage – « Le bout du Tunnel n’est plus très loin ! » – avait-il commenté. Enfin on se chargea aussi de soigner le poney blessé et de remettre les fers à ceux qui en avaient été délestés pour doubler ceux des poneys d’assaut. Bref tout ceci prit du temps, mais c’était nécessaire et les nains ne seraient pas repartis sans avoir fait place nette derrière eux. Lorsque le Péager fut satisfait du travail accompli, il se remit en marche à pieds cette fois, tirant sa mule chargée outre mesure derrière lui. Il avait dégoté une autre lanterne, bien moins lumineuse que celle qui avait été détruite par Arslann, mais elle projetait son halo lumineux tout autour afin de servir à nouveau de phare pour le petit groupe. D’après Tharkûn, il restait encore trois bonnes heures de marche avant d’atteindre la sortie et il ne fallait pas traîner.