Ni une ni deux, Alonso alla se placer derrière Clarissima, ses muscles grandissants. Il prit une potion afin de faire croître ses membres supérieurs, si bien que si les ennemis s'approchaient de trop, alors ils goutteraient du marteau du protecteur de Clarissima.

«  Je suis derrière vous Madame, allez sans crainte. Je peux couvrir chaque côté, surveillez les arrières.  » Et en disant cela, il appuya sur un mécanisme de son marteau, qui s'embrasa...

S'ils chargent en tout j'ai 3AO si je compte bien...





Utilisation d'attaque en puissance...
Action simple: Boire une potion de long arms
Action de mouvement: Déplacement derrière Clarissima
Action libre: Entrer en rage: +4force et consti, +2 JDS, -2 CA
Action rapide: Mise à feu de l'arme...

Modifié par un utilisateur lundi 13 février 2017 11:19:32(UTC)  | Raison: Non indiquée

Karla rejoint Clarissima et Alonso et murmure quelques paroles. Elle fait ensuite un geste de la main en direction du zombi situé à gauche de l'entrée Zombi 2
Une épaisse couche de graisse apparaît alors sur sous les pieds de la créature.

« Je vais tenter de faire tomber celui la pour le ralentir, ensuite je jouerai de mon arc pour tenter d'en abattre le plus possible !!!! »

Déplacement en R14.
Lance Graisse (BM mise à jour avec la zone)
JDS Réflexe vs DD13 pour éviter de tomber

Modifié par un utilisateur samedi 11 février 2017 22:57:31(UTC)  | Raison: Non indiquée

Clarissima assiste avec un plaisir ... malicieux de noble gâtée à la mobilisation de ses camarades pour sa défense.
« C'est bien ce que je disais, les zombies chassent le bébé, comme la meute infernale, et il le ressent et est capable de peur. Les zombies en sont meme aveuglés vous laissant les tailler en piece. »

Clarissima maintient sa concentration sur la détection de Magie et poursuis un déplacement simple vers la sortie pour permettre à ses camarades de frapper et de se déplacer.

Clarissima, Déplacement de 9 mètres (6 cases) de S13 à Y13

Modifié par un utilisateur samedi 11 février 2017 15:00:54(UTC)  | Raison: Non indiquée

Clara, le bébé braillant aux bras, tu traverses de nouveau le rideau de fer qui sépare le mausolée et l'antre de l'oracle. Immédiatement l'intendante qui vous avait accueilli perçoit dans les pleurs du bébé et ton visage, le trouble dans la Force dans le calme claustral propre à ce lieu sacré. « Que se passe-t-il ? La demeure de la Déesse, de l'oracle et des braves est tabou. Ceux par qui arrivent le désordre seront châtiés. La justice divine est immanente. Alerte ! Alerte ! »

Alors qu'elle appelle à l'aide tu sens un instant ton corps échappé à ta volonté comme emporté par l'arrête de justice prononcé par l’intendant mais tu réussis à garder ton sang-froid et te concentrer sur le bébé.

Art de la magie DD17 (seulement pour Clara)


Au même moment, cessent les pleurs. A l’intérieur de la salle les dévots morts vivants se sont précipités à la poursuite du bébé pour mieux aller s’empaler sur la lance ardente d'Alonso. Bartolomeo finit d'achever les deux zombies au sol. Et si ce n'est les cadavres puants (Alonso tu n'as toujours pas réussi à identifier l'odeur mais tu es sûr que tu pourras la distinguer de nouveau) qui jonchent le sol, le sanctuaire retrouve à nouveau son calme.
Fin du combat

Ce n'est pas le cas du cloître. Les cris de intendante ont non seulement alerté le clergé mais aussi les badauds qui commencent à se diriger en une foule dense vers l'entrée du sanctuaire. Arendil tu es parmi eux.

Alonso quand le dernier mourut diminua la taille de ses bras en rangeant son marteau dans son dos. «  L’odeur n’est pas normale, je dois rester à l’intérieur pour comprendre… Retenez-les dehors…  »

Il essaya de discerner la direction de l’odeur et, tel un chien, renifla… L’idée étant soit d’en identifier la source, soit l’endroit où elle est le plus présent.

Et après il se dirigea vers la sortie pour rejoindre les autres. Seul restait la poudre scintillante sur son corps, redevenu normal…



Edit: Toujours de bons jets ça fait plaisir... -_-

Modifié par un utilisateur vendredi 17 février 2017 12:15:37(UTC)  | Raison: Non indiquée

Tant d'agitation. Tant de cris, de couleurs, et d'odeurs qui agressent tous les sens à chaque instant. Ici nul ne prend le temps de s'arrêter pour saluer ceux qu'il croise, ou pour observer l'élégance d'une façade, ou encore écouter le chant d'un oiseau... Mais de toute manière, les bâtiments sont grossiers et dénués de charme, tandis que le vacarme ambiant empêche de distinguer le moindre son animal.

Je ne comprends pas, pense Arendil.

A ses yeux la ville paraît semblable à une fourmilière gigantesque, où des centaines d'humains vont et viennent en tous les sens, dans la plus grande confusion.

Prennent-ils seulement le temps de réfléchir à ce qu'ils font, à ce qui leur impose de se presser de la sorte ? Se peut-il vraiment que chacun d'entre eux soit soumis à un besoin impérieux qui met en péril son existence s'il ne le remplit pas dans l'heure ?

Sans doute que non. Il est plus probable qu'ils se précipitent pour oeuvrer sur le premier dessein qui leur vient à l'esprit, sans se soucier des conséquences... Comme ils l'ont toujours fait.

Et cependant, si les déesses avaient choisies de lui donner une vie aussi brève que la leur, peut-être lui aussi sentirait-il le besoin de la remplir avec autant d'empressement... Mais ce n'est pas la question qui occupe Arendil en cet instant.

L'elfe s'approche enfin du lac au centre de la ville, là où les survivants de la Compagnie des Preux choisirent de dresser le sanctuaire en l'honneur de leurs morts. Le but de son voyage. A cette pensée, Arendil sent une douleur sourde qui se répand à nouveau dans sa poitrine, et le force à s'arrêter un moment.

Invariablement il attire les regards sur son passage, surtout de la part de ceux qui distinguent ses traits sous la capuche de son manteau. La façon qu'ils ont de le dévisager ainsi est grossière, pour ne pas dire offensante, mais aucun d'entre eux ne semble s'en soucier.

Les gens de la caravane m'avaient pourtant prévenu du peu de retenue des humains...

Arendil porte des vêtements simples dans les tons brun et émeraude, ainsi qu'un manteau de voyage gris en forme de feuille, brodés de petits fils argentés. Il espérait que cela suffirait à passer inaperçu dans la foule, mais ce n'est apparemment pas le cas.

En parlant de foule, il semble qu'un attroupement commence à se former devant le parvis du sanctuaire, au fur et à mesure qu'il s'en rapproche. Des cris s'élèvent, et alors que le voyageur se mêle aux humains il en aperçoit plusieurs au centre du rassemblement en train d'échanger des propos avec véhémence.

Une très jeune humaine – mais ne le semblent ils pas tous ? – portant dans ses bras un nourrisson se tient sur les marches, aux côtés d'un homme dont l'armure est gravée du symbole de leur dieu : un soleil resplendissant. Face à eux se dresse une humaine plus âgée vêtue de robes sombres, dont les motifs l'identifient comme une servante de la vieille déesse. Les paroles qu'ils échangent sont dures et emplies d'irritation, si ce n'est de colère. Chaque syllabe sonne aux oreilles de l'elfe comme le claquement désagréable d'un fouet.

Matria mère de toutes choses, n'y a t-il donc aucune place pour l'harmonie ici, pas même sur le seuil de ta demeure ?

Bartolomeo, il t'apparaît assez vite que si l'inquiétude de l'intendante l'a poussée a appeler ses servantes, elle ne cherchait certainement pas à provoquer un tollé devant les portes du sanctuaire. Sans doute dépassée par la situation (ou alors est-ce l'envoûtement de Clara) elle reste presque immobile à baragouiner des débuts d'ordre contradictoires et inaudible tant sa voix et basse et sa mâchoire contractée « Arrêtez... circulez... bougez... attendez... achetez.... utilisez... cassez..... reparez.... dji dji... »

Heureusement, tu prends assez vite les choses en main. Quand tu ordonnes à la foule de se taire ton charisme naturel appuyée par l'autorité resplendissante des tes armes et la détresse toute feinte de la fille du podestat jette un froid sur l'animation et stoppe la foule en demi cercle à une bonne dizaine de mètres de l'entrée. Même les prêtres et les augures ne savent comment agir et se contentent de se placer légèrement en attente de la foule dans l'espoir de trouver chez l'intendante un début de réponse qui ne vient.

Si la foule cesse de s'agiter, on distingue clairement sa rumeur.
« - C'est la sophonte avec le bébé ?
- Et vous avez vu son armure !
- Elle est pas vilaine la petite.
- Matria guide tes fidèles dans ton sanctuaire !
- Poussez vous on voit rien. Qu'est-ce qui se passe ? »

Cette attente incertaine se prolonge quelques temps. La foule partagée entre la curiosité et le respect des instituions religieuses hésite. Quand soudain s'élève un air léger portant pourtant un ordre autoritaire.
« L'air épris des trois noceurs
Le répit des rois bosseur
L'ère des plis des cinq coiffeurs
Les épis des saints d'oints feurre
L'aire est pris des sept gâteurs
Le repli des spectateurs. »

Quand le dernier vers est prononcé, la foule lentement se disperse laissant place à un être aux traits fins et la voix fine. C'est une femme très belle et légèrement vêtu. Elle s'adresse à Bartolomeo « Eh bien chevalier je ne m'attendais pas à vous trouver au milieu de cette agitation. »




Alonso, de ton côté tu comprends que l'odeur provient des dévots même si tu ne parviens pas à identifier une source plus précise. L'odeur ne t'évoque rien de connu et pourtant te semble tellement discernable que tu ne peux pas croire qu'elle a existé dans la nature et que tu ne l'as jamais rencontré auparavant. C'est certainement l'odeur de quelque chose de magique ou d'alchimique mais tu e peux pas dire quoi (tu analyses toutefois suffisamment bien l'odeur pour être capable de la décrire grossièrement à un autre liquoriste). La tête encore chaude de cette odeur et du combat que tu as mené, sans doute encore surpris de la férocité que tu as pu déployer face à tes ennemis, tu rejoins le groupe alors que la scène est déjà calme.

Bartoloemo esquisse une révérence à peine marquée, de celles qu'on adresse aux intimes (on voit bien qu'il surjoue un peu). Le chevalier sourit à la femme. Il s'adresse à la vestale d'une voix pateline, un peu taquine : « Mes hommages, ma dame... Alonso, je vous présente Dame Lutisse, la plus ravissante des vestales de la Déesse. Elle est première vestale en ces lieux. Dame Lutisse, je vous présente dona Clara, une amie ciudalienne, Alonso, son chevalier servant et sa duègne, Karla. »

Ce disant, le chevalier remarque le personnage tout de vert vêtu : Des traits délicats, juvéniles... Et ces atours : un elfe ?... Celui-là dégage quelque chose de plus taciturne que l'idée que j'avais de leur race... On m'avait dit qu'il est possible d'en croiser à Bourg-Preux... Ami ? Ennemi ? Une accointance de Melanchter ? Faut-il s'en méfier ?... Pourquoi n'est-il pas reparti de concert avec les curieux ?....

Le chevalier continue, mi mutin, mi sérieux : « Dame Lutisse, je dois vous confesser que je ne m'attendais pas non plus à vous rencontrer ce jour. C'est la Sophonte que nous étions venu trouver. Mais il semblerait que l'on se joue de nous... Au lieu d'un oracle, on nous a servi des effets de théâtre ! »

« L'intendante nous avait annoncé la devineresse mais c'est autre chose de plus sombre qui est venu à sa place...  » Bartolomeo s'écarte, invitant la vestale à entrer dans le sanctuaire : « Mais je vous laisse en juger par vous-même. »

Malgré la proximité d'Arendil, le chevalier parle normalement. Bartolomeo à le sentiment que chuchoter lui donnerait des allures de suspect.

Modifié par un utilisateur samedi 18 février 2017 17:40:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

Affichant un visage d'innocent surpris, Bartolomeo fait face à la fureur de l'intendante. Il lui lâche un sourire canaille : « Sœur Melia, j'ai été rude avec vous, j'en conviens. Pas la peine pour autant d'en venir aux coups bas : brisons-là. Je n'ai rien contre vous en particulier. » Enfin, surtout maintenant : si vous me semblez un peu bête, vous paraissez heureusement plus obséquieuse que sournoise. « Convenez que vous nous avez accusé un peu vite d'un désordre dont vous n'aviez pas idée de la nature... Mais je ne demande pas réparation pour cela. Réglons donc notre situation dans le calme, voulez-vous ? Tout à l'heure, vous m'avez surpris, sœur Mélia. Et je m'interroge : y aurait-il eu récemment d'autres problèmes en ces lieux pour que vous réagissiez aussi promptement ? »

Puis Bartolomeo s'adresse aux deux prêtresses, l'intendante et la vestale : « Je n'avais pas idée que le sanctuaire vous était interdit à toutes. Voilà qui pose problème... Pardonnez-moi si je pense trop en militaire mais... comment faîtes-vous en cas de trouble au sanctuaire ? »

• Bartolomeo diplomatie : 1d20+10 donne [14] + 10 = 24
• Bartolomeo psychologie : 1d20+7+2 donne [14] + 7 + 2 = 23

Modifié par un utilisateur dimanche 19 février 2017 09:46:41(UTC)  | Raison: Un peu + d'enrobage pour Soeur Mélia :)

Le chevalier toise un instant l'elfe qui les observe... (Détection du mal sur Arendil. Je connais le résultat ) Ennemi ou ami, qui sait... Au moins ses intentions ne sont-elles pas maléfiques. Je n'aime pas ça mais il va falloir prendre le risque de dégoiser à portée de ses grandes oreilles...

« Va bene !  » Bartolomeo fait quelques pour se rapprocher des prêtresses (et par là même, d'Arendil). Puis le chevalier s'adresse à la vestale sur le ton de la confidence, espérant ne pas être entendu des importuns baguenaudant dans le cloître : «  Dame Lutisse, nous sommes venus quérir la sagesse de la Sophonte pour deux raisons... Une peste maligne sévit dans les campagnes de Bourg-Preux. Les prêtresses de la Déesse Douce sont impuissantes à guérir ce mal. Nombreux sont les malades aux portes de la mort et j'ai fait serment de tout faire pour leur porter secours. Il existe un espoir : il appert que certains rites de la Vieille Foi permettraient de se garder du mal. Mais nous ne savons pas où trouver des gens encore au fait de ces rites. Aussi nous espérions que la Sophonte pourrait nous guider dans nôtre quête. »

Bartolomeo marque une pause avant de se tourner vers sœur Mélia : « Quant à ce poupon... Je sais pertinemment qu'il sue le mal ; à dire le vrai, nous escomptions que la Sophonte nous éclaire sur sa nature. Mais je n'avais pas idée qu'il se passerait ce qui vient d'arriver ! Sœur Mélia, nous n'avons pas trouvé la Sophonte dans le sanctuaire : nous y avons été pris à parti par des abominations, des cadavres animés grimés en pèlerin. Un pour chacune des tombes des héros de la Listrelle. Faut-il y voir un présage ? Est-ce que l'enfançon est réellement responsable de leur présence impie ?... En tout cas, je jure sur l'honneur que ces choses attendaient notre venue et que, les voyant, l'enfançon en a eu grand peur... Comme vous ne pouvez entrer, peut-être qu'un témoin pourrait étayer notre bonne foi. À moins que vous ne vouliez que je traîne ici, à la vue de tous, un de ces cadavres pour vous le montrer... Qu'en dîtes-vous, voyageur ? »

« À présent, mes sœurs, voyageur... Je vous conjure de ne point ébruiter mes paroles. Il n'y aurait rien de bon à bavarder sur la peste : cela créerait la panique en ville et risquerait de répandre plus encore le mal. Quant à cette chose... Tant que nous n'en savons pas assez sur sa nature, il faut se garder d'agir impulsivement. Des maux terribles peuvent être engendrés par des expédients trop hâtifs... » Tout en parlant, Bartolomeo scrute les réactions des sœurs et de l’elfe.

Le jet en psychologie, c'est pour jauger les sentiments des prêtresses aux propos de Bartolomeo ; montrent-elles des signes de doute ou d'incrédulité ? Ont-elles l'air d'être du genre à être commères ?

Par rapport aux propos de Bartolomeo, faut-il un nouveau jet de diplomatie ?

• Bartolomeo psychologie : 1d20+7+2 donne [7] + 7 + 2 = 16

Modifié par un utilisateur vendredi 24 février 2017 13:23:55(UTC)  | Raison: oublié le coup du témoin :) / orthographe / message définitif