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9e jour du mois d'Érastus ? Quelque part ? Vers 17 heureses naufragés avaient dû faire plusieurs voyages pour ramener leurs trouvailles vers l'endroit de la plage où le reste du groupe les attendait. Sans dire un mot, Ishirou se mêla au convoi et fit lui-même quelques allers-retours sur les rochers acérés. Le vieux Tianais était plutôt robuste pour son âge. De temps en temps, on pouvait le surprendre à dévisager la demi-elfe alcoolique… mais il détournait systématiquement le regard quand celle-ci se tournait vers lui. Le gnome, quant à lui, était resté plongé dans son journal. Il avait toutefois posé des tonnes de question à ceux qui avaient fait le voyage jusqu'à l'épave : « Vous avez trouvé quoi ? », « Et le capitaine, vous avez des nouvelles ? », « Et cette espionne chélaxienne que je soupçonne être la maîtresse du capitaine, celle qui se fait passer pour une érudite, vous l'avez vue ? », « Ah… le cuisinier a été tué ? C'est quelque part le juste retour de situation, après ce qu'il nous a fait ingurgiter ! », … Il s'empressait de consigner régulièrement les réponses des uns et des autres dans son petit calepin. Finalement, la jeune rousse, elle, s'était rapidement excitée lors du retour des premiers membres partis vers l'épave, baragouinant quelque chose au sujet d'un dragon qui vivrait sur l'île et qui avait effrayé le perroquet, et l'idée qu'ils auraient peut-être tous à combattre cette créature de légende ! Après avoir récité la nouvelles de nombreuses fois, elle était allée s'asseoir sur une des caisses ramenées depuis le Jenivère, le menton appuyé sur la main, le regard perdu à l'horizon. Tantôt, elle soupirait, tantôt, elle se plaignait à haute voix qu'elle s'ennuyait, sans s'adresser à qui que ce soit en particulier. Visiblement, la fille pouvait s'exciter en un clin d'œil et retombait dans une sorte de mélancolie tout aussi rapidement.  Ephrem, affaibli par le poison et bien incapable de vraiment aider au transport, était allé s'installer près du prisonnier avec les nombreuses clefs et les quelques documents que les naufragés avaient récupérés à bord. Il s'était immédiatement mis à essayer les clefs une par une dans les satanées (infernales, plutôt ?) menottes qui retenaient l'homme prisonnier. Visiblement, le Garundais avait apprécié l'attention du jeune Mwangi. « Merci de… enfin, de prendre le temps de tenter de me libérer. » avait-il dit, même s'il était assez évident qu'Ephrem n'était pas en condition pour porter de lourdes charges. Ici aussi, la loin de la vexation universelle s'imposa… ce ne fut qu'au bout d'une bonne demi-heure qu'Ephrem tomba sur la bonne clef. L'avant-dernière du lot. Néanmoins, le prisonnier était désormais libre. Il se frotta les poignets en remerciant Ephrem d'un hochement de tête et d'un sourire.
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Depuis son retour sur la plage, sans une goutte d'alcool, Andrez était devenu silencieux. Ceux qui l'avaient approché pouvaient l'entendre se morfondre sur la disparition des réserves d'alcool ou à marmonner des choses sur des bouteilles et des buveurs perdus. C'était un triste jour pour l'alchimiste... Ce fût encore pire lorsqu'il vit ses mains trembler par le manque et sa vision se brouiller parfois. D'une voix tremblante, il demanda: « Est-ce que... Est-ce que quelqu'un aurait quelque chose à boire? Quelque chose de fort? Car... les choses autour de moi commence à tourner... Et avec ça, mes mains n'arrêtent pas de... trembler! »Message secret pour Dalvyn,mass :... Modifié par un modérateur lundi 10 janvier 2011 03:11:48(UTC)
| Raison: Non indiquée | "Just because one optimizes his characters mechanically doesn't mean that they cannot roleplay."
P16 Andrez Serfut, Alchimiste(Beastmorph) Humain 4
S47 Vitalius Kompass, Magicien (Devin) Humain 2
G34 Serena Samiel, Barde(Arcane healer) Aasimar(Musetouched) 4 |
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« "Merci! jeune homme" » dit le Garundias en se frottant les poignées qu'avait blessé légèrement les menottes. « "Je remercie ceux qui ont prit le temps de s'occuper de moi" » continua-t-il avec un sourire. « Si vous avez besoin d'aide , je pourrais vous aider, j'ai quelques connaissances en médecine et je peux aussi chasser si besoin. Et si les voix de Nethys me viennent en aide, je pourrais utiliser quelques sortilèges divins. » Il commença à aider à l'installation du camp. Sven quand à lui étala, sur le sable, les cartes qu'il avait trouvé dans la cabine du capitaine. Il regardait le soleil couchant, les premières étoiles qui commençaient à apparaitre dans le ciel. Une des cartes montrait la côte ouest du Garund avec des lignes indiquant le trajet du Jenivere, dans une deuxième carte on pouvait voir le plan de la baie du Désespoir, le trajet passait non loin d'une grande île, avec une note en dessous qui disait que cet endroit était extrêmement dangereux pour les navires. Sven tournait les choses dans tout les sens, il était presque sur qu'ils avaient fait naufrage sur cette île qui avait pour nom : La Lame des Contrebandiers. Ce nom avait surement été donné par la forme de l'île qui ressemblait à un crochet. « Cela donne quoi jeune marin? Vous savez où nous sommes, y a-t-il un cité digne de ce nom dans le coin, j'ai besoin de ma racheter des effets personnels, la cassette pleine d'or, que vous avez trouvé dans l'épave, pourra surement nous être utile » C'était le gnome qui se penchait sur l'épaule de Sven avec un large sourire, qui avait parlé.
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 Ellawa La druidesse vit le jour décliner et avec lui la nuit froide arriver. Il fallait s'occuper de préparer un camp pour ce soir et la place n'était pas forcement le meilleur endroit à découvert des vents... Ellawa se disant qu'à l'entrée de la jungle serait plus prudent dans un coin à couvert du vent avec une bonne visibilité si possible pour mieux se protéger des éventuels prédateurs. Un feu serait nécessaire pour effrayer les animaux les plus téméraires... « Il faudrait préparer un camp pour la nuit et rapidement si possible car il va vite faire froid. Ici celà risque d'être trop au vent il faudrait rentrer un peu dans la jungle pour se protéger et monter quelque chose.
Enfin je propose... »La jeune mwangi n'était pas très douée pour s'exprimer devant tant de monde et dire ce qu'elle pensait aussi décida t'elle de s'interrompre soudainement se sentant ridicule... Elle chercha dans ses habitudes et vis à vis de la disposition des lieux le meilleur abris possible pour tout ce monde. Serait-il pas trop difficile de faire un petit abris avec quelques branches et lianes couvertes de feuilles de palmiers pour couper du vent et de la pluie ? Elle regarda l'eau récolté par son récupérateur en feuille de palmier voir combien de personnes il pourrait rassasier. - Survie pour trouver un camp adapté aux besoins du groupe aux alentours : 1d20+9 donne [2] + 9 = 11
Modifié par un utilisateur lundi 10 janvier 2011 22:56:31(UTC)
| Raison: Non indiquée
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 Sven Alors qu'il était penché sur les cartes que le groupe avait ramené de l'épave du Jenivère, Sven fut assiégé par le gnome dont il ne connaissait toujours pas le nom. Son attitude ne plaisait pas au marin, il le trouvait pédant et trop dépendant des autres. Il se l'imagina avec ravissement face aux hordes de la reine Estrid essayant de négocier piteusement sa vie. La reine ne lui aurait sûrement pas accordé sa grâce. Mais là, il fallait faire bonne figure. Peut-être pourrait-il s'avérer utile pour le groupe un jour ou l'autre. Sven pensait que ce serait surtout l'autre mais on ne savait jamais. Prenant son plus grand sourire, le barbare lui répondit « D'après ce que j'ai pu voir, nous pourrions être sur une île nommée la Lame des Contrebandiers. La zone où nous nous trouvions lorsque le capitaine à pris son cap pour la dernière fois, nous étions dans une région indiquée comme dangereuse. il est fort possible que des pirates ou des contrebandiers nous aient fait échouer sciemment pour dévaliser le bateau. J'ai remarqué tout à l'heure que la corde accrochée au bastingage avait été attachée à une barque, comme si on avait voulu le haler, mais cela s'est mal terminé puisque le Jenivère a fini sa course contre la falaise. Il y avait aussi un morceau d'écu... Il devait sans doute appartenir à l'un des occupants de la barque... »Puis il replia les cartes et les rangea avec le journal sous son armure. Le marin, en tant que seul rescapé connu de l'équipage, se sentait responsable de ces restes. Il essaierai de les conserver pour les rendre au capitaine Havock. N'ayant pas découvert son corps, il y avait un espoir qu'il soit encore vivant quelque part. Au pire, s le groupe s'en sortait, il remettrait les documents à la capitainerie d'Eléder. Ses membres saurait les acheminer aux armateurs du navire à Magnimar. A ce moment, Ellawa émit l'idée de monter un campement à l'aide de ce que la nature pouvait leur fournir. Sven prit la parole. « Je ne suis pas habitué à cette région, loin s'en faut, mais nous avons ramené des toiles de voile. Il serait peut-être judicieux et plus simple de les utiliser pour nous protéger. Elles sont suffisamment grandes pour servir de toile de tente pour nous tous. Il nous suffira alors de trouver des branches d'arbres suffisamment résistantes et assez longues pour servir de piquets. Nous avons aussi ramené des outils de l'épave, ceux-ci nous permettrons de fixer les toiles au sol. »Ayant parlé, le géant du nord sortit sa hache et se dirigea vers l'orée de la forêt, cherchant des longues branches à couper pouvant servir de piquet. - Survie : 1d20+4 donne [10] + 4 = 14
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Comme Rectulo a des problèmes de connexion…Sébrysse réagit aux paroles de Sven et demanda de décrire le morceau d'écu qu'il avait trouvé. Le marin commença la description en indiquant que le bouclier était en bois et que le morceau retrouvé semblait être un des coins de l'écu, avec un motif… et Sébrysse compléta ses paroles en parlant d'un motif orangé en forme de spirale, ce à quoi le marin acquiesça. L'écu était sans aucun doute celui de Sébrysse. Quand le marin prononça le nom de l'île, le gnome la répéta pensivement puis il finit par dire « J'ai déjà entendu parler de cette île. Dans mon domaine, voyez-vous, il faut connaître tant de choses ! ». Il afficha un large sourire puis toussa et se racla la gorge avant d'ajouter « On dit que ses abords sont très dangereux et que de nombreux navires se sont naufragés dans les parages. » puis il retourna s'asseoir et se replongea dans son journal en jetant de temps en temps des regards curieux par-dessus le calepin. Modifié par un utilisateur mardi 11 janvier 2011 01:03:39(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Ellawa La mwangi chercha dans ses connaissances voir si elle avait entendu parler de ce lieu par le biais de son maître ou diverses rencontres avec les shamans ou locaux de l'Etendue Mwangi. - Connaissance Géographie : 1d20+5 donne [13] + 5 = 18
L'humaine à la peau sombre tenta de flâter le gnome pour voir s'il savait d'autres choses qu'il n'avait pas encore partagé au sujet de l'île : « Maître gnome savez rien d'autre sur cette île dans vos grandes connaissances ? »
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 Sébrys Lorsque Sébrys retourna sur la plage, la joie d'Ephrem contrastait avec la couleur de son visage. Il devait être épuisé par l'enpoisonnement. Par contre, il avait visiblement réussi à se défaire des menottes chéliaxiennes qui venaient s'entasser avec le reste du matériel. Elle constata qu'une clef trônait fièrement dans la serrure. Au moins, si cette femme devient dangereuse, pourrons nous l'entraver. Elle s'était approchée du Garundais, emmenant avec elle l'une des armures de cuir qu'ils avaient trouvée et la dague. « Te voila libre. Je t'ai apporté ceci pour que ta liberté s'accompagne de la dignité et d'une chance de survie. » L'entendant ajouter qu'il était un suivant de Nethys, elle lui indiqua. « Nous avons trouvé dans l'épave ce qui doit t'appartenir et les symboles de ton office. Je te suggère de les reprendre ainsi que les autres effets qui t'appartiennent. Pendant ce temps, je vais tâcher de m'occuper d'Ephrem. Il a été empoisonné et il est considérablement affaibli. Je suis arrivée trop tard pour empêcher le poison de se répandre. Peut-être pourras tu l'aider et prendre soin de lui à ton tour. »Elle attendit que le garundais s'éloigne en se concentrant pour permettre au pouvoir de guérison accordé par la déesse de transiter par sa main et en toucha doucement la blessure d'Ephrem qui fut immédiatement éclairée d'une lumière douce et chaude, faisant disparaître toute trace de la blessure et redonnant quelques couleurs à son jeune ami. « Quant à toi Ephrem, pendant que nous nous installerons, reposes toi et profites de ce moment. Il te reste le coffret que tu as trouvé à ouvrir. Tâche aussi de demander son nom à ton nouvel ami. »Sebrys convertit le sort sanctuaire en soins légers et soigne Ephrem.Sur la suggestion d'Ellawa et de Sven de monter un camp, elle accompagna le marin pour couper de longues branches et qui lui fit le récit de la destruction de son bouclier, étant particulièrement navrée de perdre l'un des signes de sa Foi. | Inévitable Lhaksharut du wiki |
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 Ephrem 5/5pv Il avait passé un bon moment à essayer toutes les clefs et enfin sa patience était récompensée, un petit clic significatif, un mécanisme qui se déplaçait et enfin l’homme devant lui reprenait sa liberté. Ephrem le regarda un instant sans rien dire histoire de lui laisser le plaisir de se sentir libre. Le jeune homme et ancien contrebandier se rappelait la sensation du vent qui avait frotté contre son visage envoyant ses cheveux en arrière, alors qu’il se mettait à courir pour échappé à ses ravisseurs, à ce moment il avait été heureux même si cela avait été pour une courte durée, et qu’il se serait fait rattrapé, il aurait au moins gouté à un air libre. C’est un peu ce que devait ressentir le Garundias, bien que libre ils étaient encore incertain de leur avenir ! « Ça fait du bien, hein ? Moi aussi j’ai ressenti cette sensation par le passé, mais pour d’autre raison !! » Il lui tendit la main. « Moi c’est Ephrem !! »Puis il désigna la paire de menottes qui avait maintenant une clef. « Ça vous embête si je les garde, j’voudrais les regarder d’un peu plus prêt, surtout le mécanisme !! »Puis la prêtresse c’était approché de lui en apportant une armure et une arme. « J’pense qu’on devrait rapidement se dispatcher tout ce matériel, que chacun reprenne ses affaires et refasse son sac ou autre, car si on devait partir précipitamment, on risquerait d’en oublier pas mal. Moi pour le moment j’vais prendre cette épée courte, ce coffre et les paires de clef, et si personne la veut, la belle armure de cuir la bas. »Devant les multitudes d’objets qui l’attirait, le naturel du jeune homme refaisait surface, il avait eu l’exemple d’un pacha et mentor qui avait l’habitude de se servir, et il reproduisait la même chose. Mais son geste fut vite arrêté par la prêtresse qui était également venu le féliciter et le soigner. Il ressentit une douce chaleur qui avait pénétré par sa blessure qui ressemblait à une piqure, son état de fatigue n’avait pas évolué, mais la sensation de douleur avait enfin disparut. « Merci Sebrys, oui tu as raison je vais m’occuper de se coffre ! »Ephrem prit le coffre, puis l’observa sous tous les angles avant de finir par le trou de la serrure. Il n’y avait pas eu de mécanisme anti-voleur sur le tiroir mais peut être que ce n’était pas la même chose sur ce coffret. Il sorti ses outils pour faire sa tentative, il savait que là, il avait le temps et que surtout il y avait encore une possibilité de trouver une clef parmi tous les trousseaux. - Perception : 1d20+6 donne [13] + 6 = 19
- Crochetage : 1d20+9 donne [1] + 9 = 10
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Dans l'immédiat, comme le marin Sven et la druidesse l'avaient indiqué, il était sans doute urgent de construire un abri avant que la nuit et l'obscurité ne tombent sur la plage. Ils avaient en effet de quoi dresser ce qui pourrait ressembler à une tente à l'aide des toiles et des outils. Cela n'offrirait aucune véritable protection contre les prédateurs mais, au moins, ils seraient à l'abri de la pluie et du vent… pour autant que celui-ci ne soit pas trop important. En s'y mettant à plusieurs, cet abri… certes temporaire… serait assez rapidement monté.  Le nom de l'île où les naufragés se trouvaient selon Sven avait rapidement fait le tour du petit campement. Les réactions variaient fortement de l'un à l'autre. Certains haussaient les épaules, comme pour dire que cette information leur faisait une belle jambe : après tout, à quoi leur servait de connaître le nom de l'île sur laquelle ils avaient échoués. D'autres semblaient plus pensifs. Le gnome réagit à la question de la druidesse en haussant les épaules. « Je sais que c'est un nom qu'on entend dans de nombreuses légendes où on parle de navires disparus et échoués… avec tout ce que ça entraîne comme légendes et superstitions. Rien qui pourrait nous aider à survivre, j'en ai bien peur. »Vous pouvez tenter un test de Connaissances (géographie), Connaissances (histoire) ou Connaissances (folklore local) ou encore Profession (marin) à +4. Un seul jet, et il faut que la compétence soit entraînée ; si vous n'avez de formation dans aucune de ces compétences, pas de test !Ephrem examina le coffre de bois qu'ils avaient trouvé dans le bureau du capitaine. Il n'était pas fermé à clef ; le couvercle était simplement retenu par une sorte de petit crochet qui s'enfonçait dans un anneau. Le Mwangi ouvrit facilement le coffre… il contenait plusieurs centaines de pièces d'or. 350 pièces d'or, pour être exact. Les soins de la prêtresse lui avaient fait du bien, mais l'affaiblissement causé par le poison faisait toujours effet toutefois. Deux bonnes heures plus tard, un campement précaire mais suffisant pour une première nuit sans doute était monté. Modifié par un utilisateur mardi 11 janvier 2011 13:20:04(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Sven 14/14 Alors qu'il était en train de finir de monter la tente de fortune qu'il avait commencé à monter avec l'aide de Sébrys, Sven fouilla rapidement sa mémoire pour essayer de se rappeler son dernier - et seul - voyage dans la région. Il essayait de se remémorer ce que ses anciens compagnons du Jenivère avaient pu lui apprendre sur les îles de la Baie du Désespoir et sur la Lame des Contrebandiers en particulier. - Connaissances Géographie : 1d20+6 donne [10] + 6 = 16
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Ephrem 5/5pv Ephrem avait eu beaucoup moins de mal à ouvrir le coffre celui-ci ne comportant qu’un petit crochet en guise de fermeture, il pu contempler la grosse somme d’argent qui s’y trouvait. « Eh les gars regardez ce que j’ai trouvé, bon d’accord ici, ça nous sert à rien!
Mais quand même c’est une somme, je viens de les compter il y a 350 pièces d’or. Bon j’vais les garder ! »Il avait les yeux qui brillaient après cette remarque, Ephrem dans sa courte carrière de contrebandier avait vu des sommes et des coffres remplir de pièces, de pierres précieuses ou autres, mais il n’avait jamais eu le loisir de les considérer à lui, mais si on lui demandait toujours à lui de les compter voir de les recompter. Là c’était un peu pareil, à part qu’il se donnait la responsabilité de les garder. Presque tout le monde avait aidé pour la mise en place du campement, et maintenant tout le monde se penchait sur les cartes. A ce moment précis il regretta de ne pas avoir voulu s’intéresser plus à la lecture de carte, et ce n’était pas faute que son pacha lui demande ou lui fasse cette remarque, mais il avait à chaque fois mieux à faire. Et là malheureusement il ne pouvait être d’aucune aide ! Il prit donc l’initiative de prendre chaque objet qu’ils avaient ramené et de les disposer sur le sol aligné. Puis il réitéra sa proposition de se repartir les affaires. « Bon moi il y a ça et ça qui m’irait bien ! »Il avait désigné l’épée courte et la belle armure.
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Ellawa Ellawa profita qu'il était question de leur avenir immédiat pour parler de quelque chose qui lui tennait à coeur et qu'elle souhaiter réaliser dès que possible. « J'aurais d'ailleurs une requette tant qu'il est question de ce que l'on veut et de ce que l'on va faire. J'aurais besoin d'une journée pour réaliser quelque chose d'assez personnel mais qui pourrait servir à tous.
En tant que druidesse je suis liée à la Nature comme elle est liée à moi-même... Enfin heu... J'avais un compagnon animal avec lequel j'ai partagée tant de choses et il me manque depuis que j'ai dûe m'en séparer pour affronter la civilisation et ce bâteau...
J'aimerais rappeler à moi un animal. Il pourra me défendre et nous défendre donc. Ainsi que mettre ses compétences à notre service pour nous aider.
Mais c'est une journée entière de communion avec la Nature pendant laquelle je ne dois pas être dérangée ou interrompue... »
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Jask car c'est ainsi que s'appelait le vieux garundais, Jask Derindi regarda à son tour les objets qu'Ephrem avait mis sur le sable, il avait d'abord remercié Sebrys de lui avoir rendu son symbole de Nethys, maintenant, il désigna les objet trouvaient dans l'armoire de la cabine du capitaine, une armure de cuir, une dague finement ouvragée, les deux potions et le sac de composante. « "Ceux-ci sont mes affaires, les potions permettent de soigner je les avais préparé avant de me faire capturer . »La nuit allait être agréable d'un point de vue température, le ciel était totalement dégagé et il commençait à faire sombre. Cela aurait été paradisiaque, si ce n'était leur situation précaire et les moustiques qui commençaient à les attaquer. Sven quand à lui réfléchissait à ce qu'il savait sur cette ile. Il en avait déjà entendu parlé, cette île était assez fameuse parmi les marins, même si elle n'était pas très représentait dans les cartes de la baie du désespoir. Plusieurs rumeurs couraient sur cette île, les superstitieux marins disaient qu'elle était hanté par des fantômes et des goules des anciens marins qui étaient morts dans des naufrages du à la dangerosité des côtes, d'ailleurs à cause de ses revenants, personne n'avait réussit à coloniser l'île. L'homme avait aussi entendu parler de l'ile, un soir dans une taverne d'Eleder, des ingénieurs du Chéliax aurait construit un phare sur l'ile, au début de la colonisation du Sargava, c'était un vieux colon à moitié saoul et qui voulait se faire payer un ou deux verres qui en avait parlé aux marins du Jenivere en escale. Il disait que le phare était la première phase de colonisation de l'île, mais celle-ci avait été abandonné à cause de chose étrange se passant sur l'île qui était habité par des fantômes, cannibales et était soi dit en passant maudite.
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 Eldea 7/7 Eldea était restée assez distante depuis le retour du groupe. Elle avait écouté les réponses qu'on avait donné au gnome et semblait échafauder tous les scénarios possibles sur ce qui avait pu se passer. Lorsque Ephrem commença a s'intéresser aux marchandises qu'ils avaient ramenées, l'elfe balaya du regard le tas d'objets hétéroclites avant de prendre la parole. « Il n'y a rien qui pourrait m'être utile là dedans. Dommage que vous n'ayez pu retrouver mon arc. »Elle raconta ensuite sa pitoyable tentative d'exploration avec Sasha, comment la végétation rendait l'exploration difficile et comment elles avaient du faire demi-tour lorsque Elvand le perroquet avait manqué de se faire manger par un prédateur aérien qui pourrait bien être une sorte de dragon. - Connaissance histoire : 1d20+8 donne [11] + 8 = 19
Modifié par un utilisateur mercredi 12 janvier 2011 15:33:44(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Eldéa ne put malheureusement rien ajouter à ce que Sven avait dit au sujet de l'île. Elle avait entendu les mêmes rumeurs que lui et se contenta de hocher la tête de temps en temps pour appuyer les dires du marin. Une fois le campement de fortune construit, Sven s'intéressa à nouveau au journal de bord qui avait été trouvé dans le bureau du capitaine, profitant des dernières lumières d'un jour qui glissait lentement vers l'obscurité. Le journal mêlait coordonnées géographiques, repères de directions et autres annotations techniques à quelques commentaires plus textuels reprenant les événements principaux qui s'étaient déroulés à bord. Ainsi y trouvait-on par exemple mention des divers passagers qui étaient montés et descendus de bord, ainsi que de l'altercation entre la demi-elfe et le marin surnommé "Le Putois". Après quelques minutes de lecture, il devint évident que certains des commentaires textuels devenaient de plus en plus étranges. Plus le voyage progressait et plus le style du capitaine était décousu et ses notes étaient incomplètes. Tout était relativement correct et plutôt banal (pour autant que le lecteurs puissent en juger) jusqu'aux deux-tiers du voyage puis on trouvait parfois des trous de plusieurs jours sans aucune indication, et des textes qui ne semblaient rien avoir à voir avec la navigation. Ces étranges passages consistaient en quelques lignes qu'on aurait pu décrire comme de la très mauvaise poésie d'amour. Certains étaient formés de vers douteux qui vantaient la beauté et l'intelligence de Iéana, l'érudite varisienne montée à bord à Magnimar. Au fil des passages, il devenait de plus en plus clair que le capitaine était non seulement tombé éperdument amoureux de la Varisienne mais, qu'en fait, il était complètement obsédée par elle. Plusieurs fois, il jurait dans ses "poèmes" qu'elle serait sienne tôt ou tard, qu'il la comblerait et qu'elle n'aurait plus d'yeux que pour lui. Certains passages dépeignaient la beauté et l'intellect de Iéana ; d'autres parlaient des grands projets d'amour et de longue vie que le capitaine nourrissait à son égard. D'autres encore s'étendaient sur la tristesse mièvre qui inondait le capitaine chaque fois qu'il avait l'impression de ne pas être à la hauteur de sa bien aimée, de ne pas savoir comment la combler. Au fil des pages, les textes de cette dernière catégorie prenaient une tournure de plus en plus sombre et l'auteur semblait reprocher à certains membres de l'équipage de trop regarder "sa" Iéana, de toujours tout faire pour être trop près d'elle, de vouloir lui dérober son être aimé. Un texte en particulier précise qu'il est certain qu'Anton, son second, veut à tout prix prendre Iéana pour lui ; il décrit ensuite "ô combien son cœur pleure d'amour et se désespère" et comme il lui serait heureux que le second "ait un accident malheureux". Le tout dernier passage était peut-être le plus interpelant de tous. Le capitaine y indiquait comment il avait modifié le cap du Jenivère pour envoyer le navire vers la Lame des Contrebandiers. Il s'étendait sur le fait qu'il avait bon espoir que cela plairait à la Varisienne et que, ensemble, ils pourraient se construire une maison sur l'île isolée et y couler des jours paisibles. Il s'inquiète un peu du fait que les autres membres de l'équipage pourrait s'en apercevoir et intervenir dans ses plans ; il indique qu'il faudra sans doute "s'occuper de ce problème d'une manière ou d'une autre" et ô combien Iéana est formidable et mérite tout cela.
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« "Ha!! vous voyez que j'avais raison!! le capitaine et la Varisienne, il était ensemble, à sa pour faire les marioles et dénigrer le brave Gélik, il y a toujours du monde, mais là il a raison et plus personne fait le fier." » Il se tenait debout fièrement comme s'il avait remporté une grande bataille. La demi-elfe revint elle ne semblait plus nerveuse et titubait légèrement. Elle s'assit au bord du feu elle avait les pupilles dilatées et un léger sourire aux lèvres. Elle ne dit pas un mot. Modifié par un modérateur jeudi 13 janvier 2011 20:52:06(UTC)
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Andrez, en voyant la demi-elfe revenir en zigzaguant, soupira. Il demanda quand même:
« Vous n'avez pas bu tout la bouteille à vous seule? »
| "Just because one optimizes his characters mechanically doesn't mean that they cannot roleplay."
P16 Andrez Serfut, Alchimiste(Beastmorph) Humain 4
S47 Vitalius Kompass, Magicien (Devin) Humain 2
G34 Serena Samiel, Barde(Arcane healer) Aasimar(Musetouched) 4 |
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Rang : Habitué
Inscrit le : 21/06/2010(UTC)
Messages : 6,105
Localisation : Codognan(30)
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Ephrem 5/5pv Ephrem était fier de lui, personne n’avait contesté les objets qui paraissaient bien lui convenir. Il essaya et enfila l’armure de cuir finement ouvragé, et fit quelques mouvements pour tester la maniabilité de l’épée coutre. Celle-ci paraissait avoir été forgée par un maitre artisan et avait un équilibre proche du parfait. Il la glissa à sa ceinture, à l’emplacement qu’avait eu sa précédente épée. Le récit de Sven avait été très intéressant, bien que trop jeune pour en tirer des conclusions, il y avait plusieurs questions qui se bousculaient dans son esprit. « Mais le capitaine on l’a pas vu sur l’épave, ce serait cette femme qui l’aurait envouté pour venir ici ? Monsieur Sven y l’y a rien d’autre d'écris ??
»« Bon j’crois qu’on va être obligé de passer pas mal de temps ici, on fait quoi demain on attend la dame pour qu’elle appelle sa bête ??
Monsieur Sven, vous pensez pas qu’faire un radeau pour faire le tour de l’île serait pas une bonne idée, on pourrait faire ça demain ???
Et pour la nuit faut p’t’être qu’on fasse des tours de garde non ?? »Le jeune Ephrem, venait de s’épuiser à enfiler l’armure et faire les quelques passe d’armes avec sa nouvelle épée, il s’était rassit plus vite qu’il n’aurait voulut. Il attendait patiemment la nuit qu’il puisse enfin se reposer et espérer reprendre des forces !
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Rang : Habitué
Inscrit le : 12/08/2010(UTC)
Messages : 869
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Eldea 7/7 Après avoir écouté la lecture soigneuse du dernier membre d'équipage, Eldea avait mis en place dans sa tête les différentes pièces du puzzle. Elle pris alors la parole. « Bien je crois que nous savons désormais qui nous a empoisonné et pourquoi. Je pense que nous savons également qui nous a sauvé, vu que vous avez trouver son corps sur l'épave. Et enfin nous avons la confirmation de l'endroit où nous sommes. Nombre de question ont trouvé leur réponse. Par contre nous ne savons pas ce qu'il est advenu du capitaine et de l'amour de sa vie, ni ce qui a pu ainsi tourner l'esprit du capitaine. Une telle obsession ne me parait pas très naturelle, je pense que quelqu'un ou quelque chose exerce une influence sur l'esprit du capitaine. »- Psychologie pour déterminer une éventuelle emprise mentale sur le capitaine : 1d20+2 donne [2] + 2 = 4
Modifié par un utilisateur vendredi 14 janvier 2011 10:32:15(UTC)
| Raison: Non indiquée
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