Ellawa tenta de frapper la créature avant de reculer pour forcer la créature à attaquer.

« Simurgh attaque ! »

Alors que Sven concentrait ses attaques (sans grand succès) sur le plus imposant des hommes-champignons, la troisième créature continuait de s'en prendre à Ellawa.



L'homme-champignon et la druidesse échangèrent quelques tentatives d'attaque, mais sans aucun succès. Seul Simurgh parvint à arracher un petit bout de matière fongique à la créature, ce qui ne sembla pas vraiment la gêner plus que ça…

Modifié par un utilisateur mardi 20 mars 2012 14:51:26(UTC)  | Raison: Non indiquée

Sébrysse était déçue. Les hommes champignons n'avait pas eu l'air de souffrir des coups portés par ses compagnons, ni même par le feu sacré de Sarenrae. En tenant son cimeterre fermement, elle tenta de couper le chapeau de celui des hommes champignons le plus proche d'elle.

« Courage ! Nous allons y arriver. »

• attaque : 1d20+1 donne [9] + 1 = 10
• dégâts éventuels : 1d6+1 donne [1] + 1 = 2

Modifié par un utilisateur samedi 24 mars 2012 18:11:25(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les coups pleuvaient d’un peu partout, mais sans grand succès, le combat durait et cela n’avait rien de bon ! Il se décala pour être à nouveau derrière son adversaire, puis respira longuement avant de viser une partie qui aurait pu être fatal pour un humanoïde !!


Je n'arrive plus à imaginer la scène, et savoir qui est au corps à corps, mais je tente la tenaille avec Sven.

Modifié par un utilisateur vendredi 23 mars 2012 13:01:15(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le gros champignon bipède avait réussi à échapper à la colère de l'Ulfe. Mais profitant de la position d'Ephrem, Sven leva une nouvelle fois sa hache au dessus de sa tête et la fit retomber de toutes ses forces sur son adversaire.



Rage : Rd 5/6 ; Attaque en puissance

Finalement, la chance commençait à tourner : d'un puissant coup de hache, Sven découpa le plus imposant des hommes-champignons en deux. Les morceaux de matière fongique tombèrent sur le sol puis cessèrent enfin de bouger. Ellawa elle aussi parvint à venir à bout de l'homme-champignon qui s'en prenait à elle et ce, juste après avoir esquivé sa dernière attaque.

Modifié par un utilisateur samedi 24 mars 2012 13:36:59(UTC)  | Raison: Non indiquée

Andrez, voyant le champignon devenu inerte, se dirigea vers le dernier ennemi encore debout.
« Je n'ai même pas encore réussis à écraser le moindre crâne... Enfin, si ces créatures ont un crâne! »

Puis, il frappa de toutes ses forces sur l'homme-champignon.

Je me déplace vers l'homme-champignon et je l'attaque si c'est possible.

• Attaque : 1d20+2 donne [11] + 2 = 13
• Dégât éventuel : 1d8+3 donne [5] + 3 = 8

Deux des ennemis avaient été éliminés… les dernières attaques fusèrent et se concentrèrent donc sur le dernier homme-champignon. Le "visage" de ce dernier restait impassible, comme si la mort de ses deux compagnons et son propre péril proche ne l'échaudaient guère. Ou peut-être était-il tout simplement dénué de la capacité de ressentir quoi que ce soit.

Quelle qu'en soit la raison, c'est sans vraiment broncher qu'il s'effondra à son tour quand Éphrem lui enfonça sa lame à travers le cou puis sépara sa tête du reste de son corps.

Le silence retomba pendant quelques instants sur le pont du navire envahi par les excroissances fongiques, brisé seulement par les respirations rapides et profondes des combattants qui reprenaient leur souffle après ce long combat. Ils observèrent les environs à la recherche d'autres menaces éventuelles, mais n'en aperçurent aucune. Malgré tout, le réseau dense que formaient les branches et autres lianes en matière fongique créait un abri sombre, inquiétant voire même oppressant, dans lequel des adversaires habitués à ce type de végétation auraient pu facilement avancer à couvert…

Ephrem comme par réflexe, regarda sa lame, et la porta à son nez comme pour humer et sentir l’odeur que dégageait cette race peu commune. Il eut un frisson dans le dos quand le parfum pénétra dans ses narines.

Mais déjà la forestière reprenait l’observation, elle avait raison, il ne fallait pas trainer ici.

Il se tourna vers la sorcière. « Merci Eldéa, mais je ne savais pas que tu pouvais soigner !! »

Encore la lame à la main, il reprit la descente comme il avait déjà tenté de le faire avant de surprendre les trois formes. La faible lumière de la pierre, l’aida à positionner ses membres pour la descente, mais elle fut très lente car à chaque mouvement il s’arrêtait pour écouter ou voir si une autres des ces formes pouvait encore venir retarder leur fouille.

Les explorateurs descendirent à nouveau dans la cale en se servant des sortes de grosses branches incurvées qui, tels des tentacules, semblaient jaillir des profondeurs de l'épave pour se répandre partout sur l'île. Cette fois-ci, ils eurent le temps d'allumer une des torches fabriquées à partir d'un bout de toile du Jenivère et d'observer les environs.

L'intérieur de l'épave était entièrement recouvert des mêmes moisissures qu'à l'extérieur mais, malgré cette étrange couche fongique, on pouvait encore reconnaître quelques meubles grâce à leur relief : ici, une table entourée d'espèces de tabourets, là-bas une ouverture qui avait pu contenir une porte auparavant, plus loin, des escaliers…

À l'une des extrémités de la cale, les explorateurs découvrirent une scène des plus horribles. Il y avait là les restes squelettiques d'une petite vingtaine d'individus qui se trouvaient comme adossés aux parois. Chaque groupe d'os était recouvert par une couche de moisissures. Devant chaque dépouille, on avait déposé ce qui ressemblait à un petit tas d'objets commémoratifs : des dents, des pièces rouillées, des morceaux de bijoux, un vieux couteau rouillé, un morceau de tissu déchiré et divers autres objets trop nombreux à repérer au premier coup d'œil… Connaissances/Nature possible !

À l'autre extrémité de la cale se trouvait une sorte de cabine séparée du reste par un court couloir et dont la porte était restée fermée. Il fallut toute la force de l'ex-marin pour forcer l'huis et dégager l'accès. L'endroit était sans doute la cabine du capitaine de ce navire, vu la disposition des lieux qui indiquait qu'en un autre temps, la salle était relativement confortable. Tout y paraissait uniforme sous la couche de moisissures fongiques qui avait envahi toute l'épave.