lzékiel fendit le vent lorsqu'il tenta de blesser le nécromancien, mais il fut soulager de voir que ce dernier ne se dédoublait plus. Il avait désormais face à lui un homme dont aucune image ne venait gêner les sens de ses adversaires. L'autre bandit subit le rayon vert dirigé à son encontre. Ses vêtements furent instantanément rongés au point d'impact et l'homme avait désormais beaucoup de mal à marcher. Vraisemblablement pris de nausée, il porta un regard sur Rokhar et comprit qu'il devait poursuivre le combat. Il s'avança vers Elzékiel et jeta ses dernières forces dans la bataille. Mais celles-ci lui manquaient, et à peine avait-il fait un pas qu'il déglutit, vomit puis s'affala sans vie aux pieds d'Elzékiel.

Rokhar soupira et secoua la tête. Il serrait les dents et regardait avec haine ceux qui venaient ainsi déranger ses plans. Il se baissa, toucha les corps de deux bandits allongés à ses pieds, puis partit vers l'autre côté du porche. Se préoccupant peu des attaques d'Elzékiel, il enjamba le bandit qui venait de s'effondrer, sans lui porter plus d'attention, puis se posta derrière le dernier malandrin valide encore debout. Là, il toucha à nouveau deux des corps sans vie de ses sbires, saisit un parchemin à sa ceinture et commença à en faire la lecture. L'incantation finie, le parchemin se consuma de lui-même, disparaissant de la main du nécromancien, puis plus rien.





Note : je n'ai pas expliqué d'où venait Rokhar car il était invisible. Je le précise car je ne suis pas sûr que c'était clair.

• attaque Billy sur Elzékiel : 1d20+3 donne [2] + 3 = 5
• attaque Edwin sur Elzékiel : 1d20+3 donne [11] + 3 = 14
• test de NLS : 1d20+3+1 donne [11] + 3 + 1 = 15
• Art de la magie Elzékiel : 1d20+7 donne [18] + 7 = 25

Modifié par un utilisateur lundi 2 septembre 2013 11:34:08(UTC)  | Raison: Non indiquée

Suivant le conseil du jeune guerrier, Delwin battit en retraite vers la maison. Le serviteur d'Abadar commençait à fatiguer à force d'éviter les attaques des deux bandits malades, il risquait de recevoir un mauvais coup à tout moment ! Surtout que ses lunettes abimées ne lui facilitait pas la tâche, il faudra qu'il les répare avant qu'elles tombent de son nez.

Le vieux prêtre s'élança donc vers le chalet, frôlant dangereusement un des brigands.

Action de retraite en Q7 (AO d'Edwin)

Aergnaeroka, qui venait de sortir du chalet par l'une de ses fenêtres, vit que ses camarades étaient tous en train de se replier dans celui ci, laissant les alentours de celui ci au nécromancien et à ses créatures.

Poussant un soupir elle repartit en arrière et franchit dans l'autre sens la fenêtre par laquelle elle était sorti...

Le paladin ressentit sa vitalité revenir en lui grâce à la sorcière. « Merci Abigail ! » lui lança-t-il rapidement avec ce qu'il lui restait de mieux comme sourire. Puis, il frappa à nouveau de sa position délicate et acheva un des bandits malades. Enfin, il effectua une sorte de roulade pitoyable sur le sol afin de se positionner plus en arrière dans le chalet, à l'endroit où le groupe pourrait combattre à trois contre un. Il tenterait de se redresser plus tard. « Ici nous serons au mieux pour nous défendre ! »

• Attaque au sol sur Andy : 1d20+4-4 donne [18] + 4 - 4 = 18
• Dégâts sur Andy : 2d6+3 donne [10] + 3 = 13

Déplacement au sol (demi vitesse) en P6.

BM privée.

Modifié par un utilisateur lundi 2 septembre 2013 19:13:09(UTC)  | Raison: Non indiquée

Aergnaeroka, ne voyant rien venir en direction de la fenêtre et entendant l'ordre du nécromancien de s'attaquer à la porte, jugea qu'elle pouvait quitter les abords de la fenêtre sans danger pour retourner vers le centre de la pièce d'où elle pourrait surveiller nombres d'issues. « L'étage devrait être plus aisé à défendre, mais il faudrait nous assurer que Dame Argentea ne se trouve pas à celui ci.

Sire Dalwin, ou Dame Abigail, serait il possible d'abuser de votre patience et de vous demander de voir ce qu'il se cache derrière les portes encore closes? Sire Dalwin, est il de votre connaissance les armes les plus à même de blesser les morts relevés? »


note : poutre et porte ne sont pas visible d'Aergnaeroka au début de son action, il me parait guère vraisemblable qu'elle se précipite vers l'une pour barrer l'autre.

a lourde poutre fut difficilement arrachée au sol par Delwin. Il l'encastra dans les encoches appropriées, manquant tomber en arrière.

Modifié par un utilisateur mardi 3 septembre 2013 22:46:04(UTC)  | Raison: Non indiquée

bigail, sans se soucier des directives qui lui étaient adressées, passa outre la cheminée. Elle découvrit la pièce à vivre du chalet, laquelle avait été investie par la majeure partie des bandits en tant que chambre également. Nombre de matelas étaient alignés le long de l'âtre, et la table à manger était encore encombrées des derniers mets dont les malandrins s'étaient nourris. Au Nord, Abigail remarqua que la pièce qu'Aergnaeroka avait fouillée du regard il y a peu était ouverte, et que le coffre de celle-ci été ouvert. Utilisée à la hâte, une trousse de premiers secours gisait sur le sol, du linge blanc imbibé de sang l'accompagnant. Au Sud, une porte ouverte donnait sur une autre pièce, laquelle était une chambre, en témoignaient les deux lits visibles depuis la position de la jadwiga. A l'Est, la double porte était grande ouverte.



« Soit la demi-orque s'est faite la malle, soit elle s'est soignée et se cache encore ici : soyez sur vos gardes ! »

rrivé en haut des marches, Elzékiel déboucha dans une salle propre et organisée. Une table en forme de L occupait le centre de la pièce, et de nombreuses chaises prenaient presque la totalité de la surface au sol restante. A sa droite le jeune homme découvrit une plus petite table sur laquelle reposaient quelques verres ainsi qu'un pichet d'eau. Quatre fenêtres perçaient les murs, offrant une vue qui, s'il n'y avait eu cette neige tombante, aurait été des plus sympathiques. Dans le coin Sud-Ouest, une grande carte était accrochée au mur, représentant sans aucun doute le Bois Frontière. Quelques annotations y étaient apposées dessus. Dans le coin opposé, Elzékiel s'aperçut qu'une nouvelle porte dissimulait une autre salle.

En bas, les héros de Heldren purent entendre Rokhar aboyer de nouveaux ordres :



« Toi, suis Edwin et attaque nos ennemis. Toi, suis Azrihan et fais de même. Suivez moi vous deux. Rentre par cette fenêtre Edwin, et toi par celle de derrière ; on va leur faire leur fête à ces lopettes ! »


Le bruit de corps heurtant et escaladant le bois se fit entendre : certains bandits étaient rentrés.

e sachant que faire, Aergnaeroka attendait un signe. Elle vit Delwin lui passer devant, armé de son arbalète. Le hobbit se dirigeait vers l'escalier et espérait vraisemblablement suivre Elzékiel. Un bandit apparut à la fenêtre par laquelle l'elfe était rentrée. Il enjamba celle-ci et se trouva nez à nez avec le prêtre d'Abadar. On pouvait distinguer, derrière lui, une silhouette à la démarche lente et maladroite. Le regard hagard de la créature était tellement différent de celui de l'homme qui autrefois avait ce corps, et ce changement avait eu lieu en quelques secondes. La magie pouvait être une arme terrible.




Note 1 : je ne sais pas pourquoi Mordicus ne joue pas donc je considère qu'Aergnaeroka retarde son action. Elle peut jouer à tout moment.
Note 2 : Delwin devait être sur la même case qu'Elzékiel pour faire son action précédente, et une case d'escalier est un terrain difficile. J'ai considéré qu'il ne s'arrêtait pas devant la fenêtre ouverte par précaution.

La montée des escaliers allait être plus problématique que prévue, les adversaires s'étant déjà introduits dans le chalet. Ortog voulut se porter à l'aide du prêtre, une fois de plus mal entouré, mais le bas des escaliers était surencombré. Il appela le guerrier mage en renfort : « Elzekiel ! Tu es monté trop vite, l'affrontement va avoir lieu en bas ! »

Puis le paladin se plaça devant la porte fermée et prépara son attaque sur le premier adversaire à porté du courroux de Iomedae.



Pas de déplacement en Q7.

BM privée.

Modifié par un modérateur vendredi 6 septembre 2013 19:47:21(UTC)  | Raison: Non indiquée