Sinûk pénétre dans la taverne et balai la salle d'un regard distrait à la recherche d'un tête connue. Il est vétu de son classique Akama noir et d'un haut de kimono blanc qu'il porte seulement sur l'épaule droite, laissant son bras gauche ainsi qu'une partie de son torse à l'air libre. Il ne comprend pas pourquoi les gens trouve ça ridicule. Après tout, c'est plus pratique pour tirer à l'arc. Où etait le problème? Il est chaussé de simple sandale et a attaché ses long cheveux attaché sur le coté droit de sa tête.
N'ayant pas vraiment la mémoire des visages, il ne fait pas attention à Ameiko qu'il a pourtant déjà vu plusieurs foi auparavant. Cependant, il remarque immédiatement Saya grâce à son apparence inhabituelle. Sans plus de manière, il s'installe à table à coté de la femme corbeau.

Dis donc, ça à l'air de discuter d'affaire sérieuse, ici. Vous préparez quelque chose?

Sinuk écoute la proposition de la tengu, semble réfléchir pendant un instant et opine du chef et répond d'un simple:
d'accord.
Après tout, il ne peut pas vraiment refuser une proposition de partir au combat.
Je manque d'expérience réelle, ça pourrait être une excellente occasion de tester mes compétences
Esperons que ces gobelins soit de bon combattant, l'expérience en sera plus instructive..
Regardant le reste de la tablée, il reconnait Inari la serveuse, mais découvre également deux visages inconnu, l'un aux cheveux brun et l'autre aux cheveux blancs. Il s'adresse à Saya sans détourner le visages des deux inconnus.
"Heu, Saya... Qui sont ses gens? Je ne me souviens pas les avoir déjà vu"

Le varisien affiche un sourire franc:
« Rien qu'avec cette tablée, j'ai l'impression de déjà voir du pays! »

Il se présente brièvement auprès du nouvel arrivant avant de prendre la pleine mesure des paroles de la serveuse:

« Attendez une minute... Tu nous accompagnes, Inari?
Je veux dire... rien ne me ferais plus plaisir mais, tu es sûre de toi? »

« Je ne pense pas que la forêt représente un réel défi pour notre "Compagnie de l'Orient". » dit Gabrihen en lançant un regard de coin à Sinuk et à Saya.
« Cependant, pour les marais, ça risque d'être une autre paire de manches. »

Il se lève, repu:
« Je suis ravi d'avoir trouvé des compagnons de route aussi rapidement. J'espère qu'il s'agit là du début d'une longue et prospère amitié!
Il faut que j'aille me préparer et... »
Indiquant d'un signe de tête les étranges tenues orientales portées par ses interlocuteurs: « ... je ne pense pas être le seul!
Vos vêtements sont beaux et raffinés, aussi serait-il dommage de les crotter dans les marais boueux de la Varisie!

Je vous propose de nous retrouver dans une heure au pont sud du village qui est au bout de la ruelle. Ce sera un bon point de départ je pense! »

Avant de quitter la taverne, il se rend au comptoir pour remercier Ameiko de ce repas délicieux, comme d'habitude, et payer son repas.



Je paie donc un repas 3 Pa et rentre prendre tout mon équipement. Je vais voir s'il me faut faire des achats. Je le signalerais au cas où.
Ci-dessous le plan de Pointesable qu'on peut retrouver dans les aides de jeux du Pathfinder-Fr, un peu plus annoté que celui du Wiki - je l'ai ajouté au MiniWiki par ailleurs

Modifié par un utilisateur mardi 9 avril 2013 22:01:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

«  Dans une heure? J'y serais  »
En passant près d'Ameiko, il se retourne «  je sais que tu n'aimes pas ça, ma soeur, mais je dois regagner l'honneur des Shige »
Kitano pars alors, plus posé, vers sa chambre, chez les kaijitsu.


Il s'agenouille devant l'armure ancestrale, sur son reposoir. «  Ancêtres, accordez-moi votre bénédictions, que je venge l'honneur de notre clan, que je lave son nom de la honte qui le suis depuis ce jours »
Il prend sa propre armure, plus modeste, l'enfile lentement. Il est beaucoup plus calme que quelques minutes auparavant, plus résolu.

Il calligraphie quelques mots sur un parchemin
«  temps du renouveau
fleurs de cerisier dans le vent
grands changements »


Il repart sans se retourner, les deux sabres au côté, un sac simple sur le dos, vers le pont sud.

Modifié par un utilisateur mardi 9 avril 2013 23:32:32(UTC)  | Raison: Non indiquée

"Au point sud dans une heure? Ca me laisse pas mal de temps devant moi."
Sur ces mots, Sinûk fait signe à Ameiko et commande un plat copieux. Après avoir passer commande, il répond à Saya:
[color=indigo"]Tu sais, je ne pense pas avoir besoin de grand chose. J'ai mon arc et mes flèches, c'est tout ce qui est nécéssaire. Et je n'ai pas non plus besoin de me changer. Cette tenue est pratique, elle ne gêne pas mes mouvements."[/color]
Sinûk fait signe aux autre membre de la "Compagnie de l'Orient", comme l'a appelé cet homme (comment s'appelle-t-il déjà, Gabrien?), lorsque il sorte de la taverne, et profite de son repas, tout en s'efforçant mentalement de retenir leur nom et leur visage.

Après cet effort intellectuel, Sinûk quitte la taverne et se rend directement au point de rendez-vous.
PAYE 3 PA LE REPAS ET SE REND AU POINT DE RENDEZ VOUS.

Les cinq aventuriers en herbe se retrouvèrent donc à la pointe sud de la petit ville de Pointesable. Ils avaient fier allure, et le vent qui agitait leurs capes semblait un bon présage.

Le seul problème, c'est que la route du Sud étant plutôt fréquentée, ils n'eurent pas le moindre problème en chemin. Rien qui vaille la peine d'être relaté dans la future chronique de leurs exploits, en tout cas. En revanche, ils purent apprécier le paysage de Varisie. La route était bonne, et le temps agréable. Ils longèrent sur une paire de kilomètres les contreforts du Plateau du Diable de sinistre réputation. Ils connurent un instant de frayeur en apercevant au loin la silhouette d'un dragon volant vers le large.

Ils traversèrent la rivière qui descendait du Mont Cendreux, et passèrent à travers les Landes cendreuses, dont l'herbe grisâtre et rongée par le sel marin expliquait le nom. Alors qu'il contournait un crête, ils virent une silhouette se découper en haut, qui les salua de la main. Ils étaient hors de portée de voix, mais ceux qui la connaissait reconnurent la rôdeuse elfe Shalelu Andosana , aussi surnommée la Sentinelle de Pointesable.

Quoiqu'il en soit, ils arrivèrent au marais à la tombée de la nuit, après environ quatre heures de marche. Les Marais des souches marines avaient une apparence particulièrement sinistre à la tombée du jour. Deux pistes quittaient la route principale: la première devant eux, qui s’enfonçaient en pente douce dans les marais, une autre un peu plus loin, qui serpentait le long de la falaise qui marquait la limite Est et Sud des marécages.



Bienvenue dans les marais...

Les marais étaient un véritable labyrinthe de végétation, et bien que le groupe puisse en apercevoir l'autre extrémité à l'horizon, impossible de voir quoi que ce soit dans les marais eux-même. Les arbres bloquaient la vue. Le sol était détrempé par les eaux tranquilles de la rivière Tourbeuse, qui s'enfonçait elle aussi dans les marécages. Les bruits des insectes et le brouillard omniprésent ajoutait au lugubre de l'ambiance.

Faites moi un test de Perception, je vous prie.

Modifié par un utilisateur mercredi 10 avril 2013 18:13:44(UTC)  | Raison: Non indiquée