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« Et bien, pas grand chose, des araignées également. Un autre ours-hibou. Que nous avons évité. Un wyrm. Qui a bien failli m'avoir, mais Endurance Surpasse Tout. Sinon, il y a bien cette petite guerre entre kobolds et mites... Pas de dragons, pour le moment, mais comme on dit, tout vient à temps à qui sait attendre. Allister, tu vois autre chose? »
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Varnville ! en voilà un qui a une haute estime de lui... Quelle fatuité ! Je me demande ce que penseraient les autres si je proposais d'appeler notre future implantation Medvyedville... Allister eut un vague sourire ironique à cette pensée. Mais il n'était pas l'heure de se faire un ennemi de ce Maegar Varn. Au contraire, ses connaissances de la région située pourraient permettre d'en faire un allié très utile par la suite. Il fallait le ménager.
A la question de sa cousine, le barde réfléchit quelques secondes, semblant sonder sa mémoire pour trouver les évènements marquants de leur périple. Il y avait bien eu la rencontre avec Nettles - d'ailleurs, les assaillants de la petite cabane n'auraient-ils pas pu fuir vers l'est et les plaines qui allaient tomber sous la juridiction de Maegar ? -, l'épisode des pièges, la rencontre avec ce brave Miles et la mauvaise blague qu'une ou plusieurs créatures lui avaient joué. Mais étaient-ce là des faits qui méritaient d'être évoqués ?
« A vrai dire, nous n'avons pas eu beaucoup plus de difficultés que ce que ma cousine vous a présenté. Néanmoins, nous avons eu la chance de rencontrer des personnages hauts en couleurs... Cela change de ces fats que l'on rencontre à Nouvelle-Stetven, je vous l'assure... Ah, et tant que j'y pense, nous sommes à la recherche d'un homme dont j'ai ici le portrait. Peut-être l'avez-vous croisé lors de vos pérégrinations ? » Ce disant, il avait sorti l'esquisse qu'il avait faite de Falgrim Sneeg et la montra à Maegar, sans lui dire le but de cette recherche. Il était certains éléments qu'il fallait continuer de cacher, du moins pour le moment.
Pendant que le portrait circulait de mains en mains, Allister s'adressa au prêtre. Celui-ci semblait être le cartographe officiel de leur expédition et le jeune Medvyed était intéressé par sa méthode. il était toujours intéressant de confronter les avis et les manières de faire des uns et des autres. Cela permettait parfois d'apprendre de petites astuces qui facilitaient le travail.
« Puis-je me permettre de vous poser une question ? Je me demandais quelle méthode vous utilisiez pour effectuer votre cartographie ? Faites-vous une étude concentrique à partir d'un point fixe ou utilisez-vous une autre méthode ? J'ai aussi vu que vous utilisez un compas. cela facilite-t-il votre travail ? Pour ma part, j'ai toujours fait confiance à mes yeux et à ce que je vois. »
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Alors que la viande cuisait lentement sur le feu de bois et que son fumet commençait à se répandre dans le camp, Maegar répondit aux commentaires d'Allister au sujet des personnages fats de Nouvelle-Stetven. « Pour sûr ! Comme vous avez peut-être pu le remarquer, je ne suis pas très friand de tous les salamalecs et de l'étiquette. Au moins, dans le coin, on est à l'abri de tout cela. » dit-il avant de froncer les sourcils et de dire « Avec un peu de chances, les nobliauds ne seront pas trop pressés de venir s'établir à Varnville. »
Pendant toute l'après-midi, les deux groupes d'explorateurs eurent l'occasion de partager divers conseils ainsi que le récit de leurs expériences précédentes. Allister et Caspar purent comparer leurs méthodologies de cartographie et échanger quelques trucs. De temps en temps, les deux prêtres allaient veiller sur Andréï à qui ils avaient conseillé de rester allongé et de se reposer ; le guerrier se remettait assez bien — peut-être que le fumet de la biche grillée y était pour quelque chose.
Ils dressèrent leurs tentes avant que le soleil ne disparaisse complètement, afin de pouvoir bien profiter de la soirée autour du feu de camp et du copieux repas qui les attendait. Pour agrémenter le tout, Maegar Varn sortit une bouteille de vin andoranais qu'il partagea avec tous les convives. « Qui sait ce dont demain sera fait ? Autant profiter du jour présent ! » avait déclaré le chef de la "meute de Varn" en servant de copieuses rasades du liquide à chacun des explorateurs.
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La soirée semblait bien engagée. Bonne chair et bon vin étaient de la partie. Le feu crépitait au milieu de groupe, accentuant les reflets rougeoyants du soleil couchant sur le visages des convives. Allister sentait qu'il allait de plaire ce soir. Il n'avait pas mangé aussi bien depuis ce qui lui semblait être des lustres - en fait le départ du comptoir et le dernier repas préparé par Svetlana - et ce soir il ferait assûrément bombance. Lorsque tous furent servis en vin, le barde leva son verre et improvisa quelques vers en l'honneur de cette amitié naissante et de la contrée qui avait permis qu'elle se crée. Puis il choqua son verre à celui de Maegar, veillant à ce qu'une goutte du liquide qui l'emplissait passe dans celui que tenait son nouvel ami. Ce faisant, il fixa du regard le jeune Varn. Ce n'était pas spécialement par suspicion que le vin andoran soit empoisonné, mais plus par réflexe qu'Allister agit. Cette précaution avait, dit-on, évité bien des désagréments à de nombreuses personnes dans le passé et tout noble qui se respectait avait pris cette habitude. Du moins à Nouvelle-Stetven où les coups bas et pendables étaient chose fréquente. - Psychologie pour la réaction de Maegar à la goutte de vin passant dans son verre : 1d20+1 donne [14] + 1 = 15
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Maegar Varn leva lui aussi son verre bien haut et le vida d'une traite, avant de s'exclamer « Pas mauvais, pas mauvais… Et si on faisait la fête à cette biche, qu'en dites-vous ? » et de se lever. Il alla chercher un long couteau et se mit à découper des tranches sur la carcasse bien cuite et à les distribuer à tous les aventuriers.
Et ainsi la soirée se poursuivit dans la bonne humeur et la détente. Les explorateurs abordèrent divers sujets allant des petits trucs pour rendre le camping plus agréable aux meilleurs moyens de conserver la nourriture et d'assaisonner les rations sèches.
L'estomac bien rempli et l'esprit légèrement embrumé par le vin, les aventuriers passèrent une nuit réparatrice en partageant les tours de garde avec leurs trois nouveaux amis. Le lendemain matin, le groupe partagea du thé fort pour se réveiller. L'après-midi et la soirée de repos avaient été bien agréables, mais les deux groupes devaient reprendre leur exploration.
Gozreh, 3e jour
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Gozreh, 3e jour.Après le casse-croûte du matin, les deux groupes d'explorateurs se séparèrent. Maegar Varn et sa "meute" repartirent vers les montagnes à l'est et les explorateurs de la Ceinture Verte poursuivirent leur chemin vers l'ouest. Ils devaient retraverser des zones déjà visitées pour revenir jusqu'au passage à gué qui leur permettrait de continuer leur exploration en remontant dans les plaines à l'est de la forêt. - Rencontre : 1d100 donne [39] = 39
- Rencontre : 1d100 donne [8] = 8
- Et ? : 1d100 donne [40] = 40
- Formule non reconnue :
Puis ? : 1d 100
Il leur fallut une journée entière pour revenir près du passage à gué, mais le trajet se fit sans aucun problème. Le voyage étant paisible, ce fut l'occasion pour Andréï de se reposer et de se remettre complètement des épreuves de la veille. Les explorateurs choisirent d'établir leur campement à bonne distance du fleuve. Bien sûr, cela voulait dire qu'il fallait parcourir un trajet plus long pour aller chercher de l'eau, mais ils se méfiaient du fleuve et des hautes herbes qui en cachaient les rives. Modifié par un utilisateur vendredi 23 juillet 2010 02:03:32(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Gozreh, 4e jour.Après une bonne nuit de sommeil, les explorateurs poursuivirent leur voyage vers l'ouest. La nouvelle zone à explorer était assez facile à délimiter : il s'agissait de toute la surface qui s'étendaient entre la région précédemment visitée à l'est et l'orée des Narlmarches à l'ouest. Il leur restait en effet seulement une "bande" de plaines longeant la forêt de Narlmarches à explorer. La zone en question était fortement vallonnée : il y avait de nombreuses collines séparées par des petites vallées encaissées, le tout parsemé par des bosquets de tailles différentes, des bosquets plus espacés à l'est et plus compacts et nombreux vers l'ouest, près des Narlmarches. - Rencontres : 1d100 donne [35] = 35
- Et : 1d100 donne [11] = 11
- Puis : 1d100 donne [74] = 74
- Donc : 1d100 donne [53] = 53
Au cours de l'après-midi, ils explorèrent la moitié sud de la zone en question, sans rencontrer de difficultés. Ils découvrirent cependant un petit étang niché entre deux collines et peuplé de canards et d'oies sauvages. Ce n'était pas une trouvaille exceptionnelle, mais c'est un lieu agréable et calme qui changeait un peu de l'ordinaire. Comme à leur habitude, ils établirent leur campement près du centre de la zone à explorer afin de pouvoir reprendre l'exploration le lendemain. Gozreh, 5e jourLe lendemain matin, peut-être remotivés par la découverte de l'étang de la veille, les explorateurs démontèrent leur camp et repartirent vers le nord. Vers la fin de la matinée, ils arrivèrent au sommet d'une petite colline d'où ils comptaient cartographier les environs. En contre-bas, entre la colline sur laquelle ils étaient et une colline voisine, ils aperçurent un vaste champ de hautes plantes qui semblaient recouvertes de ce qui ressemblait à une fine toile blanche. Modifié par un utilisateur vendredi 23 juillet 2010 02:17:08(UTC)
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Rang : Sage d'honneur
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Localisation : Toulon (83)
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Ses deux jours d'exploration sans danger à affronter furent les bienvenues pour Erwanez. La remontée au comptoir d'Oleg s'annonçait calme et il fallait profiter de ces moments car on ne savait pas combien de temps ils pouvaient durer ? Le matin, à la vue du champ de fleurs, elle demanda « On descend de nos montures pour aller voir ce champ ? » Son expérience durant le combat avec l'ours-hibou l'avait un peu refroidie sur ses capacités à monter son cheval en cas de danger. Modifié par un utilisateur vendredi 23 juillet 2010 10:31:14(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Rang : Staff
Inscrit le : 22/12/2009(UTC)
Messages : 4,260
Localisation : Rennes (35)
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Les blessures des uns et des autres s'étaient refermées. Les deux jours passés à la cartographie des lieux s'étaient déroulées dans le calme. Et, depuis qu'ils avaient quitté le second groupe d'explorateurs, Allister sentait une douce mélancolie le gagner. Il avait rencontré des hommes affables dont la joie de vivre était communicative. Il serait bien resté un peu plus longtemps auprès d'eux pour profiter de leurs histoires et de leur compagnie, mais le groupe avait une missions qu'il fallait mener à bien. La pensée que Maegar put décider de donner son nom à sa future capitale continuait à le faire sourire, mais cela allait bien avec le personnage. Au cours de cette matinée de travail, la découverte de ce champ ne disait rien de bon à Allister. Ils avaient déjà rencontré des endroits où des araignées avaient fait leur nid, et cette fine toile blanche lui semblait, à premier abord, y ressembler au plus haut point. Mais ne voulant pas alarmer ses compagnons pour rien, il suivi Erwanez et descendit lui-aussi de sa monture. La tenant par la bride, il se mit à observer le champ. S'il s'agissait d'un effet provoqué par un tapis de fleurs, il pourrait ainsi les identifier. Il en profita pour essayer de vois s'il y avait le moindre mouvement dans le champ. - Perception : 1d20 donne [14] = 14
- Connaissances nature : 1d20+7 donne [19] + 7 = 26
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Rang : Référent
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Messages : 18,213
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Allister eut tôt fait de confirmer ses soupçons : ce qui était apparu comme un fin linceul blanc depuis le sommet de la colline était bel et bien un amas complexe de toiles d'araignées recouvrant les nombreux buissons et plantes qui se nichaient dans l'étroite vallée. Le barde remarqua immédiatement que les plantes en bordure semblaient moins colorées que celles qui se trouvaient plus vers l'intérieur du parterre.
La coloration rougeâtre venait des larges baies (pratiquement de la taille d'un ongle de pouce) qui ornaient les plantes. On aurait dit que les plantes retenaient leurs baies dans des sortes de mains gantées formées de cinq doigts blanchâtres, comme si elles ne désiraient s'en séparer à aucun cas.
Les tiges qui supportaient ces "mains gantées" étaient munies de larges épines facilement repérables : visiblement, il valait mieux ne pas traverser ce champ de buissons en courant ou au galop : les piques affutées auraient tôt fait de lacérer les jambes du coureur ou de la monture. C'était sans doute là encore une autre défense établie par ces plantes contre les animaux (ou les humains) qui nourriraient le projet de dérober leurs baies.
Battlemap mise à jour
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Une fois qu'Allister lui eut fait part de sa découverte, La Gerboise s'écria : « Des baies de crocs ! Il faut absolument en ramasser ! Je l'ai promis ! »Il descendit de Sam, farfouilla dans ses fontes pour chercher quelque chose qui ferait un bon contenant, comme ses sacs vides de ration, et s'approcha en courant du dangereux par terre. Il fut freiné aussitôt par la vision des toiles d'araignées, se rappelant de leur combat du mois précédent. Comment faire pour les récupérer ? Il y avait-il des araignées ? Il y avait-il un piège naturel ? - Perception pièges : 1d20+8 donne [13] + 8 = 21
- Perception : 1d20+7 donne [6] + 7 = 13
- Survie : 1d20+7 donne [19] + 7 = 26
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Localisation : Rennes (35)
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« Ne vous précipitez pas en bas, ce champ est truffé de toiles d'araignées... Et je n'ai pas envie de leur servir de déjeuner... De plus, d'après ce que je vois, les buissons sont pleins d'épines et ni nous mêmes, ni les chevaux ne pourrons les les éviter si nous courons au milieu d'eux. Il nous faudra faire preuve de patience et d'une très grande discrétion si l'on veut passer par là. Je n'ose imaginer ce qui se passerai si nous étions surpris par les araignées en plein milieu de ce chaos d'épines... »
Allister continuait d'observer le champ. Il espérait pouvoir découvrir un, ou plusieurs, endroits où les araignées aurait pu se cacher en attendant leurs proies...
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Inscrit le : 22/12/2009(UTC)
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Évan avait entendu une partie du rapport d'Allister avant de partir en courant, aussi il s'arrêta à distance raisonnable du dangereux champs.
Cependant, il restait l'explorateur le plus proche d'un éventuel danger. La chance des halfelins allait-elle lui sourire ?
Je ne fais rien pour toucher ! J'observe juste, des fois qu'il y ait des opercules d'araignées.
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Inscrit le : 15/12/2009(UTC)
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Ni Allister ni Évan, ni même Erwanez qui était descendue de cheval pour mieux observer les plantes, ne repérèrent d'opercules similaires à celles que les araignées géantes qu'ils avaient croisées quelques jours plus tôt utilisaient pour camoufler l'entrée de leur repaire. En fait, ils ne repérèrent aucun signe qui aurait pu laisser penser à la présence d'araignées géantes. Cependant, ici et là, sur les toiles ou sur les plantes elles-mêmes, ils purent constater la présence de très nombreuses araignées de taille normale. (Jet de connaissances/Nature ou de Survie pour en savoir plus)
Visiblement — et Évan s'en était rendu compte — ces plantes ressemblaient aux baies de croc dont le vieil ermite à moitié fou avait parlées mais, pour en récolter suffisamment, il semblait nécessaire de s'avancer vers le milieu du parterre de buissons, ce qui ne serait pas facile à cause des épines acérées (jet de Survie pour ceux qui veulent récolter ou se déplacer sans dégâts dans la zone)
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Rang : Sage d'honneur
Inscrit le : 21/12/2009(UTC)
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A la vue des toiles d'araignées, Erwanez sortit son arc. Elle se décala légèrement du groupe pour ne pas être gênée si elle voulait tirer. Elle observait les alentours et les araignées commune qu'elle pouvait voir. Déplacement en (S,3) ; Jets - Perception : 1d20+3 donne [4] + 3 = 7
- Survie : 1d20+3 donne [1] + 3 = 4
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Inscrit le : 22/12/2009(UTC)
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Localisation : Rennes (35)
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Allister aperçut quelques mouvements d'octopodes sur les toiles. Il concentra son regard sur cette zone pour essayer de les identifier plus avant. - Connaissance Nature : 1d20+7 donne [3] + 7 = 10
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Inscrit le : 28/12/2009(UTC)
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Les champs qui se trouvaient devant les aventuriers semblaient couvert de toile d'araignées (et de leurs occupantes). Avant de s'aventurer plus avant (et devant les intentions manifesté de La Gerboise de s'y précipiter), Aelaendlara étudia l'ensemble pour essayer d'en déterminer les éventuels dangers. - Survie : 1d20+6 donne [15] + 6 = 21
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Inscrit le : 15/12/2009(UTC)
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Erwanez et Allister ne reconnurent pas immédiatement les araignées, mais Aelaendlara, elle, y parvint. Elle tendit le bras pour éviter que quiconque ne s'avance dans le parterre de buissons, le "territoire" que les araignées avaient délimité en tissant leurs toiles.
Il s'agissait d'araignées mastiqueuses, une espèce tout spécialement agressive de bestioles de la taille d'un pousse humain et avec des crocs particulièrement développés. Individuellement, ces petites araignées n'étaient pas vraiment dangereuses mais elles avaient la fâcheuse tendance à s'agglutiner en grands groupes, en tapis d'araignées, capables d'assaillir des proies de grandes tailles.
Selon la rôdeuse, les araignées passeraient sans aucun doute à l'attaque dès que quelqu'un mettrait un pied dans les buissons. Hors, pour récolter des baies, c'était nécessaire de s'avancer jusqu'aux plantes au milieu du parterre.
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« Je n'ai pour le moment qu'une idée pour aller récolter les baies. Que l'un d'entre nous s'occupe de la cueillette pendant que les autres le protégerons à l'aide de torches pour éloigner les araignées. Je ne sais pas ce que vous en pensez. Mais je ne vois rien d'autre pour le moment. Est ce que nous avons de quoi faire une dizaines de torches? »
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La Gerboise était à deux doigts de pouvoir tenir sa promesse à l'ermite et ces araignées l'agaçaient. Il les éradiquerait sans scrupules.
Il répondit à Aelaendlara :
« J'ai toujours mon feu grégeois, si ça peut servir à allumer et soutenir un feu.
Mais je pensais... vous ne croyez pas qu'on pourrait les distraire avec de la nourriture...Aelaendlara, tu dois savoir ce qu'elles aiment manger. On pourrait aller chasser, rapporter quelque chose d'assez gros pour les appâter et toutes les occuper.
Une fois sortiesde leur tanière, je veux bien me faufiler dans les ronces pour cueillir les baies... »
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