Almariel recula d'un pas (Positionnement en L11).

Elle tenta de faire cesser le combat.

« Cette situation grotesque a trop duré. Rendez-vous, vous avez assez profané ce lieu sacré, vos soi-disant amis vous ont abandonné. Lachez vos armes, et nous vous laisserons la vie sauve. »

« Il s'est barré en remontant la rue, couvert par son pote elfe... » commença Lixy.

Elle fut interrompue par l'un des deux brigands qui s'étaient rendus.


« Si vous me laissez partir... Je... Je vous balance ce que je sais. »

« Sale bâtard ! Enfoiré de traître ! » cracha son compagnon.

« Belthias te chopera et t'enfoncera une belle lame dans la gorge, espèce d'enculé ! Et on te balancera aux poissons !! » continua-t-il.

Modifié par un utilisateur vendredi 4 mars 2011 18:37:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le jeune homme regarda l'elfe d'un air incrédule.

« Euh... Quand vous êtes arrivés, Belthias venait de ressortir... Le truc que vous cherchez... Il l'a sans doute déposé ici... Il part pas faucher avec les poches pleines... » bafouilla-t-il.

Alors que les prêtres s'occupaient des blessés et que le calme revenait, Ionisa en profita pour récupérer sa bourse. Le jeune tire-laine l'avait abandonné dans sa fuite et le bourse était restée là, à même le sol, pendant tout le combat. La gnome ramassa son bien et vérifia rapidement le contenu : tout était bien là.
Ce fût alors qu'elle avisa la dague qu'un des voleurs avait perdu au cours de l'affrontement : une arme qui, bien que trop grande pour la druidesse, était vraiment d'une facture magnifique.

Le jeune homme qui s'était rendu détailla un instant Alastor puis fini par le conduire à l'étage, sous les insultes de son complices jusqu'à ce qu'un coup de rouleau à pâtisserie bien placé ne le fasse taire.

L'étage avait semble-t-il été autrefois un lieu de refuge pour les miséreux désirant passer une nuit au sec mais avait pratiquement été intégralement récupéré par le gang pour lui servir de planque.

Rasper mena le groupe jusqu'à une des chambres, qui était celle utilisée par Belthias.

Contrairement au reste des pièces de l'asile de nuit, la chambre était d'une propreté remarquable et dotée d'un lit à l'air confortable. Trois coffres étaient rangés sous le lit. Les deux premiers contenaient une quantité impressionnante de vêtements divers alors que le troisième coffre abritait une mallette pleine de postiches et d'accessoires de maquillages, un miroir en métal et de la cire à sceau.

Énervé de ne pas trouver les affaires de Samaritha, Alastor vida le contenu des coffres. Il devint alors vite évident que l'un d'entre eux avait un double fond.

A l'intérieur, se trouvaient une liasse de papiers au sommet de laquelle se trouvaient les notes prises par le couple, un livre qui fut vite identifié comme le grimoire de Samaritha, la baguette dérobée à la jeune femme mais également une autre baguette en métal et au manche recouvert d'une fine lanière de cuir, deux fioles en terre cuite et une bourse contenant une sorte de pâte rougeâtre constituée de feuilles macérées.

« Voilà... J'ai tenu ma parole... Vos affaires sont là... »

Modifié par un utilisateur samedi 5 mars 2011 12:41:51(UTC)  | Raison: Non indiquée