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 Chiara 
pensa Chiara en grommelant, puis, en regardant les bandits ligotés avec férocité, elle leur dit d'une voix glaciale: « Si l'un d'entre vous s'avise de ne serait-ce que toucher à ses liens, ou de crier, ou de me regarder d'une façon qui me déplait, d'abord je l'endormirai avec mes sortilèges, puis je lui défoncerai le crâne avec cette belle masse d'arme lourde. Me suis-je bien fait comprendre? »Ceci n'est pas une menace, c'est une promesse. Bref, s'ils jouent au malin, Chiara s’exécute.
- Intimidation : 1d20+10 donne [7] + 10 = 17
- Discrétion : 1d20+1 donne [15] + 1 = 16
- Perception : 1d20+2 donne [7] + 2 = 9
Plus un bonus de circonstance dû au fait qu'ils sont ligotés et que Chiara a une grosse masse d'armes entre les mains.
Modifié par un utilisateur mardi 17 avril 2012 22:19:52(UTC)
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 Ksena Un peu énervée Ksena parie à la recherche des chevaux s'avise rapidement que Chiara est restée en arrière....elle revient donc sur ses pas. "Il semble que comme d'habitude les hommes soient obnubilés par leurs jouets..."- Perception : 1d20+5 donne [9] + 5 = 14
- Discrétion : 1d20-2 donne [9] - 2 = 7
Modifié par un utilisateur mercredi 18 avril 2012 02:41:23(UTC)
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sena, a l'évidence plus sage que son apparence ne le laissait présager, se ravisa de laisser seule la belle Chiara pour assurer la surveillance des prisonniers alors qu'une partie non-négligeable des brigands avaient fuit. L'abri semblait calme. Chiara, tenait nonchalamment une masse lourde dans ses mains et les deux prisonniers, visiblement effrayés, eurent un regard soulagé quand ils virent apparaitre la prêtresse d'Erastil. Ksena eu, pendant un court moment, le sentiment d'être observée mais rien ne se produisit. Pendant ce temps là.... Mené par Fenris, les trois hommes remontèrent les traces des chevaux sous une pluie battante. Le rôdeur n'avait pas brillé lors du combat mais semblait connaitre son affaire et retrouva sans difficulté le cheval de Radovan qui ne s'était pas énormément éloigné. Au bout d'une heure, les quatre compagnons, avec plus de difficulté, parvinrent a retrouver la deuxième bête encore apeurée que Radovan, assez bon bon cavalier, parvint a tranquilliser. C'est trempé et couvert de boue qu'ils rejoignirent les deux femmes. @Tom : Pour information, tu dois faire un jet d'intimidation par cible, pas un jet global. Ce n'était pas déterminant pour cette fois j'ai considérer que le deuxième jet était un "Take 10" vue les circonstances.Modifié par un utilisateur samedi 21 avril 2012 08:39:18(UTC)
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Ksena Narquoise "Alors, les hommes ont récupéré leurs jouets?" "Pour ce qui est de la pile de saloperies abandonnée par nos nouveaux amis, je pense que Fenris aura l'usage d'une arme un peu virile....sinon je veux bien récupérer une arbalète....enfin je propose de faire un pot commun avec le liquide"
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 Fenris Trempé et couvert de boue, Fenris avait le moral dans les chaussettes... Au moins, on a retrouvé les chevaux. Les filles n'avaient même pas préparé un feu et le rôdeur grelottait. Mais, ils avaient comme même un endroit pour dormir à l'abri des intempéries. Fenris s'en voulait toujours pour le manque d’efficacité qu'il avait fait preuve pendant le combat... Il faut que je me trouve une arme. Il fouilla dans l'équipement des bandits. Une masse lourde... Non pas mon style. Une épée courte? Non trop petit... Sa main saisit la lance, Fenris l'inspecta un instant et fit quelques mouvements. Mmm... ça fera l'affaire... Enfin, pour l'instant.« Est-ce que je peux la prendre? Je n'ai pas vraiment d'arme à part mon arc et... Ma dague n'est pas très pratique en combat rapproché. Comme vous avez pu le constater. »Après la réponse de ses camardes, il se tourne vers Kesna: « Sers toi, il y en à trois... On pourra mettre l'équipement qui reste sur un des chevaux pour le vendre ensuite au comptoir d'Oleg. Vous en pensez quoi? »Puis après une petite pause, Fenris montre les prisonniers: « Sinon il faut aussi les interroger... »J'ai mis à jour le wiki pour les objets.Modifié par un utilisateur samedi 21 avril 2012 19:40:22(UTC)
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 Radovan  Radovan écouta les moqueries de Kséna sans sourciller. Il avait toujours évité de prendre au sérieux les moqueries d'une femme, et cette habitude lui avait toujours semblé une bonne ligne directrice. « Est-ce que je peux la prendre? Je n'ai pas vraiment d'arme à part mon arc et... Ma dague n'est pas très pratique en combat rapproché. Comme vous avez pu le constater. »« Oy, Fenris, » approuva Radovan. « Prend la lance. » Il gratifia le rôdeur d'une accolade amicale empreinte de camaraderie. La chance avait tourné en la défaveur de celui-ci mais cela faisait partie des aléas du combat. Il lui semblait injuste que Fenris puisse en prendre ombrage. Et il était réellement reconnaissant à celui-ci de l'avoir aidé à retrouvé son cheval et son matériel. « Sers toi, il y en à trois... On pourra mettre l'équipement qui reste sur un des chevaux pour le vendre ensuite au comptoir d'Oleg. Vous en pensez quoi? » Le bucheron examina alors l'assortiment d'objets étalé à ses pieds. Aucun ne lui semblait approprié. Il y avait évidement les arbalètes, mais les faibles ressorts projetaient les carreaux avec un navrant maque de violence et Radovan préférait de loin une simple fronde dans laquelle il pouvait mettre toute sa puissance,... Mais sur des longues distances, éventuellement, une arbalète ou un arc se montrerait supérieur. « Rien d'intéressant là dedans pour moi, » conclut-il finalement. « On peut effectivement charger Kavol et essayer de marchander avec Oleg. »« Sinon il faut aussi les interroger... »Je me demande qui était leur chef. Et pourquoi ils nous ont tendu une embuscade avec autant de soins pour ensuite l'abandonner. Modifié par un utilisateur mardi 24 avril 2012 20:18:40(UTC)
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Chiara En forme En voyant les hommes revenir à la tour en ruine, Chiara se sentit rassurée. « Je suis très heureuse de vous voir revenir sains et saufs; vous auriez pu rencontrer les bandits que nous avons mis en fuite. Essayons d'être un peu plus organisés la prochaine fois. »Puis en désignant la pile de matériel récupéré sur les bandits, elle s'adressa à l'ensemble du groupe: « Je suis d'accord avec Ksena, faisons un "pot commun" du butin. Si elle ne sert à aucun d'entre vous, je veux bien emprunter la masse lourde, elle a l'air de faire peur à ces messieurs. » Elle regarda les deux bandits de manière menaçante. Cette masse pourrait s’avérer bien utile lors de l'interrogatoire...
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Ephraël était de mauvaise humeur. Pour retrouver sa monture et toute ses, maigres, possessions il avait dû affronter la pluie, la boue et la campagne au lieu de rester au sec avec les deux femmes. Revenant mouillé et crotté il fut accueillit de manière relativement acerbe par les deux seules qui n'avait pas dû affronter les éléments. Toutefois, elle n'avait pas entièrement tord aussi ne répondit il pas à leur reproche. En revanche, lorsqu'elles parlèrent de ce qu'ils avaient pu trouver sur les bandits capturés ou mort cela le fit réagir. « Je ne m'encombre pas d'arme. Vous pouvez donc toutes les garder. En revanche, j'aurai peut-être besoin de l'or pour pouvoir acheter du matériel pour écrire des parchemins magiques. Dans l'intérêt de tous bien évidemment. »
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Radovan L'elfe ne semblait pas avoir d'arme d'aucune sorte sur lui. Par contre, il avait démontré sa capacité à utiliser au mieux sa magie. Le savoir sans aucune autre aide que sa magie mettait Radovan légèrement mal à l'aise. « Prenez au moins ça, » fit-il en tendant une dague au mage. « Elle pèse pas bien lourd, et pour le prix qu'on en aura... »Voyant la mine rébarbative d'Ephraël, il continua : « Non pas que j'vous imagine en train de larder des brigands avec cette dague, mais avoir quelque chose de coupant sur soi est une nécessaire par ce coin ci. Vous pouvez pas prévoir le nombre de fois ou vous devrez couper un truc, une corde, des ronces, .... Ne fut-ce que la sangle de l'étrier si vous tombez mal de cheval. »Il hésita également à proposer une arbalète. Il ne connaissait rien en magie si ce n'est que cette précieuse aide n'était pas inépuisable et qu'un lanceur de sort ne pouvant plus y faire appel pouvait se montrer plus utile avec une arbalète en main. Il s'abstint cependant, ne voulant pas imposer sa vision à l'elfe et attendit quelques secondes sa réaction. Modifié par un utilisateur lundi 23 avril 2012 18:42:42(UTC)
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« Je vous remercie Radovan, mais j'ai déjà un tel outil sur moi. Je n'aime pas les armes, mais ce n'est pas pour ça que je ne suis pas conscient de leur utilité.
Pour le reste, je connais des petits tours quasiment aussi efficace qu'une arbalète et inépuisables. »
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Radovan Radovan se tourna ensuite vers les deux maladrins. Visiblement, Chiara serait la plus à même à mener une petite conversation avec eux. Il releva le premier, le mit face à Chiara et entreprit de resserrer ses liens pendant l'interrogatoire. Pour ligoter le bandit, je prend 20 : 20 + 5 = 25
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u moment d'interroger les prisonniers, tout les regards se tournèrent vers la belle Chiara. A l'évidence, les deux prisonniers n'en menait pas large devant elle. @Tomaxx : Inutile de refaire tes jets d'intimidation, passe directement aux questions.
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Chiara En forme Puis en s'adressant aux deux captifs: « J'espère pour vous que vous me donnerez les mêmes réponses, sinon... »Une fois l'autre bandit hors de portée d’ouïe, Chiara regarda longuement le malandrin tenu par Radovan avant de l'interroger. Ses yeux furent vides de toute émotion et surtout de toute pitié. Elle laissa au prisonnier le temps de répondre longuement avant de poser chaque question suivante. « Je vais maintenant vous poser quelques questions simples. Y répondre vous évitera de la souffrance inutile, enfin, si vous me dites la vérité...
- Vous sembliez nous attendre; comment saviez-vous que nous allions venir ?
- Qui est votre chef et où pouvons nous le trouver ?
- Pourquoi nous attaquer ?
- De combien de membres votre bande est-elle composée ?
- Qui est le magicien qui nous lança des sortilèges du haut de la tour ?
- Y a-t-il d'autres embuscades prévues sur la route du comptoir d'Oleg ? »Chiara regarda ses compagnons et dit: « Est-ce que l'un d'entre vous aurait d'autres questions à poser à notre prisonnier ? »Une fois le premier bandit interrogé, Chiara mène le même interrogatoire avec le deuxième. Modifié par un utilisateur mardi 24 avril 2012 00:03:22(UTC)
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Ephraël n'était pas intéressé par l'interrogatoire. Il laissa faire ce qui en avait l'habitude ou l'envie. Pour sa part il s'intéressa au temps, essayant de savoir quand l'averse s'arrêterait. - Conn. Nature DD15 : 1d20+9 donne [3] + 9 = 12
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Fenris L'ensorceleuse se débrouillait très bien toute seule et n'avait pas besoin de ses conseils. Fenris se retira donc, la lance en main, vers la sortie... Le rôdeur inspecta le ciel. Quand cette averse s'arrêtera t-elle?Après de longues minutes, il sortit sa boussole et sa carte pour voir à quel endroit il se situait... Mais les yeux du jeune homme peinaient à rester ouverts. - connaissance nature (temps) : 1d20+6 donne [20] + 6 = 26
- connaissance géographie : 1d20+10 donne [3] + 10 = 13
Modifié par un utilisateur mardi 24 avril 2012 18:58:56(UTC)
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a peur était perceptible dans le regard du brigand. Il y avait quelque chose de malsain et inquiétant dans la voix et l'attitude de Chiara. Radovan lui-même ne se sentait pas très a l'aise devant la jeune femme. « Nous avons été rassemblé par ce nain, Storm Topbaff. Il nous a dit qu'il travaillait pour le Seigneur-Cerf et que les voyageurs devait maintenant payer un péage puisque la route lui appartenait a partir d'ici. Il nous a dit aussi de ne pas pas prendre trop de risque et de ne pas insister s'il y avait des prêtres ou des magiciens parce qu’il s'y connait un peu en magie et qu'il sait lancer quelques sorts. Il nous a dit aussi de ne tuer personne et on a jamais tuer personne parce que les morts ne peuvent pas payer de péage. Nous étions sept en tout mais on dit que le Seigneur-Cerf a beaucoup de gens a son service alors c'est possible qu'il y ai d'autres péages. »Les propos du second bandits confirmèrent les dires du premier. A l'évidence, ils n'étaient tout deux que des sbires de troisième ordre a qui ont ne dit pas grand chose d'utile et a qui cela convient parfaitement. Restait a savoir ce que les explorateurs allaient faire d'eux. D'après leur charte, les Seigneurs des Épées leur avait conféré le droit d'exécuter ce genre de vermine mais c'était une sentence bien lourde en regard du crime qu'il avait commit. Pendant ce temps, il pleuvait toujours et pour Fenris, cela pouvait durer encore tout la journée et une partie de la nuit.
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Fenris Fenris jura et donna un petit coup de pied dans un caillou non loin de lui: « La pluie ne risque pas de s'arrêter. On va devoir passer la journée et la nuit ici ou sinon on doit affronter cette averse... À vous de choisir, moi ça ne me gêne pas mais bon ce n'est pas très agréable de voyager par ce temps et on risque de tomber sur un autre "péage" sauf s'il n'y en a plus. » Il montra les bandits. « Heu... On fait quoi d'eux? »
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Radovan Radovan maintint le brigand pendant la diatribe de Chiara. Il se sentait vaguement mal à l'aise par les promesses de torture que tenait Chiara. Même s'il était déterminé à faire sa place, Radovan n'avait pas l'âme d'un tortionnaire, ni celle d'un bourreau. Les brigands cherchaient néanmoins à présenter sa responsabilité dans l'histoire comme minime. Radovan tendit attentivement l'oreille afin de déceler l'accent de la vérité (ou celui du mensonge) dans ces paroles. Les mots inscrits sur la chartre lui revinrent alors en mémoire. Radovan les avait gravé dans sa mémoire car il détestait lire et ne comptait pas se livrer à cet exercice plus d'une fois par document.... ...les bandits impénitents seront condamnés à mort, par l'épée ou par la corde.Bon. Il s'agissait de toute évidence de bandits, mais étaient ils impénitents? Devaient ils, eux, en être les juges responsables? Malgré l'absurdité de la situation, il semblait bien que oui. Mais s'ils laissaient les brigands en vie, comment leur offrir une chance d'être "pénitents"? Fenris avait dit bien connaître les bandits. Peut-être aurait-il une idée. Et s'ils devaient bâtir un pays, n'était-ce pas eux, les âmes perdues de ces forêts, qui pourraient en être les premiers citoyens? D'autre part, les révélations des brigands apportaient des précision sur leur organisation. Ce Seigneur-Cerf était sans doute, pour sa part, un brigand impénitent, mais il serait probablement fort peu prudent de lui lancer immédiatement et ouvertement une déclaration de guerre. Une approche plus diplomatique leur permettrait peut-être de pouvoir réaliser leur travail d'exploration en attendant de voir si un véritable terrain d'entente pouvait être trouvé avec lui ou s'il faudrait un jour combattre réellement cette organisation. Ces pensées tourbillonnaient dans l'esprit de Radovan, mais il savait qu'il peinerait à toutes les exprimer. C'est alors que Fenris prit la parole. « La pluie ne risque pas de s'arrêter. On va devoir passer la journée et la nuit ici ou sinon on doit affronter cette averse... À vous de choisir, moi ça ne me gêne pas mais bon ce n'est pas très agréable de voyager par ce temps et on risque de tomber sur un autre "péage" sauf s'il n'y en a plus. »« Bah. J'pense tout de même que dormir à l'endroit où on s'est fait attaquer est pas le mieux. Laissons le macchabée aux charognards et tentons de trouver un endroit hors de vue, éloignée de la piste et des péages. »« Heu... On fait quoi d'eux? »« Y m'ont pas l'air impétinents. Enfin, ceux des brigands qu'on doit exécuter, là. Alors faudrait voir si on pourait pas les faire travailler. Comme punition. »Radovan fronçait les sourcils. Il réfléchissait profondément des rides étaient apparues sur son front. « Je sais, » fit-il enfin. « Ils ont qu'a travailler au comptoir pour rien. Pendant un petit temps. Il doit y avoir pas mal de choses à y faire maintenant. »Il s’interrompit un instant. Il ne voulait pas parler du fait que le comptoir accueillait maintenant une garnison devant des brigands dont ils n'avaient pas encore fixé le sort. « Comme ça qu'on verra s'ils veulent d'un travail honnête.... »Pour voir si les brigands tentent volontairement de diminuer leurs responsabilités dans l'affaire.- jet de psychologie : 1d20 +1 donne [2] + 1 = 3
Modifié par un utilisateur mardi 24 avril 2012 21:07:25(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Chiara
Chiara s'adressa de nouveau au bandit interroge: « Qui est ce Seigneur Cerf dont vous avez parle ? Ou peut-on le trouver ? Ou est sa tanniere ? De combien d'hommes dispose-t-il ? Comment recrute-t-il ses hommes ? »Puis, une fois l'interrogatoire termine et les bandits hors de portee d'ouie elle s'adressa à l'ensemble du groupe: « Nous devons imperativement decider du sort de ces bandits. Personellement j'opterai pour les pendre, car je ne pense pas qu'ils se "repentiront" et deviendront de paisibles bergers si nous les relachons, ou si nous les reduisons en esclavage pendant une semaine ou deux. Ils iront simplement rejoindre leur bande pour tuer, voler, piller de nouveau.
Rappelez vous que les carreaux qui ont failli tuer Fenris auraient abattu quelqu'un de moins robuste. Ne croyez pas a leurs sornettes quand ils affirment qu'ils ne voulaient tuer personne.
Comme nous n'avons pas de chef designe, je propose un vote.
Je vote: la mort. »Chiara attendit avec impatience la reaction de ses compagnons. Voyons de quoi ils sont faits...Modifié par un utilisateur jeudi 26 avril 2012 09:27:41(UTC)
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« Le Seigneur Maire a été très clair : les bandits à la potence ou au billot.
Si nous avions les hommes ou les ressources pour les emprisonner je serai plutôt pour cette option mais nous n'avons ni l'un, ni l'autre. Soyons donc pragmatiques et appliquons à la lettre les ordres du Seigneur Maire. »Ephraël venait d'une ville où la Loi était la Loi, ni cruelle, ni bonne, juste la loi dans toute sa rigidité. Mais il savait que d'autres n'avait pas forcément le même vécu que lui et donc des opinions différentes aussi n'était t il pas tranché dans sa position qu'il essaya de justifier. Modifié par un utilisateur jeudi 26 avril 2012 10:41:33(UTC)
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