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quatre jours plus tard, le groupe se présente à la "soirée des chapeliers", Vendarion présente les invitations familiales à l'huissier qui filtre les entrées.. « Vendarion Nazrim, nous avons réservé pour six... il est probable mais pas certain du tout que d'autres membres de la famille nous rejoignent. » « Comme vous avez réservé assez tard, je vous ai placé en bout de salle, un peu isolé des autres invités mais... on a une très belle vue sur le défilé depuis l'estrade qui est juste derrière. »Le chambellan, particulièrement avisé, ne commit pas l'impair d'évoquer la santé de Nakir Nazrim... la malédiction pourrissante dont il souffrait depuis son voyage en Osirion en faisait un hôte qu'on hésitait à inviter... et Vendarion avait omis de préciser quels membres de la famille seraient présents lors de sa réservation. « Ce sera parfait... vous pouvez me faire un bref inventaire des personnalités présentes ? »« Au centre, la table de la Reine, elle ne s'est pas déplacée bien sûr mais plusieurs membres de sa cour sont présents, notamment les ambassadeurs les plus en vue... L'ambassadeur du Chéliax bien sûr, et ceux du Nidal, de Nirmathas et de Dernier-Remparts. Juste devant il y a la table des Arkona et la très longue table qui prend toute la largeur de la scène est réservée aux professeurs de l'Acadamae, et aux étudiants les plus en vue, Vous reconnaissez Tof Orneloss bien sûr. Et enfin de l'autre côté, la table des artisans-tailleurs et chapeliers. »« Oui, c'était juste pour me resituer... »Alors que le groupe se dirige vers la table du fond, il est salué au passage par un personnage en tenue extravagante depuis la table des chapeliers. Vendarion lui rend son salut sans engager la conversation pour autant, bien qu'ils semblent se connaître...
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 Jaris Canalisations 7/7 Chance 7/7 Libération 3/3 Le prêtre n'était pas à son aise dans ce genre de lieux. Voir l'argent et l'opulence alors que le peuple mourrait de faim où se retrouvait privé de toit pendant que d'autres se pavanaient n'était guère une chose plaisante à voir. Néanmoins le prêtre ne montrait rien et se contentait de saluer de la tête poliement les personnes qui venaient saluer Vendarion. - Perception au besoin : 1d20+4 donne [18] + 4 = 22
- Psychologie éventuellement pour percer quelques masques : 1d20+10 donne [15] + 10 = 25
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Le jeune page venait à peine de commencer son service qu'il était déjà épuisé... une fois, c'était un seigneur qui se plaignait que sa table familiale n'était pas assez longue, il fallait en ajouter une, deux minutes plus tard, un chapelier se plaignait de trouver une table sur la zone réservée au défilé, il fallait déménager la table et en réajuster trois ou quatre pour caser tous le monde... ces nobles avaient tous des exigences plus ou moins sérieuses et plus ou moins farfelues, et c'était naturellement les plus farfelues qui lui donnaient le plus de travail. C'est au moment ou il s'offrait un repos bien mérité, derrière une colonne ou peu d'invités s'aventuraient, qu'un inconnu vint l'aborder. C'était certainement un des invités sinon il n'aurait pas pu être là, mais il avait quelque chose de bizarre... sans doute ce chapeau noir à large bord. « Ce billet est pour l'ambassadeur Darvayne, c'est le monsieur un peu corpulent qui est à la table de la reine, le troisième en partant de la gauche... et l'objet qui se trouve dans la pliure est pour vous. »« Tout de suite monseigneur ! » fit le page sans hésiter, car il avait déjà remarqué que l'objet en question était une pièce d'or... Les huissiers pouvaient se permettre de refuser les pourboires, ils étaient grassement payés, mais pour un pauvre domestique sans grade, une pièce d'or représentait un appréciable complément de vin et de nourriture. Il se dirigea vers la table des seigneurs, équipé d'un plateau chargé de verres de vin, servit généreusement ceux qui lui faisaient signe et déposa le plateau quelques instants sur la table, le temps de remettre ce billet à son destinataire. « Ceci est pour vous, seigneur. »L'ambassadeur empocha le billet sans y prêter d'attention particulière, le page poursuivit son service, et une fois le plateau vide, il retourna vers la cuisine... mais comme il sortait de la salle, une main s'abattit violemment sur son épaule.  « Qui t'a remis ce billet ? Réponds ! »« Monsieur l'ambassadeur, qu'est ce que je peux... ?? heu... c'est un drôle de bonhomme avec un grand chapeau noir... il ressemblait à... heu... je n'ai pas bien vu son visage. »L'ambassadeur soupira. « C'est bon, tu peux filer. »Il reprit le billet de sa poche et le relut... « Pour la douceur de vos yeux verts
Que m'importent les brasiers
des supplices des neufs enfers
puisqu'ils rappelleront vos baiser ?
Seul un amoureux ardent peut avoir écrit des vers aussi beaux, je suis moi-même un peu poète et je serais curieux d'en discuter avec vous, car certains vers se révèlent parfois prophétiques, selon les mains dans lesquels ils tombent...
J'espère donc que ce poète pensait ce qu'il écrivait ou sera assez malin pour éviter les neufs enfers.
Duc Ogibar »Aucun doute, ces vers étaient bien ceux, qu'après une nuit de folie, il avait écrit à sa maitresse dans une lettre particulièrement enflammée... et particulièrement compromettante puisqu'elle contenait des indices permettant de l'identifier lui, ainsi que le mari cocu. Cette lettre aurait du se trouver chez Devargo ; c'est pour la récupérer qu'il avait engagé des voleurs, mais son plan avait lamentablement échoué et maintenant, Devargo allait se venger... à moins qu'il n'ait revendu les lettres à quelqu'un d'autre... quelqu'un d'assez puissant pour oser le menacer, mais il avait tellement d'ennemis qu'il ne pouvait deviner lequel s'amusait ainsi à ses dépends. Peut-être la reine elle même ? (il jeta un regard vers le trône vide), sans doute que non, mais la maréchale lui avait adressé un étrange et déplaisant regard. A la table des couturiers, il reconnut certains compagnons de débauches dont un en particulier à qui il avait "oublié" d'honorer une dette de jeu... ce dernier faisait consciencieusement semblant de l'ignorer. Il regarda à nouveau la lettre et la signature. « Duc Ogibar »Certainement un pseudonyme... Darvayne avait tout de suite remarqué qu' "Ogibar" était l'anagramme du nom d'un Duc des enfers au service de Baalzebul, donc la fonction consistait précisément à punir les débauchés. Il se dirigea vers l'entrée et interrogea l'huissier. « un homme avec un grand chapeau noir ? Non seigneur Darvayne, je n'ai vu personne qui ressemble à cela, ce serait d'un goût douteux vous ne trouvez pas ? »L'huissier semblait sincère, mais peut-être jouait il la comédie... Darvayne devait maintenant prendre une décision... aller à ce rendez vous, envoyer ses gardes se saisir du personnage et lui arracher les tripes jusqu'à ce qu'il révèle le nom de son commanditaire (l'idée était séduisante, mais le plus dur serait de le faire sortir de la salle sans que personne ne le remarque) ou ignorer l'avertissement. Il jeta un regard circulaire sur l'assistance en se demandant combien parmi les personnes présentes étaient en train de l'épier. Puis il prit sa décision...
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- Jet de perception : 1d20+2 donne [11] + 2 = 13
- Jet de psychologie : 1d20+2 donne [12] + 2 = 14
Modifié par un utilisateur jeudi 6 février 2014 11:11:33(UTC)
| Raison: Non indiquée | *Les convictions par rapport au jeu de rôle sont faites pour être bousculées, n'en déplaise à certains vivant encore dans les années 80 . L'inverse est vrai, le rollplay n'est pas intéressant* |
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 Vendarion CA: 15 ct 12 sur 13 rapière +3 - 1d6 / 19x2 Une fois installé à leur table, Vendarion expose les derniers détails de son plan. « Là, il vient de lire le billet et il se demande ce qui lui arrive... Je vais l'attendre près du couloir mais prévenez moi si vous voyez quelqu'un le suivre ou s'il n'y va pas seul. Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais je m'amuse beaucoup à le voir rechercher un "homme au chapeau noir".
J'ai une petite liste des "promesses de vente" à lui faire signer, les indications de la Maréchale sur les manoeuvres qu'il doit éviter de renouveler et... si un d'entre vous a une demande à lui faire, c'est le moment ou jamais.
Au fait Jaris, le prêtre d'Abadar a demandé 5% sur le prix des bâtiments qui seront revendus par l'intermédiaire du temple... comme il a accepté d'écrire la lettre du Duc Ogibar, je n'ai pas eu le coeur de lui raboter »
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pareil  - Jet de perception : 1d20+4 donne [5] + 4 = 9
- Jet de psychologie : 1d20+4 donne [4] + 4 = 8
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Jaris Canalisations 7/7 Chance 7/7 Libération 3/3
Je savais que les prêtre du dieu de la civilisation aimaient l'argent mais 5% de toutes les ventes pour une seule lettre c'est plus que cher ! »Le prêtre avait plus que du mal à croire Vendarion et allait s'assurer qu'il n'y ait pas d'entourloupe sur les gains de cette opération... Le peuple souffrait et devait être celui qui allait bénéficier de ce chantage. Perception 22, Psychologie 25Modifié par un utilisateur jeudi 6 février 2014 12:35:51(UTC)
| Raison: Non indiquée
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L'ambassadeur ne pense pas que ce soit quelqu'un qu'il connaisse qui peut bien lui faire une telle mauvaise blague . Il pense qu'il n'y a que certains zélés de Desna qui peuvent tenter une telle manoeuvre car les paladins de Iomédaé doivent suivre les règles pour faire ce qu'ils ont à faire . Il pense également à certaines personnes haut placées qu'il a pu déranger avec des manoeuvres aussi agressives . Il marche sur des oeufs, car quiconque a pu récupérer les lettres de chez Dévargo ne sont pas des petits joueurs . Sans preuves, il ne peut demander au Chéliax une invasion de Korvosa car il n'a pas de quoi accuser Iléosa ni la Maréchale . Il la connaît assez pour savoir qu'elle se contenterait largement d'un gros dédommagement, il suspecte qu'elle se fiche de l'avenir de la ville, mais ne peut pas la pointer ouvertement, sa mort ne manquerait à personne . Jarvis remarque qu'ils sont passés relativement inaperçus, et ils arrivent à voir que l'ambassadeur affiche une mine déconfite . Il a lu la lettre trois fois pour être certain qu'il ne rêvait pas . En essayant de voir derrière les masques, il aperçoit Lorthact, le recteur de l'Académie, qui est en train de discuter avec d'autres nobles afin de les convaincre d'envoyer leurs enfants dans ses cours . Ce qui n'est pas du goût de tous car certains disent à demi-mot qu'il fait invoquer trop de diablotins à leur goût, mais ne peuvent le critiquer directement car ses activités sont ouvertement soutenues par la reine, qui pense qu'apprendre aux jeunes à dompter les diables ne peut pas être pire que de les laisser se faire harceler ouvertement alors que la ville n'est pas sûre . A part ça, la magistrate Zénobia est présente pour surveiller qu'il n'y ait pas de débordements, et étonnamment, Périshial Kalissraevil est présent pour entretenir les relations avec la ville, et accessoirement de trouver des jeunes femmes à son goût qui partagent le sens de l'aventure . Sont aussi de la fête les nains de Janderhoff pour discuter commerce . Il pense que s'il tente le moindre coup d'éclat, sa vie sera déjà finie . Pareil s'il essaie d'envoyer des assassins à la recherche de ces maître-chanteurs et que ça se sait . Il a emmené des gardes, mais ne pouvait pas les appeler sans que ça ne pose trop de questions . Il leur demande donc discrètement de jeter un oeil dehors mais de ne pas quitter le repas . Il va dans le couloir, sans forcément savoir ce qui l'attend . Ne pas être dans son élément le met mal à l'aise . Jarvis a des scrupules à aller jusque là mais s'y plie car les enjeux sont plus importants que ses seuls principes . L'ambassadeur s'exprime à demi-mot . " Qu'est-ce que vous voulez ? "Modifié par un utilisateur jeudi 6 février 2014 11:15:17(UTC)
| Raison: Non indiquée | *Les convictions par rapport au jeu de rôle sont faites pour être bousculées, n'en déplaise à certains vivant encore dans les années 80 . L'inverse est vrai, le rollplay n'est pas intéressant* |
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 Eldak Silverkin Jugement : 1/1 Sort niv 1 : 3/3 CA : 15 Eldak se sent très à son aise parmi ce genre de foule, c'est un paradis d'informations potentielles. Mais pour l'instant il surveille les arrière de Vendarion tout en se mêlant à la foule, il ne reste pas à la table avec les autres pour éviter que le groupe soit tous ensemble et trop facile à repérer à faire la même chose que lui... - perception : 1d20+12 donne [13] + 12 = 25
- psychologie : 1d20+12 donne [4] + 12 = 16
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« Oh, si peu de choses... tout d'abord vous faire part de mon admiration. Vous êtes un homme riche et influent, vous avez une superbe maitresse, et vous gâcheriez tout cela pour des manoeuvres politiques que je présume fort patriotiques, mais tellement risquées, et pour quelle récompense ? Vous vous êtes fait trop d'ennemis pour ne pas devoir envisager sérieusement de modifier radicalement votre stratégie politique entre le Chéliax et Korvosa, vous ne croyez pas ?
Cela ferait le plus grand bien à la ville, ça vous rendrait un peu moins impopulaire et surtout, cela éviterait à votre charmante maitresse de prendre froid en dormant seule... oh pardon, j'oubliais qu'elle était mariée.
Et comme je me doute que ce changement de politique rendra quelque peu inutile les nombreux investissements que vous avez fait dans le vieux Korvosa et que je ne veux pas que vous vous retrouviez sans liquidités, je me suis permis d'apporter quelques promesses de ventes... pour l'orphelinat que vous vouliez transformer en monastère dédié à Baphtis, pour la tour de ce pauvre mage Zarun que vous avez ruiné en révélant ses penchants envers ses jeunes apprentis, et deux ou trois autres bâtiments qui vous sont plus encombrants qu'utiles, et ou vous n'avez pas été vraiment corrects envers les anciens propriétaires... notez que je vous laisse les autres, il vous reste largement de quoi profiter de la vie. »Tout ce que l'ambassadeur peut voir de son interlocuteur, c'est une veste sombre et un chapeau noir qui laisse dans l'ombre un visage terriblement banal...  « Pour les contrats, vous n'avez qu'à marquer "lu et approuvé" et signer »
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petite erreur, c'est bien vendarion qui rencontre l'ambassadeur, Jarvis veut simplement s'assurer que les promesses de ventes soient bien utilisées.
+ J'éditerai ce message si l'ambassadeur résiste, mais ça me semble peu probable.Vendarion CA: 15 ct 12 sur 13 rapière +3 - 1d6 / 19x2 Vendarion revient à la table de ses compagnons quelques minutes plus tard... « C'est fait... et voici les promesses de vente, toutes au nom d'un "compte anonyme" du temple d'Abadar; c'est cette précautions qui nous coûte 5%; la lettre est un cadeau parce que je n'ai pas voulu prendre le risque de laisser l'écriture d'un d'entre nous entre les mains de l'ambassadeur. Je m'occupe de la distribution ou je te les confie ?... hum, quelle bête question... J'aurais bien gardé la tour de Zarun pour mon usage personnel, ses héritiers ont quitté la ville après le scandale des... enfin, le scandale que vous savez, et il est probable qu'ils n'aient pas envie de la reprendre... mais notre ambassadeur a fait une fixation dessus et ne veut pas la vendre.
Je lui ai laissé en précisant qu'en contrepartie, je viendrais de temps en temps lui demander une info ou l'autre. »Il remet à Jarvis les "promesses de vente". Edit (ajout): Le billet à ordre de 10.000 PO reste lui soigneusement dans la poche de Vendarion. « Je présenterai le prêtre demain à la première heure... »Modifié par un utilisateur vendredi 7 février 2014 04:59:12(UTC)
| Raison: ajout
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Jaris Canalisations 7/7 Chance 7/7 Libération 3/3
Merci à toi pour ton aide. J'irai au temple d'Abadar entre confrères prêtres nous pourrons échanger au passage. »Modifié par un utilisateur jeudi 6 février 2014 14:51:05(UTC)
| Raison: Non indiquée
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L'ambassadeur est surpris par la présence de Vendarion, qu'il n'arrive pas à reconnaître .Il n'est pas assez compétent pour essayer de percer le déguisement. S'il n'a pas envie de s'exécuter, il sait qu'il n'a pas vraiment le choix . Pour lui il vaut mieux trois quarts de vie que pas de vie du tout . Il essaie de proposer un arrangement . " Je suppose que vous avez réussi à convaincre Dévargo Barvasi de vous remettre les lettres . Vous avez beaucoup de culot . Si vous devez critiquer quelqu'un, c'est plutôt la plupart des fonctionnaires de Korvosa qui sont trop faibles pour tenter de résister à mon " invasion " . Je peux même vous dire que ça en arrange certains . Je ne sais pas précisément qui, mais ... là, vous pouvez me croire sur parole, je ne dirais pas ceci si si je n'en étais pas sûr .
Je n'en ai rien à faire de mon impopularité ici . Je joue justement sur ça . Ca aide à faire passer des manoeuvres autrement pires, et la peur est une bonne arme également . Si mon pays n'attaque pas ouvertement la ville, je ne suis sûrement pas le seul à vouloir dominer tout ce troupeau . Surtout ces sous-guerriers de Desna et de Iomédaé qui font régresser la civilisation à l'âge de pierre avec leurs certitudes mal placées .
Je ne signerai aucun document que j'ai obtenu légalement . Pour ceux-ci, je ne proposerai qu'un dédommagement forfaitaire . Il y a correct et correct . Je ne signerai que ceux qui n'ont pas été conclus selon les règles en vigueur . Au lieu de défendre systématiquement la veuve et l'orphelin, certains devraient critiquer leur propre hypocrisie . Parce qu'au moins, j'agis avec une certaine honnêteté intellectuelle bien que peu morale . Zarun le méritait . Tout le monde sait que c'est très mal vu de sortir avec ses propres élèves . S'il retrouve quelque chose, tant mieux mais il ne me manquera pas .
Voilà, j'ai signé ceux que je peux signer, et je vous propose dix mille pièces d'or pour le reste . Au fond, le Chéliax se fiche de savoir si Korvosa va revenir dans son giron ou non . Mais officieusement ils voyaient ma tentative d'un bon oeil . Mais essayez d'affronter la maison Thrune et je ne donne pas cher de vous .
Je ne peux pas faire mieux . Pour le reste, demandez-vous si la reine se soucie vraiment de son peuple . Elle aurait largement pu intervenir . Elle ne l'a pas fait . Pour quelqu'un qui se soucie de son peuple, c'est bizarre, non ? "Modifié par un utilisateur jeudi 6 février 2014 17:10:45(UTC)
| Raison: Non indiquée | *Les convictions par rapport au jeu de rôle sont faites pour être bousculées, n'en déplaise à certains vivant encore dans les années 80 . L'inverse est vrai, le rollplay n'est pas intéressant* |
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 homme au chapeau CA: 15 ct 12 sur 13 rapière +3 - 1d6 / 19x2
Ma première intention était d'être intransigeant au dernier degré, mais à vous entendre, je vois que vous êtes toujours prêt à retomber sur vos pattes, quelle que soit la hauteur. Alors je crois que je vais vous faire une fleur pour la tour de Zarun... moyennant bien sûr quelques réponses plus précises sur certaines de vos fréquentations. Nous en reparlerons à l'occasion, j'aime beaucoup la conversation des gens bien informés. Mais soyez tranquille, vous serez quitte financièrement après avoir signé ce dernier document: un billet à ordre pour le dédommagement forfaitaire. Vous vous en tirez à bon compte, personne ne lira vos vers tant que vous ne tenterez pas de les récupérer ou de me flouer d'une manière ou d'une autre. Nous nous comprenons bien ?
Tenez c'est assez amusant, de cette fenêtre, on distingue à peine la haute tour de l'Acadamae, mais les quasits qui se sont installés en haut de cette tour peuvent très bien nous voir. C'est tout le danger de Korvosa, il faut voir sans être vu si on vuet simplement survivre... »Pendant quelques secondes, le regard de l'ambassadeur est attiré par le paysage... lorsque son attention revient à l'endroit ou il se trouve, l'homme en noir a disparu.
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Pour la lecture des derniers événements, le retour de Vendarion a évidement lieu après sa discussion avec l'ambassadeur.Vendarion CA: 15 ct 12 sur 13 rapière +3 - 1d6 / 19x2 Durant la suite de la soirée, Vendarion commence à écrire un court billet. « Madame, même si je n'ai pas la plume ardente des poètes volages,
Je tiens à vous assurer que mon pays vous sourit, que ses habitants sont des plus serviables et que ses plus nobles Représentants sont à votre service,
Commandez et ils obéiront.
V »« Il y a un petit détail que j'allais oublier, certaines personnes doivent savoir que leurs affaires vont pour le mieux. »C'est à ce moment là que l'élégant chapelier qui a salué le groupe à son entrée approche de la table.  « Ah messire Nazrim, puisque je vous retrouve, je crois qu'il y a une erreur sur votre bon de commande... vous avez indiqué trois pas de "fil de rêve", je présume que vous vouliez dire, trois pieds. Sinon, ce serait vraiment une grosse commande et je devrais vous demander un acompte... ou une reconnaissance de dettes »« Il n'y a pas d'erreur messire Théol, c'est bien trois pas, soit trois bobines entières. Nous discuterons de l'acompte demain ? Disons dans l'après midi, ce sera une journée chargée. »« Et bien, je ne veux pas vous presser, c'était juste pour ne pas me tromper et commander des marchandises que je mettrais des mois à écouler... ooh, vous écrivez des billets doux ? Drôle d'idée d'écrire "Représentant" avec une majuscule, mais j'imagine que ça donne un genre... »« Vous êtes bien indiscret... mais puisque je vous ai sous la main, cela ne vous dérange pas de le glisser dans la main de la dame en armure qui se tient debout derrière la grande table ? »« L'aide de camp de la Maréchale ?... je vous imaginais plutôt porté vers des demoiselles plus jeunes et moins martiales. Enfin, vous allez cherchez fort loin ce qui est peu-être tout près de vous... le bonsoir messieurs dames, j'espère avoir le plaisir de vous revoir danser à la Tortue mademoiselle... Liana ? »L'aide de camp semble perplexe en recevant le billet... elle le remet à Cressida qui, après l'avoir lu, s'éclaire d'un large sourire... décodage express: la "plume ardente" fait référence aux lettres, "mon pays" est le Chéliax et le "Représentant" est l'ambassadeur.Modifié par un utilisateur vendredi 7 février 2014 10:35:22(UTC)
| Raison: Non indiquée
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 Eliana C. d'Armure 17 Réserve Mag. 5/5 Si Eliana n'avait aucun problème avec la magouille de ce soir, son temps parmi les sczarnis lui avait appris qu'elle n'était pas très douée pour la chose. Elle laissa donc Vendarion s'en charger, Jarvis le surveiller de près et Eldak le surveiller de loin. Elle allait plutôt profiter de cette soirée mondaine. Parfois, seulement parfois, ce monde lui manquait. Pour l'occasion, elle s'était procurée une jolie robe à la mode chélaxienne que ses parents désapprouveraient. La mode chélaxienne était très... dévoilante et collait davantage aux courbes. Elle était aussi beaucoup plus confortable que les corsets portés par les femmes de son pays. Comme elle avait passé la veille Chez Tenna, elle était resplendissante. Elle en profita pour essayer de parler un peu avec Flaven et Tahornill et d'en savoir un peu plus sur ces derniers. Lorsque le chapelier vint voir Vendarion, Eliana sourit à son compliment à peine voilé, mais elle était d'avis que son charme était perdu auprès de ce cher Vendarion et lorsque le chapelier mentionna ses performances, elle lui répondit avec enthousiasme « Absolument! Je devrais y être mercantdi. Et cette semaine, je vous prépare un tout nouveau numéro alliant la chaude musique de Qadira à la cadence rythmée varisienne. »Modifié par un utilisateur vendredi 7 février 2014 20:19:26(UTC)
| Raison: Non indiquée | O-97 - Inari, sorcière, niv. 7
AB-89 - Leeana, ensorceleuse/diaboliste, niv. 9
AW-74 - ???, rogue, niv. 1
BB-84 - MJ qui fait son possible
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Vendarion CA: 15 ct 12 sur 13 rapière +3 - 1d6 / 19x2 # à voix basse « En ce qui me concerne, je pense en avoir terminé pour ce soir; si nos employeurs ont besoin de nous dans les prochains jours, ils sauront bien ou nous trouver... combien de capes de résistance manque-t-il pour équiper tout le monde ? ... trois, quatre, cinq... et bien je devrais en faire une ou deux dans les prochains jours, celà ne m'empêchera pas de venir vous admirer mercantdit bien sûr... »fin de la soirée pour moi, sauf si un imprévu se présente...
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Cressida lit la lettre, et bien qu'elle ne pourra jamais dire ouvertement que c'est bien joué, elle sourit de ne plus avoir l'ambassadeur sur le dos pour au moins un bon moment . L'initiative privée d'un patriote est stoppée, et c'est ce qui lui importe le plus . Elle laisse le groupe en profiter, car elle ne sait que trop bien que mener à bien cette manoeuvre peut être épuisant . L'artiste personnelle du roi, Trinia Sabor, a été accusée de son meurtre, et sa culpabilité est incertaine . La reine insiste pour qu'elle soit exécutée sans autre forme de procès, mais elle compte demander au groupe de la retrouver avant .
Le chapelier est impatient de pouvoir recruter Eliana pour quelques journées pour effectuer des danses sur scène . Il se frotte les mains par rapport à l'achat massif de Vendarion .
" Vous aurez droit à une partie fixe, mais vous pouvez vous douter que le reste dépendra de vos performances . Ca vous va comme ça ? Quant à vous messire, j'espère ne pas trop tarder pour vous procurer la quantité de fils que vous demandez . Je peux vous en fournir une partie tout de suite, mais je n'aurai sans doute pas le reste avant un certain temps . J'aurai des réductions pour un achat de gros, je pourrai vous le répercuter . "
Vendarion craignait un imprévu . Heureusement rien de mauvais ne se passe . Il peut savourer le culot dont il a fait preuve . Mais il est interrompu par la réception d'un billet doux semblant provenir de l'aide de camp, qui si elle n'était pas engagée dans la garde pourrait très bien être avec Vendarion malgré son âge un peu plus élevé . Bien qu'il soit codé, le message est clair . Cressida leur demande de venir à la citadelle quand ils pourront, car ce n'est pas pressé mais que ça l'arrangerait qu'ils viennent plus tôt .
La soirée se passe normalement, entre politesses d'usage et autres plaisanteries classiques . | *Les convictions par rapport au jeu de rôle sont faites pour être bousculées, n'en déplaise à certains vivant encore dans les années 80 . L'inverse est vrai, le rollplay n'est pas intéressant* |
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 Le lendemain au temple d'Abadar, Vendarion et Jarvis rencontrent le prêtre Hingold Vitrust. Cet homme de chiffre plutôt que de foi a été successivement Charlatan, Comptable d'un baron de la pègre et galérien (lorsque la bande dont il tenait les comptes a été dissoute) avant de se "racheter" en mettant ses dons au service d'Abadar. Sa place dans la hiérarchie du temple est modeste, mais la discrétion dont il fait preuve vis à vis de ceux qui font appel à lui est fort appréciée... elle est même poussée à l'extrême puisqu'il ne cite jamais de nom propre pendant ses entretiens car "ça lui a joué de mauvais tour dans sa jeunesse". « Bien le bonjour messire l'aristocrate, et à vous aussi messire prêtre. Je dois avouer que je ne m'attendais pas à vous revoir de sitôt... tout au plus je pensais que vous m'enverriez un mot d'excuse pour m'avoir dérangé inutilement tant votre idée de faire appel à la bonne conscience du sire indélicat me semblait irréaliste... mais fort généreuse tout de même. Mais si vous êtes là, et en compagnie d'un représentant du clergé, c'est que vous êtes au moins en partie arrivé à vos fins. »« En partie seulement car le seigneur a été intraitable au sujet de la tour du mage débauché... il était partagé entre la certitude du "devoir accompli" et le remord d'en avoir tiré un bénéfice personnel... et c'est hélas le premier sentiment qui l'a emporté. Mais pour le reste, voici les documents concernant les autres bâtiments: l'orphelinat de Desna entre autres, tous prêts à être revendu à la moitié du prix qu'il les a payé - soit le quart du prix normal -, nous étions convenus que les anciens propriétaires puissent les racheter à ce prix là, plus votre commission.
Je pense que Jar... heu, le représentant de Desna ici présent, n'y verra aucune objection. »« Et tout cela sans bénéfice pour vous même ? Je suis autant admiratif qu'étonné... mais on dit que les dieux sont généreux envers les gens désintéressés... »Une pointe d'ironie est perceptible dans cette dernière phrase... « Et bien, je peux me le permettre puisque votre dicton semble se vérifier... j'ai une autre affaire en cours dont nous parlerons tout à l'heure. »« fort bien... oh à ce propos, figurez vous que ce matin très tôt, avant même l'ouverture du temple en fait, un particulier est venu nous vendre des statues de Desna qui "encombraient la cave de sa propriété depuis trop longtemps", mon collègue a essayé de le convaincre qu'il serait plus approprié de les offrir au temple de Desna, puis il a négocié sur le prix demandé. Nous les céderont bien sûr au temple de Desna sans prendre la moindre commission cette fois. Et rassurez vous, nous avons obtenu le prix le plus bas possible. »L'affaire en question est simplement d'encaisser le billet de l'ambassadeur pour payer l'acompte du chapelier...
L'ajout sur la vente des statues de l'orphelinat - pur RP - me semble coller assez bien à la mesquinerie et la cupidité de l'ambassadeur.
Je n'ai pas détaillé les autres bâtiments, je ne sais pas si c'est utile vu que c'est juste pour les rendre.
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Rang : Habitué
Inscrit le : 01/09/2013(UTC)
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Hingold Virtust s'entretient avec Vendarion en aparté à propos du billet de l'ambassadeur . Il lui explique la situation par rapport au chapelier .
" J'imagine comment vous avez réussi à " convaincre " l'ambassadeur de vous signer un billet d'un tel montant, c'est très bien joué . Vous imaginez bien que vu mon passé, je ne vais pas vous critiquer, au risque de passer pour un hypocrite .
Vous avez besoin de faire la transaction avec le chapelier dans les règles ? Pas de soucis, je m'occupe de ça . "
Il rédige l'acte notarié sur une feuille de parchemin de très bonne facture avec une encre assez raffinée . La plume est précise, il n'y a pas de gâchis . Il met presque une heure avant de consigner ceci dans le registre et d'en donner une copie au roublard/transmutateur .
" Voilà pour vous ! Oui, pour les propriétés, ça risque d'être un peu plus longtemps . Mais rien de dramatique, il faut juste que ça ne soit attaquable par personne, et surtout pas par certains opportunistes que je ne peux pas nommer dans cette pièce . Dans tous les cas, je les remettrai à qui de droit . "
Il se retient d'afficher une ironie encore plus marquée envers Jarvis, mais c'est uniquement parce que Vendarion est présent . Sinon c'est uniquement pour maintenir de bonnes relations commerciales avec Desna qu'il s'exécute . Pas parce qu'il adhère à ses principes . | *Les convictions par rapport au jeu de rôle sont faites pour être bousculées, n'en déplaise à certains vivant encore dans les années 80 . L'inverse est vrai, le rollplay n'est pas intéressant* |
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