Si tout les voyageurs sont ainsi accueillis elle doit être bien vide cette auberge...

Nicklod s'avança vers la porte de l'auberge et la poussa y entrant.

« Bonjour ! Il me faudrait une chambre pour moi et d'autres pour mes compagnons. » dit il d'une voix forte une fois à l'intérieur.

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Hartag se rendit vite compte que le jeune garçon était muet (c'est du moins l'impression qu'il donnait), il répondait toujours par une espèce de grognement et avec un large sourire.

Nicklod rentra dans une salle aux tables en chêne foncés ,des chaises et bancs remplissaient cette confortable salle commune, en forme de L, des faibles odeurs de tabac et de bière imprègnaient l'air. Des fenêtres étroites avec des vitres fumées le long des murs nord et sud permettaient un peu à la lumière de rentrer dans cet espace accueillant.

A suivre....

....La suite.

Au centre de la pièce se trouvait une vieille matrone vêtu de vêtements de paysan et d'un tablier, qui collait très bien avec le tableau que représentait cette salle commune d'une auberge de campagne. Ses chevaux blancs volumineux étaient empilés sur sa tête dans un lourd chignon.

« Bonjour, mes seigneurs  »Dit-elle avec un grand sourire « Des chambres pour la nuit, pas de problème. Mais qu'est ce qui vous amène dans ces terres, voyageurs?  »

On vient délivrer des nains séquestrés par des prêtres de Razmir, dis-nous tout de suite où ils sont et peut-être que je t'épargnerai eut envie de répondre Belka à la vieille femme mais elle préféra laisser les personnes plus diplomate qu'elle entamer la discussion quitte à utiliser sa méthode si la manière douce échouait.

Au parole d'Hartag, La vieille dame sourit : « Oh vous savez à notre age, nous sommes un peu curieuses, surtout quand ce moment les affaires sont un peu au ralenti. Cela nous fait tellement plaisir d'avoir des clients, en plus commerçants.  »

Elle se tourna vers une salle, qui se trouvait à la droite d'où les aventuriers étaient rentrée : « Eugenia, Tarsi nous avons des clients.  » Deux femmes qui semblait aussi vieille que la première et qui devait être sœur car elles se ressemblaient comme deux goutte d'eau, sortir de ce qui devait être la cuisine.
L'une portée un foulard au tour du cou, qui ressemblait à celui d'Amauhak, l'autre avait un pot de confiture et une corbeille de pain dans les mains.

« Je vais leur servir un petit en cas pendant que vous préparez le repas, les filles. Vous pensez rester combien de temps, dans notre établissement?  »

Nicklod fut désespéré de la façon dont ses camarades s'étaient présentés, il tenta donc quelque chose de son côté.

« Bonjour Madame. Je vous comprends, je pensais que votre auberge serait pleine et je craignais de ne pouvoir dormir dans un endroit confortable. Mais je suis rassuré quant à ces deux craintes.
Mais permettez moi de me présenter, je suis Aristide Kolsh et en tant que suivant d'Abadar toujours à la recherche d'opportunités économiques. Je parcours donc votre magnifique pays et j'ai constaté qu'il était parfaitement gardé et protégé par des gens compétents et efficaces. Nous avons pu constater la vigilance des suivants de Razmir et bien que je ne partage pas leurs idéaux l'Ordre et la Loyauté semblent diriger leurs actions.
Je pense donc qu'il devrait pouvoir être possible à mon ordre d'établir quelques comptoirs ici.

Peut-être seriez vous intéressées pour que votre auberge devienne l'un de ces lieux ? Bien entendu, étant donné que nous sommes chez Razmir nous resterons particulièrement discret quant à notre affiliation religieuse afin de ne pas froisser ses fidèles sujets et ses prêtres.

Quant à mon séjour ici, cela dépendra de votre accueil et des opportunités que je pourrai trouver ici. Pouvez vous m'en dire plus ? »

• Bluff : 1d20+4+1 donne [9] + 4 + 1 = 14

Dildo répondit en souriant, « Une chambre simple me suffira amplement... dans un lit double, je risquerai de me perdre ! Mais pour l'instant, nous souhaiterions bien boire et manger ensuite. Que nous proposez-vous ? » Puis l'halfelin alla s'assoir avec ses compagnons à une des tables en attendant d'être servi. En attendant, il observa la réaction des gens présents et commença à étudier les lieux.

La femme fit un large sourire à Nicklod, elle était charmé par ses propos : « Vous était trop généreux mon seigneur, mes sœurs qui sont aux fourneaux font de la bonne nourriture, du moins j’espère qu'elle vous plaira.
Mais, je vais vous emmenez à vos chambres pour que vous vous mettiez à l'aise, il y a aussi une salle d'eau avec de baignoire si vous voulez prendre un bain chaud. J'attends de savoir dans quelle chambre vos compagnons veulent dormir, puis je vous emmènerez dans vos chambres.  »

« Quoi que avant qu'il fasse leur choix, je peux vous emmenez dans la votre, vous qui me paraissez le chef de ce groupe » continua-t-elle en demandant à Nicklod de le suivre.

Nicklod suivit la vieille femme dans un couloir et ils prirent la première porte à droite, pour tomber dans une chambre aux draps de soie avec une couette épaisse couvrant le grand lit une chambre somptueuse , la chambre avait une fenêtre haute et étroite.

Modifié par un utilisateur mercredi 30 octobre 2013 05:54:38(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'air méfiant et fermé, Belka indiqua à la femme que pour sa part, elle prendrait la chambre à 5 pièces d'argent. Ce serait largement suffisant. Elle failit lui demander aussi si elle n'avait pas un antidote contre le poison mais elle se retînt.

Quand l'aubergiste se fut assuré que Nicklod était bien installé, elle accompagna quatre des compagnons à leur chambre et elle se tourna vers Hartag : « Je suis désolé, je n'ai que 4 petits chambre, il faudra que vous alliez dormir dans une au prix plus élevé, je vais vous donner celle en face de votre chef. »

Tout le monde se vu donc attribuer une chambre.

Les quatre qui avaient pris les petites chambres, passèrent à travers un salon, des plus charmants, dominé par une large cheminée, ou une bûche se consumait laissant une douce chaleur se rependre.
Quelques tables et chaises rembourrées assuraient un bon repos pour les clients de l'auberge, et les tapis assortis de fabrication Qadirane recouvraient le sol.
Addas Grymble (l'aubergiste qui les a accueilli) expliqua que c'était le salon réservé à des clients comme eux, et pas aux paysans du coin, qui se contentait de la salle principale.

Ces petites chambres disposait d'un lit de plumes confortable. La porte pouvait être verrouillée de l'intérieur.

La chambre d'Hartag était elle un peu plus grande, il y avait un lit double et comme toute les chambres, elle était composé d'un verrou qui pouvait se fermer de l'intérieur.

Après s'être installé, ils se retrouvèrent dans la petit salle cosy, où leur fut servit un repas des plus copieux aux fumets des plus alléchant (du moins pour ceux qui avait faim). L'auberge semblait être tenu par les trois sœurs, le sourd-muet avait disparu, il devait sûrement vivre dans l'écurie et s'occuper de celle-ci.




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