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Kamako la regarda alors , un regard plein de malice
Je pense qu'effectivement, cela vous va à ravir Dame Aburame puis elle se mit alors à rire, de ses petit rire agréable que peuvent avoir deux amies complices | |
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Zaito, après avoir fait le tour des convives, pris la parole devant la petite assemblée :
"Très chers amis, je tenais à vous remercier vivement pour votre présence aujourd'hui. Ceci me touche profondément je peux vous en assurer.
Hosokawa-sama, merci à vous de vous être déplacé jusqu'ici. Votre présence nous honore grandement.
Sasoriro-sama, je ne sais comment t'exprimer ma gratitude pour ce que tu as fait pour nous aujourd'hui ! Nous t'en sommes éternellement reconnaissant"
Il s'approcha de sa femme et lui dit :
"Aburame Shinobu... Je trouve que cela te va à ravir"
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Sasoriro_dono s'inclina devant le couple Aburame
Tout cela n'aurait pas était possible sans l'aide de Shiromiya-dono et de Togari-dono ainsi que le Hosokawa-sama. Sachez que chacun d'entre nous à contribué à cet évènement. Il ne serait donc pas juste que je m'octroie la réussite de votre mariage . dit il très humblement | |
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Dame Shinobu adressa un sourire complice à son mari.
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Kamako-gozen appela discrètement un serviteur , qui revint alors quelques instant plus tard, avec dans les mains un présent . Kamako s'en empara alors et se dirigea vers son amie
Shinobu-gozen, Sasoriro-sama s'est entretenu avec Zaito-dono. Il semblerait que la proposition que je vous ai faites ait plut à votre bien aimé époux . Laisser moi donc vous faire se présent mon amie
Elle tenait dans ses mains délicates, un tissu en soie aux couleurs du clan Aburame. Se tissu semblait enrober très certainement un objet de valeur
Kamako offre un Biwa à Shinobu. Je pense qu'elle a du en jouer quelques airs lors des moments de solitudes qu'elles ont pu vivre ensemble lors de cette longue période où nous avions disparu | |
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Le visage de Shinobu s'éclaira en voyant l'instrument de musique.
Elle s'inclina devant dame Bayushi.
« Kamako-gozen, je vous remercie de votre présent. Puisse Benten vous apporter la joie... »
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Kamako s'inclina alors devant son amie
Benten, m'a en ce jour apporté énormément de joie . Et j'espère qu'elle vous apportera le bonheur que vous méritez dans votre couple | |
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Shinobu eu un sourire.
« Je suis persuadée que les jours que je passerai en compagnie d'Aburame Zaito-dono seront emplis de bonheur, Kamako-chan. »
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La réception commença alors quelques temps plus tard. Un somptueux repas avait été organisé pour fêter l'occasion. Des mets venus de tout Suruga se retrouvaient servi sur des plateaux finement décorés . Du saké venu de Kaï venait agrémenter le repas de chacun. Le clan était à l'honneur à ce jour .Alors que les compagnons étaient tous réunis , devant un somptueux plat d'anguille, Sasoriro demanda à son ami Zaito
Zaito-dono, depuis tout le temps que nous sommes ensemble, je ne vous ai jamais réellement entendu parler de vos ancêtre. Je savais que vous vouliez venger votre père , ce qui est tout à votre honneur, mais parlez moi donc un peu plus des origines de votre famille... si cela n'est pas trop indiscret j'entend bien | |
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Zaito pris quelques secondes avant de répondre à son ami. Il essayait de se repasser les quelques souvenirs qu'il avait pu garder.
Mon père, a toujours été un modèle pour moi. Il était vaillant et brave. Il occupait son poste de général avec ferveur et humilité. Je l'ai toujours connu ainsi, et je crois bien avoir hérité de son sens de l'honneur.
Etant lui aussi fils unique, il était seul à incarner le clan Aburame. Notre famille à toujours été vassale des Tadanos, et c'est un honneur pour nous de les servir.
... je n'ai malheureusement pas connu ma mère. Elle était très belle parait-il, et une excellente guerrière... impétueuse... mais n'est ce pas là le signe des lions ? En tout cas je sens son empreinte dans chacun de mes combats, et je sais qu'elle vieille en permanence sur moi.
Mon oncle, qui m'a recueilli, aimait véritablement sa soeur. C'est lui qui m'a enseigné l'art de la guerre... et il a pris soin de moi comme son propre fils. J'aimerai un jour pouvoir le remercier comme il se doit.
Zaito soupira un bref instant
Vous comprenez je pense. La famille et l'honneur sont pour moi indispensables, et j’espère pouvoir rétablir celui de mon clan
Cette journée me semble de bon augure. Puisse les kamis et les fortunes nous soutenir
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Sasoriro écouta attentivement Zaito-dono. Le rônin à l’honneur inflexible était réellement un personnage important au sein du groupe . Sasoriro sembla satisfait que son ami se livre enfin à lui de manière si ouverte . Il resservi un peu de saké à son compagnon avant de prendre la parole, d’une voie douce et sereine
Je vois ne peux qu’acquiescer à ce que tu me dis Zaito-dono . Le sang du lion coule dans tes veines, et je pense que l’impétuosité de la valeureuse samouraï-ko qu’était jadis ta mère guide ton bras avec assurance.
Votre histoire est bien triste , et je déplore que vous n’ayez pu plus connaitre vos parents .
Sasoriro porta délicatement sa tasse à saké aux lèvre, en bu une petite quantité avant de reprendre
Je suis un mauvais ami , Zaito-dono, j’avoue ne pas avoir pensé à tenter de joindre votre oncle, qui semble être la plus proche figure paternelle que vous ayez eu . Souhaitez vous que j’essaie de joindre ce dernier en votre nom ? Mais je vous que vous sachiez que la tâche risque d’être compliqué, étant donnée les relations qui règnent actuellement entre le clan de la grue et celui du lion … | |
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Zaito sourit à son ami Sasoriro.
Sasoriro-Dono, ne vous donnez pas cette peine. Vous vous êtes déjà formidablement illustré en réalisant une si belle cérémonie. N'allez surtout pas vous accabler de reproches !
Mon oncle n'aurait de toute façon pas eu le temps de se déplacer jusqu'ici, et effectivement, il est plus sage de ne pas inviter un membre du clan du lion sur les terres des Grues en ce moment.
Peut être irai je le revoir si le temps me le permet.
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On clôt ici la page du mariage.
Après la bataille de Minari, je retourne voir Shinobu. Elle sera ainsi rassurée de savoir que nous sommes en vie.
Nous repartons ensuite, Atasuke et moi, vers les lignes Hida (que l'on a donc vu au sud de la rivière), puis on remonte vers le château de Kakegawa où l'on essaye de rencontrer Tsume Takeshi. J'informe alors Hosokawa, Sasoriro et Ryotsu du recul de l'ennemi.
Lorsque nous sommes avec le "sniper" goseki, je lui pose plusieurs questions :
Qu'est devenu l'oncle de Takeshi-sama. Est-il mort ou en fuite ? Que deviennent ceux qui s'étaient rallié à lui ?
A t'il vu quelqu'un lors du siège porter mon armure de topaze ?
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Tu ne sais pas ce qui est advenu de l'oncle de Tsume Takashi.
Il est présumé mort...
Personne n'a été vu arborant l'armure de topaze...
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Comme nous n'arrivons pas à avancer, je propose a Atasuke de nous rendre directement chez les Hidas. Il pourrait être utile d'avoir des infos sur son frère, sur Togari... et mon armure. On se fera passer pour ce que nous sommes, 2 rônins qui cherchent du travail sur une zone de guerre... Bien sur je préviens Sasoriro avant de partir... Modifié par un utilisateur mardi 11 mars 2014 15:59:25(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Du danger, une mort certaine! Je suis partant.
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Sasoriro ne fût que peu surpris de recevoir une lettre de la part de son ami. Quand il l'avait vu partir pour les terres de la familles Tsume en compagnie de Atasuke-san, il savait que les deux compagnons allaient se diriger vers les terres du clan du crabe
Qu'y a t'il Sasoriro-sama lui demanda d'une voie douce la belle Kamako
Kamako-dono, je crains que nous n'ayons à annoncer à Shinobu-gozen que Zaito-dono ne rentrera pas tout de suite . Je sais que tu feras ton possible pour la distraire en l'absence de son mari
Kamako acquiesça , puis se dirigea vers les appartement du clan Aburame sans dire un mot de plus ... | |
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Les deux ronin avaient quitté Kakegawa sans avoir eu l'opportunité de s'entretenir avec le seigneur Tsume Takashi.
Les samurai Tsume avaient hurlé de rage quand Aburame Zaito avait osé demander une audience avec leur maître.
« Sale ronin arrogant ! » lui avaient-ils craché. Il entendait encore leur cris indignés alors qu'il cheminait sur la route en compagnie d'Atasuke. Ca et là, on pouvait distinguer les traces de plus de deux années de guerre. Des maisons brûlées, des carcasses pourrissantes... Tel était le paysage ravagé qu'offrait à présent Totomi...
Suite au départ précipité des Hida, la vie reprenait lentement son cours. Quelques paysans craintifs s'affairaient par endroit pour réparer les dégâts, reconstruisant des maisons ou réparant des enclos. La vue des ronin suffisait en général à les faire fuir, telle une volée de moineaux. Seule une vieille femme avait osé s'en prendre verbalement à eux, traitant la caste des samurai de parasites vivant aux dépends des heimin et répandant la mort selon leur bon vouloir.
Ce ne fut qu'arrivés en vue de la rivière Tenryu que les deux voyageurs aperçurent les premiers samurai depuis leur départ. Les Hida avait apparemment décidé de s'établir derrière la rivière et étaient semble-t-il en train de construire des ouvrages défensifs...
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(ha oui je croyais l'avoir ajouté hier, mais j'envoie également une lettre à Shinobu... je lui dit que je part en terre Hida tenter de retrouver notre ami Togari. Qu'elle ne s’inquiète pas, j'ai l'habitude de ce genre de péripéties...)
Nous essayons donc de passer la frontière "normalement", en prétextant que nous sommes des rônins qui cherchent à se faire un peu d'argent comme mercenaires (et que nous profitons des batailles dans le coin). Bien sur nous ne portons pas de signes qui pourraient nous distinguer comme "grue", et j'essaye autant que possible de dissimuler mon visage derrière mon large chapeau.
Zaito dit à son ami Atasuke :
"Garde ton sang froid et tout devrait se passer normalement... évite d'attirer leur attention de quelque manière que ce soit"
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Bien qu'approchant lentement de la frontière naturelle dessinée par la rivière, l'arrivée des ronin sembla provoquer une certaine agitation dans les rangs des soldats Hida.
Ce fut alors qu'un sifflement aigü se fit entendre au loin. Avisant l'approche des deux voyageurs armés, l'un des archers venait de tirer une flèche sifflante afin de prévenir la garnison proche de l'arrivée d'intrus.
Quelques instants plus tard, un petit détachement de cavaliers traversa le pont qui enjambait la rivière Tenryu et se dirigea vers les deux ronin.
Arrivés à portée de voix, le gunso à la tête du détachement cria « Teishi ! » (halte !)
Comme pour ponctuer ses propos, l'un des cavaliers décocha une flèche qui vint se planter dans le sol à quelques pas devant les deux hommes.
« Que venez-vous faire ici ?? »
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