Kangee concentra l'énergie environnante des différents éléments pour faire apparaitre une tempête extrêmement localisé sur le gobelin pris avec le bon prêtre. Il se déplaça ensuite de façon à distraire le gobelin pour l'attaque suivante de Deivon.

Cela faisait longtemps que Gorath n'avait pas ressenti la douleur d'une blessure au combat. Il sourit en voyant le sang couler le long de la plaie, puis ce sourire devînt grimace, et la grimace finît par déformer son visage. Les traits du Barbare devinrent tout tendu, ses muscles se raidirent et il poussa un hurlement tout en s'approchant de gobelin coupable de l'estafilade sur son corps. Ivre de fureur, il frappa en direction du commando avec la ferme intention d'en découdre définitivement.

Modifié par un utilisateur mardi 11 février 2014 17:03:43(UTC)  | Raison: Non indiquée

La bataille prenait enfin une tournure plaisante : les viles créatures sournoises tombaient comme des mouches les unes après les autres, grillées, déchirées, lacérées, explosées.
Il n'en restait plus qu'une.
Farouk avança d'un pas, pour l'avoir en ligne de mire, et éviter que ses nouveaux comparses ne soient dans la zone de feu.
Une nouvelle fois, une ligne de feu se propagea depuis la main du mage Kéléshite et embrasa le gobelin malingre

Le traits de feu de Farouk enflamme le dernier survivant, le brûlant vif, de toute façon Deivon avait coupé la route à toute esquive et était prêt à ajuster son coup, qu'il savait mortel, pour achever l'horrible petit être.

Le calme était revenu sur la place, seulement dérangés par les crépitements des corps des gobelins qui se consumaient. Mais l'odeur des petits plats et des senteurs exotiques avaient été remplacés par celles du sang, de la peur et des corps brûlés.

Le bruits des combats avaient l'air de s'être calmés, ils devenaient plus sporadiques et on entendait plus l'appel d'homme, surement des membres de la garde, que les rires des gobelins.
Mais leur présence se faisait encore ressentir, vous voyiez un gobelin sauté des toits sur un garde se trouvant en contrebas, mais loupant complètement son saut et le garde il tombe sur la tête et ne se relève pas, l'angle de son cou étant bizarre.
Un autre déboucha à dos de cheval du nord, essayant de se tenir à la crinière d'une main et de poignarder de l'autre, mais il lâcha prise tombe devant le cheval qui le piétina à mort.

Le père Zantus sort, à grand pas, de la cathédrale.

« Vous allez bien, pas de blessés grave parmi vous. Je suis désolé j'installé les gens le temps que l'on me prévienne vous vous étiez déjà occupé de ces gobelins. Beau boulot. »

Modifié par un utilisateur mercredi 12 février 2014 10:24:31(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le Jeune Shoanti était à présent apaisé, sa tunique jaune de la garde avait virée au orange, maculée du sang de ses victimes pour une majeure partie, et du sien au niveau de l'aine.
Il commença à rassembler les corps des gobelins dans un coin de la place centrale, autant pour vérifier leur mort, que pour les éloigner un minimum de la vue des villageois et des participants du festival.
Une fois fait, il fouilla les corps des victimes en commençant par le commando et le chanteguerre, susceptible d'être les chefs du raid et donc de posséder des indices sur leur commanditaire.

Modifié par un utilisateur jeudi 13 février 2014 10:13:49(UTC)  | Raison: Non indiquée

Deivon entreprit de rassurer l Père Zantus,
«  Ne vous inquiétez pas grâce à l'intervention de ses valeureuses personnes l'attaque gobeline a été repoussée. Et hormis ce barbabre shoanti et moi même qui sommes que très légèrement blessé, personne n'a eu a subir les conséquences de la folie des gobelins. »
Deivon écouta aussi attentivement le mage qui soulevait une question fondamentale de cette étrange et soudaine attaque. Il espérait que le père Zantus serait leur apporter des explications car jusqu'ici son ami avait volontairement évité de parler du drame d'il y a 5 ans qui avait mis fin à la vie de son prédécesseur.

Modifié par un utilisateur jeudi 13 février 2014 18:27:43(UTC)  | Raison: Non indiquée

Secouant tristement la tête, le prêtre de Desna, répondit au mage.

« Je n'étais pas là il y a cinq ans, mais dans aucun des récits que l'on m'a fait, n'a été mentionné le moindre gobelin. Et je n'ai pas souvenir d'un tel assaut de ces créatures sur Pointesable, c'est du jamais vu. L'incendie aurait prit accidentellement une nuit et a consumé la cathédrale et tous ce quartier, causant la mort du père Tobyn et de sa fille. Je ne vois pas pourquoi diable les gobelins voudrait reproduire un incident d'il y a cinq ans dont je ne suis même pas sûr qu'ils en ai entendu parlé ou qu'ils s'en souviennent. Par tous les démons des abysses je pense surtout que c'est juste par pur malveillance qu'ils ont voulu mettre le feu à ce chariot, il aurait brûlé comme un rien et c'était facile,ça aurait pu être le départ d'un immense feu qui aurait pu ravager le quartier. Et pour répondre à votre dernière question je ne me connais pas assez en théologie gobeline pour vous dire si c'est un jour mystique pour eux et je n'ai pas entendu parler qu'ils haïssaient Desna plus qu'une autre divinité bonne.  »

Puis il se tourna vers Deivon,
« Ne minimise pas ton rôle Deivon, tu as été aussi valeureux qu'eux. Te restes-il assez de force pour vous soignez toi et ce brave barbare? »

Gorath en fouillant les différents cadavre trouve une potion d'un bleu clair sur le cadavre de la chanteguerre, et 33po et 18pa sur la totalité des cadavres, il y a aussi la possibilité de récupérer une demi douzaine d'armure de cuir de petite taille, 2 arc courts et une trentaine de flèche. Leurs armes à part pour des gobelins ou des amateurs d'armes gobelines ne valent rien. Aucun papier ou document dans leurs poches.

Modifié par un utilisateur jeudi 13 février 2014 22:46:29(UTC)  | Raison: Non indiquée

«  Rassurez-vous père Zantus, je vais pouvoir soigner ce brave et moi même, nos plaies sont superficielles »
Puis se tournant vers le shoanti. «  Avancez par là Gorath  » dit le prêtre tout en s'avançant vers le barbare.
Puis il prononçant quelques mots il canalisa l'énergie de Desna afin de panser leurs plaies.
«  Déesse mère, soigne nos plaies » dit-il tout simplement en ouvrant les mains. Mais Desna se montra peu généreuse avec le prêtre qui stressé par le combat rendit peu de force au barbare et à lui même.

Modifié par un utilisateur dimanche 16 février 2014 10:09:03(UTC)  | Raison: Non indiquée