Fergus prit la parole à son tour. « C'est une décision extrêmement difficile, avec aucun choix clairement supérieur à l'autre. Ceci dit, si nous choisissons de rester indépendants et de ne pas accepter l'aide des Arkonas, comment allons-nous nous procurer les ingrédients nécessaires à la création du remède ? Nos alliés restés de l'autre côté du canal ne sont pas vraiment en position de nous fournir les quantités nécessaires… comment dès lors allons-nous choisir ceux qui bénéficieront du remède et ceux que nous laisserons mourir ? »

« Je n'aime pas plus que vous l'idée de permettre aux Arkonas de tirer parti de nos efforts et de profiter de la gloire qui en résulte pour assurer leur position de pouvoir… mais pouvons-nous réellement refuser au nom de l'honneur et de la vérité tout en sachant que le prix à payer sera la mort d'une grande partie des habitants de l'île ? » termina-t-il. Comme à son habitude, l'alchimiste était plus préoccupé par le bien-être des gens que par les considérations philosophiques de haut ordre ou par les réflexions portant sur les futurs chefs de Korvorsa.

Les langues se déliaient enfin et même Arlandeth sortait de son mutisme. Au final, l'idée retenue sera probablement une nouvelle tentative de négociation mais dans quel but et comment ? Kar'Uz ne voyait pas de solution favorable à ce choix. Arkonas n'avait absolument rien proposé parmi les services dont il disposait, surtout celui qui était le plus important pour eux : son réseau d'approvisionnement. S'ils voulaient pouvoir créer suffisamment de remède pour toute l'ile, alors il ne pouvaient faire autrement et Arkonas avait juste proposé sa garde pour reprendre le contrôle de l'ile à son compte.

« Vous voulez encore jouer la carte de la diplomatie, mais est-ce que vous savez quoi négocier ? J'ai demandé à Arkonas de nous ouvrir son réseau d'approvisionnement, c'est ce qu'il y a de plus important en plus de sa garde pour la sécurité de l'ile. S'il a accepté de prendre le contrôle de l'ile en mettant les citoyens volontaires que nous avons rassemblés à SON service, il n'a absolument pas validé la possibilité d'approvisionner l'ile en ce qui sera nécessaire pour fabriquer le remède au Voile. Je pense sincèrement qu'il se la joue facile. Nous lui apportons l'ile sur un plateau d'argent, il n'a qu'à se servir, prendre le contrôle et rien ne nous dit qu'il fera venir les ingrédients pour fabriquer l'antidote. Alors si vous avez quelque chose de vraiment à vous assurer dans cette diplomatie, c'est vraiment ça et mettez y un peu plus de cœur puisque vous êtes des champions de ce genre de chose, surtout toi le sarénite. Tu sais râler ici entre nous pour la cause des malades et nous faire des leçons de morale, mais devant Arkonas, c'est tout juste si nous t'avons entendu respirer !

Vous voulez négocier, alors faites-le ! Quand j'ai joué le grand coup de bluff à l'entrepôt, je n'ai pas fait dans la demi mesure, je suis allé jusqu'au bout et ça nous a mené directement à Davaulus. Alors si vous ne voulez pas être les grands perdants dans cette diplomatie, ne vous écrasez pas devant Arkonas et forcez-le à négocier. S'il arrête les pourparlers avant la fin comme ce tantôt, je lui colle ma masse d'armes dans la figure, comme ça toute négociation sera réglée ! »

Modifié par un utilisateur mardi 20 janvier 2015 19:04:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

Théobald avait laisser parler les différents intervenants, se permettant parfois quelques remarques. La première fut en direction de Fergus.« Il est évident que pour notre but final nous ne pouvons rester seul sans une famille pour nous appuyer, encore faut il choisir la bonne!! »

Puis ce fut Arlandeth qui comme à sont habitude se souciat également de la survie du peuple.« Oui il nous faudra appuyer sur le fait que régner sur une île sans vie, ou malade ne sert à rien, et dans ce sens aussi il faudra par la suite que toi Fergus tu nous tiennes au courant de ce qui arrive en soutien et en ingrédient pour tes remèdes. »

Une fois de plus il ne répondit pas directement aux propos du chaman concernant la négociation ou la diplomatie. Théobald savait très bien que lors de leur premier entretien il n'avait pas été percutant, mais ç'etait sa façon d'agir.« Observer attentivement, c'est pouvoir analyser distinctement!!

Maintenant nous savons ce qu'ils veulent et ce que nous pouvons leur donner, nous avons l'île entière à leur négocier, nous avons le remède à négocier, nous avons la population qui c'est rallier à nous et nos envies de reconquête de l'île. Nous sommes indépendant et nous ne subissons les pressions de personnes. Si nous voulons et si nous avons besoin de disparaitre nous pouvons le faire sans rien laisser à part de pauvre innocent. Mais eux on un rôle politique à jouer, et je ne pense pas qu'ils aient les mains si libre que ça. Ils savent très bien que le moindre faut pas et c'est les vierges grises, la reine ou les chevaliers infernaux qui leur tomberont dessus.

Tu sais Chaman, ils ont beaucoup plus à perdre que toi ou que nous, et c'est sur ça qu'il faudra jouer. Nous allons rapidement savoir si nos doléances pourrons être entendu ou pas!

Maintenant reste à savoir de notre coté quelles sont nos priorités, le remède ou trouver nos deux amis??? »

Mais le nain lui semblait plus opter pour retrouver le sénéchal avant toute chose. «  Bien sur, il est hors de question que nous lâchions quoi que ce soit avant d'avoir vu l'un ou l'autre voir les deux. Certes la conversation risque de ne pas durer et d'être reporter, mais alors là il faudra qu'il s'explique.
Je me demande s'il ne faut pas mettre cette condition au nom du peuple? Après tout cela ne sera pas un mensonge car notre peintre peut être un représentant! Lui le réclame!!!!  »

Modifié par un utilisateur vendredi 23 janvier 2015 23:19:58(UTC)  | Raison: Non indiquée

Arlandeth réfléchit quelques instants aux divers propos lancés par les uns et les autres précédemment… puis un vague souvenir lui revint à l'esprit, datant de l'époque où il travaillait comme clerc au temple de Sarenrae. Il s'était agi d'une simple rumeur à l'époque, d'un fait qui n'avait jamais été vraiment investigué ni exploité plus en avant, parce que les gens avaient été satisfaits du résultat et, bien souvent, les gens satisfaits ne cherchaient pas vraiment à en savoir plus.

Il s'était agi d'une vague histoire de différend commercial dans lequel l'avis des clercs de Sarenrae avaient été demandé en plus de celui des dévots d'Abadar, qui s'occupaient de ce genre d'affaires en temps normaux. Le différend opposait un agent commercial et la maison des Arkona et l'enquête avait mobilisé de nombreux clercs pendant plusieurs semaines. Au fil de leur recherche, ces derniers avaient découvert quelques indices permettant de supposer — mais jamais de prouver à part entière — un lien entre l'agent en question et les Mantes rouges ou encore le Consortium Aspis, des marchands sans scrupules.

Au final, il aurait été bien difficile pour le clergé de Sarenrae de trancher les deux adversaires, tant l'un comme l'autre se trouvaient généralement à l'antithèse de leur foi. Mais, heureusement, ou malheureusement, ils n'avaient pas dû en arriver là. En effet, deux semaines avant que le jugement final ne soit dû, l'agent commercial en question disparut tout simplement. Et, comme ce dernier n'était plus présent pour faire perdurer la demande de décision, l'enquête avait été abandonnée, pour le soulagement de tous… ou de quasiment tout le monde.

En effet, la rumeur disait que la disparition de l'agent n'avait rien de naturel et que ce dernier avait été tout simplement éliminé par les Arkonas. Une autre rumeur s'était également développée en parallèle, prétendant que l'agent n'avait pas été juste éliminé mais qu'il avait été enlevé et emmené dans un dédale de grottes et de salles de torture cachés sous le manoir des Arkonas, à l'intérieur même de l'île.

Était-là pure spéculation ou le produit d'une imagination débordante face à tout le mystère qui entourait la prospérité et la puissance de la maison Arkona ? Voire même peut-être de fausses pistes émises par les Arkona eux-mêmes pour effrayer leurs potentiels opposants ? Toujours était-il que, si ce repaire souterrain existait réellement, les personnes que les aventuriers recherchaient n'étaient peut-être pas forcément dans les bâtiments situés à l'intérieur de l'enceinte du domaine Arkona, mais peut-être bien sous celui-ci.

Toutes ces rumeurs et ces informations incertaines n'aidaient malheureusement pas à trancher… mais elles renforçaient sans doute l'idée qu'une approche frontale et violente risquait de ne pas les conduire à la découverte des deux disparus.

Modifié par un utilisateur jeudi 29 janvier 2015 17:27:48(UTC)  | Raison: Non indiquée

Abbaër se réveilla le lendemain en assez bonne forme mais frustré des discussions stériles de la veille. Il aurait voulu agir de suite pour ne pas laisser le temps à Glorio Arkona de voir venir un groupe avec des exigences contrairement à celui qu'il avait vu le matin qui demandait audience et arrivait avec des requêtes. Personne n'était arrivé à se mettre d'accord sur un plan d'action. Celui du nain aurait été certainement couteux en vie humaine car les volontaires pour reprendre en main l'île tout comme les hommes de mains de Swastel Pilt reconvertis, n'étaient sans doute pas assez nombreux pour faire tomber les armes de la milice des Arkonas, en évitant un combat, et cela même avec l'aide d'un Fergus et de ses bombes meurtrières. Par contre le roublard était certain que cela aurait pu fonctionner, Kar'Uz et Peau-de-Pierre était sans doute trop fier pour reconnaître que l'alchimiste leur avait sans doute sauvé la vie avec ses explosions électriques...

Bref, il aurait resté à la charge du groupe de défaire les Arkonas ainsi que leur garde personnelle qui dans la villa c'était montrée plus que discrète car au final, ils n'avaient vu que le majordome. Qui selon Abbaër était peut-être même Glorio en personne qui avait changé les rôles et observé la scène depuis une pièce contigüe. Ce plan n'était peut-être plus d'actualité, si la frustration était présente et si après avoir fait tombé l'Empereur fou, le nain en aurait bien fait de même avec le chef de la maison noble korvosienne, il s'était dit qu'il ne fallait pas se prendre pour un faiseur de roi mais pour ce qu'il était : un roublard ! C'était ce que les autres attendait de lui et donc la solution de trouver un chemin par les égouts était moins flamboyante mais s'imposait d'elle même.

« J'ai réfléchi cette nuit comme vous tous j'en suis certain et il est évident que beaucoup d'entre nous aurions rêvé faire plier Glorio Arkona à notre volonté par la force en lui donnant ce qu'il désire ou pas ! Mais nous sommes un petit groupe et nous devons agir en tant que tel, nous ne sommes pas une armée. Si nous prenons ce que nous voulons à cette famille à leurs nez et barbes, alors nous aurons gagné. Contactons nos "amis" chez les rats, rapprochons nous au plus près de la villa en passant sous terre et essayons de libérer Vencarlo et le sénéchal de la sorte.

Je sais que tu aurais préféré la confrontation Théobald et hier j'aurais été d'accord avec toi. Mais nous avons trop tardé pour pouvoir surprendre Glorio Arkona en le menaçant. Il est sans doute préparé à cela. Par contre si les tunnels existent bien et je crois que oui car il existe toujours une part de vérité dans chaque rumeur, lui pense son secret bien gardé et alors il ne s'attendra peut-être pas à ce que l'on passe par là. » Il ne fallait pas tarder par contre, il l'avait déjà trop fait... Il fallait prendre contact avec les rats garous dès à présent et celui qui était capable de cela c'était l'inquisiteur. Abbaër espérait l'avoir convaincu.

« Les garous nous on permis de faire quelques échanges commerciaux jusqu'à la ville via les souterrains et le réseau d'égouts. Je présume qu'ils connaissent probablement des galeries qui mènent vers le manoir des Arkonas. Je suis pour tenter quelque chose de ce côté là. Les Arkonas ont forcément des galeries secrètes pour leur commerce illicite et qui doit toujours être utilisé de nos jours pour qu'ils se ravitaillent, vu ce qu'ils nous ont proposé en encas.

Par contre je ne suis pas pour former deux groupes. Si le groupe qui investigue par les égouts rencontre une forte adversité et que l'alarme est donnée, il risque d'y avoir des représailles sur le second groupe entrain de négocier par la diplomatie. Alors soit on entre pour faire de la diplomatie, soit on entre par les égouts. Pour ma part, la diplomatie n'étant pas mon domaine, les égouts semblent le meilleur choix. »

Les renseignements donnés par le jeune rat-garou étaient à la fois précieux et encore trop imprécis. Kar'Uz tenta d'en apprendre davantage - « Merci pour toutes ces informations. Je ne voudrais pas que tu t'exposes à des représailles des tiens pour avoir rompu ton serment. Cependant, tu as peut-être en toi les informations qui nous intéressent, sans que tu le saches vraiment. Comme tu dis, c'est un coin que vous évitez, cela délimite probablement une zone interdite, dans les souterrains et les égouts que vous fréquentez habituellement. Il est donc possible de déterminer où se trouve cette zone et donc de nous l'indiquer, ce qui sera notre passage d'entrée. Je ne pense pas que cela rompt votre pacte puisque vous n'y allez pas et je ne pense pas non plus qu'il y a là un réseau très complexe. Nous pouvons commencer à visiter en attendant de plus amples renseignements. »

Kar'Uz se tourna vers le reste du groupe - « Qu'est-ce que vous en pensez ? »

Kar'Uz remercia le jeune rat-garou - « Tu as fait ce que tu as pu. Mais renseignes toi tout de même auprès de tes aînés. Ils peuvent peut-être délimiter une zone ou un quartier. Il est probable que les accès ne soient pas par des égouts mais par des galeries souterraines qui partent de caves de maisons qui appartiennent à leurs sbires. Quant à l'accès par bateau, peut-être qu'en faisant le tour en pirogue du côté de leur manoir, nous trouverions un passage caché, un ponton ou quelque chose que les pêcheurs n'auraient pas remarqué car peut-être trop dangereux à la navigation. Quoi qu'il en soit, je suis d'avis de se mettre à la recherche de ces accès souterrains. Un petit tour en pirogue Peau de Pierre ? »

Le chamane avait besoin de bouger, d'avancer, de trouver une piste, quelque chose qui leur permettrait de faire autre chose que d'aller parlementer et négocier avec les Arkonas. Pour lui la diplomatie était peine perdue, c'était pactiser avec le diable et ils seraient forcément perdants. Il ne voulait pas donner les clés de l'île à un mafieux, tout simplement.

Modifié par un utilisateur jeudi 12 février 2015 19:36:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

Abbaër avait écouté avec attention. Il semblait évident au nain selon les dires du rat que les réseau souterrain des Arkonas était complètement différent de celui des égouts et ce n'était pas étonnant. S'ils existait un passage pour relier les deux réseau alors il ne fallait pas attendre pour le rechercher, chaque minute paraissait une éternité lorsqu'on était prisonnier, les autres n'avaient certainement pas vécu se genre d'expérience sinon le nain n'aurait pas eu de mal à les faire bouger pour aller libérer Vencarlo et Néolandus de façon plus spontanée quelque soit la manière...

« Merci l'ami, nous reviendront ici chaque jour pour voir si tu as des nouvelles, en attendant nous pouvons commencer à fouiner je suis d'accord avec le shoanti. Continuer à plus particulièrement en nous rapprochant du manoir avec de la chance en y mettant du temps nous trouverons se passage. Il faut s'attendre à ce qu'il soit dissimulé, surveillé, le tout peut-être même par magie et pour finir très protégé pour non pas faire fuir les intrus, mais les éliminer...

Nous avons rien d'autre à faire et plus j'y réfléchis plus cette idée me semble meilleure qu'un face à face. Si ça vous va alors commençons à chercher dès à présent. » Le roublard regarda les autres c'était un travail de fourmi peu agréable qu'il proposait à ses compagnons mais il fallait le faire. Le rat-garou et ses congénères ne cherchaient plus à aller de ce côté et ne cherchaient pas de passage dérobé contrairement à ce qu'ils allaient faire. S'il y avait une chance aussi mince soit-elle alors ils devaient essayer... Si personne n'était tenté par son expédition il suivrait certainement l'un ou l'autre de ses compagnons. Les deux shoantis ne se quittaient plus, il suivrait donc Théobald pour le calmer s'il venait à s'emporter.Les derniers évènements avaient pu le rendre amer. L'inquisiteur ne devait pas forcer les choses pour arriver à ses fins, Abbaër pouvait être plus rusé dans un premier temps pour noyer le poisson.

• Connaissance souterrains : 1d20+5 donne [15] + 5 = 20
• Perception : 1d20+12 donne [10] + 12 = 22
• Survie : 1d20+5 donne [10] + 5 = 15

Modifié par un utilisateur mercredi 25 février 2015 21:15:08(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'inquisiteur avait laisser tout le monde parler. Il avait pas mal cogité toute la nuit, en plus des informations du rat garou, cela le plongeait encore plus dans un mutisme, ou plutôt une profonde réflexion.
L'heure n'était donc plus à la diplomatie ni à la négociation. Il allait maintenant falloir trouver des éléments incriminant directement la famille Arkonas. Ce coté contrebande et trafic ne plaisait guère à Théobald. Car cela supposait qu'il avait peut être capturé ce beau monde comme monnaie d'échange. Donc oui, il fallait trouver cette entrée et investiguer pour les incriminer.

« Oui je vais m'occuper des abords, même si je doute qu'à part une entrée proche du front de mer, nous ne trouverons rien! »
L'inquisiteur attrapa son manteau ainsi que son couvre chef, puis prit la direction des rues nord, à proximités du palais des Arkonas. Les portes aux quelles il allait frappé étaient nombreuses. Il lui faudra énormément de patiente, tout en ajustant sa phrase type, au fur et à mesures des réactions.
Son cœur battait assez fort alors qu'il tapa à la première porte.

« Bonjour mon brave monsieur, veuillez bien vouloir excuser cette intrusion dans votre temps précieux. Mais il m'a été confier la tache de vérifier que chacun des habitants de notre honorable et vieux quartier, avait appris la nouvelle que l'individu qui s'était auto proclamé empereur avait été défait, et qu'il n'était plus.
L'île est actuellement en auto discipline. Certaine maison aurait la possibilité de mettre la main sur cette autorité, mais est ce le désir de chacun de ces citoyens!
Vous mêmes êtes peut être attaché à l'une d'elle? »

L'inquisiteur voulait par cette approche, non seulement sondé pour l'opinion public mais aussi voir la réaction de ses interlocuteurs. Peut être par celle ci allait il voir s'il touchait ou pas un proche ou un agent de la maison. Il resterait ensuite à enquêter sur la sélection qu'il se serait fait.