P10 Meurtres de Pointesable

Premier meurtre : Belven Valdemar

En revenant à Pointesable, ils confient Cok à la garde de Pointesable pour honorer leur promesse en essayant malgré tout qu'on leur confie sa surveillance et qu'il soit interrogé en leur présence. Il prenne conscience de la difficulté d'avoir ce gobelin qu'ils ne connaissent pas plus que cela à leur côté et se résigne à le confier au sergent Polbo, il est enfermé dans une geôle de la garnison.

Il sont ensuite reçus par le nouveau prévôt un cousin de la maire Déverin qui, il y a un an, à remis la ville sur de bon rail une fois que toutes sortes d'aventuriers (parfois sans foi ni loi) aient investis les environs à la recherche d'anciens donjons et pillés les tombeaux shoantis à l'est de la lande de Murmebois. Il les remercie mais leur demande de ne plus intervenir et de laisser les autorités faire car il ne veut pas réitérer les erreurs de l'ancien prévôt. Les aventuriers racontent ce qu'ils savent et Cyrius Déverin écoute attentivement la présence de gobelins de Murmebois lui impose d'interdire l'accès à la forêt en attendant de voir ce qu'il en est après le festival.

Au même moment on annonce qu'une troupe de mercenaires vient de s'installer en marge des terres arables, ils laissent les aventuriers avec un de ses consultants : Ilsoari Gandéthus, qui les amènent dans une pièce où se trouve le corps d'un homme à la gorge tranchée sur lequel il veut avoir l'avis des nouveaux héros, surtout d'un lanceur de sorts qui pourraient être capable de parler aux morts (il ne sait pas qu'ils n'ont pas encore le niveau). Il s'agit de Belven Valdemar. Son visage avait été mutilé par des lacérations et sa gorge tranchée d'une oreille à l'autre.

Belven était un homme qui avait beaucoup de succès auprès des femmes, un célibataire séduisant et relativement accessible mais sa dévotion envers son travail et sa famille lui ont laissé peu de temps jusque là pour divertir la dizaine de jeunes filles à Pointesable qui essayent d'attirer son attention depuis quelques années. C'était le fils aîné, un armateur né tout comme son père Arthram.

Le cadavre avait été trouvé très tôt ce matin avant le lever du jour ou même dans la nuit, en tout cas suffisamment tôt pour que très peu de monde soit au courant de ce drame. La rigidité cadavérique confirma cela à Ursion : avec la fraîcheur de la nuit en ce début d'automne, l'homme avait certainement du trouver la mort au milieu de la nuit

L'examen du visage et de la profondeur des plaies révéla que la gorge avait été ouverte sans une hésitation et plus profondément à gauche qu'à droite. Les lacérations indiquaient que la l'arme utilisée était très effilée, certainement plus que la lame d'un poignard ou d'une dague. Les tissus n'étaient pas déchiré. Les blessures au visage étaient très profondes et quasiment identiques mais n'avaient pas provoqué de saignement ou alors très peu contrairement à celle du cou qui avait entâché les vêtements et la poitrine de l'homme. Il n'y avait pas de traces d'ecchymoses ou d'autres blessures, rien sur les mains, les bras, ou les jambes. Malgré toutes les entailles ils purent toutefois remarquer qu'il y avait des bleus autour de la bouche on devinait difficilement l'empreinte d'une main qui avait du être appliquée sur la bouche de la victime, les doigts pointaient vers la droite. Ce genre de meurtre ne rappelait rien à Tharin, il aurait bien pu dire que cela était typique d'un règlement compte varisien avec une lame de rasoir mais les lacérations sauvages au visage ne confirmait pas cette hypothèse.

Ilsoari ne sait pas grand chose sur les éléments de l'enquête, Cyrius n'a fait appel à lui que parce qu'il n'y avait personne d'autre et lui a bien fait comprendre que ce n'était pas à lui de mener l'enquête et qu'il ne devait rien dévoiler sur ce qu'il découvrirait (raté). L'académie de Turandarok que dirige Ilsoarus apprend la magie aux plus doués des élèves ce qui n'est pas forcément bien vu par le prévôt, il a là une occasion de prouver ses capacités et l'utilité de la magie à Pointesable sauf s'il se ridiculise et ne trouve rien à donner à Cyrius (il a avec les aventuriers l'occasion d'avoir au moins plusieurs avis).

Un second meurtre, Polbo Brisécu

En sortant de la garnison Mélèarn se montre un tant soit peu insolent avec le sergent nain Polbo Brisécu ce dernier l'empêche de reprendre à son compte les possessions d'Ezren pour qu'il aille les vendre. Elles seront stockées à la garnison jusqu'à ce que le mage réapparaisse. Malheureusement le nain ne sera pas là pour lui rendre, le lendemain il est trouvé assassiné la gorge tranchée dans son lit à la garnison. C'est lui qui était de garde cette nuit à la caserne car le prévôt Déverin dormait au manoir familial. Le sergent Pleindepoil était lui en poste à l´extérieur. La dispute avec Mélèarn ne manquera pas de faire porter les soupçons sur le groupe...

Un troisième meurtre, Anek Avertin la jumelle

On a retrouvé une des sœurs jumelles, Anek assassinée avec les mêmes empreintes de farine sur les draps, sa sœur qui dort dans la même chambre n’a rien entendu, hormis vers minuit où il lui a semblé que sa sœur avait le sommeil agité et sur le matin où une odeur de rose a envahi la chambre mais elle s’est vite rendormie. La porte de la chambre n'était pas verrouillée, il y a une petite fenêtre qui n'a pas été forcée. La pauvre petite a été éventrée. Le fils d’Alma, Casp avait été tué jadis par le Découpeur.

Un quatrième meurtre, Shayliss la fille de Ven Vinder

La seconde fille de Ven Vinder, Shayliss est assassinée dans les mêmes conditions que les autres, deux ans après la première qui avait été tué par l’Ecorcheur. Elle s'était couchée tard pour faire un inventaire du magasin. La maison était bouclée.

Un cinquième meurtre, Pirson Costis le meunier

Il a été retrouvé comme beaucoup d'autre, tué dans son sommeil. Avec le boulot plus important en cette période Pirson était resté de nuit pour faire tourner le moulin. Dans ces cas là, le meunier dort dans la pièce qui sert de bureau. De ce qu'on raconte il a été égorgé et éviscéré. L'homme qui l'a retrouvé est terrifié et n'a pas remis les pieds au moulin depuis.

Ce meurtre ressemble en tout point à celui de Polbo la créature c'est glissée jusqu'à sa paillasse pour lui trancher la gorge et si le corps avait été éviscéré, il y avait de forte chance pour qu'on ait prélevé des organes.

Avant dernier meurtre, celui d'Hernon le paysan solitaire

Ursion examine le cadavre de plus près, ses compétences en anatomie lui permette de situer la mort au milieu de la nuit mais sans beaucoup plus de précision. L'entaille au cou est nette et profonde, plus à gauche qu'à droite, il n'y a pas d'autres blessures. L'assassin ne s'y est pas repris à deux fois. Il remarque également des traces de farine sur les couvertures et une vague odeur de souffre flotte au dessus du lit.

Jean ne connait pas le paysan qui a été tué, il ne connait pas tout le monde et depuis cinq ans certaines fermes ont été rachetées par de nouveaux arrivants ou certains terrains scindés en de petits lopins. L'homme est un pauvre hère, loin d'être riche qui vivait des quelques ressources extraites de ses terres. Il n'a pas de famille et sans doute aussi peu d'amis, vu le nombre limité d'empreintes de pas au dehors, peu de monde venait lui rendre visite. Pourquoi cette homme vivait seul ? Avait-il vécu un drame ? Lui même était boiteux... Cela lui fait rejoindre le lot de victimes qui avaient déjà vécues des drames ces dernières années à Pointesable !

Jean s'approche de la cheminée, contournant une petite table sous laquelle on avait glissé un sac de farine ouvert mais à peine entamé. Il n'y a plus de braise, sans doute depuis de nombreuses heures, le foyer assez petit ne peut contenir que quelques buches de quoi chauffer la maison pour une partie de la nuit . Les cendres sont froides. Le guerrier passe la tête à l’intérieur, elle n'est pas grande et le conduit étroit ne laisserait pas passer un halfelin, il ne mesure qu'une quinzaine de centimètres de rayon. Soudain une créature invisible remonte le conduit !!! Dehors le groupe entend une créature ailée s'enfuir.

Les aventuriers et les enquêteurs de Pointesable n'étaient pas passés très loin et avaient bien failli mettre la main sur ce tueur ou tout au moins un de ses acolytes. C'est avec un sentiment d'impuissance que tous rentrèrent à l’intérieur de la petite maison, ils le savaient il n'y avait pas de temps à perdre pour trouver les indices qui les mèneraient à l'assassin. Les meurtre se passaient la nuit et pratiquement tout les matins on découvrait une nouvelle victime... Il fallait garder la tête froide et se remettre au travail le plus vite possible. Ursion retourna au corps du malheureux fermier et Dragan alla vérifié la pièce qu'il n'avait pas encore eu le temps d'examiner.

L'invisibilité de ce dernier laisse place à toute les théories et il fallait à tout prix éliminer certaines pistes pour pouvoir dégager le profil de cette créature. Cette fois ci Ursion souleva délicatement la couverture et les peaux qui recouvraient le cadavre. Il y avait du sang beaucoup de sang du à l'égorgement mais on avait aussi ouvert le ventre du fermier jusqu'à la poitrine, une partie de ses entrailles. Lorsqu'il s’intéressa à nouveau au corps mutilé ses connaissances en anatomie lui permirent de voir que tous les organes n'étaient pas là... mais c'était trop le fouillis, plus rien n'était à la bonne place et il n'arriva pas à savoir lesquels manquaient sans y mettre les mains. Il lui faudrait souiller une nouvelle fois le corps sortir les organes un par un et faire appel à des connaissances qu'il avait pour le moment oublié. Il fit un tour dans la maison pour penser à autre chose main la vision morbide du cadavre était bien ancrée dans son esprit pour le moment, il n'arriverait à rien d'autre.

Dragan alla à le cheminée contournant à son tour le coutelas, accroupi il examina le conduit : celui ci était vraiment étroit et seule une créature de très petite taille pouvait si engouffrer ce qui une fois de plus dénotait avec la taille du coutelas. Une créature de cette taille ne pouvait pas manier efficacement une telle arme qui pour elle devait avoir la taille d'une épée... cela confirmait soit le changement de taille soit la théorie du familier nettoyeur d'Ursion. Le conduit étant trop obscur c'est tout ce qu'il pouvait voir. Comme le prêtre il tenta de voir s'il n'y avait rien d'autre dans la maison.

Ce fut sous la table qu'il trouva son bonheur, là où se trouvait le sac de farine ouvert. La toile indiquait le nom de Ven Vinder, sans doute l’endroit où la farine avait été achetée, ils avaient vu en venant que le fermier ne cultivait que des légumes en plus de sa basse-cour, il était donc guère étonnant qu'il achète de quoi faire son pain et qu'il y en ait renversé un peu à côté en prenant, mais bizarrement la farine ne se trouvait pas au pied du sac mais un peu plus loin comme si avait soufflé dessus pour l'éloigner ce qui n'aurait pas vraiment eut d'intérêt notable si le rôdeur n'avait pas remarqué l'instant d'après que la cordelette qui fermait le sac n'avait pas été ôtée mais qu'on avait maladroitement déchiré la toile juste en dessous...

En attendant la réponse de Dragan, Ursion commença son travail quasi de chirurgie plongeant les mains dans le corps sans vie du fermier en cherchant ce qui avait été ôté. C'était plus là l’œuvre d'un prêtre pharasmite mais Sarenraé exigeait de lui qu'il fasse la lumière sur les nombreux meurtres qui terrorisaient les habitants de Pointesable. Au bout d'un moment il repéra deux organes manquant : le foie et la rate. Restait à savoir pourquoi ceux là !

Sur la demande de ses compagnons Dragan examina de plus près le sac de jute. Vidant de la farine sur le sol pour en avoir le cœur net. A l'intérieur des marques de griffures à plusieurs endroits indiquaient que la chose qui avaient déchirée le sac avait essayé à plusieurs reprises avant de réussir. Logana attendait aussi des réponses à des questions dont Jean et Ursion pouvaient connaître la réponse.

Dernier meurtre, celui d'Alsishar le jeune guerrier



La disparition d'Ilsoari

Le troisième jour du festival, il ne se présente pas au rendez-vous qu'il devait avoir avec Pierril Pleindpoil. Ce dernier qui devait récupérer des cartes de la région se rend dans ses appartements. Les appartements d'Ilsoari se trouvent au sous-sol de l'Académie de Turandarok quand Pierril est passé il a utilisé un sort pour entrer et a dit à la matronne qu'il refermerait de la même manière, ce qu'il a fait. Il n'a rien trouvé d'anormal et a dit que tout semblait indiquer qu'Ilsoari ait quitté la ville. Ce qui est étrange étant donné qu'il n'a laissé aucune indication, ni aucune consigne et que personne ne se souvient l'avoir vu quitter Pointesable... Le prévôt n'a pas voulu enquêter et a dit que les aventuriers qui étaient venus dernièrement avaient du lui monter la tête et qu'il reviendrai très bientôt.

Le mage semble avoir pris ses affaires de voyage. Six jours plus tard avec les meurtres sa disparition inquiète. Après une fouille de ses appartement à l'Académie, on découvre qu'il n'est pas parti, son équipement de voyage a été dissimulé. Un livre dans sa bibliothèque est manquant au milieu de quatre autre. le premier concernait une organisation nommée les Annonciateurs du destin et recueillait surtout des informations et une étude sur les prédictions du Livre des Murmures, l'éventuel retour d'Aroden dans les années à venir et les heures de gloire que vivrait le monde à cette période nommées l'Age des présages perdus ; le second était un recueil sur les Chevaliers infernaux, les différentes factions, l'histoire, les liens avec la religion... ; le manquant ne devait pas être très épais ; le troisième était sur une organisation d'assassins œuvrant sur tous les continents nommée les Mantes rouges et le dernier sur les grandes maisons nobles du Chéliax dont certaines se trouvaient encore en Varisie comme la maison Arkona.

Les pistes

La sczarni

Un rejeton de la sczarni qui échappe à tout contrôle... Tout ce qui va à l'encontre de la loi dans à Pointesable ramène toujours à cette poignée de varisiens. Ils sont souvent d'une même famille en tout cas rassemblés autour d'un même clan. Généralement ils contrôlent tout ce qui est illégal pour beaucoup se sont des voleurs à la petite semaine ou des resquilleurs mais les plus mauvais essaient de mettre la main sur tout ce qui peu leur rapporter... L'avantage avec le nouveau prévôt c'est qu'ils ont du ravaler leur prétention, Déverin ne leur lâche pas la bride et est à l'affût du moindre faux pas de ses présumés chefs. Jubrayl Vishki est à priori le chef du clan même s'il préfère rester discret et envoyer ses acolytes pour faire les sales besognes. Il sait qu'ils se feront arrêter mais il sait aussi qu'ils ne parleront pas... Omerta et chape de plomb !!! Le mois dernier un d'entre eux est venu pour malmener Volioker le serrurier nain de la ville s'il ne mettait pas ses talents de serrurier au service de la sczarni. Son message est bien passé mais il a filé tout droit au cachot !

La première piste de ce côté fut celle liée à la mort de Belven. Les Valdemar sont des armateurs et Belven en reprenant l’œuvre de son père c'est beaucoup enrichi en travaillant dans certain milieu peu recommandables à Magnimar ou on dit qu'il se serait acoquiné avec des membres de la sczarni dans des affaires de manipulation, chantage et extorsion de fond. On sait qu'il avait un associé dans plusieurs affaires un peu louche. Un homme qui n'est pas de Pointesable et dont Faber Makala a oublié le nom. Bien entendu se sont là des rumeurs, rien n'a été vérifié mais si c'éait le cas, ce genre d'association fini toujours mal et le jour de sa mort la façon dont le cou avait été tranché laissé supposer que cela avait été fait avec un rasoir varisien...

Les animaux enragés

Cette piste fut abandonnée une fois que fut retrouvé le corps de Polbo, mais si un tueur varisien complètement fou est arrivé à Pointesable qui sait s'il n'a pas pris goût au meurtre et a continué sur sa lancée avec tout ceux qui ont pu croiser sa route ces derniers jours. Les étrangers ont toutefois été contrôlé à plusieurs reprises et certains qui avaient pu poser problème lors des premiers jours des festivités ont été convié à quitter la ville prestement mais comme vous le savez les meurtres n'ont pas cessé. L'accent a donc été mis sur les animaux, pas une créature ordinaire, mais plutôt une créature magique assez intelligente mais rendue folle par la maladie qui semble toucher certains animaux en les rendant vorace, violent et sanguinaire.

Les aventurier ont éliminé un chien-gobelin touché par cette maladie, puis Donk le chien des Tanrien, ce fut les premiers cas mais pas les derniers. L'ours que possédait également le dresseur au festival avait été enfermé dans une cellule de la garnison mais en quelques jours il s'est transformé en animal enragé. Il a réussi à sortir de sa cellule et nous avons du condamner le sous-sol de la garnison où se trouvent les cellules. Cyrius dit que c'est trop étroit pour affronter un tel monstre efficacement et préfère l'affamer avant de le déloger.

Imaginez si une créature comme les pseudodragons que l'on trouve en nombre à Korvosa était prise de cette maladie ce serait sans doute un carnage et c'est donc peut-être de ce côté qu'il faut chercher le tueur...

Les gobelins

Il y avait un gobelin dans le cachot et il a mystérieusement disparu alors que sa geôle était fermée à double tour le jour où Polbo est mort. D'ailleurs il est possible qu'il ait aidé à la libération de l'ours ! Il est étrange que le jour où le sergent se fait assassiner le gobelin disparaît et il semble des plus malins pour s'évader des pièces fermées.

Il se venge maintenant du fait qu'il ait été enfermé. Beaucoup de personnes l'ont vu depuis à Pointesable, tantôt sur un toit, tantôt par le soupirail d'une cave. Il est là et d'un coup il n'est plus là ! Plusieurs fois la garde est intervenue mais jamais ils sont parvenus à mettre la main dessus. Ce n'est pas un gobelin comme les autres celui-là, il est bien plus malin, plus vicieux et plus malfaisant !

Les patients de Sanatorium

Habe n'a rien noté d'anormal dans ce que disent ses patients. Certains d'entre eux des moins atteints sont habilités à se promener avec des aides-soignants pour profiter du soleil lorsqu'il est là. Ils leur arrivent de parler ensemble et de divaguer, donc ce doit être pour cela, par mimétisme, qu'ils ont développés la même pathologie et la même peur... En fait, trois d'entre eux, arrivés il y a moins d'un an, refusent de voir leur reflet dans un miroir.

Habe ne pense pas que cela puisse avoir un quelconque rapport avec les meurtres mais si on cherche quelque chose d'étrange, cela est pour le moins étrange. Quand on essaye d'aborder le sujet avec eux, ils se prostrent, entre dans un mutisme de plusieurs heures, sont terrifiés puis racontent leurs pires cauchemars...
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