Cette partie du quartier des pêcheurs est délimitée, à l’est, par les trois quais situés entre la sente du genévrier et celle du pin, et à l’ouest, par l’avenue du saumon. Bien que cette partie du quartier morde à la fois sur le territoire des avaleurs de feu et sur celui des soldats du feu du fil de l’instant, son atmosphère est sensiblement différente de celle des cavernes du Crabe et de la ceinture Nord. Cette ambiance résulte de la présence de marins et des dockers, qui forment la plus grande partie de la population de l’endroit. Le va-et-vient incessant des navires et des marins lui donne un parfum cosmopolite absent de beaucoup d’autres villes. On y entend donc des rumeurs en provenance de toutes les côtes de Rokugan, ainsi que des histoires circulant le long de la rivière de l’or.

LIEUX MARQUANTS :



Le quai de la rue des cendres :

 Ce quai sert principalement à décharger les cargaisons de produits alimentaires comme le riz. Parfois, d’énormes barges accostent ici et embarquent de gigantesques quantités de saké avant de reprendre leur chemin vers l’aval, mais c’est du riz que l’on trouve plus communément ici. On y trouve également beaucoup d’entrepôts et de tonneliers. Plusieurs grosses brasseries de saké se sont installées ici, et certaines possèdent la licence pour vendre leur boisson aux passants assoiffés.

Le quai du bois d’œuvre :

Curieusement, ce quai ne se situe pas l’extrémité de la très ancienne rue du vois d’œuvre (qui mène au quai aux fleurs) et qui est plus vielle encore que l’enceinte de la cité. Avant, on faisait descendre les troncs d’arbres jusqu’aux quais par la rue du cois d’œuvre. On les envoyé ensuite en amont ou en aval comme bois d’œuvre. Néanmoins, lorsque l’enceinte de la cité fut bâtie, une coalition de marchand de la rue du foret (alors appelée la route de la flèche) firent pression, et ce avec succès, pour qu’on crée une porte au bout de leur rue. Il devint alors plus que aisé pour les forestiers d’amener le bois jusqu’aux quais via cette rue. La demande de vois devint si forte que la plupart des marchands de la route de la flèche mirent la clé sous la porte parce que personne ne voulait plus prendre le risque de circuler le long des chariots de bois qui bouchaient la rue en permanence. Cette voie fut rebaptisée la rue de la forêt et on continue d’y faire passer le bois.

Le quai aux fleurs :

Le quai situé au bout de la rue du bois d’œuvre appartient au marchand Incisif, mais chacun sait que le véritable maitre en est Bayushi Korechika. Comme le samurai ne vient jamais ici à visage découvert, sauf en cas de problème, la rumeur veut qu’il vienne de temps en temps déguisé afin de surveiller ses affaires. Il s’agit, bien entendu, de stockage et de transport de pavot. Les affaires que Bayushi Korechika dirige à Ryoko Owari sont totalement légales ; le pavot est transformé en drogue qu’à Hitsuyo Mura(le village indispensable). Le pavot est stocké dans les entrepôts du quai, puis chargé sur des navires sous la protection des nombreux hommes de main qu’il emploie. Les avaleurs de feu ont passé des accords avec Incisif et Bayushi Korechika et sont toujours très nombreux dans cette zone. Ils bénéficient d’une partie du trafic et protègent les entrepôts contre le feu ou toute autre menace. Le quai et on y trouve des restes évidents d’opium brut. Parfois, des drogués en manque tentent de les ramasser dans l’espoir de pouvoir les fumer.

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