Guide des grandes villes et états importants

Ciudalia

Histoire

Fondée, il y a plus de mille ans, sur le continent par princes dissidents de Ressine, Ciudalia s'est vite imposée comme une cité état portuaire opulente. Éternelle concurrente de l'archipel, les deux nations se sont affrontées dans une guerre d'escarmouches navales. Annexée par Leodegar Ier au royaume de Leomance, la ville ne s'est jamais soumise. Les nombreuses révoltes poussent les rois à accorder des privilèges communaux à Ciudalia. Plutôt que de calmer jeu, ces privilèges exacerbent l'esprit d’indépendance des ciudaliens. En 781 CR, les sénateurs Ducatore, Rapazzoni, Sicarini et Sanguinella restaure la République. Au cours de la campagne militaire pour mater l'insurrection, le roi Maddan IV et sa femme Deoderia, enceinte de son premier enfant, sont assassinées. Cet épisode plongera le royaume dans une guerre de succession violente connue sous le nom de guerre des grands vassaux. L'intervention décisive de la jeune république dans cette guerre la placera en position de force dans les négociations pour le démembrement du Royaume. Elle étend sa zone d'influence jusqu'au bois de Fauvois où la Marche Franche, état nouvellement créé pour servir de retraite aux héros de la guerre des grands vassaux, sépare Ciudalia du grand duché de Broamel. La guerre permanente que mène le duché, constamment menacé par les incursions de guerriers d'Ouromagne ne peut faire concurrence, laisse le champ libre à Ciudalia pour devenir une puissance terrestre. Mais les ambitions maritimes de la ville n'en sont pas amoindries. Les échauffourées avec l'ennemi héréditaire de Ressine augmentent, jusqu'à récemment basculer dans dans une guerre ouverte, impliquant les troupes régulières de Ciudalia. Les galères ciudaliennes ont facilement écrasé les troupes du Chah. Depuis cette victoire sur l'archipel de Ressine, Ciudalia aurait du s'imposer comme la première puissance maritime, commercial et diplomatique de la région. Pourtant bien loin de calmer le jeu, cette victoire a tendu les relations politiques entre les sénateurs. Quelques moi après la signature de paix, le sénateur Mastiggia accuse le podestat Ducatore d'avoir fait assassiner son fils et enlève Clara Ducatore pour faire pression sur lui. Le conflit bascule dans une guerre civile qui se solde par la destruction complète de la maison Mastiggia par les hommes du podestat. La situation est depuis redevenue calme, les podestats ayant amnistiés les sénateurs séditieux qui accepteraient de faire amende honorable.

Gouvernement

C'est une république oligarchique (comme la république romaine). La ville est gouvernée par un Sénat de cent dix patriciens (les chefs des plus grandes familles aristocratiques de la ville) qui siègent au palais curial sur la colline de Torrescella. Deux podestats (actuellement Leonide Ducatore et Ettore Sanguinella), élus le jour du solstice d'été à l'occasion de la fête du Resplendissant et intronisés par le pontife céleste, dont le grand temple se trouve également à Torrescella, président le Sénat et dirigent l'armée. Les Sénateurs sont regroupés en deux factions : les bellicistes qui souhaitent étendre le pouvoir de la République par les conquêtes militaires et les ploutocrates qui souhaitent développer le commerce.

Situation géographique

Ciudalia est construite au bord de la mer Erridienne sur deux collines : Purpurezza (vieille ville, artistes, arsenal, grande négoce) et Torrescella (institutions, hôtels particuliers). Entre ces deux collines s'est développé le quartier populaire de Benjuini (artisans, marchés) Dans les alentours proches de la ville on trouve des pinèdes, des vergers d'olives et des vignes exploitées par quelques villas fortifiées. Plus éloignée mais toujours sous le contrôle de la République on trouve des villes et villages fortifiées (Montefellone sur l'ancienne route d'Arches ; Valfonte et Flovelle sur le littoral).

Organisations militaires

Armée citoyenne

Chaque citoyen reçoit une formation militaire. En cas de besoin tous les citoyens peuvent être appelés aux armes.

La Phalange

Force d'élite de Ciudalia, cette armée de mercenaires compte aussi bien des citoyens qui ont signé pour dix ans que des étrangers.

Milices patriciennes

Chaque grande famille patricienne possède sa propre milice armée (bien qu'il soit théoriquement interdit de porter une arme à l'intérieur de la ville).

Bourg Preux

Histoire

Après la bataille de la Listrelle, les preux édifièrent, sur une île du lac de Croquerive un caveau mortuaire pour ses héros tombés. Autour des tombeaux en construction, on développa, chaotique ment, une ville cosmopolite que l'on nomma Bourg Preux en leur honneur. Jurgen, duc de Broamel, qui avait renoncé à prétendre la couronne, et le sénat de Ciudalia accordèrent terre franche à la compagnie depuis les piémonts des collines de Vieufé comprenant le fief de Montardin jusqu'aux bois du Fauvois comprenant le fief d'Esseve. Les sept capitaines se constituèrent en un conseil d'échevins. Très vite ces militaires se désintéressèrent de cette charge et tous sauf Melantcher, le Capitaine (encore en poste aujourd'hui) laissèrent leur siège à des clercs. Sous leur impulsion de nombreux travaux furent entrepris : on édifia l'académie des enregistrements pour sauver les archives du Vieux Royaume et on bâti de nombreux temples. Pendant la guerre civile, nombre de réfugiés ciudaliens trouvèrent refuge dans l'enceinte de Bourg Preux.

Gouvernement

C'est une technocratie communale. Un conseil de sept échevins siège à la maison forte : le prévôt des marchands, la sophonte de la Vielle Déesse, le jurande des artisans, le maître archiviste, le bailli, l'intendant du finage et le Capitaine. Tous, sauf Melantcher le Capitaine, ont été choisi parmi leurs pairs pour représenter l'intérêt de leur administration au sein du conseil.

Melantcher, le Capitaine

Elfe mâle
Figure héroïque de la victoire de la compagnie des Preux lors de la bataille de la Listrelle et fondateur de la ville, Melantcher est le seul membre fixe du conseil de échevins. Si ses prérogatives ne concernent normalement que la sécurité intérieure et extérieur, son influence et son charisme en font de fait l'homme le plus important de la ville. Il est souvent, à raison, considéré comme le véritable dirigeant de Bourg Preux.

Clément du Gâte, prévôt des marchands

Humain mâle
Négociant d'origine ciudalienne ayant fait fortune dans le commerce des bois rares. Sa fortune fulgurante ne laisse aucun doute sur l'ambition de ce jeune homme. Certains lui reproche d'être un parvenu, voire un rustre aux méthodes commerciales douteuses. Cela ne l'a pas empêcher de se constituer un solide réseau de client et d'être choisi parmi ses pairs pour garantir le bon déroulement du commerce. A ce titre c'est lui le garant de la monnaie et des unités de mesures preusiennes, de l'entretien des routes, du prélèvement des taxes.

Maître Jacques, jurande des artisans

Humain mâle
Maitre joailler de réputation internationale, ses créations se retrouvent dans les coffret à bijou des plus précieuses toilettes du royaume. La légende raconte qu'il a été initié, enfant, par les nains au secret de la forge et qu'il tire son immense dextérité de leurs anciens secrets. Contrairement aux autre échevins, ce n'est pas une figure public et beaucoup parmi le peuple ignore même jusqu'à son existence.

Docteur Siméon Carnot, maître archiviste

Humain mâle
Homme de lettres et de sciences, Siméon, peu connu en dehors de la ville, bénéficie d'une bonne image populaire. Il a été choisi pour dirigé la maison des enregistrements et à ce titre est secrétaire général du conseil des échevins. Loin de se cantonner à un rôle d'archiviste, il partage son expertise sur des questions techniques et cherche à promouvoir le divertissement populaire (organisation de foires, de carnavals...).

Auguste Viguier, bailli de justice

Humain mâle
Homme austère et craint, ce membre du clergé du Desséché est chargé de vérifier de la bonne application des lois et de la traduction des criminelles devant la justice. Il est à la fois enquêteur et juge.

Léon Meyric, intendant du finage

Homme mâle
Homme de la campagne, réputé honnête et droit, cet homme simple a une charge capitale. Il doit assurer l'approvisionnement en nourriture de la ville depuis les campagnes, assurer le respect des mesures, prélever la taxe et entretenir les routes. Son rôle est très proche de celui du prévôt des marchands (à la différence qu'il concerne les paysans et les campagnes).

Pallas Alalcoménie, grande sophonte de la Vielle Déesse

Présumée femme humaine
Lors de la fête de l'équinoxe d'automne Alalcoménie a été désignée par les autres sophontes comme la plus sage parmi toutes les servantes de Matria, la Vielle Déesse. Au sein du conseil, elle n'a aucun pouvoir de proposition mais dispose d'un droit de véto. Elle est vu par certains comme le dernier remparts de la prudence face à l'expansionnisme moderne et par d'autres par une vielle conservatrice qui refuse le progrès. Elle est tabou : elle est toujours voilée mais toute personne qui porterait, intentionnellement ou non, les yeux sur ce qui se trouve sous le voile sera condamner à mort. Son autorité religieuse est respectée par les membres du culte ainsi que par certains druides et chamanes dans les tribus éloignées.

Situation géographique

Bourg Preux se dresse entre les monts Vieufé et la plaine du Listrellois. La ville haute domine la vallée et le lac de Croquerive entouré par la ville basse. A l'extérieur de la ville dans le défilé abrupte de la Listrelle se dresse le quartier vertical de la nainerie. Les ingénieurs nains y utilisent la force hydraulique pour alimenter leurs forges.

Aux alentours de la ville

Le bosquet du Desséché

Légèrement à l'écart de la ville, ce bois triste abrite le cimetière de la ville. A part les embaumeurs peu de gens s'y rendent. La cérémonie à la mémoire des morts se fait à l'intérieur de la ville et le corps et ensuite emmené par les embaumeurs vers sa dernière demeure. La nécropole abrite les archives civiles, notariales et testamentaires ainsi qu'un temple. D'après ce que Sassanos a dit, la nécropole sert de prison pour l'hypostase de la mort (cette information est sensible et peu connue).

La tour solaire de Leodegar

Le quartier de la nainerie

Quartier vertical construit, comme son nain l'indique, par les nains. Il domine les gorges de la Listrelle et utilise l'énergie hydraulique pour alimenter les immenses soufflets de forge, creuser la pierre riche en minerai et que sait on encore. Les falaises ont été creusées en un immense réseau souterrain soutenu par des arcades. Une foule de marchands, d'artisans et de curieux s'y pressent dans le brouhaha incessant des forges et des conversations. Loin de se limiter à se chef-d'œuvre architectural, les nains ont aménagés un ingénieux système d'écluses et de canaux qui permet la navigation sur cette partie troublée de la Listrelle et autorise le commerce fluviale.

La galerie de l'usinage

Une des plus grandes galeries de la nainerie avec les plus éminents artisans du métal : les forgerons qui arment la ville, les grands bijoutiers chez qui on achète les parures des mariages et des grands jours, les chaudronniers dont on raconte que seules certaines recettes peuvent être préparées dans leurs marmites, les artisans trompettistes dont les cuivres ont le son le plus clair du royaume, les ferronniers dont les chenets sont des œuvres d'art, les serruriers qui équipent les grandes demeures bourgeoises et les bâtiments officiels. A coté de ces boutiques luxueuses on trouve des marchands de tout et de rien : tuyaux en métal, instruments de jardinage, petits objets décoratifs, bijoux fantaisistes, fournitures de bureau.

A la bière des nains

Plus grande auberge de la nainerie, on y sert (en grande quantité) une bière d'importation naine. Ouverte à toute heure du jour et de la nuit, on y croise aussi bien des artisans nains que leur client (nains ou non) ainsi que des amateurs de bière. Tous les samedis, un concours de boisson fameux dans toute la ville s'y déroule.

L'île des Preux

Située sur le lac de Croquerive, on y accède par des ponts ou en bateau.

Le temple de la vielle déesse

Premier bâtiment de la ville, il fut dressé par les survivants de la bataille de la Listrelle sur l'île de lac de Croquerive pour accueillir les sépultures de leurs compagnons tombés au combat. Les multiples talents, la diversité culturelle (et sans doute la grande puissance magique, même si beaucoup l'ignore) ont permis de dresser un bâtiment à l'architecture exceptionnelle, d'un blanc immaculé. Par la suite, c'est devenu le lieu le plus important dans le culte de la vieille déesse dont les vestales assurent l'entretien et garde vivante leur mémoire. Une grande partie du bâtiment est ouverte à tous et est un lieu de promenade apprécié de tous.

Aux bains de la déesse

L'hôtel des vestales (maison close) attachée au grand temple de la vielle déesse. Dans cette maison des plaisirs on peut non seulement, en échange d'une offrande au temple, "s'entretenir" avec une vestale mais également prendre les eaux dans les thermes et méditer à l'aide de vin opiacé. Ce lieu sert à modérer les passions des habitants et à les inciter à l'équilibre. Cintrai dément à ce qu'un étranger pourrait croire ce n'est pas un lieu de débauche (les vestales y viellent) mais un haut lieu de spiritualité et de réflexion pour les fidèles.

Autour de la place d'armes

Plus ancien quartier de la ville, c'est le cœur administratif et bourgeois de la ville. On y trouve les plus belles demeures, les meilleures auberges ainsi que trois bâtiments représentatifs de la ville.

La capitainerie

Ancien bâtiment à l'architecture surprenante (probablement d'inspiration elfique) situé sur la place d'armes près de la nainerie et du lac de Croquerive. Il servait autrefois de siège pour le compagnie des preux. En dernier représentant de cette vaillante compagnie, Melantcher est devenu de fait le maître des lieux. L'accès est interdit et on ignore l'utilisation qu'il en fait.

La maison forte

Siège du conseil des échevins et centre exécutif et judiciaire de la ville. On y trouve la salle du conseil, la cour de justice, la salle des fêtes, une prison au sous-sol. L'architecture bariolée laisse déviée des influences multiples même si la maçonnerie massive et solide des nains l'emporte sur le reste. Un beffroi domine l'ensemble. Sur la cloche est gravée la devise de la Marche Franche "je ne sais reculer".

L'académie des enregistrements

Dernier des trois grands bâtiments (avec la capitainerie et la maison forte) dominants la place forte, son architecture n'a rien a envier aux deux autres. Un patchwork de pierres s'amalgament sans aucune logique apparente. Une tour penchée la surmonte) De l'avis de tous le bâtiment aurait du s'écrouler depuis bien longtemps et son maintien est un mystère pour tous. Les habitants se sont peu à peu habitués à cet édifice surréel et n'y prête plus attention (même si on évite encore de passer trop près). Le bâtiment est le centre administratif de la ville. On y trouve (en autre, nul n'a réussi à un plan complet) la chancellerie, les archives officielles, une bibliothèque, l'université, l'imprimerie.

Aux armes d'Arches

L'auberge centrale de Bourg Preux, idéalement située sur la place d'armes à coté de la maison forte et de l'académie des enregistrements. De par son positionnement elle accueille beaucoup de fonctionnaires et des sous-officiers plus ou moins en fin de service. C'est aussi l'étape habituelle des marchands ciudaliens et le premier choix pour les diners entre petits bourgeois (les notables reçoivent en général chez eux). Il y a deux grandes salles au rez-de-chaussée et des chambres à l'étage. Des petits salons peuvent être réservées pour des rencontres qui n'ont de privées que le nom puisque dans l'auberge se côtoie toute la "classe moyenne" de Bourg Preux.

Les délices du Guet

Cette cantine située dans une vieille bâtisse proche de la place d'armes accueille souvent les hommes de la milice, les scribes et les étudiants. Il n'y a qu'une grande salle avec une haute voute d'inspiration léonienne (~romane). Les tables en bois peuvent recevoir deux rangées d'une quinzaine de personnes, on s'y installe souvent au petit bonheur la chance en se serrant à coté d'inconnus.

La maison du Gâte

Grand magasin appartenant à Clément du Gâte. On y trouvait à l'origine que des objets d'ébénisterie ou du bois à acheter en gros. Avec sa fortune, Gâte a successivement agrandi sa demeure pour y ajouter un entrepôt de tissu, un magasin de pierres précieuses, un tailleur très chic etc.

Le comptoir de change Warnachaire

Bourg Preux est certes un carrefour commerçant bien moins important que Ciudalia mais sa position centrale dans le royaume, sa neutralité politique et sa relative discrétion en font un endroit idéal pour placer en sécurité son argent. A Bourg Preux se sont les épais murs de la maison Warnachaire qui garde les trésors plus ou moins secrets des notables de la région, des patriciens de Ciudalia et des aristocrates de Broamel. On peut y changer n'importe quelle en circulation dans le royaume, faire discrètement évaluer un bien, mettre en gage un bijou ou simplement obtenir une lettre de change pour n'importe quelle ville de taille moyenne du royaume. C'est à cet établissement que le chevalier a adressé la lettre qu'il a confié à Karla.

Le quartier des fleurs

Les jardins d'Anséa

Succession de fleurs, de fontaines et de statues, ce parc célèbre la douce déesse Anséa. Son inspiration est clairement ciudalienne même s'il ne rivalise pas avec les parcs (publics ou privés) de Ciudalia. Malgré le climat plus rude de Bourg Preux, on y trouve des fleurs exotiques et rares. A l'orée du jardin, facilement accessible depuis la ville se trouve l'hospice. On y soigne gratuitement les malades et y accueille les indigents. Plus à l'intérieur se trouve l'orangerie qui sert de lieu de rassemblement des fidèles en cas de mauvais temps. On y cultive plantes et herbes médicinales.

Les senteurs du roi

Parfumeur réputé. On peut y acheter également baumes et philtres.

L'entrepôt

Cet ancien entrepôt à bétail a été réaménagé, sur les fonds propres du Docteur Siméon Carnot, en scène artistique. On y donne des pièces de théâtres, des bouffes (farces), des opéras et des concerts. Quand il n'y a pas de représentation publique pour une foire ou un carnaval, le lieu est généralement louer par un notable pour y donner des réceptions privées.

Le quartier du marché

Beaucoup de petites rues, d'échoppes et de cabarets. C'est le quartier le plus populaire et le plus animé de la ville. Le matin, les charrettes arrivent de la campagne pour approvisionner le marché. Plus le jour avance et plus les marchands de nourriture laissent place à des restaurateurs ambulants puis à des stands de jeu à la sauvette puis à des prostituées et des coupes bourses.

La cour des miracles

Comme toute les villes, Bourg Preux a son lot d'ivrognes, d'estropiés et de mendiants. Ces pauvres âmes s'entassent dans quelques ruelles sombres jouxtant la partie ouest du marché. C'est une zone de non droit où l'on ne s'aventure pas sans raison (fuir la milice, achat de produits illégaux, recrutement de petites mains). Et même avec une bonne raison, il vaut mieux être préparé à se défendre.

Le quartier du port

Avant l'aménagement des canaux de la nainerie, ce quartier, au nord du lac, n'était constitué que de quelques simples cabanes de pêcheurs. La domestication des eaux a permis le commerce fluviale et a énormément contribué au développement de cette partie de la ville On y trouve de nombreux entrepôts, le bureau de la douane et un service de transport de personnes vers Broamel ou la mer Erridienne.

Organisations militaires

Le Guet

Fait office d'armée. Obéit directement à Melantcher.

La compagnie des convoyeurs

Escorte les caravanes marchandes et les voyageurs sur les routes du Vieux Royaume.

Le Fermage

Fait office de police, récolte l'impôt.

Carte de Bourg Preux

Bourg-Preux

Bourg-Preux

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