Décidément, les événements étaient difficiles à suivre, même pour quelqu'un d'aussi vif que Thormod! Il faut dire que le demi-elfe commençait vraiment à ressentir la fatigue de son voyage de la veille...
Il n'avait pas su réagir face au vieux gnome mais au moins Altaric ne semblait qu'être endormi (et brûlé à la main mais bon, il s'en remettrait!).
S'agenouillant près de la Flèche Noire, il entreprit de le secouer avec vivacité pour voir s'il se réveillait :
« Altaric? Altaric?!! »

Puis en même temps, Myriëlle tenta de s'occuper d'Hannah. Le demi-elfe n'avait pas vraiment de connaissances en matière médicale et, réalisant que la femme était en train d'accoucher, il répondit du coup par coup en s'adressant à l'assemblée de badauds qui épiait l'entrée de la demeure (ou du moins ce qu'il en restait) :
« Mais n'y-a-t-il donc personne pour quérir un prêtre?! Dépêchez-vous d'aller chercher un disciple de Pharasma! »

Se dirigeant vers la jeune femme, il tenta de l'aider tant bien que mal...

Lorsqu'il arriva à auteur de la foule et des gardes, Hendamar rengaina son arme. Visiblement, le gros du problème avait déjà eut lieu. Il arriva à hauteur des gardes qui le reconnurent et le laissèrent passer sans problème. La notoriété avait parfois du bon.
Lorsqu'il arriva dans la maison d'Hannah, la scène devant lui le figea quelques instants... Il fut pris d'une certaine ambivalence entre angoisse, soulagement et joie. Il était soulagé que rien d'extrêmement grave ne soit survenue, mais de nombreuses questions se posaient à l'instant. Et puis il y avait ce nouveau-né contrastant avec la dévastation du lieu. Le nain était pris au dépourvue par le cumul de la pression passé, de la joie de voir l'enfant après s'être attendu à des morts, du comique de la scène et de la surprise. Il éclata r'un rire tonitruant qui dura un long moment.

Heureusement, Myriëlle était parvenu à ses fins : Hannah commençait à reprendre conscience et se rendre compte de la nécessité d'intervenir.
Thormod, plutôt maladroit dans l'exécution de sa tâche, parvint tout de même à sous-peser la tête de la femme, l'aider à se stabiliser en une position adéquat pour que le bébé vienne au monde et la rassurer. La sage-femme elfe prit la relève en assistant la sortie du petit être qui ne tarda pas à pousser quelques cris. Elle coupa le cordon avant de le donner à Thormod qui, avec soin, l'enveloppa dans une petite couverture alors qu'il était encore tout couvert de sang.

« Et bien... on dirait qu'il est en parfaite santé! Et ses oreilles trahissent une origine elfique, je sais de quoi je parle! » dit-il avec un sourire à nouveau éblouissant.

L'enquêteur était maintenant plus serein : chacun semblait avoir surpassé ce tumulte sans trop de dégâts... Quoique... Il aperçut Altaric revenir à lui, les joues aussi écarlates que la chevelure du gnome qui s'en était allé en flottant derrière son protecteur (ou son ravisseur...)! Visiblement, le rôdeur était dans un mauvais jour, ce qui était compréhensible vu après ce qu'il venait de traverser.

Hendamar apparut sur le pas de la porte (enfin plutôt sur le pas des décombres) et alors qu'Altaric s’enquérait de ce qu'il avait raté pendant son évanouissement, le nain fut prit d'un rire sincère et tonitruant, tout à fait adapté à la situation! Le demi-elfe se mit à rire lui aussi (mais de façon plus classe), réalisant maintenant le côté hétéroclite de la scène!
Myriëlle et Hannah semblaient aller bien, Märk n'avait visiblement aucun souci physique (au grand damne des joues d'Altaric) et la mère du nouveau-né avait survécu.

« Je crois que nous avons tous des questions qui nous trottent dans la tête! Difficile de savoir par quoi commencer... » évoqua Thormod après avoir séché ses larmes de rire d'un revers de manche, d'un ton plus grave, à destination d'Hannah.
« Plus personne ne semble en danger, bien qu'un prêtre soit nécessaire pour Altaric. Je crois que vous en savez plus que nous Madame Hannah sur la tournure qu'ont pris les choses... » ajouta-t-il alors qu'il tendait le nourrisson enveloppé dans sa petite couverture à Myriëlle pour qu'elle le montre à sa mère, encore pleine de sueur et épuisée mais visiblement soulagée que son enfant ait vu le jour.

Altaric écoutait, assis, ce qu'il s'était produit. Il se souvint d'un gnome qui était là au moment où il perdit connaissance, il essayait de réarranger ses souvenirs mais le visage vide de Sollana restait imprégné dans son esprit et le tourmentait. Il prit une grande inspiration et tenta de se reconcentrer sur le présent. Ses amis l'aidèrent à se relever « Merci. Savons-nous qui était cet étrange gnome ? Il m'a dit des paroles étranges avant que je perde connaissance, je croyais vraiment que c'était la fin à ce moment là... Ah merci Myriëlle » dit-il en buvant quelques gorgées d'eau. Il regardait la nouvelle cicatrice apparue sur sa main et accepta les remarques sur son acte courageux mais néanmoins stupide. « J'ai fait ce qu'il me semblait le mieux dans le feu de l'action, je viendrai vous voir demain après avoir assisté à la chasse, je l'ai promis. »
Altaric fût surpris de voir que les meubles, vitres et bocaux étaient réparés. Le brouhaha de la foule se fît de plus en plus intense, Altaric s'avança près d'une vitre afin de voir ce qu'il se passait dehors.

Modifié par un utilisateur vendredi 15 janvier 2016 09:34:41(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Levitaré! »
Thormod avait suivi l'exemple de Voon et Zantus quand ces derniers commencèrent à remettre un peu d'ordre dans la pièce. Le demi-elfe avait plaisir à utiliser sa magie au contact des autres participants présents dans la salle! C'était un peu comme s'ils s'étaient tous mis à jouer aux cartes ensemble, à ceci-près que des objets flottaient dans les airs avant de reprendre leur place sur les étagères!

Puis il écouta gravement les explications des uns et des autres. Voilà donc le fin mot de l'histoire : une broche maudite! Il faudrait surement interroger le vieux gnome pour en apprendre plus.
Mais l'enquêteur avait du mal à se concentrer : le brouhaha des badauds extérieurs commençait à se transformer en gronde d'une foule visiblement mécontente!

« Oui, je vois, ce n'est pas un problème, je vais faire mon possible... » rétorqua Thormod au Père Zantus tout en prenant la pierre tonnerre. Il est vrai qu'une tirade devant les foules n'avait jamais vraiment intimidé le jeune demi-elfe mais le plus dur à gérer ici serait surement le manque d'informations à fournir aux importuns qui vrombissaient derrière la porte désormais réparée.
« Pour éviter tout débordement, je préfère ne pas révéler l'entière vérité sur ce qui vient de se produire... Néanmoins,  » se tournant vers la jeune mère encore sous l'émotion de son effort, « Coraline, y'a-t-il quelque chose dont vous voudriez me faire part? »
L'enquêteur avait un sourire en coin, à la fois rassurant et malicieux, largement incitatif pour que la protégée d'Hannah lui réponde.
« Des éléments supplémentaires sur la raison de votre présence m'aiderait à juger ce dont je dois parler aux habitants qui commencent à fulminer sur votre compte dehors! »

HRP

Acillatem, je pars du principe qu'un jet de diplomatie n'est pas nécessaire : je viens de la faire accoucher donc niveau confiance, ça devrait aller
Dis-moi s'il en faut quand même.
Mais du coup, si elle ne souhaite rien me révéler, j'enchaîne avec la sortie de Thormod face aux foules pour un autre long post!

Hendamar s'était calmé avec l'arrivée du père Zantus et de Vorbashali. Il essuya ses larmes en suivant l'exemple de Thormod, mais ses vieux vêtements, la manche qui s'accrochait à la barbe et le visage plus carré du nain rendait la scène bien moins élégante. Il fit de son mieux pour suivre la situation qui semblait extrêmement complexe ...

Dans un premier temps, il était soulagé d'apprendre que ce n'était pas une attaque de gobelin ou de leurs alliés. Le gnome avait un sombre passé et ce n'était pas le seul dans l'équipe improvisée qui s'était formée lors de l'attaque. Le nain-lui même portaient les séquelles de la guerre et seules les nombreuses années écoulées depuis lors lui permettaient de vivre normalement. Parfois, à l'évocation des géants, il revivaient les scènes de cette sombre guerre qui lui fit perdre père, frère et amis.

Hendamar synthétisa autant qu'il le put la situation. Le gnome semblait être sous l'effet d'une malédiction l'obligeant à accomplir une mission précise, toucher la broche enclencherait un sort d'une extrême puissance. En faisant la toilette du gnome, l'amulette s'était déclenché provoquant une grosse explosion et la vague de lumière, mais Altaric parvint à l'éteindre se blessant et s'évanouissant au sol. Un gnome vint et pris leur camarade de fortune avant de repartir. En même temps, le choc déclencha l'accouchement de la femme enceinte ... Thormord fut obligé de s'occuper de l'accouchement avec Myriëlle ... Voilà tout ce qu'Hendamar saisissait de la situation.

Maintenant des foules enragés demandaient des explications ... Peut-être serait-il judicieux d'éluder certains détails ... Mais tout le temps qu'il passa à réfléchir, ne lui permis pas de prendre la parole et une femme parlait dans un langage étrange qui commença à l'hypnotiser.

Tout le monde répondit négativement à la question d'Altaric. Ni le Père Zantus, ni Vorvashali Voon, ni Hannah ne su répondre et cela parlait encore moins à Coraline et Myriëlle.

« Certainement le nom de ce jeune gnome c'est ça ? Cette broche maudite représente très certainement une des académie de magie de la région. Laquelle ? Nous aurons la réponse quand votre cicatrice se montrera plus coopérative visuellement. »

Julius était un adolescent né à Pointesable. Son père travaillait au marché au poisson de Valdemar et sa mère avait un travail tout aussi épuisant : s'occuper de sa fratrie. Julius était un jeune garçon turbulent mais curieux, pas vraiment croyant et encore moins assidus aux cours de l'académie en compagnie des enfants orphelins qui étaient ses amis. Il préférais la mer et était particulièrement habile pour dénicher des crabes et autre crustacé dans la crique et la plage de Pointesable.

Le lâcher de machaon, c'pour les gamins. Pensa-t-il au moment où - allonger sur la plage - il vit les papillons s'envoler d'après les textes de la Déesse de la chance.

Lui aussi, plus jeune, avait adoré poursuivre ces papillons en espérant secrètement que l'un d'eux se pose sur son épaule, signe de chance pour l'année à venir, lui aussi, avait passé des festivals entier avec les Bombers à faire des farces audacieuses aux étrangers. Mais maintenant qu'il avait presque quinze ans. Il était impensable qu'il se joigne aux gamins naïfs et aux autres espiègles. Il avait passé l'âge. C'est ce qu'il se disait.

Mais il avait tort. Lorsque les flammes dévorèrent son village et que les cris des femmes et des enfants lui vinrent à ses oreilles, il comprit qu'il n'était qu'un enfant. Ses jambes lui interdirent d'avancer, sa voix avait disparu et seul la sueur sur son front prouvait qu'il ne s'était pas soudainement transformé en statue de sable.

Papa... Maman... mes sœurs...

Ses jambes répondirent à son angoisse, elles avancèrent plus vite que d'habitude, ses bras aussi, grimpèrent la falaise beaucoup plus rapidement qu'à l'accoutumé. Une fois en ville, il comprit rapidement que des gobelins avaient mené un assaut d'une envergure incroyable. Julius couru en direction de la place, il savait que ses petites sœurs participaient au lâcher de machaons. Elles lui en avaient parlé tout l'été.

La foule était compacte et n'allait pas dans son sens, il voyait des bâtiments en flamme et des cris angoissants venant de toute part. Lui qui avait un excellent sens de l'orientation commençait à perdre toute forme de repère, son anxiété prenait le dessus, la peur aussi. Il pensa à abandonner en se disant que ses sœurs avaient déjà fuit. Il y pensa sérieusement un dixième de seconde, un dixième de seconde avant qu'un papillon bleu se pose sur son épaule.

Desna, comme une évidence.

Le courage ne le quitta plus et conjointement à la peur, lui permirent de se frayer un chemin dans la foule qui rétrécissait de plus en plus; il se dirigeait droit vers la place de la cathédrale. Il vit ses sœurs pétrifiées, protégées par leur mère, face à un groupe de gobelin dépravé et hideux qui se dirigeait vers eux.

Où sont les gardes ? Bon sang ! Où sont les gardes ?!

Le papillon s'envola de son épaule et prit la direction d'un chariot couvert d'une bâche et se posa dessus. Julius avait accumulé assez d'expérience avec les bombers pour savoir que des feux d'artifices se trouvaient sous cette bâche lors des Festival de Desna. Il se souvint immédiatement d'un des cours reçus à l'académie par le vieux Ilsoari. Les gobelins vénéraient le feu. Julius couru vers le chariot en prenant un morceau de bois enflammée sur le bord du chemin, vestige d'un étal carbonisé et se jeta tête la première sur le chariot. Il alluma une mèche...

La grande explosion le projeta en arrière tel un épouvantail soufflé par une tempête, il atterrit miraculeusement dans une botte de foin, il eut le temps de voir sa famille s'enfuir ainsi qu'un groupe de personne ne faisant ni parti de la milice ni des garde. Cette bande était composée d'une femme, d'un homme, d'un nain et d'un gnome et ils foncèrent tête baissé sur les gobelins excités par les flammes.

Avant de s'évanouir, il eu une drôle de pensée, enfantine.

Mes héros...



Julius faisait parti de la foule qui faisait face à la maison d'Hannah, théâtre d'une explosion encore jamais vu en ville. Il avait ordonné à sa mère et ses soeurs de rester chez eux. Son père qui l'avait rejoins, s'inquiéta à son tour sous les huées de la foule qui attendait une explication sur ses événements surnaturels. Il s'attendais à voir sortir le Père Zantus que tout le monde avait vu rentré. Les gardes l'avaient laissés naturellement passer.

Mais c'est un Demi-Elfe, à la cape d'émeraude sali par la poussière qui leur fit face. Il parla dans une pierre tonnerre devant une foule impatiente et anxieuse.

« Messieurs-Dames! Messieurs-Dames!
Un peu de calme je vous prie! Ayez obligeance de bien vouloir m'écouter, je suis certains que vous attendez tous des réponses aux nombreuses questions qui vous traversent l'esprit!
Je vais essayer d'y répondre au mieux mais uniquement si vous faites preuve de calme et de patience! »

C'est qui lui ? Il a l'air important. Pensa Julius alors que la foule se calma pour écouter le jeune Demi-Elfe.

Il écouta son discours avec concentration, comme toute la foule présente autour de lui. Il sourit de bonheur lorsqu'on lui expliqua que cela n'avait rien à voir les gobelins. Il fut ensuite surpris que la jeune Coraline connaisse quelqu'un d'aussi important. Il fut heureux que ce Demi-Elfe prenne la défense de la douce Hannah il et comprit très mal ses paroles à propos de l'explosion magique.

Pas convaincu, il nous cache quelque chose ! Cette explosion était vraiment bizarre ! Faut que j'en parle aux autres. Pensa-t-il en sachant pertinemment que ses parents ne laisserais pas sortir ce soir et encore moins aller au Dragon rouillé, cette taverne d'étranger, pour discuter avec quelqu'un d'influent et dangereux.

Son père et lui rentrèrent chez eux dans un mouvement incroyable de dispersion des habitants de Pointesable.



Une fois chez Hannah, Thormod expira et tendit la pierre tonnerre au père Zantus qui la refusa.

« Gardez là jeune Grévor. J'aurais le temps de m'en procurer une avant le prochain événement. Votre façon de parler était magistrale et vous avez menti pour le bien d'autrui, la mairesse à de la chance de vous avoir à ses côtés, ainsi que la ville. »

Le petit commerçant rajouta :

« Incroyable ! Incroyable ! Quel discours ! Quel discours ! Venez me voir à l'occasion vous aussi ! J'ai hâte de compter un client dans mes petits papiers qui deviendra très rapidement populaire. Incroyable ! Quel discours ! »

Hannah coupa court.

« S'il vous plait Vorva... ne criez pas... »

« Pardonnez-moi Hannah. Je vais d'ailleurs prendre congé et je passerais vous voir dès demain pour reparler de ses événements incroyable. »Rajouta-t-il en saluant pompeusement chaque personne avant de sortir sous un « Escroc ! » d'un ivrogne parcourant la rue du crochet.

Myriëlle prit alors la parole.

« Vous allez au Dragon ? De mon côté; je vais rester aux côtés d'Hannah et de Coraline ce soir, ainsi que de l'enfant.  » Elle permit à Altaric de se lever, il se tenait facilement à Märk et semblait être capable de bouger convenablement à présent, elle se dirigea vers Coraline en lui souriant et lui apportant de l'eau. « Dites moi Coraline. Comment allez-vous appelé ce magnifique enfant ? »



Coraline rougit et répondit après quelques secondes de silence.

« J'sais pas... j'suis pas très imaginative comme fille... j'avais pensé à... à Thormod. » Dit-elle sous le sourire bienveillant du Père Zantus et d'Hannah.







Thormod tu gagnes donc une pierre tonnerre, en voici la description que je t'invite à mettre sur ta feuille de personnage :

30po
0.5kg

Le personnage peut lancer cette pierre avec une attaque de contact à distance ayant un facteur de portée de 6 mètres. Lorsqu’elle touche une surface solide (ou reçoit un coup violent), elle génère une détonation assourdissante considérée comme une attaque sonore. Toutes les créatures situées dans un rayon de 3 mètres doivent réussir un jet de Vigueur de DD 15 ou être assourdies pendant 1 heure. En plus des effets évidents, une créature assourdie reçoit un malus de -4 à son initiative et a 20% de chances de rater et de perdre les sorts à composante verbale qu’elle tente de lancer. Le personnage n’ayant pas besoin de toucher une cible spécifique, il peut simplement viser une case de 1,50 mètre de côté. Considérez que la case cible a une CA de 5.

En RP : Cette pierre permet d'augmenter la puissance de sa voix comme un puissant micro. Il suffit que la personnage la chauffe suffisamment (à l'intérieur de sa main par exemple) pour qu'elle résonne à toute onde sonore; assez pour parler à une foule captive par exemple.

Modifié par un utilisateur mardi 19 janvier 2016 13:56:23(UTC)  | Raison: Non indiquée

Altaric écoutait à travers les murs le discours du demi-elfe en fermant les yeux. Pourvu que ça ne dégénère pas... priait-il intérieurement.
Ce n'est que lorsque Thormod revint en un seul morceau qu'Altaric fût soulagé. A la place d'éloges qu'il recevait déjà de la part des autres, Altaric le félicita d'un simple geste de la tête accompagné d'un sourire.

Il était maintenant temps de partir, Altaric reprit ses affaires grâce à l'aide de Märk. « Merci. Hum.. Oui nous allons aller au dragon, j'aimerais parler avec monsieur Voon au sujet du gnome qui est apparu avant de partir avec le gnome blessé. Si vous avez besoin d'aide, vous savez où nous logeons » dit-il avant de suivre ses camarades en route vers la taverne.

Modifié par un utilisateur lundi 25 janvier 2016 23:19:45(UTC)  | Raison: Non indiquée