Là oui faudra tirer l'initiative, bang contre la porte quoi !!! xD

Le groupe pouvait déjà voir en partie ce qu'il y avait dans la pièce, mais la lumière leur donne une idée plus nette. Elle n'a clairement pas été utilisée depuis longtemps. Le nettoyage a été fait à la va-vite, servant davantage de cache-misère qu'autre chose, sans être un minimum réaménagée pour donner le change à la rumeur. Au mieux, ça aurait servi de lieu de passage temporaire, avec des sacs de couchage comme seuls supports de repos, et un nombre de caisses faible. Avant qu'ils ne défoncent la porte, une image silencieuse était active pour donner l'impression que c'était plus fourni, mais l'apparition du porteur de torche a perturbé sa concentration, et la destruction de la porte le surprend. Il panique légèrement car il ne s'attendait pas à être repéré aussi rapidement, et encore moins à faire face à un lanceur profane.

Modifié par un utilisateur lundi 6 mars 2017 19:41:52(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ce jour là, Takeo avait décidé de fermer tôt la boutique. Il était allé dans les tavernes boire quelques verres et tenter de trouver de nouveau client. Il avait pris l'habitude de changer encore de forme pour pas que les clients se rendent compte que le vendeur et celui qui leur conseillait d'y aller étaient la même personne. Ainsi il salua ses potentiels futurs clients. Ils avaient tous un point commun, ils aimaient leur femme et parfois ça allait mal. Takeo aimait beaucoup ce jeu de bluff et d'arnaque et même si c'était à la limite du légal, c'était nécessaire pour que son commerce tourne.
Cette après-midi là, il ne trouva qu'une seule victime. Après avoir commandé un verre, il s'empressa de lui parler:
«  Bah alors jeune gens, vous avez l'air d'aller mal. Vous vous êtes pris la tête avec votre femme et vous voulez vous réconcilier?
-vous êtes malin! Et Oui, mais je ne sais pas comment mis prendre.
-Si je peux vous donnez un conseil, je lui amènerai des fleurs et m'excuserai.
-Bonne idée mais c'est cher pour une pauvre dispute. En plus il n'y a pas de bon fleuriste dans le quartier.
-Moi j'en connais un, il est au bout de la rue. Il s'appelle Takeo et tout ce que je peux vous dire c'est que ses fleurs sont peu chers et de bonnes qualités.
-Merci monsieur?
-Arnold, Monsieur Arnold.  »
Puis après avoir bien entourloupé son client, il partit en donnant comme excuse qu'il devait rejoindre sa femme. "Et un client de plus!" se réjouit Takeo. Joyeux il prit la route des quartiers moins fréquentés pour se balader sous sa vrai forme.
Il atteint une vielle taverne délabré où il trouva des gens en train de parler. Il les rejoint pour écouter ce qu'il disait. D'autres arrivèrent et commencèrent à se battre avec les premiers arriver. Ils finirent par arrêter de se battre et alors qu'il pensait qu'ils allaient se séparer, un d'entre eux chargea la porte et explosa sa serrure avec sa hache. De plus en plus curieux, Takeo le suivit à l'intérieur prêt à s'enfuir en cas de problème et demanda:«  Excusez moi, je vous écoute depuis un moment et je voudrais savoir, qu'est ce que vous faites? C'est certes une taverne délabrée mais c'est interdit de rentrer comme ça. Enfin peut être que vous faites partis de la garde? »

Ça va comme ça? Sinon il faut bien jeter un jet d'initiative?

• initiative : 1d20+4 donne [15] + 4 = 19

Modifié par un utilisateur lundi 6 mars 2017 18:59:04(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dohosa ne laissait rien transparaître mais il était surpris par la vivacité de Gurdriik. Peut-être n’était il pas assez concentré.
La porte défoncée, Dohosa emboîtait le pas du nain.

Ne disant mot, il tendait son arme en direction de l'individu au centre de la pièce.

Modifié par un utilisateur mardi 7 mars 2017 06:16:55(UTC)  | Raison: Non indiquée

Bertanos était prêt à entrer lorsque Gurdriik enfonça la porte. Il entra alors à la suite des deux barbares pour prendre l'auberge d'assaut.
Le prêtre scrute ensuite toute la pièce pour tenter de voir si d'autres personnes sont dissimulées.

« Vous vous appelez comment ?
Nous avons entendu des rumeurs parlant d'esclavagistes œuvrant dans le coin.
Vous trafiquez quoi ici ? »
Soléas scrute la réaction du gars, et Tempérance fait de même, tout en jetant un œil aux blessures du pauvre péon porteur de torche.

Modifié par un utilisateur mercredi 8 mars 2017 22:38:00(UTC)  | Raison: Non indiquée

" Plutivarch Dremis. Les rumeurs d'esclavagistes nidalais, c'est du flan. C'est moi qui les ai lancées pour profiter de la vague de disparitions, pour dépouiller ceux qui sont assez bêtes pour tomber dans le panneau. Pour ça simplement je reste ici, j'attends que le crédule vienne, et gang. Par contre c'est à se demander ce que fiche la garde. Je suis là seulement parce qu'elle ne fait pas son travail, sinon je serais en train de faire autre chose. Le maire avait mis ma tête à prix y a un peu de temps, je crois qu'il parlait de deux cents pièces d'or, parce que mes petits crimes contribuent à donner une mauvaise image de la ville.

Assez content de valoir ce prix, mais ça montre à quel point il est fainéant. Au moins, vous pouvez ramasser la récompense, et je passerai un bon moment en prison. "

Il est franc et direct, mais c'est parce qu'il est fier de ses méfaits, et qu'il ne s'en excuse pas du tout, ça c'est pour les faibles.

Modifié par un utilisateur jeudi 9 mars 2017 19:08:49(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ce qu'il n'a pas dit, c'est qu'il a lancé ces rumeurs pour viser plus particulièrement les agents de la Société des Eclaireurs, dans une tentative pour impressionner leurs adversaires du Consortium de l'Aspis, mais il ignore également que ce dernier ne recrute pas de cette façon. Pour le moment, étant occupé ailleurs il ne supporte pas ce genre d'actions individuelles, préparant une attaque quand le moment sera venu, pas avant. Au lieu de le récompenser ils l'auraient probablement renvoyé devant la loge de Magnimar en gage de bonne volonté.

Ses méfaits plus généraux relèvent du banditisme, mais à une fréquence suffisante pour installer un sentiment d'insécurité, et comme l'image est plus importante que le reste aux yeux du maire, c'est ça plus que le larcin même qui dérange ce dernier.

" Le maire peut tout à fait me libérer pour que je fasse ses petites magouilles. Ca serait pas la première fois qu'il abuserait de son mandat comme ça. Remise de peine en échange de petits services. La plupart des affaires peuvent être jugées normalement, que ça fait tâche. Norgorber seul sait dans les poches de qui il est ... "

Modifié par un utilisateur vendredi 10 mars 2017 07:29:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

" C'est de bonne guerre, j'aurais fait la même chose de toute façon. "

Il ne dit rien de plus quand il voit le groupe retourner la salle, sans rien trouver. Mais sur lui ils sentent un petit trésor qu'ils prennent le temps de répertorier et dépouiller.

- 3 potions de soins légers (150 po)
- 1 potion de soins modérés (300 po)
- 1 potion d'invisibilité (300 po)
- Dague de maître (302 po)
- 10 dards (5 po)
- 100 po en propre
- Améthyste (500 po)

Gurdriik reste près de l'ouverture de la porte pendant qu'il laisse le suspect se faire interroger et aide ses nouveaux collègues pendant la fouille de la salle tout en gardant un œil sur la rue, restant attentif au passage des civils. Lorsque Soléas fini l'interrogatoire, le nain prit la parole.

« Eh bien, eh bien... V'là qu'e'que chose qu'arrange pas nos affaires... Maint'nant qu'on à alléger le bougre de toute sa caillasse et qu'on va laisser les gardes d'la ville s'en occuper, s'quoi la suite ? »

À ces mots le barbare rouquin aperçu la pierre précieuse que tenait le demi-elfe.

« Eh mais qu'c'est une beauté qu'tu tiens là dit moi ! Ma famille est experte dans les joyaux ! Moi, j'aide pour les chargements et les escortes d'habitudes mais j'pu apprécier de temps en temps la marchandise et j'te dis que celle là c'est loin d'être d'la camelote ! Après pour c'qui est du sort du filou, j'suis pas contre lui donner de quoi s'débrouiller quand il s'ra en taule. Il a pas l'air d'être si méchant... »

Modifié par un utilisateur dimanche 12 mars 2017 15:22:30(UTC)  | Raison: Non indiquée