Bouark examine le trou noir se présentant devant lui. Il ne voit rien...

S'en suis un court débat avec ses camarades, notamment l'éclaireur, Arthuro qui, sur ce coup, préfère rester dans la harde. Bouark ne s'en offusque pas, c'est aussi le rôle des plus forts de la harde de veiller à l'absence de danger pour tous. Nonia continue de les surprendre en proposant de créer de la lumière ... magique.
Ainsi la sombre humaine encapuchonnée n'est pas la seule pratiquante de magie.
Alfred ne se propose pas, et il est effectivement plus sage qu'il reste à défendre sa fragile et fatiguée protégée.

« Je suis votre ... homme. »

Calmement, Bouark enlève sa chemise de maille, et la place dans son sac à dos.

Il poursuis sa préparation, sors de son sac sa corde en chanvre et présente ses 2 bouts pour bénéficier de la lumière magique de Nonia.

Il repose la corde au sommet de son sac, pour pouvoir la récupérer sans devoir farfouiller, et avec les bouts pendant de chaque côté. Il pourra faire redescendre la corde en y attachant un gros rocher et espérer qu'elle soit facilement repérable avec son deuxième bout éclairé, pendant que le premier lui maintient un éclairage en haut du passage.

Enfin il cale l'ensemble en posant son marteau de lucerne dans son dos et l'attachant avec deux noeuds concus pour ne pas l’empêcher de saisir rapidement son arme .

Le poids de son sac ne lui pose aucun probleme dans l'escalade, il préfère même avoir un peu de volume dans son dos pour s'aider des parois opposées en s'arcboutant.

Avant de se lancer, probablement pour se préparer à l'exercice physique, mais, en fait, surtout pour se faire une idée sur ce qui peux l'attendre jusqu'au quart ou moitié de parcours, Bouark prend une profonde inspiration et cherche à identifier des odeurs suspectes.
Il se méfie particulièrement de produit inflammables qui pourraient composer la base d'un piège.

Une fois prêt, il jette un regard à l'ensemble de ses camarades, cherchant l'approbation ou un dernier conseil, puis il se lance dans l'ascension.

La première partie de l'escalade est une balade en foret humide par beau temps (Escalade 28). Surement facilité par le faible risque de chute lié à la proximité du point de départ... La 2ieme partie se corse mais reste très abordable pour le Skinwalker (Escalade 21).

Bouark assure alors ses prises et renifle de nouveau pour sécuriser la 3ieme partie (derniere?) de son trajet.

Modifié par un utilisateur vendredi 25 août 2017 17:05:10(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'Ifrit s'était tourné os à ses compagnons, armes en mains, leur signifiant ainsi qu'il couvrait les arrières pour leur laisser le temps de monter. Arturo avait en tête une stratégie bien différente que de sécurité la file, il serait le dernier à passer et pourrait ainsi avoir une vue incontestable sous les jupes des filles !
Pour Astéria les choses s’annonçaient moins drôle, les activités musculaire n'avaient jamais été sont fort et seul l'étroitesse du goulot et le fait de pouvoir s'aider des racines apparut magiquement finirent par la convaincre 'y aller, tout en prenant son temps. Elle jetait régulièrement un regard derrière elle, intrigué de voir les yeux de cet être de feu rougeoyer avec autant d'intensité.


Arthuro et Astéria prennent leur temps (faire 20)

Quand Bouark s'engage sur le chemin, il n'a pas trop de difficultés à passer sur le chemin, mais il doit compter sur ses seules capacités car le décor est inexploitable. Malgré l'enchevêtrement, la prise n'est pas suffisante pour pouvoir y aller sans prendre de précautions, donc ils devront marcher au quart de leurs capacités. N'étant pas en danger, ils peuvent prendre ce temps-là. A part l'usure du temps, pas de piège ni quoi que ce soit d'autre, les ronces invoquées aident à reboucher les trous qui se sont formés. Au bout de quelques minutes, ils vont au bout du chemin et arrivent devant un pan de mur qui semble complètement bouché, mais la pierre est complètement brisée et ils pensent qu'ils pourraient forcer le passage. Aucune trace de quoi que ce soit n'est présente.

Par contre Arthuro et Asteria, en essayant de prendre leur temps retombent au point de départ parce qu'ils n'ont pas fait attention à une pierre qui se déchausse et les fait se pencher en arrière, ce qui ne va pas sans quelques hématomes et egos blessés, les ronces évitant que l'impact soit plus important.

Arthuro et Astéria prennent 3 de non-létal

Modifié par un utilisateur dimanche 27 août 2017 14:08:32(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'escalade n'était à priori pas le fort des deux derniers du groupe, moult effort, et grands courages ne permirent de faire qu'un résultat à la limite du risible.

Modifié par un utilisateur mardi 29 août 2017 23:15:10(UTC)  | Raison: Non indiquée

Bouark n'arrive pas à creuser le plâtre entre les pierres avec sa dague.

« Soit, finalement il n'y a que la bonne vieille méthode qui marche »

Il reprend sa forme la plus animale, recule pour prendre tout l'élan qu'il peux, sans trop bousculer ses camarades, notamment ceux qui se préparent à l'aider à défoncer le fragile mur de pierre, plante ses sabots dans le sol et fonce.

Ses appuis sont parfait, sa course est incroyablement puissante, il rentre dans le mur comme dans de la paille !

Modifié par un utilisateur jeudi 31 août 2017 21:58:33(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le gobelours ne s'attendait pas à ce que Bouark défonce le pan de mur du premier coup. Même s'il l'a entendu arriver, il n'a pas vraiment eu le temps de s'abriter. Bien que ça ne les étonnerait pas qu'il les attaque à vue, il ne le fait pas. Au contraire, même sans l'avoir vu, il a un certain respect pour ce genre de démonstrations de force. Il parle avec un commun parfaitement compréhensible bien que teinté d'un accent gobelin qui rend le discours difficile à écouter. Bien que sur la défensive, il n'est pas pour autant hostile.

" Bouarf, bien ça. Je sais pas qui vous êtes, mais j'entends de jolies paires de bras. Pas besoin qu'on se fritte, hein ? On peut arriver à un arrangement, vous me rendez un service, je vous en rends un. "

Avant que la poussière ne retombe, Bouark inspecte la pièce dans laquelle il vient d'arriver.

Elle sent une odeur forte de "mâle à l'aise".

Le globours est effectivement dans son antre et leur arrivée ne semble pas le déranger outre-mesure.

Et en plus il parle, et veux négocier.

Bouark laisse alors la place aux beaux visages du groupe, il se place sur le côté, le marteau toujours à la main et écoute la voix suave et captivante de l'humaine chauve, Cassiopée.
Ses propos sont simples et clairs mais aussi captivants.
Bouark a lui aussi immédiatement envie de devenir sa meilleure amie !

Modifié par un utilisateur mardi 12 septembre 2017 12:17:10(UTC)  | Raison: Non indiquée

Tandis que leur ennemis cherchait à parlementer Arthuro s'amusait à se déplacer dans la pièce en sautant comme un crapaud, alors que ses compagnons commençait à entamer une voie diplomatique l'Ifrit entamait celle de la dérision en faisant de petit bonds par-ci par là, restant à distance respectueuse du Gobelours tout en explorant un petit peu la pièce.




Arthuro se ballade "un peu partout" je laisse le MJ décidé de sa position si un combat devait éclater.

Modifié par un utilisateur mardi 5 septembre 2017 12:19:55(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le Goubelours avait clairement annoncé les fait: si Arthuro continuait ses pitreries il trancherait dans le tas.
Sortant un mouchoir de sa poche l'ifrit essuya ses larmes imaginaires et se mouche fortement dans le tissu avant d'aller bouder dans un coin, prêt à pourfendre l'empêcheur de joie si le combat était déclenché par un membre du groupe.

« Ok Grulk, Cheveux de feu arrête de bouger. Et donc, tu sais quoi à propos des gobelins zombies ?  »

Modifié par un utilisateur samedi 9 septembre 2017 12:03:35(UTC)  | Raison: Non indiquée