La journée avait déjà commencé un peu étrangement, au moment où Éphrem avait repéré, de l'autre côté de la rue, en face du Club du Sargave, un jeune homme qui semblait observer l'immeuble où ils logeaient. Le Mwangi était passé par les toits puis redescendu un peu plus loin pour tenter d'appréhender l'observateur... qu'il avait finalement ramené dans la salle commune du Club. Après s'être rempli le ventre, le jeune homme qui semblait extrêmement fatigué, avait fait part à ses interrogateurs d'étranges souvenirs concernant le Club, comme s'il était déjà venu ici avant, mais sans qu'il ne puisse pourquoi, ni quand, ni ce qu'il y avait fait exactement... C'était un peu comme s'il s'était réveillé d'une sorte de long cauchemar hanté par l'image d'un homme dont la moitié droite du visage était comme brûlée. Après avoir ingurgité un copieux petit déjeuner, le jeune homme, qui n'avait visiblement pas mangé depuis un bon bout de temps, sombra dans le sommeil.

De leur côté, Ellawa et Hogo avaient eu une matinée tout aussi étrange : ils avaient croisé Otesha, une Mwangie qu'ils savaient associée à la Fraternité des Hommes Libres et qui avait d'ailleurs servi de vigie pendant leur entrevue avec des responsables de la Fraternité. La Mwangie les avait déjà suivis la veille et leur avait posé des questions à propos de leur arrangement avec le Gouvernement et de l'impact que celui-ci aurait sur les Mwangis d'Éléder. Ce matin-là, elle semblait particulièrement inquiète. Elle les emmena dans un endroit isolé et leur raconta que, la veille, un individu était venu rencontrer les responsables de la Fraternité et leur avait présenté la situation d'une toute autre manière : dans son discours, les aventuriers étaient des traîtres qui s'étaient alliés avec le Gouvernement et avaient contribué à de fausses promesses visant à s'assurer que les Mwangis serviraient leur expédition en tant qu'esclaves. D'après Otesha, le discours de l'homme n'était pas très convaincant mais il avait apparemment suffi pour avoir un effet dramatique : l'un l'un des chefs de guerre les plus violents avait décidé de passer à l'action en suivant les indications et les informations données par le visiteur...

C'est ainsi que tout le groupe des aventuriers s'étaient retrouvés dans la salle commune du Club... après avoir échangé les informations qu'ils avaient recueillies, le son d'une cloche battue à la volée les interrompit. Selon Briga, il s'agissait d'un incendie, et l'alerte provenait du quartier du port militaire... là où se trouvait l'entrepôt qui servait d'abris à la préparation de l'expédition ! C'était également là que plusieurs des compagnons des aventuriers s'étaient rendus le matin même pour y prendre leur fonction : Ishirou et Jask, entre autres, travaillaient là-bas pour mettre en place toute la logistique concernant le gros de l'expédition !

Les aventuriers s'élancèrent donc à travers les rues d'Éléder en direction du quartier militaire... Avant de pouvoir accéder à celui-ci, ils croisèrent une foule qui semblait fuir l'incendie. Quelques minutes plus tard, ils se rendirent compte que ce n'était pas le feu qui les avait fait déguerpir mais plutôt la présence d'un groupe de cabots enragés dont les cages avaient été ouvertes... Une fois cet obstacle dégagé, ils arrivèrent sur place et se rendirent compte que l'entrepôt de l'expédition semblait épargné pour le moment, mais que les deux entrepôts voisins étaient la proie des flammes. Ils surprirent même deux fanatiques Mwangis armés de fioles de feu grégeois et occupés à tenter de propager les flammes ; l'un d'eux périt et l'autre fut assommé par Hogo.

Les habitants du quartier et les militaires s'affairaient : ils avaient constitué des chaînes humaines pour amener de l'eau depuis le port vers les bâtiments en feu. Seuls deux groupes semblaient ne pas prendre part à cette action : un trio formé de deux miliciens et de Hémiphon Vancaskerkin, le vieux rôdeur qui travaillait sur l'itinéraire du voyage, et deux autres miliciens montant la garde devant les portes fermées de l'entrepôt numéro 2. Ils apprirent que Vancaskerkin avait été évacué en même temps que tout le personnel qui travaillait dans l'entrepôt, sans doute pour mettre le vieux rôdeur infirme à l'abri.

Les plus observateurs aperçurent également un attroupement à une bonne centaine de mètres de là, devant l'enceinte qui appartenait à une compagnie de baleiniers, la Compagnie arcadienne (dont ils avaient déjà pu profiter des odeurs quand les vents soufflaient vers la direction adéquate).

Alors que Hogo et Ellawa s'étaient rapprochés des miliciens, Sébrysse et Tiriji s'étaient avancés dans la direction de l'attroupement. Éphrem avait en effet aperçu des silhouettes sur le toit du plus haut des bâtiments de la Compagnie arcadienne, deux silhouettes plus précisément et il avait reconnu Jask et s'était aperçu que l'autre individu menaçait le clerc en tenant une arme sous sa gorge. Le jeune Mwangi avait tenté une approche moins directe pour tenter de pénétrer dans l'enceinte de la Compagnie depuis le côté.

En s'approchant, les aventuriers entendirent la harangue de l'homme qui menaçait Jask : il présentait l'ex-clerc comme un traître à son ethnie, qui s'était vendu à ceux qui traitaient les Mwangis comme des esclaves ; il prônait la rébellion et le changement, un changement qui ne pourrait avoir lui selon lui que grâce à une révolte sanglante. À l'intérieur des bâtiments, certains des aventuriers purent apercevoir d'autres fanatiques Mwangis, qui accompagnaient sans doute l'orateur situé sur le toit.



De son côté, Éphrem avait escaladé une clôture et était arrivé près des docks privés de la Compagnie, dans une partie du complexe qui était ornée de plusieurs arbres lui permettant de se cacher. Lui aussi avait aperçu plusieurs autres Mwangis, dont certains étaient situés au rez-de-chaussée et à l'étage du bâtiment sur le toit duquel Jask et son tortionnaire se tenaient. Le bâtiment en question était complètement ouvert du côté de la cours intérieure, sans doute pour permettre aux ouvriers de travailler tant au niveau du sol qu'au niveau du premier étage sur les carcasses de baleines qui étaient hissées jusque là.

Alors qu'au sommet du bâtiment le plus haut, celui qui semblait être le meneur des terroristes mwangis continuait de haranguer la foule tout en balançant Jask devant lui comme une sorte de marionnette, Éphrem se faufila à l'arrière du complexe. Dans un premier temps, il se rapprocha de la baleine qui était allongée à travers la cour intérieure. L'animal était de belle taille, et les ouvriers avaient apparemment déjà commencé à découper la peau et certaines parties de la viande. Une fort parfum mélangeant odeur de poisson, effluves de mer et goût du sang flottait dans l'air ici.

Comme une partie de la queue de l'animal était encore dans l'eau, il était impossible de la contourner complètement en restant sur le sol. Éphrem longea donc le flanc gauche de l'animal puis entreprit de l'escalader au niveau du début de la queue. La peau de la baleine était lisse et légèrement huileuse, mais cela ne ralentit pas le roublard qui se retrouva prestement au sommet de la carcasse.

Il en profita pour jeter un coup d'oeil sur l'avant de la cour intérieure, et repéra dans le bâtiment sur sa gauche un individu armé d'une arbalète qui semblait monter la garde sur la cour. Éphrem se coucha pour ne faire qu'un avec la baleine et scruta la vigie pendant quelques secondes... le Mwangi ne semblait pas l'avoir vu. Éphrem se laissa donc glisser le long du flanc droit de la baleine avant de retomber sans un bruit sur le sol. Là où il se trouvait, il était à l'abri du regard de l'homme qu'il venait d'apercevoir.

Avançant à pas mesurés, il se faufila entre les quelques piles de caisses qui se trouvaient derrière le haut bâtiment et en observa la paroi. L'édifice était un simple entrepôt-atelier, une construction qui était sans doute de moindre importance aux yeux des architectes et bâtisseurs chéliaxiens et de la compagnie qui s'était établie ici... le mur était un empilement de blocs de pierre consolidé par une sorte de mortiers, le tout formant une surface guère régulière offrant suffisamment de prises pour que le roublard l'escalade jusqu'à se retrouver sur le toit.

Prudemment, il leva la tête de manière à observer la situation en hauteur.

Le toit était fait de tuiles de pierre relativement lourdes mais également peu enclines à faire du bruit... c'était une bonne chose ; les bords du toit étaient inclinés, ce qui rendait l'approche un peu plus difficile mais ne poserait sans doute pas de problème à un roublard aussi expérimenté qu'Éphrem. À une petite dizaines de mètres devant lui se dressait le leader des Mwangis. Celui-ci tenait Jask devant lui, sa main gauche agrippant le clerc au niveau du bras et sa main droite tenant une arme au niveau du cou de son prisonnier, arme qu'Éphrem ne parvint pas à identifier vu que le Mwangi lui tournait le dos. Par contre, il repéra un kukri attaché à la ceinture de l'individu, du côté gauche. Le Mwangi était protégé par une cuirasse en métal brunâtre qui semblait avoir déjà beaucoup vécu.



À l'avant, dans la foule, se tenaient Sébrysse, Tiriji et Ellawa, qui avait laissé Hogo et le prisonnier un peu plus loin près de l'entrepôt. La prêtresse de Sarenrae prit une profonde inspiration et tenta de faire porter sa voix jusqu'au toit, indiquant qu'un des incendiaires mwangis avait été fait prisonnier et proposant un échange du prisonnier contre Jask.

La tentative d'arrangement provoque un cri de rage de la part du chef des Mwangis. « Quelle arrogance ! Comme si vos règles, vos arrangements, votre manière de voir les choses s'appliquaient forcément à tout le monde. Eh bien non, nous ne nous soumettrons pas ! Assez, cela suffit ! Vous pensez que celui que vous avez fait prisonnier n'est pas prêt à sacrifier sa vie pour cette cause ? Vous pensez qu'en échange d'une vague et trompeuse promesse de liberté, il accepterait de laisser tomber le combat ? Certainement pas ! Ce n'est pas un traître comme celui-ci, qui met ses talents au service du gouvernement et des chéliaxiens comme une prostituée se vend au plus offrant ! »

Le Mwangi poussa une sorte de rugissement rageux tout en secouant Jask qu'il tenait devant lui. « La révolution ne pourra se faire que par le sang ! C'est le seul langage que ces chiens comprennent ! Et celui-ci sera le premier exemple, le premier d'une longue lignée ! »

Son cœur ne s'était que très peu accéléré et malgré la situation Ephrem se sentait pas l'urgence et l’imprudence de la situation. Il était parti sur son idée et la seule chose qui lui importait était que le mwangi soit occupé par une quelconque négociation! Et apparemment c'était chose faite, sans comprendre tous les mots il entendait une discussion et des mots plus haut que les autres!
Il avait grimpé le long du mur comme il aurait pu le faire pour aller observer une autre battisse en face, le but était maintenant de s'avancer le long du coté opposer, non seulement pour ne pas attirer l'attention de ceux qui aurait pu le voir du bas, mais aussi pour rester caché du kidnappeur!

Ephrem dans un premier temps observa le toi et s'imagina la meilleur trajectoire, son ombre pouvait le trahir comme les autres ombres pouvaient le protéger. Il fallait aussi trouver par ou d'autres pouvaient arriver! Il n'oubliait pas les deux vigies qui devaient se trouver juste sous le toi!

Eyodwa était arrivé sur les lieux de la prise d'otage juste au moment où la prêtresse avait terminé son intervention. Et comme il s'y attendait, la réaction du mwangi avait refusé la conciliation. Il se montra alors le plus possible et se mit à parler dans sa langue natale. « Umagro, ndugu yangu, usiruhusu hasira kuvuta mawazo yako. Wanaume nyeupe hawaelewi watu wetu na tunapaswa kupigana. Lakini kwa maneno, si kwa silaha ... Ni kwa wale dhaifu. Kumbuka jinsi ulivyomwomba sipigane na kuniokoa wakati nilikuwa mbwa wa mbinguni. Fungua mtu unayotaka na tunaweza kuzungumza. »


Ne sachant pas si ses mots seuls auraient un effet sur le Mwangi, le jeune homme se continua à le fixer d'un regard dur, tout en essayant de prévoir les réactions dans la foule.

Le jeune Mwangi n'avait pas entendu toutes les conversations, mais il semblait que d'autres personnes s'en était mêlé. Il avait cru reconnaitre quelques mots de sa langue natale, mais quoi qu'il en soit cela avait précipité les choses et leur kidnappeur avait maintenant sorti son arme. La manœuvre allait être très délicate, car il allait falloir faire très vite pour l’empêcher de faire l'irréparable!!
Un très court moment, Ephrem faillit se poser la question de savoir si Jask leur était encore d'une quelconque utilité, mais bien sur il n'était pas le moment de réfléchir!!

L'ancien contrebandier qu'il était avait quelques souvenirs du même genre, ou il fallait qu'il réagisse très très vite car son pacha était menacé de mort, sauf que là, présentement, il était sur un toit et très loin.....! Mais il avait acquit plus d'expérience!!!

Alors qu'il était accroupi et qu'il s’apprêtait à longer le bord du toit, il changea complétement de stratégie! Maintenant il fallait arriver le plus vite possible dans le dos du Mwangi et lui enfoncer l'épée courte jusqu'a la garde, au niveau de la tempe, de manière à couper toutes informations tentant à diriger le bras armé du kukri! La cape à capuche lui dissimulant le crâne et l'épée en main, il s'exécuta.

Modifié par un utilisateur mardi 30 janvier 2018 23:07:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

A une telle distance, il n'y avait pas grand chose que Tiriji pouvait faire, surtout pour Jask, mais heureusement elle avait encore en elle quelques résidus de magie et elle pointa le doigt vers le Mwangi sur le toit en marmonnant quelques paroles qui, il y a peu, était encore incompréhensible même pour elle. du doigt pointé partirent deux projectiles qui prirent la direction du toit...


projectiles magiques

• projectiles magiques : 2d4+2 donne [4] + 2 = 6

Eyodwa venait à peine de croiser le regard du preneur d'otage qu'il aperçut une ombre se précipiter sur Umagro. Il y avait donc quelqu'un là-haut et les paroles lancées n'avaient pour but que lui laisser le temps d'attaquer par traitrise...

Le jeune Zenj se rapprocha de celle qui s'était présentée dans la langue commune des mwangis comme une chamane de la nature. Il la toisa d'un air méprisant et lui dit, toujours dans leur langue commune. « Wewe, ambaye anasema kutenda kwa manufaa ya watu wangu, unajua kwamba kulikuwa na mtu huko juu tayari kuruka kama paka? Ikiwa ndivyo, umefanya mshirika wa mtu huyu mwenye udanganyifu ambaye anahitaji kujificha uso wake kupigana. Ikiwa unaweza, fanya wapiganaji sehemu. Una yako "rafiki" si wakati wa kumwaga damu bali palaver. »


Puis il se mit à incanter en agitant les bras comme s'il s'agissait des ailes d'un oiseau. Rapidement il se tut et se mit à émettre des cris et des grognements en regardant l'animal volant qui s'approchait des deux combattants.


Déplacement en I2

Modifié par un utilisateur vendredi 2 février 2018 16:03:18(UTC)  | Raison: Non indiquée

Comme à son habitude, Ephrem n'avait pas réfléchit au suite du combat. Pour lui le Mwangi aurait du s'effondrer de ses blessures, comme l'avait fait le pauvre Jask!! D’ailleurs il allait peut être mourir pour rien du coup!!

Il s'adressa à lui dans sa langue natale, « Attends, j'y suis pour rien, je voulais pas!! Ils m'ont forcé. On est du même sang, mon frère!!
Si tu veux je te suis, j'pourrais être enfin libre!!! »


Action préparée, S'il fait mine de m'attaquer, je l'attaque juste au moment ou il lève son arme.

Avec souplesse du serpent, +4 à la CA sur une AO.--> pas tenir compte de cette remarque Ephrem n'a pas encore souplesse du serpent!!!

Modifié par un utilisateur samedi 3 février 2018 00:00:38(UTC)  | Raison: Non indiquée

Éphrem tenta un coup de bluff... qui, vu l'état de rage dans lequel son adversaire se trouvait, n'avait clairement que très peu de chances de réussir. Malgré tout, le ton, sans doute extrêmement convainquant, du jeune roublard, cause un court instant d'hésitation chez l'imposant combattant... juste assez pour permettre à Éphrem de se préparer à attaquer en cas de danger.

Alors qu'en bas, dans la rue, Ellawa répliquait vertement au Mwangi qui était venu l'aborder, en hauteur, Simurgh vint se positionner derrière le chef des terroristes tout en poussant des cris menaçants afin de distraire celui-ci.

Le Mwangi reprit ses esprits et leva ses kukris, prêt à passer à l'attaque contre Éphrem... mais celui-ci avait prévu le coup et lança l'offensive. La lame de son épée courte se mit à luire légèrement, répandant un halo rougeâtre sur le combat, au moment où elle entra en contact avec la chair du Mwangi.



Celui qui avait fait Jask prisonnier leva les bras tout en poussant un cri de rage, prêt à abattre ses deux kukris sur Éphrem puis il se figea pendant quelques secondes et une sorte de lueur rougêatre visible depuis la rue vint illuminer la scène. Plutôt que d'attaquer, il baissa le regard et se rendit compte que le jeune roublard en face de lui venait de lui enfoncer quasiment toute la longueur de son épée courte verticalement depuis le bas du ventre. Sentant ses forces s'échapper, il lâcha ses deux kukris qui retombèrent sur les tuiles du toit puis s'affaissa.

Éphrem retira son épée courte d'un mouvement rapide et se recula, laissant suffisamment de place au Mwangi pour tomber tout d'abord à genoux puis ensuite s'affaler face en avant, comme s'il s'inclinait devant le roublard. Un bruit retentit derrière Éphrem ; en se retournant, il s'aperçut qu'à quelques pas derrière lui, la trappe qui permettait de descendre à l'étage inférieur venait de s'ouvrir. Un autre Mwangi, sans doute attiré par le bruit du combat, passa la tête et s'exclama « Umagro ! Ils ont tué Umagro ! »

Modifié par un utilisateur samedi 3 février 2018 15:38:43(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ephrem fut encore presque surpris par ses performances, mais comme au bon vieux temps cela ne lui fit ni chaud ni froid de se retrouver avec sa victime à ses pieds! Par contre encore une fois, il découvrit ce qu'il n'avait toujours pas préparé, mais là la fuite était envisageable!!!

Enfin pas pour le moment, pas temps qu'il y aurait un moindre espoir de dissuasion. "Croque" encore en main, il fonça. Il ne savait pas si l'homme qui venait d’apparaître était un lieutenant aguerrit de cet Umagro ou si ce n'était qu'un sbire qui découvrait la mort de son chef?

Dalvyn, je sais pas comment et de quel coté s'ouvre la trappe, mais est ce qu'il y a moyen de la refermer avant que le gars n'ai sorti plus que la tête??