La créature regarde avec un air stupide la personne qui hurle des mots incompréhensible. « Kion ŝi diras? Ĝi ne havas senton? Kaj kial ŝi moviĝas kiel ĉi tio? »

Il s’agite en faisant des gestes las avec ses bras, montrant qu'il ne comprends vraiment rien.

Commun des profondeurs

Modifié par un utilisateur mercredi 25 avril 2018 21:22:54(UTC)  | Raison: Non indiquée

La petite chose comprends au moins ça, et s'éloigne dans les fourrés. Et c'est là, que le sort se termine. La créature ne semble pas vouloir revenir, a-t-elle vraiment compris?

Johel s'agenouille devant la mite qu'il a assommé, et lui fait quelques claques pour la réveiller avant de lui pointer une direction en fronçant les sourcils, le regard dur. «  Allez, oust !  »

Après le combat Krone resta attentif au cas où d’autres mites attaqueraient. Quand la dernière mite debout parti le barbare rangea sa hache et commença à fouiller les mites. «  Je regarde si des choses peuvent nous aider et on peut repartir.  » dit-il.

Une foi les créatures fouillées, Krone rassembla les cadavres et autre morceaux derrière les fougères pour les cacher au cas d’autres mites viendraient.
Puis il sorti d'un des sacs de son cheval deux sacs et les tendit à Ephyra, « Tiens j'ai oublié de te les donnés ce matin, je t'ai acheté ces sac pour les accrocher à ton cheval afin que tu puisses transporter plus de chose, par exemple: tes parchemins.  » Et il répondit à Charani. « Je suis d'accord mais il va faire noir dedans, je ne sais pas pour vous mais moi je ne vois pas dans le noir, donc je te propose de prendre ma torche pour que je puise nous défendre si on nous attaque. Ça te va?  » Sur ce Krone alla décrocher sa torche.

Modifié par un modérateur jeudi 26 avril 2018 08:08:39(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Ah, pardon, j'oubliais que les humains avaient des sens aussi faibles... Restez près de moi, du coup. »

Charani prend la torche de sa main équipée d'une targe, et d'un simple mot de commande, l'allume, puis s'enfonce dans la grotte.

Étincelles pour allumer la torche

Modifié par un utilisateur mercredi 9 mai 2018 09:42:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Charani, devant l'amas de richesses volées, probablement à des gens qu'ils ont tué pour ça, semble soudain ennuyée d'avoir laissé partir l'un des pillards. Elle se tourne vers Johel.

« Hum... Tu vois qu'il est dangereux de parcourir les terres sauvages. Ces biens appartenaient probablement à des gens qui pensaient savoir se débrouiller dans la nature... Enfin bon, on va pas les laisser là, on va tout ramener à Oleg, il saura en tirer quelques richesses. »

Charani renifle un peu les rations, lance une detection de la magie sur l'ensemble, puis commence à ramener des choses vers les chevaux, omettant les fourrures auxquelles elle semble n'accorder aucune valeur.

Modifié par un utilisateur mercredi 9 mai 2018 09:42:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Johel aide Charani à déplacer une partie du butin jusqu'aux chevaux. «  Oui c'est vrai... Mais tous ne se débrouillent pas aussi bien que moi.  » Il souffle un léger rire, plus pour détendre l'atmosphère après ce combat éclair. Une fois le chargement terminé, il se frotte les mains et les places sur ses hanches.

«  Bon, direction la hutte de Bokken donc ?  » Dit-il en souriant.

Le groupe repart donc, les chevaux chargés de trouvailles. Il faut effectivement une petite dizaine de minutes pour parcourir la distance restante et arriver dans la hutte de Bokken. Une maisonnette fatigué, en bois et rondins mal agencés qui tiennent plus par miracle que part construction. Le toit, si on peut parler d'un toit, est un amas de branchage mort, qui a quand même le mérite de stopper la pluie. Autour, il y a un jardin dans lequel poussent de nombreuses plantes diverses, dont certaines pourraient se faire passer pour de la mauvaise herbe, mais vu la manière dont le tout est agencé, c'est difficile a croire. Un second jardin est visible, un bout dépasse de derrière la hutte, et visiblement, c'est là que l'ermite cultive sa nourriture.

Non loin de la hutte, se trouve un poteau sur lequel est fixé une corde retenant une chèvre qui mâchouille l'herbe environnante. Allongé non loin, vous voyez un homme, que vous reconnaissez comme étant l'ermite Bokken, dont vous avez maintes fois entendu parler. Vieux, fatigué, le visage marqué par le temps, il arbore un longue barbe peu entretenu et des cheveux en un peu meilleurs état et coiffé. Enfin... plus ou moins... Le roux de sa pigmentation capillaire contraste avec son visage marqué par l'âge et accentue l'effet. Habillé de guenilles, de fourrures, de peau et d'a peu près tout ce qu'il peut trouver pouvant tenir chaud, il mâchouille quelque chose avant de se relever, en vous entendant arriver. En effet, quatre chevaux chargés n'est pratiquement jamais discret dans le calme étrange du lieu.

« Vous, vous êtes ceux qui ont défendu le comptoir de ce bon vieux Oleg, pas vrai? Vous... vous avez vraiment réussi? A peine croyable... Mais... mais venez donc... » Il montre de sa main sa cahutte, qui, vu la taille, doit vraisemblablement contenir le strict minimum.

Une fois tous dedans, vous découvrez avec stupeur que l'intérieur est bien différent de l'extérieur. Des draps couvrent ce que le bois laissait passer et donne un côté chaleureux et agréable au lieu. Et la lampe à huile posé sur une table rempli de matériel alchimique, donne un côté mystérieux et quasi mystiques. Les attentifs aux détails remarqueront que les tentures sont agrémentés de symboles et de dessins ésotériques. Accroché un peu partout, vous voyez des pages de recette indiquant la formule de tout un tas de chose, mais la plupart du texte est méconnaissable par un non-initié. Un lit, une place bien sûr, est disposé au fond de la pièce, entre deux étagères rempli de livres et d'ingrédients étranges. Vous y trouvez des pots avec un liquide contenant divers membres de plusieurs espèces, des flacons de multiples couleurs, des herbes, des os et tout un tas d'autre chose. La science est parfois bien proche de la sorcellerie...

« Alors, que puis-je pour vous? C'est Oleg qui vous envoie? Me dite pas qu'il est déjà en manque de potions... » Il parle vite, en fait, même ses premiers qu'il vous avait dit dehors était rapide. Comme si... il avait hâte de terminer la conversation alors qu'elle viens seulement de commencer.

Perception DD10

Modifié par un utilisateur jeudi 26 avril 2018 13:45:40(UTC)  | Raison: Non indiquée

Lorsque Ephyra arriva en vue de la hutte, attentivement elle l'observa, détaillant la scène pendant quelques minutes. Elle mit pied à terre et la soirée s'étant avancé, elle tourna la tête en l'air attirée par une aura sacrée. Volant vers elle Sophia arrivait, Ephyra étendit le bras et la chouette s'y posa atterrissant d'un trait. La samsaran commença à flatter les plumes de l'oiseau avant qu'elle ne vienne se placer sur son épaule d'un saut. Puis son regard fut attiré par l'ermite qui ici devait habiter. Elle lui adressa un regard curieux avant de le suivre dans son lieu. Son regard fut alors happé par les potions, les objets qu'elle pouvait regarder.

Modifié par un utilisateur vendredi 27 avril 2018 09:04:04(UTC)  | Raison: Non indiquée

Johel écoute le vieil homme parler et sourit quand celui ci lui sert un verre d'eau, qu'il s'empresse de boire. Il repose le verre et lui dit. «  Il vous faut quelle quantité ? Ces baies me disent quelque chose.  »