Le prêtre de Néthys était plus ou moins resté silencieux pendant tout le voyage ; Ellawa s'en était rendu compte : il était visiblement d'humeur sombre. Quand le groupe s'arrêta, il proposa « Pendant que vous décidez de l'endroit où monter un camp, je vais aller essayer de trouver du bois pas trop mouillé. Avec nos habits complètement trempés, nous risquons d'avoir très froid cette nuit-ci si nous n'avons pas de feu. Il vaut peut-être même mieux les enlever dès maintenant » ajouta-t-il en enlevant une bonne partie de ses vêtements avant de disparaître dans la jungle.

Les autres naufragés firent de même : Jask avait raison ; il fallait se débarrasser des habits et les faire sécher au plus vite. Le gnome fut le premier (après Jask) à replier ses vêtements soigneusement et à les pendre à une branche. Il ne répondit pas vraiment aux questions d'Ellawa, se contentant de lui adresser un sourire mystérieux dont la signification était impossible à déterminer. Il haussa les épaules et ajouta « On verra. » Il était clair que les naufragés n'étaient pas encore parvenus à s'attirer ses bonnes grâces (si, toutefois, cela était dans leur projet).

La jeune rousse fut la suivante. Sans se préoccuper des regards des autres, elles enleva enleva certains de ses habits, gardant juste deux pagnes pour recouvrir ses parties intimes. Lorsqu'elle s'avança jusqu'aux arbres pour y placer ses atours, tous purent voir le symbole gravé sur ses omoplates, un symbole qui représentait clairement deux pattes d'insectes rouges et que certains avaient peut--être déjà remarqués juste après le naufrage. Tout en posant ses vêtements sur des branches, elle répondit « Ch'ais pas,moi… mais bon, de toutes façons, pour l'instant, je dois m'occuper de mon dimorphodon. Il devrait bientôt arriver, donc je vais passer pas mal de temps à préparer son arrivée. »

Le vieux Tinais fut le suivant à aller poser ses vêtements.Lui aussi présentait un spectacle plutôt intrigant : on pouvait voir plusieurs longues cicatrices qui zébraient son dos musclé. Elles étaient bien trop droites pour qu'il puisse s'agir de blessures par armes. Non, elles ressemblaient plutôt à des cicatrices laissées par des coups de fouet.

Finalement, c'est la demi-elfe qui commença à se déshabiller. Certains des aventuriers avaient pu découvrir son caractère des plus épicés au cours des jours précédents mais là, la découverte était d'un tout autre ordre. À chaque vêtement enlevé, c'était une nouvelle partie d'un corps ferme, au galbe parfait, qu'elle dévoilait. Ishirou semblait particulièrement intéressé par ce spectacle, comme certains autres d'ailleurs, de sorte qu'un silence pesant s'était installé sur le groupe.

Remarquant cet étrange silence, la demi-elfe se retourna, le regard rempli de fureur. Ishirou baissa immédiatement les yeux et, malgré la lumière qui commençait à s'atténuer en ce début de soirée, l'écarlate qui colorait ses joues était tout à fait visible. « Oh, bien sûr, quand c'est pour reluquer les fesses ou la poitrine d'une bonne femme, ça, il y a du monde. » pesta-t-elle. Elle se retourna pour attraper un morceau de tissu avec lequel recouvrir son corps quasi parfait et cracha encore « Imbéciles » avant de s'éloigner de quelques mètres à grands pas.

Ellawa n'eut pas vraiment de mal à trouver un endroit où établir un camp. En fait, elle en trouva plusieurs : ils pouvaient installer le campement dans un espace dégagé proche de la falaise, avec une magnifique vue sur le lagon… ou un peu plus loin, à l'intérieur de la jungle, à un endroit où la végétation était un peu moins dense et où il ne serait pas nécessaire de jouer aux bûcherons avant de se mettre à construire un abri. Par contre, la druidesse ne trouva ni nourriture ni plante médicinale.

Ephrem avait marché comme il avait pu, à chaque pas il avait l’impression que son corps n’irait pas plus loin. « Oui, oui on prend celui là comme endroit pour camper. » Il s’était affalé contre un arbre, la pluie ne l’avait pas aidé, il ressentait encore plus la froideur des gouttes, même sa respiration avait du mal à reprendre un rythme normale, la lourdeur de l’atmosphère y était pour quelque chose !

Il avait regardé paisiblement et en se rinçant l’œil également, il n’avait jamais eu l’occasion de voir de jolie fille aussi dénudée. Les filles de joies qu’il avait eut n’avait rien à voir !! Puis la réaction de l’elfe lui fit également baisser les yeux. Mais l’idée était bonne, il enleva ses vêtements les essora à deux mains, puis alla les mettre sur une branche exposé au vent. On pouvait voir maintenant les nombreuses cicatrices qui ornaient son jeune corps, mais ce n’était pas des cicatrices causées par de armes, mais par des morsures ou des piqures, par endroit sa peau n’était plus que boursouflures.

Sa cape devait certainement être sèche mais, il aurait fallu y déloger les deux œufs, il se rapprocha d’Ellawa.«  Laissez moi quelques minutes pour me reprendre, et je vous aiderais ensuite, et c’est absolument pas pour ça que je le fais, mais j’voudrais bien aussi des petits conseils pour eux !!
 »

« Installons-nous sous les arbres. Au moins serons nous à l'abri des volatiles carnivores de cette île. »

Sébrysse aida Ellawa à installer le campement pendant qu'Eldéa et Jask s'étaient chargés d'aller ramasser du bois. Elle déposa l'ensemble de ses affaires, se changea rapidement pendant qu'elle mis ses affaires à sécher. Elle accrocha un cordage à deux solides arbres et déplia les voiles de manière à former une vaste tente où dormir, essayant de replier les bouts pour former un voile suffisamment hermétique pour éviter qu'elle ne soit ouverte aux quatre vents et surtout aux moustiques.

Elle tenta ensuite de trouver de quoi former des végétaux pouvant composer une couche suffisamment souple pour composer un semblant de lit où Ephrem pourrait prendre du repos. Elle tenta d'en faire autant pour elle.

Lorsqu'elle eut terminé, elle fit venir Ephrem. Elle entreprit de nettoyer ses plaies.

Une fois achevé son travail, elle retira son armure, déposa ses armes, fit ses ablutions à l'abri des regards, se changea, nettoya ses habits et les mit à sécher.

Le groupe avait visiblement opté pour un camp situé en plus en profondeur dans la jungle, à une bonne trentaine de mètres de la falaise, ce qui leur permettait tout de même de profiter de celle-ci, de sa vue et de sa hauteur (pour par exemple se débarrasser des déchets) tout en restant à l'abri des regards trop indiscrets. Les uns et les autres avaient mis du leur non seulement pour construire un abri mais aussi pour élaguer un périmètre autour de l'endroit où ils allaient placer le feu de camp. Tous avaient contribué au moins un peu à la tâche commune, certains avec plus d'entrain que d'autres cependant.

La demi-elfe suggéra même « Utilisons un des filets pour placer les restes de viande en hauteur, à l'abri des prédateurs. » Il restait suffisamment de nourriture pour le repas du soir et sans doute pour un repas le lendemain mais, après cela, les réserves seraient épuisées. Au moins, maintenant, ils avaient un campement, un lieu de base, et ils pouvaient se déplacer sans devoir transporter tous leurs biens.

Jask avait proposé « Par prudence, il faudra organiser des tours de garde ce soir. Si Ephrem en est exempt, je pourrai m'occuper de lui et l'aider à récupérer. Ces couches à base de feuilles de palmier seront sans doute suffisamment confortables pour cela. ». Il se tourna vers Sébrys et ajouta « Et je peux aussi tenter de t'aider à combattre la maladie. ».

Décidément, il avait suffi de quelques efforts de courtoisie et de diplomatie pour transformer le prisonnier taciturne et renfermé en un allié des plus utiles. Il était dommage de ne pas pouvoir en dire autant des autres naufragés malheureusement.

Jask ajouta « Notre rencontre avec ces horribles volatiles nous a prouvé une chose : cette île est dangereuse, et nous en sommes au stade de la survie… il nous faudra nous organiser pour tenir bon : chasser, explorer, peut-être trouver une vraie source d'eau fraîche. Je pense que nous aurons besoin d'utiliser tout ce que l'île a à nous proposer le temps de trouver un moyen de partir. Vous avez parlé de faire un feu pour avertir les navires de passage… sauf si je fais erreur, ils sont plutôt rares dans le coin. N'oubliez pas, l'île est supposée hantée par tous les marins morts au cours des nombreux naufrages qui ont eu lieu ici. »

Test de Psychologie pour ceux qui le sentent…

Ellawa tenta durant la soirée de discuter avec les différents protagonistes pour saisir leurs motivations et voir ce qu'elle pouvait faire pour les inciter à s'intégrer dans le groupe.

La demie-elfe avait de bonnes idées et l'homme prisonnier était en fait une mine riche de motivation et de bonne volonté depuis qu'il était libre.

Elle s'interessa plus particulièrement à Sasha et la demi-elfe avec qui elle avait eut quelques échanges.

Elle chercha des moments calmes pour parler à Sasha sans trop être écoutée des autres :

« Sasha nous pouvons peut être discuter un peu à prêt tout on a plus que ça à faire non ?...Quelle marque étrange vous avez c'est celle d'insectes visiblement, votre passion pour la Nature ?...Concernant le Dinomorphon il ne sera pas évident de l'élever vous savez ce sont des créatures sauvages qui demande beaucoup de patience....

...Ah d'accord et vous étiez venue pour quoi sur ce navire si c'est pas indiscret ?...Moi je comptais aller découvrir les terres du Sud et en apprendre plus sur la Nature qu'on disait vierge des hommes. »

Puis plus tard dans la soirée elle répéta sa démarche avec la demie-elfe qui semblait avoir montré un certain savoir-faire.

« Je ne vous dérange pas ? Je voudrais discuter entre femmes puisqu'on est là autant apprendre à se connaître pour mieux travailler ensemble.

Pour moi cette situation est pas évidente j'avais l'habitude de vivre seule dans la jungle tout ce monde me perturbe un peu à vrai dire...Et vous connaissez-vous un peu la Nature ou la navigation peut être ? En tout cas vous connaissez quelques règles de survie c'était une très bonne idée de suspendre la nourriture. L'odeur par contre risque d'attirer des prédateurs...

...Et vous partiez pourquoi vers le Sud ? »

Modifié par un utilisateur mardi 22 février 2011 22:53:13(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Quoi, ça ? » demanda la jeune rousse en se retournant vers Ellawa. Elle haussa les épaules et frissonna légèrement mais ajouta « Je suppose que, vu que nous sommes perdus sur une île où personne ne viendra nous chercher, ça ne vaut pas la peine de faire des mystères, hein ? Mais je croyais que les Mantes Rouges étaient plus connues que ça… »

En effet… qui sur Golarion n'avait pas entendu parler des Mantes Rouges ? Il s'agissait d'un ordre mystérieux d'assassins qui, disait-on, acceptaient quasiment tous les contrats possibles et imaginables et les menaient toujours à bien, pour autant que les commanditaires puissent payer, bien sûr. On ne savait pas grand chose d'eux, si ce n'est que c'était des tueurs efficaces et impitoyables, mais tous ces secrets ne faisaient que renforcer l'aura de mystère qui planait autour d'eux et la terreur qu'ils inspiraient.

Quand elle vit certaines des mines s'assombrir, la jeune rousse éclata de rire. « Nan, ne vous inquiétez pas. Je ne suis pas un assassin. C'est un cadeau de ma mère. » expliqua-t-elle en roulant des yeux et en adoptant une mine de dégout lorsqu'elle prononça le dernier mot, mère. Elle tendit sa main gauche devant elle, face à Ellawa. Comme d'autres avaient déjà pu le remarquer plus tôt, elle n'avait pas de petit doigt à cette main ou, plutôt, elle n'avait plus de petit doigt, car on pouvait encore apercevoir une cicatrice des plus horribles à l'endroit où son auriculaire avait été tranché.

Quand Ellawa releva les yeux vers le visage de la rousse, il n'y avait plus aucune trace de son curieux et soudain éclat de rire. Il ne vit plus que colère, amertume et dégoût. « Ca aussi, c'est un cadeau de ma mère, quand elle a compris que je n'avais pas la discipline nécessaire pour servir les Mantes Rouges en tant qu'assassin. C'était une bonne raison pour partir, non? » Elle laissa ses paroles flotter dans l'air quelques minutes puis elle ajouta sur un ton sec. « C'est pas un sujet que j'aime aborder, alors on s'arrête là. Vous avez vos réponses. »

Elle se retourna et s'éloigna de quelques pas avant de donner un coup de pied dans un morceau de bois qui était tombé au sol. Elle se retourna et demanda « Bon, alors, on le monte ce camp ? »

La druidesse avait semble t'il posée une question sur un passé bien trouble. Elle qui croyait que c'était un tatouage esthétique ou montrant la passion de la femme pour la Nature...c'était loupé. Elle se sentie un peu bête par les réponses qu'elle espérait discrète mais le fort caractère de la femme avait montré qu'elle n'était pas du genre à faire des cachoteries et en avait profitée pour avertir tout le monde au passage.

« Excusez moi Sasha...moi et les contacts je crois que ça fait deux. Je voulais sympatiser pour apprendre à se connaitre car votre passion pour la Nature sous toutes ses formes et louable. De plus vous avez dit avoir vécue dans la jungle ça nous faisait un point commun. Je suis pas très à l'aise pour choisir les bons mots ou poser les bonnes questions...

...oui oui montons le camp...il faudrait couper les feuilles de palmier vertes pour faire des couches étanches avec votre kukri par exemple et mon cimeterre. Ceux qui n'ont pas d'armes peuvent ramasser les feuilles au sol pour faire la première couche avec quelques branches on devrait avoir un endroit bien au sec. »

Modifié par un utilisateur mercredi 23 février 2011 07:37:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

Depuis que le groupe avait récupéré les oeufs et durant tout le chemin le long des falaises, Sven était resté sans mots dire. Il avait prêté un oeil attentif à tout ce qui pouvait surgir depuis le bord de la falaise où des bois, par voie de terre ou par les airs. Heureusement, rien de fâcheux n'était arrivé et il laissa s'échapper un long soupir de soulagement lorsqu'il posa son chargement à terre.

Il avait aidé à l'installation du campement que le groupe occuperait la nuit suivante et avait écouté d'une oreille distraite les discussions des uns et des autres. Il avait recouvrer son air soucieux et silencieux lorsque le montage fut terminé. Il n'était pas habitué à l'oisiveté et l'inactivité ne faisait qu'augmenter son anxiété en ce lieu dont il n'avait que de vagues connaissances pour l'avoir entraperçu depuis le large.

Ce n'est que lorsque Jask proposa de prendre le tour de garde d'Ephrem qu'il réagit. « Je vous tiendrais compagnie. Je ne suis pas un gros dormeur, et mon rôle ici est de vous protéger des multiples dangers de cet environnement qui m'est totalement étranger. »

Ephrem retrouvait quelque peut des couleurs, et surtout il ne fallait pas éveiller les soupçons, et puis probablement qu’elle nierait. Pour le moment il n’avait pas grand-chose à craindre, il n’y avait aucun moyen de fuite, il faudrait surtout être vigilent, s’ils trouvaient un moyen échappatoire à leur nouvelle prison !

Il était maintenant confortablement installé sur sa couche d’un jour, ce n’était pas dans son tempérament de rester alité de la sorte, mais il venait de passer une si horrible journée que la possibilité que lui offrait l’ancien prisonnier, de pouvoir récupéré durant la nuit, ne se refusait pas !
« Merci mes amis, mais vous pensez que demain ça ira mieux.  »Puis à voix basse il interrogea Jask, « comment est ce qu’au Chéliax, on a pu vous juger coupable, vous avez tout d’un homme bon ! C’est vos juges qui auraient du être à votre place !! »

« Demain, oui j’espère être plus d’attaque, et je persiste à dire qu’il nous faut trouver un campement proche d’un point d’eau, la direction du sud me semble une bonne idée. Et également un accès à la mer qu’on puisse aussi aller pécher ! »

Jask alla prendre un peu d'eau et nettoya soigneusement les piqures de moustiques qui recouvraient le corps de Sébrysse. Il installa également un morceau de tissu mouillé sur le front de la prêtresse et lui apporta plusieurs fois de l'eau à boire. « Ca vous aidera à combattre la maladie. Il vous faudra également du repos. » avait-il précisé.

L'ex-prisonnier avait hoché la tête en signe de remerciement aux paroles que lui avait adressées Ephrem. « Disons que mes juges se devaient de désigner un coupable, et que… j'étais le seul coupable disponible. Mais je n'ai pas été jugé au Chéliax, mais à Sargava. J'ai tenté d'échapper à ce jugement en fuyant en Avistan mais j'ai été repris au Chéliax. C'est pour cela qu'on m'a mis sur un navire à destination d'Éléder : pour que je retourne au Sargava purger ma peine. »

Tous les naufragés s'étaient rassemblés sous ou à proximité de la tente maintenant. Après avoir écouté les suggestions des uns et des autres, l'ex-prisonnier garundais suggéra « Je ne sais pas s'il est très prudent d'essayer d'aller vers le sud aussi rapidement que possible. Ephrem et Sébrysse ont besoin de repos… et nous avons besoin de nourriture. Nous avons eu de la chance aujourd'hui : nous avons croisé ces deux larges volatiles qui nous ont rempli le ventre. Mais nous ne pouvons pas compter sur notre bonne fortune. Si nous avançons et que nous déplaçons sans cesse le campement, nous ne pourront ni chasser ni nous reposer. Et… »

Jask s'interrompit un moment et jeta un coup d'œil en direction de la demi-elfe et du Tianais qui n'avaient visiblement pas du tout le moral. Il respira profondément, sembla débattre quelque chose intérieurement, puis, comme s'il avait pris une décision, il continua. « Tout ça pour quoi… c'est vrai qu'il y a plus de navires qui passent au sud de cette île qu'au nord mais… même au sud, ils sont rares. L'endroit est célèbre pour ses récifs dangereux. Même si nous parvenons un moyen d'attirer l'attention des navires qui passent au loin, il nous faudra attendre plusieurs semaines, peut-être un bon mois, avant qu'on ne nous aperçoive. »

Jask secoua la tête et dit « Je pense que nous devons avant tout nous intéresser à notre survie. Il faut nous préparer au fait que nous sommes peut-être ici pour un bon moment. Nous devrions penser à rester en vie, à nous nourrir et à nous soigner avant de songer à foncer vers la côte sud pour tenter d'attirer l'attention d'un navire. » Il hésita un moment et ajouta « Et, pour cela, nous devrions profiter de tout ce que l'île a à nous offrir… »

(Psychologie DD 15 pour ceux qui entendent Jask)