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 Valérien 10/10 C'était la première fois que Valérien devait se poser cette question ; il ne se l'était jamais posée sous le pont. Il dormait là où il pouvait et surtout là où on le laissait dormir. Par contre là, il savait qu'on ne le laisserait pas dormir à la belle étoile. « Pourquoi pas. Moi vous savez, je dors un peu partout. Alors, une chambre, spartiate ou pas, je ne vais pas dire non. » Un sourire franc s'était dessiné sur son visage à l'encontre du nain. « Ce sera oui pour ma part, je vous suis bien volontiers. De plus, cela nous permettra de faire plus ample connaissance. »Puis ses pensées reprirent le dessus, il essayait toujours d'imaginer ce qu'il allait voir là dessous et surtout si le groupe patibulaire allait être de la partie ou pas, car si c'était le cas il ne leur ferait pas confiance. J'ai un mauvais pressentiment !J'essaye de me souvenir si j'ai déjà vu le groupe ou si j'en ai déjà entendu parler, un groupe comme cela ne dois pas passer inaperçu. Bien sur si c'est possible. Pour cela je fais un jet de connaissance Folklore local- Connaissance Folklore locale : 1d20+6 donne [16] + 6 = 22
Modifié par un modérateur vendredi 11 mars 2011 17:51:41(UTC)
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Wod fit un sourire au nain. « Oh, je dors chez mes parents. J'ai pas encore ma propre bâtisse. D'ailleurs il y a de la place chez mes parents aussi au cas où. Je ne dirai pas non à ce qu'on aille se promener en ville ensemble. Ainsi nous pourrions apprendre à nous connaitre. Non ? »L'halfelin montra le symbole d'une femme ailée qu'il portait en pendentif. « Je suis prêtre de Sarenrae. »Modifié par un modérateur vendredi 11 mars 2011 17:52:27(UTC)
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S'approchant de la porte auprès de laquelle patientaient les mages des glyphes, Erwan héla celui qui paraissait être leur chef, le demi-orc. A la base, il était fort étrange de rencontrer un mage peau-verte, et encore plus que celui-ci soit le meneur du groupe. Peut-être ces prétendus mages n'étaient-ils qu'une bande de brutes après tout?« Holà! Oui, vous, attendez un peu. Il me semble que vous êtes les destinataires d'une cargaison en provenance de Port-Enigme je me trompe? Le chef de la caravane m'a chargé de vous prévenir qu'elle attendait au point de livraison convenu, contrairement aux gens chargés de la réceptionner...
Enfin, ce sont ses mots hein, je ne fais que relayer le message. Soit dit en passant, vous ne chercheriez pas quelques bras pour vous accompagner dans une éventuelle fouille? »
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 Kristof La réunion maintenant terminée, plusieurs groupes d'individus s'étaient rassemblés autour de Kristof. Certains applaudissaient l'intervention de l'ensorceleur, affirmant qu'il fallait contrôler cette puissance, tandis que d'autres s'y refusaient. Bien entendu, ces derniers étaient constitués d'individus versés dans les arts magiques trouvant qu'on ne devaient pas établir des lois pour restreindre la magie, quelle qu'en soit la source. Les groupes discutaient entre-eux, partant dans des discussions futiles où chaque parti soutenait fermement sa position. Si ces bornés continuaient à s'opposer, ils ne tarderaient pas à faire pleuvoir des boules de feu sur la salle ; situation qui ne déplairait pas à Kristof : voir des nobles courir en tentant d'éviter des projectiles magiques étaient une pensée plus qu'amusante. Alors qu'il cherchait à envenimer encore un peu plus les choses, il vit ceux qu'on avaient désigner comme les Cercadas se diriger vers la sortie de la salle. S'extirpant de l'assemblée de pyromanes amateurs, l'ensorceleur pressa le pas afin de rejoindre ses possibles mécènes. Bousculant au passage quelques hommes et offrant quelques regards enchanteurs aux dames, Kristof tenta d'attirer l'attention de ce groupement. « Pardon madame, pardon monsieur ... Laissez-moi passer ... Merci ... Monsieur Cercadas, monsieur Cercadas, attendez un peu ! Je dois absolument vous parler. J'ai une jolie lettre pour vous ! ... Mais vous allez me laisser passer oui ? ... Pardon ... Pardon ... Monsieur Cercadas, par ici ! »Kristof agitait chaleureusement la main en fixant la compagnie dont il espérait avoir capté l'attention. Modifié par un modérateur lundi 14 mars 2011 21:15:42(UTC)
| Raison: Non indiquée | Je ne tue pas mes PJs, je les fais mystérieusement - et tout à fait arbitrairement - disparaître. |
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Kristof n'avait pu attirer l'attention de Messire Cercadas. Le bruit engendré par la cohue et l'agitation ne le lui avait pas permis. Il dut sortir à son tour et se diriger vers une porte latérale d'où sortirent plusieurs des membres des grandes familles de la ville.
Galar Cercadas et sa compagne étaient parvenus à sortir parmi les premiers, laissant à quelques enjambées derrière eux les trois compères qui discutaient entre eux sur ce qu'ils allaient bien pouvoir faire pour se préparer à l'aventure.
A peine Messire Cercadas sorti, le demi-orque qui s'était signalé par son manque de savoir-vivre dans la salle et l'un de ses compagnons s'étaient approchés et l'avait abordé.
Nulle trace des autres membres composant le groupe qui était apparemment mené par le demi-orque. ces derniers semblaient être totalement hors de vue.
L'elfe s'adressa à haute voix au demi-orque en lui parlant d'une cargaison venant de Port Enigme tandis que le magicien qui s'était porté volontaire essayait d'attirer l'attention de Messire Cercadas.
Tous entendirent les bribes d'une conversation assez vive. « ...donner tes dessins. Vite fait... »
L'humain accompagnant le demi-orque se tourna face à Erwan et fit quelques pas pour l'intercepter et se mettre en travers de sa route. Derrière lui, Kristof se tenait à quelques pas.
Wod, Hrum et Valérien étaient également à quelques enjambées derrière Messire Cercadas.
La jeune compagne de ce dernier semblait totalement apeurée et s'accrochait au bras de Galar Cercadas.
Les gardes alentour semblaient davantage préoccupés par la foule qui sortait du hall des guides que par la scène. Les discussions allaient bon train et visiblement, Kristof était parvenu à échauffer quelques esprits qui s'en prirent aux prêtres d'Abadar, certains pour critiquer leur attentisme alors que d'autres, au contraire, semblaient les soutenir. | Inévitable Lhaksharut du wiki |
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 Hrum Hrum sortait du Hall quand il vit Sire Cercadas se faire accoster par le demi orc avec un air méchant. Ce demi orc m'ai tout l'air très fort. Allons-y.Il se rapprocha d'eux. Une fois à leurs coté, il fit un signe de tête à tout le monde. « Messire. Je vous remercie de nous avoir permis d'assister à la représentation dans votre loge. Et c'est avec un grand plaisir que nous participerons aux fouilles à partir de demain. »Il se tourna vers le demi orc. « J'imagine que vous aussi ferez partie de cette formidable aventure ?
Je me présente, Hrum Mzahnh. »En voyant les dessins. « Vous appréciez l'art dites moi ? »Modifié par un modérateur dimanche 13 mars 2011 15:44:06(UTC)
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Voyant qu'un des membres du groupe s'approchait de lui, pendant que le demi-orc allait parler à quelqu'un qui, lui semblait-il, était également dans la salle au moment de la conférence, Erwan se posa quelques questions avant d'accepter l'évidence: les marchandises demandées n'était pas de suffisamment grande importance pour laisser passer une chance de discuter avec un membre apparemment éminent de la communauté de Magnimar.
Bah, qu'à cela ne tienne, l'acolyte qui approchait pouvait aussi bien prendre le message...« Ah, quand même. Comme je tentais de vous le dire depuis un moment déjà, la caravane de Port-Enigme est arrivée, et il faudrait que vous alliez récupérer vos marchandises avant que le chef de convoi ne s'énerve et balance tout ça dans un ravin. »En arrière plan, Erwan vit que l'orc n'était pas des plus aimables avec son interlocuteur, mais ne releva pas ce fait: toutes ces affaires ne le concernaient pas tant que personne ne le payait pour intervenir.
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Valérien 10/10 Valérien regardait tout autour, voyant les gardes trop occupés à canaliser la foule, il s'approcha de Cercadas à une distance raisonnable pour apercevoir le moindre mouvement brusque qui pourrait laisser croire à un coup de poignard dissimulé. Il murmura au noble. « N'envenimer pas les choses et donnez lui ses dessins ! » Puis en augmentent la voix il rajouta. « Il à l'air d’apprécier votre coup de crayon ! » Le jeune homme n'était pas tranquille , il savait qu'un moment et un lieu comme celui-ci était un des meilleurs moyen d’assassiner quelqu’un sans ce faire voir. Je me positionne sur la défensive à un pas de placement de Cercadas et me tient prêt à lui éviter un éventuel coup de poignard- Si besoin jet de Perception : 1d20+6 donne [10] + 6 = 16
- et jet de réflexe : 1d20+6 donne [13] + 6 = 19
Modifié par un utilisateur dimanche 13 mars 2011 15:15:20(UTC)
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Tout dans l'attitude du demi-orc transpirait l'intimidation. Hrum tenta de détourner l'attention ne recueillit qu'un haussement d'épaules du demi-orc. « Casse-toi, demi portion. Tu me gênes. Et toi, t'as intérêt à t'excuser vite fait. Tout çà, c'était des conneries. Par contre, j'aime pas qu'on se fiche de ma trogne. »Valérien vit que le compagnon du demi-orc avait intercepté de possibles renforts. Visiblement, ces deux là avaient l'habitude de travailler ensemble. A la ceinture du demi-orc Valérien remarqua que pendaient deux épées courtes. Elles étaient restées au fourreau mais les pognes du demi-orc tapaient régulièrement sur leur pommeau Galar Cercadas prit la parole « Il est hors de question que je cède à votre injonction. Vos propos sont déplacés et je n'apprécie guère votre ton. Vous devriez partir avant que mes amis ici présents ne vous disent votre fait. »La manoeuvre d'intimidation du demi-orc avait tourné court et il semblait que le renfort apporté par le nombre croissant de spectateurs, la présence de sa compagne et l'isolement du demi-orc avaient donné suffisamment de courage au courtisan pour qu'il refuse de céder son parchemin ou de présenter des excuses. De son côté, l'homme répondit sèchement au convoyeur. « C'est pas le moment. Vous deviez arriver hier avec l'outillage. Va dire à ton patron que nous ne sommes pas contents de ses services et qu'on a pris du retard à cause de lui. Et trouve toi un autre boulot... C'est pas demain qu'on vous paiera. »Modifié par un utilisateur dimanche 13 mars 2011 18:21:46(UTC)
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Refuser de payer le convoyage sous de prétendus retards de livraison, admettons, les clients tentaient souvent cette manœuvre afin d'obtenir un rabais, ce qui n'arrivait jamais évidemment... On ne négociait pas avec des nains. Critiquer leur travail était en revanche impardonnable. Bien qu'il n'ait jamais fait vraiment partie de la communauté, Erwan avait longuement travaillé avec eux et, s'il était une chose qu'il avait pu constater, c'est que les nains étaient irréprochables dans leur travail, quel qu'il soit.« Plait-il? D'obscurs crétins tentant de déchiffrer depuis des années les mêmes glyphes sans jamais avoir avancé se permettent maintenant de critiquer le travail des Forges à Gaz ? Pensez-vous vraiment que ce soit judicieux ? Après tout, il s'agit de la seule forge de la région à pouvoir fondre certains métaux des plus précieux... Les mages des glyphes devraient peut-être y réfléchir à deux fois avant de condamner toute possibilité de commande future aux nains?
Quant à ne pas être content de notre prétendu retard, nous sommes parfaitement à l'heure, comme toujours. Tout refus de paiement devra être négocié avec le chef de la caravane. Sans paiement, pas de matériel, et si vous l'avez demandé, vous devez en avoir bien besoin... J'attendrais donc la fin de l'altercation en cours pour vous mener jusque là... Enfin, à condition que vous viviez toujours évidemment. Votre ami semble plus orc qu'humain... on pourrait le confondre avec un maraudeur indésirable... vous aussi d'ailleurs... votre mère n'était pas orc ? Vous en avez l'odeur... »Modifié par un modérateur dimanche 13 mars 2011 18:15:00(UTC)
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Hrum Le sang de Hrum ne fit qu'un tour et toute courtoisie disparue de son visage. Il n'était pas devenue moine par plaisir mais pour devenir plus fort. Et surtout, il ne supportait pas la provocation. Sa voie était simple, il suivait ses propres règles et l'orc en avait enfreint une. La force de l'adversaire importait peu, et il ne put se contrôler. Il s'accroupit d'un geste souple et balança sa jambe pour essayer de faire chuter son adversaire. - Croc en jambe : 1d20+2 donne [10] + 2 = 12
 Modifié par un utilisateur lundi 14 mars 2011 09:44:22(UTC)
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Kristof Voyant que son possible mécène semblait harcelé par un demi-orque peu avenant tandis que d'autres individus maladroits (notamment un nain et un demi)elfe) semblaient envenimer la situation, Kristof se précipita dans la nouvelle scène qui s'offrait à lui. S'il ne résolvait pas cette situation d'une manière des plus diplomatiques, tout ceci allait aboutir à une bagarre futile en ville. Nul ne doute que cela déplairait au plus haut point à la garde. Aussi l'ensorceleur pressa la pas pour atteindre les divers acteurs en présence. Arrivé à leur hauteur, il saisit rapidement la cause de ce vacarme, les protagonistes n'ayant pas vraiment été discrets ni silencieux. Tout ce foin avait, semble-t-il, été causé par quelques croquis effectué par Cercadas, dessins que le géant vert n'aimait apparemment guère. Les voyant se préparer à un combat stupide - le nain s'apprêtant déjà à frapper un éventuel adversaire -, Kristof s'interposa d'un petit bond jovial, coupant la parole à tous et déclamant d'un petit ton enjoué : « Allons allons, messieurs ... Vous n'allez pas vous disputer pour de vulgaires feuilles de papier quand même ? Je suis certain que cet homme ne voulait pas vous courroucer, mon très vert ami. Comme beaucoup d'entre nous, il s'ennuyait certainement à cette pénible conférence. Moi-même, j'aurai bien croqué quelques dames élégantes de l'assemblée. »Comme par magie, Kristof fit apparaitre dans l'air devant lui un dessin grossier d'une femme tenant un éventail. Il n'avait apparemment aucun talent pour la fidèle reproduction, mais son croquis hideux aurait sans doute fait fureur dans un pastiche. « Si ce sont ces feuillets qui vous posent des problèmes, il suffit de s'en débarrasser. Donnez-moi ça, très cher monsieur Cercadas. »L'ensorceleur tourna très succinctement le dos au demi-orque, pour faire face à Cercadas. Comme celui-là ne voyait plus son visage, il fit un clin d'œil léger à celui-ci. Utilisation de Prestidigitation pour transformer temporairement les feuilles en feuilles à l'apparence brulée. « Et voilà, dessins disparus. Alors vous voyez, ce n'était pas compliqué. Et tout le monde est content ! »L'ensorceleur fit une brève salutation au petit groupe qui semblait surpris par son arrivée fortuite. « Kristof von Hazdorf, pour vous servir ! »Modifié par un modérateur lundi 14 mars 2011 21:15:11(UTC)
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Wod voulais intervenir quand son nouvel ami nain s'en pris au demi-orque, mais quelqu'un s'interposa assez vite. L'halfelin avait déjà mis sa main sur le manche de son cimeterre. « Oui il vaut mieux que tout cela cesse assez vite, la garde n'appréciera pas qu'une brute fasse des remous en ville. »Modifié par un modérateur lundi 14 mars 2011 21:12:56(UTC)
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Le demi-orc regarda le nain se ridiculiser. Il avait évité d'un simple geste le croc-en-jambe. Il ne répondit pas par de la violence mais lâcha simplement « C'est bien que les nains connaissent leur place en ce monde. »
C'est alors qu'un individu bizarrement coiffé parvint à s'interposer entre lui et le courtisan et arracha des mains de Galar Cercadas les croquis qu'il avait fait, les réduisant en un geste à des restes brûlés.
Dans le même temps, le jeune humain regarda par dessus l'épaule de l'elfe et lâcha : « Norkap, on file. Ca sent pas bon. » Jetant un oeil, les aventuriers purent s'apercevoir que les frasques du nain n'étaient pas passées totalement inapeçues. Les gardes approchaient.
« On se reverra... »
Les deux compères s'éloignèrent sans un regard en arrière, tandis que des gardes en livrée de l'Arvensoar convergeaient vivement vers le groupe. Un prêtre d'Abadar semblait avoir observé la scène. | Inévitable Lhaksharut du wiki |
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Hrum Hrum resta au sol quelques instants. Il était rouge de honte et de colère. L'heure n'était plus au combat, il avait perdu. Il se releva, le visage fermé, fixant le demi orc qui s'en allait. « J'espère que je le recroiserai. Je ne supporterai pas de reste sur cette humiliation. »Il se tourna vers son entourage. « Je vous prie de m'excuser pour ce piteux spectacle. Je n'ai pas pu m'en empêcher. »Le reste de la journée allait être très long pour le nain. Il apercevait déjà les gardes converger vers eux. Restons calme, je dois me contrôler. Sinon je vais encore mal finir.Modifié par un modérateur mardi 15 mars 2011 08:53:27(UTC)
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Voyant que les individus ne prétendaient pas le suivre, Erwan attrapa vivement le bras de celui qui lui faisait face, l'empêchant temporairement de partir.« Veuillez rester ici, nous n'en avons pas fini avec cette affaire... bien que vous affirmiez le contraire. Un magistrat de la garde pourra sans doute nous départager sans mal sur le conflit concernant cette livraison... »- Lutte : 1d20+5 donne [6] + 5 = 11
Modifié par un utilisateur lundi 14 mars 2011 22:24:38(UTC)
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Erwan n'eut pas plus de succès que Hrum et l'homme parvint à dégager sa manche de sa poigne. Le demi-orque s'approcha d'Erwan et le repoussa à son tour sèchement. « Mêle-toi de tes affaires, oreilles pointues. »Visiblement, le demi-orque avait assimilé Erwan au reste du groupe. Les gardes s'étaient arrêtés en voyant le groupe se séparer et seul le prêtre d'Abadar et son escorte se dirigeaient encore vers Erwan, interpellant ce dernier. « Veuillez vous arrêter, Monsieur l'elfe. Nous aimerions avoir une conversation avec vous. »Erwan avait deux solutions : rester ou s'enfuir. Avec le nombre de gardes présents, la deuxième option, si elle s'avérait tentante était pour le moins risquée. Pour autant, le prêtre était celui qui l'avait tenu à l'oeil plus tôt dans l'après midi et qui l'avait retrouvé. Que pouvait-il penser de l'elfe ? Il n'allait pas tarder à le savoir. Pendant ce temps Galar Cercadas remercia Kristof et ceux qui l'entouraient. « Il faut sortir votre compagnon de la misère. Si les prêtres d'Abadar l'embarquent, il risque de passer quelques mauvais moment au Fronton. »Il prit une trajectoire visant à intercepter le prêtre d'Abadar. Pendant ce temps, sa compagne se présenta à son tour aux aventuriers. « Je me nomme Ysralde Gallenor et vous remercie de nous être venus en aide aussi nombreux. Galar n'aime pas être escorté lorsque nous nous promenons. Sans vous, je ne sais pas comment cette affaire aurait tourné. Jamais n'aurions nous pu imaginer que de tels ruffians puissent s'en prendre impunément à une des nobles familles de cette ville. »Visiblement, la bonne éducation de la jeune fille avait interdit que Hrum, honteux de s'être mis en fâcheuse posture, ne se sente davantage rabaissé. Si elle avait ri, de ce rire capable de se faire remarquer dans la salle du hall des guides, l'ensemble de la place aurait pu être témoin de la scène. Modifié par un utilisateur mardi 15 mars 2011 08:51:56(UTC)
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Valérien 10/10 Valérien avait regardé la scène interloqué, il n'avait pu réagir que tout était déjà fini. Il avait été impressionné par le prestidigitateur et sa façon de faire brûler le papier, il cherchait du regard le truc qui avait permis de faire brûler le papier mais il ne vit rien. Il savait que ces amuseurs public avait tous des trucs différents et surprenant, lui devait faire partit des surprenant. Quand la compagne se presenta à eux, il fit une réverence comme lui avait appris son pére adoptif en repensant à ce qu'il lui avait dit ce jour là. C'est ainsi que l'on salut une belle et noble dame. « C'est un plaisir de vous connaître ma dame! » Puis regardant l'amuseur public il continua en se dressant. « Enchanté de rencontrer une personne de votre talent, je n'ai jamais vu un prestidigitateur aussi bon que vous! Pour ma part je me nome Valérien! » Le jeune Roublard n'avait pas remarqué que cette personne était un mage qui avait prit la parole pendant la conférence. Modifié par un utilisateur mardi 15 mars 2011 14:50:29(UTC)
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Manifestement, ces gens étaient d'une impolitesse crasse et d'un manque de savoir vivre à toute épreuve... qu'à cela ne tienne, il ne s'avouait pas vaincu et finirait par les trainer, de gré ou de force, à l'endroit où ils devaient se rendre... pas question de laisser disparaître ainsi quelques pièces d'or.
Alors qu'il regardait les deux larrons s'éloigner, un casse-pied dont il avait presque oublié l'existence se rappela à son bon souvenir... D'un air passablement contrarié, vu la méprise du prêtre, il se retourna vers eux, répondant d'un ton un brin trop mordant.« DEMI-elfe... Vous avez des yeux, servez-vous en que diable... Enfin bon, passons, vous tombez bien en fait. Vous représentez la loi en ville, je me trompe? Vous pouvez peut-être m'éclairer sur une question d'ordre juridique... En cas de refus de paiement d'une livraison sous des prétextes des plus fallacieux, comment ça se passe chez vous?
Plus important, en cas de tentative d'agression caractérisée sur une personne manifestement connue en ville, vous interpellez toujours les gens tentant vainement de faire leur travail au lieu des agresseurs qui se débinent? »Modifié par un utilisateur mardi 15 mars 2011 23:59:49(UTC)
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