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Abbaër rangea ses outils et désigna l'escalier qui menait à un étage si quelqu'un s'était réfugié ici pour observer la maison des Carrowyn il se serait poster à l'étage. Même si tout avait l'air désert de prime abord, il ne fallait rien négliger et le nain laissa les autres fouiller plus attentivement cette pièce alors qu'il grimait déjà deux à deux les marches menant vers le premier étage et certainement les chambres des serviteurs. Modifié par un utilisateur jeudi 25 août 2011 09:42:26(UTC)
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Grigan avait suivi le groupe dans son escalade de la clôture du manoir. Il avait pris son temps, prenant garde à ne pas accrocher la corde de son arc ou à ne pas se blesser sur ces pics de métal qui pouvaient sûrement provoquer des infections diverses.
Pendant que ses compagnons inspectaient le bâtiment annexe et les abords du manoir, Grigan se tint en arrière, l'arc en main, prêt à les couvrir en cas de besoin. Il avait pris soin de prendre avec lui les 10 flèches à pointe d'argent qu'il avait sauvé de leur combat contre les Garous.
C'était peu, mais elles auraient certainement leur utilité ici. Après, il n'aurait que son épée et son bouclier pour l'aider. Cela devrait suffire pour mettre les vampires et vampiriens hors d'état de nuire, le temps que ses amis leur plantent un pieu dans le cœur....
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Théobald avait lui aussi pénétré dans la battisse secondaire la concentration toujours de mise, pour essayer de percevoir quelques auras magiques ou leurs effluves. Il avait suivi du regard le nain qui déjà grimpait les escaliers vers le premier étage, au moins si un bruit leur échappait, il ne se ferait pas surprendre par d'éventuelle habitant qui se trouveraient au dessus. L'inquisiteur commença alors à tourner dans la pièce toujours concentré, il entreprit d'ouvrir les deux cagibis et fouiller leur moindre recoin, inspectant également pour trouver quelques caches ou ouvertures secrètes, puis se mettant accroupit, frappa délicatement le planché pour déceler un endroit creux, ou une latte amovible. Regardant ses compagnons qui l'observaient bizarrement, il lança à voix basse « On sait jamais, c'est au cas où!! »Modifié par un utilisateur mercredi 24 août 2011 13:36:54(UTC)
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L'épée à la main, et son beau bouclier brillant comme un miroir dans l'autre, Horiadoc s'était avancé, prêt à en découdre avec les auteurs présumés de la maladie qui ravageait la ville. Avec une petite déception, il vit Abbaër s'intéresser au bâtiment sud, mais suivi néanmoins, y pénétrant le dernier. Alors que les uns et les autres fouillaient le rez de Chaussée, il commença à gravir sur la pointe des pieds l'escalier qui menait à l'étage, histoire d'avoir une petite idée de ce qui les attendait là-haut. L'émotion le rendait aussi discret qu'une ombre, et même ses compagnons ne le virent pas grimper. L'aventure entre d'autres temps l'aurait excité. Là, elle était simplement une sorte devoir dont il fallait s'acquitter au mieux pour le bien de toute la population. Non, l'halfelin n'avait pas le coeur à rire. - Discrétion : 1d20+12 donne [20] + 12 = 32
Modifié par un utilisateur mercredi 24 août 2011 15:45:27(UTC)
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Abbaër se dirigea vers les escaliers qui montaient au premier étage. À peine eut-il posé le pied sur la dernière marche qu'il s'arrêta : c'est seulement à ce moment-là qu'il se rendit compte que Horiadoc l'avait devancé et était arrivé, sans un bruit, au sommet des escaliers. L'étage était occupé par une large pièce d'un seul tenant mais divisée en portions plus personnelles par quelques paravents. Chaque portion comportait un lit des plus simples et des petits meubles (table de chevet et garde-robe). Vu la simplicité des lieux, il s'agissait sans aucun doute de la chambre où les servantes et les domestiques dormaient. Comme le rez, l'endroit était désert ; il ne comportait aucune trace de combat ni de départ précipité cependant. De l'étage, on avait une bonne vue sur l'étage de la bâtisse principale, et notamment sur l'espèce de balcon qui dominait le jardin et la pièce d'eau un peu plus loin. Vers la battlemap.
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 Fergus sous mutagène CA 20/15/15 Fergus était resté au rez de chaussé, essayant de surveiller de potentielles allées et venues en dehors de la maison de maître. C'était eux qui avaient décidés de prendre les occupants de la maison par surprise, et il fallait s'assurer que l'inverse ne se produise pas... - Perception : 1d20+9 donne [15] + 9 = 24
Modifié par un utilisateur mercredi 24 août 2011 18:23:11(UTC)
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Abbaër c'était trompé, il n'y avait rien ici et ils ne trouveraient certainement rien et fouillant dans les commodes, les garde-robes ou en retournant les tiroirs, toutefois le nain roublard prit le temps de fouiner. On ne savait jamais, si un serviteur des Carrowyn avait un enfant ce dernier n'avait pas du être invité à la soirée qui avait vu disparaître Ruan au profit certainement de plusieurs suceurs de sang, et peut-être qu'un gamin se cachait dans une armoire. S'il ne trouvait rien ici. Il serait temps de commencer les choses sérieuses en allant troubler le sommeil des vampires. Il demanda à ceux qui se trouvaient près de lui : « Pensez-vous qu'on doive ouvrir dès à présent tous les volets et nous préparer au combat ou voulez vous qu'on tente une entrée discrète ? »- Test de perception : 1d20+9 donne [13] + 9 = 22
Modifié par un utilisateur jeudi 25 août 2011 09:42:38(UTC)
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« Bon ce qui est sur c'est que nous avons trouvez un point de repli et surtout qu'on se fera pas prendre à revers!
Maintenant je pense que pour le moment ça sert à rien d'ouvrir tous les volets, que l'un de nous le garde à l'esprit dans le cas d'un combat[, ce sera déjà pas pas mal!!
Abbaër essaye de trouver une pièce ou il n'y a personne, ensuite on s'introduit tous discrètement et on avance!!! »
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Abbaër s'exécuta aussitôt et repartit au dehors croisant au passage Fergus qui montait la garde attentivement. Comme la première fois le nain alla s'accroupir en dessous d'une des nombreuses fenêtres qui donnaient sur le jardin. Celle qui était la plus proche. Il se redressa ensuite pour tenter de voir dans l'obscurité des pièces entre l'interstice des deux battants du volet quelle genre de pièce il y avait là et si il y avait des occupants... Cette dernière se trouvait certainement juste à droite de la seconde porte mais il leu faudrait certainement passer par une autre pièce avant. Dans tous les cas il y aurait des risques à prendre et ce serait un carnage car la villa des nobliaux n'était pas si grande que cela et s'il y avait du monde le combat serait au cops à corps pour tout le monde. - Test de perception : 1d20+9 donne [7] + 9 = 16
Modifié par un utilisateur jeudi 25 août 2011 09:57:21(UTC)
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Vers la battlemap ; Ctrl-F5 pour rafraîchir l'image éventuellement.Abbaër s'avança jusqu'à l'une des vitres du mur incurvé qui faisait face au bâtiment des serviteurs. Là, il écarta délicatement l'un des volets. À l'intérieur, les rideaux avaient été tirés mais, malgré tout, le nain insistant parvint à deviner la scène qui se déroulait dans la salle de l'autre côté du mur. Il s'agissait apparemment d'une grande salle à manger, avec une longue table de bois sur laquelle reposaient plusieurs plats garnis. Autour de celle-ci, Abbaër distingua huit personnes attablées dont certaines étaient visiblement occupée à manger la nourriture présente sur les plats. Il ne fallut pas très longtemps à Abbaër pour remarquer que les individus qui mangeaient ne semblaient pas être très adeptes des "bonnes manières" : plus d'une fois, il en vit l'un d'eux simplement recracher dans son assiette ce qu'il venait de porter à sa bouche. Il fallait dire que la nourriture n'avait pas vraiment l'air des plus appétissantes… tant en texture qu'en couleur.
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Abbaër quitta son poste d'observation pour rejoindre les plus proches de ses compagnons avec une moue qui en disait long (E15). « Ça va être plus coton que je ne le pensais, y'a là une salle à manger avec huit de ces monstres. Ils ont l'air affamé et mangent comme des gorets. Lorsqu'ils vont voir rentrer la chair fraîche que nous sommes, on va pas être à la fête...
Reste à savoir ce que l'on fait si on effectue une opération de nettoyage des lieux, pièce par pièce ou si on essaye tout d'abord de trouver Ruan, "notre invité" ustalavien et la disciple de Rolth. Je préfèrerais éviter cette pièce personnellement et tenter la porte en face plutôt que celle de droite même si on ne saura pas ce qui nous attend de ce côté. »Après quelques réflexions le nain inquiet repris : « En fait ça craint. Au premier combat là-dedans ils vont tous nous tomber dessus. »Modifié par un utilisateur vendredi 26 août 2011 10:52:59(UTC)
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 Horiadoc , chuchota Horiadoc, « Il vaut mieux aller avec prudence et éviter de déranger des créatures qui risqueraient de nous nuire. Je ne sais pas ce que tu en pense, mais je ferai bien un petit tour complet de la maison afin que nous ayons les meilleurs informations possibles avant intervention.
Je vais faire un petit tour de reconnaissance sur l'autre côté, quitte à monter sur le toit ensuite : je pense que la balcon pourrait être un point d'entrée intéressant. »Il fit comme il avait dit, contournant la maison avec la plus grande discrétion possible - discretion : 1d20+12 donne [3] + 12 = 15
- Perception : 1d20+6 donne [6] + 6 = 12
Modifié par un utilisateur vendredi 26 août 2011 22:55:46(UTC)
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Horiadoc s'accroupit pour passer en-dessous des fenêtres par lesquelles Abbaër avait regardé et se rendre à l'arrière de la bâtisse. Là, un autre mur incurvé orné de fenêtres donnait sur le domaine. Ici aussi, les rideaux étaient tirés à l'intérieur mais, malgré cela, le halfling put distinguer une étrange scène.
Les fenêtres donnaient sur une petite salle qui ressemblait à un mini-auditorium. Une estrade circulaire occupait le sol, près des fenêtres. Plus loin, on pouvait apercevoir quatre larges fauteuils confortables orientés de manière à ce que les individus qui y étaient assis puissent voir la scène. Sur celle-ci se dressait un barde déguisé en ange aux ailes bleutées qui jouait de la harpe sur pied. Les fauteuils étaient occupés par quatre spectateurs eux aussi déguisés : il y avait là un serpent de mer, une sorte de tour de château, un cygne et un squelette bleu. Les quatre individus semblaient observer et écouter le barde avec une grande attention…
Jet de Perception pour Horiadoc ?
Je laisse l'occasion aux autres d'intervenir avant de faire éventuellement grimper Horiadoc.
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Fergus sous mutagène CA 20/15/15 Fergus n'avait pas une grande expérience des morts-vivants - à vrai dire il n'avait jamais eu à en affronter et préférait la compagnie des vivants - mais il trouvait leur attitude surprenante. Ne disait-on pas que les créatures de la nuit avaient plutôt une activité nocturne ? Là il semblait que tout ce petit monde vivait comme si rien n'avait changé, conservant leur activité au moment de leur... décès. Fergus s'approcha d'Abbaër et lui fit part de ses interrogations. « Peut-être ne sont-ce pas des vampires - ou tout autre nom qu'on peut leur donner - mais sont-ils tout simplement sous l'effet d'un sort qui les obligent à reproduire inlassablement la même action ? Cela pourrait expliquer le fait que les personnes attablées recrachent la nourriture ingérée pour la remanger ensuite... et la couleur de celle-ci... »Modifié par un utilisateur vendredi 26 août 2011 23:15:14(UTC)
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Localisation : Valenciennes
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« Je ne sais pas Fergus... mais tu n'as peut-être pas tort, la légende dit que les vampires peuvent hypnotiser n'importe qui pour que leurs victimes en viennent à se jeter dans leur bras et se sacrifier en donnant leur sang de leur plein grès. Dans ce cas nous pourrons encore sauver tous ces gens... S'ils nous attaquent nous n'aurons qu'à les éviter, chercher les véritables ennemis et les éliminer vite pour que les nobles sortent de leur torpeur ! Oui cette tactique là me parait beaucoup mieux. Espérons que tu as raison ! » Chuchota le nain. « Attendons de voir ce que nous dit Horiadoc, avec de la chance c'est plus dégagé par le haut. Nous grimperons alors avec une corde. » La perspective de Fergus avait redonné un peu d'allant au nain qui l'espace d'un instant craignait ne pas être à la hauteur pour investir un lieu rempli de la sorte de vampire. Toutefois ça ne serait pas non plus une mince affaire d'évoluer au milieu de personnes manipuler en essayant de faire le moins de victimes possibles. | |
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Localisation : Charente Aquatique (17)
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 Kar'Uz Toujours immobile sous son arbre, Kar'Uz attendait que la voie s'ouvre pour pénétrer dans la grande demeure. Lorsqu'Abbaër leur décrivit la scène qui se déroulait à l'intérieur, le chamane chercha dans sa mémoire s'il savait quelque chose concernant les morts-vivants, plus particulièrement les vampires et la vampirisation, qui parlait de ça, à moins que ce ne soit tout autre chose, encore un de ces trucs mystiques pour lequel ils n'avaient fait aucun rapprochement... « De toute évidence, il ne fallait pas foncer tête baissée, aussi il se rangea à l'avis général - Je suis partisan pour trouver un accès qui ne dérange personne et explorer le plus discrètement possible et le plus possible sans provoquer d'escarmouche d'aucune sorte jusqu'à ce qu'on mette la main sur ceux qui tirent les ficelles de tous ces pantins de foire. La scène paraît figée depuis 2-3 jours, c'est à la fois pas normal mais pas suffisant pour qu'on puisse dire qu'ils sont tous déjà contaminés et condamnés. Trouvons un accès et entrons. »- Connaissance sur les morts-vivants (religion) : 1d20+6 donne [6] + 6 = 12
- Connaissance mystères : 1d20+7 donne [12] + 7 = 19
| Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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Horiadoc avait une étrange expression : quelque chose clochait dans la scène des quatre spectateurs et du barde déguisé en ange aux ailes bleutées. Il ne tarda pas à réaliser de quoi il s'agissait : il n'entendait aucun son, aucune musique. Il regarda la vitre ; elle n'était certainement pas suffisamment épaisse pour bloquer intégralement les bruits. En scrutant la scène une seconde fois, il se rendit compte du problème : la harpe dont l'inlassable troubadour jouait n'avait plus aucune corde ; il n'en restait que le squelette de bois. Étonnamment, les spectateurs — qui n'avaient pas bougé d'un pouce depuis que le halfling était arrivé devant la fenêtre — ne semblaient pas avoir remarqué que le spectacle musical auquel ils assistaient étaient… des plus silencieux.
Le halfling revint vers ses compagnons pour leur faire rapport de ce qu'il avait trouvé et décider de la suite à donner.
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Localisation : Valenciennes
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« Bon ! Il ne te reste plus qu'à grimper Horiadoc je vais te faire une courte échelle pour que tu aies le moins de contact possible avec le mur quelque fois que ceux qui sont derrière puisse entendre quelque chose. En fonction de ce que tu verras en haut nous te rejoindrons ou nous tenterons de rentrer par le bas. » Le nain chuchotait toujours, même si les hommes et femmes déguisés à l'intérieur avaient l'air complètement apathique et peut-être sous influence et incapable de réagir, il devait y avoir d'autres personnes à l'intérieur qui les manipulaient. Le roublard alla se positionner discrètement sous le balcon et souleva le halfelin du sol, celui là était agile comme un singe il ne devrait pas avoir de problème pour arriver en haut surtout avec l'anneau d'escalade. - Test d'escalade pour aider Hori : 1d20+10 donne [5] + 10 = 15
Modifié par un utilisateur samedi 27 août 2011 15:22:36(UTC)
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Horiadoc Horiadoc après avoir annoncé ses dernières trouvailles à ses compagnons se rangea à l'avis d'Abbaër, et entreprit de grimper sur les tuiles du toit, profitant de la courte-échelle qu'on lui faisait. Malgré le sérieux de l'instant, il ne put s'empêcher de babiller à voix basse : « C'est marrant, quand même, qu'on appelle ça la courte-échelle. Ca tombe bien, avec tes bras qui sont plus courts que ceux des autres, et mes jambes qui sont encore plus courtes que tes bras... »Et ce fut avec un sourire qui se figea vite qu'il progressa sur le toit de tuiles afin de voir par le bow-window du premier étage. Escalade, faire 10 pour 24 (avec le +2 d'Abbaër). Déplacement en AI 10, puis progression vers le balcon.
- Discrétion : 1d20+12 donne [17] + 12 = 29
Modifié par un utilisateur samedi 27 août 2011 22:45:48(UTC)
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Toujours à la même position, Grigan continuait à surveiller les différentes issues du manoir que l'on pouvait apercevoir de ce côté.
Ce n'est pas sans appréhension qu'il vit son ami Horiadoc escalader le mur pour se porter sur le balcon.
Il avait un peu peur que l'effroyable curiosité de son compagnon, qui était tout aussi importante que son incapacité à ne pas discourir sur la moindre chose, ne le mette dans un mauvais pas...
D'où ils étaient, nul ne pourraient lui prêter main-forte. A part d'une flèche bien placée.
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