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Avélin arriva place de la cathédrale, guettant le moindre signe d'alerte de son chien. Non... Rien à signaler...Tiens ! Je ne suis pas le seul à déambuler ce soir. Deux grands, ils se dirigent vers moi. Hé mais ! Je reconnais cette silhouette féminine et cette armure, ce blason. Ce sont les héros de l'attaque du festival !Avélin prenait un air amical et faisait face à Qualindra et Méliandre, les laissant venir à lui. Modifié par un modérateur dimanche 11 septembre 2011 17:08:59(UTC)
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La belle elfe avait la main de son cavalier dans la sienne, grâce a sa vue, elle remarqua vite le nain et le chien. « Nous ne sommes pas seuls mon ange et je crois que ton souhait va peut-être être exaucé je vois un nain accompagné d’un chien, mon ange. »L’ensorceleuse déposa un doux baiser sur les lèvres du jeune homme. Le couple arriva au niveau du chien et de son maître, la jeune elfe afficha un sourire amicale. « Bonsoir Monsieur, je m’appelle Qualindra Ystoria et voici mon fiancé Méliandre d’Ascalon, a qui avons nous l’honneur ? » demanda poliment la douce elfe, puis se baissant pour poser doucement son bâton et pour caresser le chien « et comment se nomme votre chien ? »La magicienne avait gardé la main de son chevalier dans la sienne et elle avait aussi gardé son sourire. Modifié par un utilisateur vendredi 20 juillet 2012 00:08:17(UTC)
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Avélin ouvrit les bras amicalement. « Salut à vous, dame et messire. Un honneur de rencontrer des braves comme vous. je me nomme Avélin, parfois dit "Le rustique" et mon compagnon c'est Cornio. »Puis, il pris un air grave. Ils ne sont pas là par hasard. Il se passe quelque chose de grave ? Je m'en doutais, mon Cornio sent ces choses la vous savez.Avelin Tapotait le flan de son compagnon tout en faisant face à Qualindra et Méliandre. « Que puisse-je pour vous ? La chasse au gobelin est ouverte ? »Modifié par un modérateur dimanche 11 septembre 2011 17:08:39(UTC)
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« Peut-être bien... » lâcha le chevalier. « Un intrus s'est introduit chez Alergast et a tué son chien... On pense qu'il pourrait effectivement s'agir d'un gobelin... » Le jeune homme releva la tête, regardant dans la direction du Cerf Blanc. « Nous étions parti dans l'intention de trouver un chien de chasse pour nous aider dans notre traque... » Il reporta son attention sur le nain. « Mais Desna a dû vous mettre sur notre route... Accepteriez-vous de nous aider ?? » demanda Méliandre. Modifié par un modérateur dimanche 11 septembre 2011 12:07:48(UTC)
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Un canicide... des gobelins... peut-être bien.« Si vous pensez qu'il y a des gobelins menaçant dans le coin, alors je vous suis. Eclaircissons cette affaire ; au vu des derniers événements il y a peut-être pire à craindre.
Allons-y ! »Modifié par un modérateur dimanche 11 septembre 2011 17:08:23(UTC)
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Pendant que Méliandre parlait au druide la jolie elfe avait parlé au chien, comme elle parlait aux chevaux. « Enchanté de te connaître toi aussi mon beau Cornio, je suis Qualindra, j’espère que nous allons bien nous entendre. »L’ensorceleuse caressa encore une fois le chien, repris son bâton et se relava sans pour autant avoir lâché la mains de son chevalier. Puis regardant leur interlocuteur : « Enchanté de vous connaître MonsieurAvélin. Merci pour votre aide. »
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 Alergast Demanda Alergast en comprenant enfin que son fils n'y était pour rien dans ce drame et que c'était même de sa faute, en ne le croyant pas, si le chien avait été égorgé et Aéren traumatisé. L'ébéniste semblait pourtant perplexe, il avait vu les gobelins et comme Bido il savait que la créature ne serait jamais rentré sans ce trou. Le halfelin examina de plus près le trou mais n'y trouva grand chose hormis dans la bourre des excréments. Alergast, Bido et Orphilas attendirent, le retour de Méliandre qui arriva beaucoup plus rapidement qu'ils ne l'avaient escomptés. Ils eurent toutefois le temps de refouiller la maison de fond en comble mais sans rien trouver de particulier, sauf au niveau de la chambre encore une fois. En effet le ciseau à bois n'était pas ensanglanté ! Il se trouvait à la descente du lit alors que le chien se trouvait au pied de la couche. En y réfléchissant il paraissait impossible de trancher dans le vif avec un tel outil qui ne révélait son tranchant que lorsqu'on le frappait avec un maillet. Le nain et son chien accompagnés du couple atypique arrivèrent chez les Barnett. Le moment de la traque allait bientôt commencer ! Très vite Cornio en reniflant le tas de bourre se dirigea vers la fenêtre où Bido et Orphilas s'était imaginés que la créature avait du fuir. Modifié par un utilisateur dimanche 11 septembre 2011 16:50:12(UTC)
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Avélin entra dans la maison, perçu une présence à l'étage. Il monta et entra dans la chambre de l 'enfant. Il reconnu Bido et Orphilas et devina que la troisième personne devait être Alergast. Il les salua d'un signe de tête. Il portait toute son attention à son chien qui semblait avoir trouvé une piste. Cornio se dirigea du tas de bourre à la fenêtre : Avélin se tourna vers Alergast. « La bête qui creuse dans vos murs passe aussi par les toits. »Puis il regarda la fenêtre, dubitatif. « Je ne nous vois pas, moi et mon chien, suivre une piste sur les toits, surtout de nuit. Sortons et voyons si on retrouve la piste. » Il fit signe à son compagnon de le suivre et ils entreprirent de sortir de la pièce. Modifié par un modérateur lundi 12 septembre 2011 06:53:46(UTC)
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Méliandre fronça les sourcils en voyant la piste que le chien avait trouvé. « Oui... Sortons... »Le jeune homme se tourna vers Bido. « Vous êtes sans le moindre doute le plus agile de nous tous... Pensez-vous pouvoir jeter un oeil en vous rendant sur le toit ?? »
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La jolie elfe approuva les idées du nain et de son chevalier. Elle était heureuse de voir que tout le monde était saint et sauf. La belle elfe suivit le petit groupe dans la rue. L’ensorceleuse mit son bâton en bandoulière dans son dos et reprit la main de son fiancé. « Je me demande vraiment qui peut passer par les toits et se cacher dans une cachette aussi petite; As-tu une idée mon amour ? En tout cas avec le chien nous avons une chance de le retrouver assez vite, je l’espère. La nuit est bien avancée maintenant. Je t’aime mon ange et j’aimerais vraiment passer une partie de la nuit rien qu'avec toi. » La magicienne déposa un doux baiser sur les lèvres du jeune homme. « Dit-moi que tu m’aimes mon ange. » Demanda la magnifique elfe plongeant son regard dans de lui du cavalier. Modifié par un utilisateur lundi 12 septembre 2011 10:15:07(UTC)
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Arrivé dans la rue, Avélin scruta les alentours. Malgré sa vision nocturne, il ne vit rien. Il se pencha un peu et murmura à l'oreille de son compagnon. « Allez ! Mon Cornio, on compte sur toi ! Cherche ! Cherche ! »Puis il se retourna vers ses nouveaux amis et leurs adressa un clin d’œil, confiant. - Dressage : 1d20+3 donne [17] + 3 = 20
Modifié par un modérateur lundi 12 septembre 2011 06:55:26(UTC)
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Avec tout ce petit monde qui semblait capable de voir dans le noir, Méliandre se sentait idiot... Mais la main douce et ferme de Qualindra le rassura. « Je t'aime mon cœur... » répondit le jeune homme à la belle elfe avant de l'embrasser tendrement. « Passer une partie de la nuit en ma compagnie ?? Comme une promenade au clair de lune ?? » demanda-t-il en s'approchant de l'oreille de la magicienne. « Ou envisagerais-tu quelque chose d'autre ?? » lui murmura-t-il avec un sourire. Modifié par un modérateur lundi 12 septembre 2011 06:55:52(UTC)
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La douce elfe regarda son chevalier, lui rendit son sourire et laissa passer tout le monde devant eux. En voyant passer Monsieur Barnett la magicienne le rassura sur sa famile. Ils fermaient la marche. « Mon amour, je ne dirais pas non a une promenade au clair de lune, mais en ce moment, il n’y a rien de très romantique, nous ne sommes pas seuls et nous sommes à la recherche de … je ne sais pas ce que nous cherchons.
Lorsque je t’ai vu sortir de la maison des Barnett, j’espérait que tu allais rentrer à l’auberge avec moi, que nous aurions pu aller nous coucher et que j’aurais pu dormir dans tes bras mon ange. Mais je sais que tu vas toujours au bout des choses que tu commences et j’admire ta détermination a vouloir finir les choses que tu commences et je pense que tu ne trouveras pas le sommeil et la paix avant d’avoir vaincu cette maudite créature,n’est-ce pas ? Je t’aime et je serais toujours de ton avis pour ce genre de chose. Je souhaite maintenant que nous trouvions vite cette chose pour que je puisse me blottir dans tes bras pour les heures de la nuit qu’il nous restera. » La magicienne embrassa plus fougueusement son fiancé avant de reprendre la marche. « Je t’aime mon ange, je suis avec toi maintenant et c‘est-ce qui compte avant tout. Je veux juste être avec toi et où tu iras, j'irais, mon cœur. » La magnifique elfe prit son chevalier par la taille. Elle était bien collée contre lui, elle sentait la chaleur de son corps contre le sien et tout en marchant elle posa sa tête sur l’épaule robuste du jeune homme. Modifié par un modérateur lundi 12 septembre 2011 06:58:04(UTC)
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Le chevalier enlaça la jeune elfe par la taille, un sourire se dessinant sur son visage alors que Qualindra vint poser sa tête sur son épaule. « Je suis aussi pressé que toi, mon amour... J'adore dormir en te serrant dans mes bras... »« Je suis heureux que tu veuilles m'accompagner, chérie... Mais si les choses tournent mal, reste derrière moi. Je m'en voudrai à mort s'il t'arrivait quelque chose... »Modifié par un utilisateur lundi 12 septembre 2011 17:43:56(UTC)
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On pouvait lire de l’amour dans les yeux de la jeune elfe. « Mon amour, ne craint rien, je tiens a ta vie plus qu’à la mienne, je resterais derrière toi, mais si je te gêne pour te battre n’hésite pas à me mettre a découvert, nous ne seront pas seuls de toute façon. Je compte aussi sur ma magie en cas de besoin. Mais toi, mon ange, promet moi de rester très prudent, de ne prendre aucun risque inutile. Je t’aime tellement que je ne pourrais pas supporter de te perdre. »La magicienne avait parlé en gardant sa tête sur l’épaule de Méliandre. « Ça va mon cœur, ma tête n’est pas trop lourde ? »La belle elfe ferma les yeux et se mit à prier silencieusement tout les Dieux et les Déesses pour que tout se passe pour le mieux. Protégez nous, protégez mon cher Méliandre.Modifié par un modérateur mardi 13 septembre 2011 06:38:50(UTC)
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Il ne fallut pas le dire deux fois, en deux temps trois mouvements l'acrobate se retrouvait sur les toits. Avant qu'il ne s'éloigne Orphilas incanta un sort de lumière sur un petit objet qu'il avait trouvé dans la chambre et le donna au halfelin qui ne compterait plus que sur la lumière des étoiles pour se guider... Le prêtre d'Iomédaé le suivait des yeux, la créature qui s'était enfuie par là n'était peu-être pas loin et pouvait attaquer Bido à n'importe qu'elle moment. Dans son dos Alergast prenait Pétale pour aller l'enterrer dans son petit jardin.
Le reste du groupe était dehors et suivait Avélin, ou plutôt le chien du nain qui après avoir reniflé à droite et à gauche semblait déjà avoir trouvé une piste du côté d'un soupirail ce qui confirmait l'hypothèse que la créature devait belle et bien être arrivée par ici à un moment ou à un autre. Il paraissait évident que cette piste datait de plusieurs jours... mais Cornio ne s'arrêta pas là, alors qu'il retraçait le parcours en sens inverse, il redressa la nez, renifla l'air plusieurs fois et se dirigea vers la double porte de la chapelle d'Iomédaé des Cornuire pour coller son museau au dessous de la porte puis se mit à grogner.
Il ne fallut pas longtemps à Bido pour repérer sur les mousses du toit que quelqu'un de très petit s'y était déplacé. C'était un humanoïde à n'en pas douter, il était plus petit que le halfelin comme ils l'avaient deviné avec le trou dans le mur. Les pas se dirigeaient vers la maison des Cornuire, mieux vers la petite chapelle qui y était accolée. Il y avait une verrière de vitraux colorés qui le jour faisait entrer la lumière. Sur l'un d'entre eux, une petite partie était brisée.
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Une chapelle…CA ne respecte donc ni les chiens ni le Sacré ! Avélin caressa et tapota le la tête et le flan de son compagnon pour le récompenser. « Bon chien. »Il se tourna vers ses nouveaux amis. « Une chapelle, c’est un endroit tranquille. On peut s’y reposer le jour et sortir la nuit. Soyons sur nos gardes ! »Il sorti sa serpe et incanta un sort de Lumière dessus afin d’y voir clair. Il entreprenait d’inspecter cette double porte, son moyen de fermeture. Comment ça s’ouvre ça ?Modifié par un modérateur mardi 13 septembre 2011 20:05:04(UTC)
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Le couples d’amoureux avait finit par rejoindre le reste du groupe. « Il y a pas dire Bido est vraiment doué, tu ne trouves pas mon cœur ? »La magicienne avait relevé la tête. La belle elfe chuchota à son chevalier : « Je suis sûre que tu veux t’avancer, mais je t’en supplie soit très prudent. Je t’aime. »Elle embrassa très amoureusement son cavalier après avoir dit ses mots, puis elle se détacha de lui, elle lui sourit d’un sourire rassurant. Va mon ange. Personne pour protéger nos arrières, Méliandre, mon amour soit prudent. L’ensorceleuse jeta un coup d’œil sur l’acrobate de la haut il verrait si un intrus aurait l’intention de venir, la jeune elfe tourna le dos au groupe et se teint prête a lancer une attaque si un danger venait de l’arrière, soit elle arriverait à voir le danger grâce sa vue, soit Bido les préviendraient. La douce elfe aurait voulu rester avec son fiancé mais elle resta derrière a scruter le moindre mouvement. Modifié par un utilisateur vendredi 20 juillet 2012 00:16:57(UTC)
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Le jeune homme rendit son baiser à la belle elfe et la laissa se détacher non sans un petit regret. « Ne t'en fait pas mon coeur... » dit le chevalier avant de dégainer son épée. Méliandre s'approcha de la porte de bois bardé de fer, se plaçant aux côtés du nain et de son chien. « C'est la chapelle de la famille d'Orphilas... Il doit avoir les clefs... »
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Méliandre et Avélin poussèrent la double porte pour vérifier si cette dernière n'était pas ouverte. Cette dernière l'était, en fait elle n'était jamais fermée avant minuit, heure à laquelle le père d'Orphilas adressait ses dernières prières de l journée à Iomédaé avant d'aller se coucher. Alors qu'ils ouvraient, les grognements de Cornio se changèrent en aboiements, il y avait bien quelque chose d'anormal ici et le groupe resta stupéfait en voyant la scène que pouvait également apercevoir Bido par le le vitrail bisé depuis son perchoir.
Tous eurent alors une pensée pour le jeune prêtre qui était leur compagnon depuis plusieurs jours maintenant devant la vision d'horreur qu'ils avaient en face des yeux. En effet, sur les quelques marches qui menaient à l'autel et à la statue de peinte de la déesse héraut d'Aroden, à moitié enfoui sous la nappe de pourpre qui couvrait la table de cérémonie, gisait le corps d'un homme dans une mare de sang. L'homme portait une robe de cérémonie, il y avait donc de grande chance que ce soit là le père d'Orphilas. Son corps était agité d'étranges spasmes... Peut-être était-il encore en vie ?! | |
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