• Canalisation énergie : 1d6 donne [3] = 3

Snarl chuchote à Durim en aparté : « Gaffe Durim, on n'est pas en terrain conquis. Même si on a la justice pour nous, on est en terres humaines ici, si tu vois ce que je veux dire ...  »

Modifié par un modérateur lundi 28 octobre 2013 09:31:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Nossa s'approcha de l'humaine et arrangea un sourire le plus chaleureux possible sur son visage.

« Ne vous inquiétez pas Madame. Vous devez être au courant des enfants enlevé. Cette personne est mouillé dans cette affaire, comme ses amis la haut. Laissez nous gérer la situation, nous ne vous causerons plus d’ennuis, je vous le promet.
 »

Sur ces paroles elle poussa légèrement Laurell vers l'entrée de sa boutique.

• Diplomatie : 1d20-1 donne [14] - 1 = 13

Modifié par un modérateur lundi 28 octobre 2013 08:48:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Voyant une foule commencer à se réunir, et connaissant la bêtise inhérente à celle-ci, Igor tente d'attirer l'attention de Snarl.

L'air méchant à l'intention de la demi-elfe, il s'adresse à lui en nain :

« Il vaut mieux se réfugier à l’intérieur pour poursuivre l'interrogatoire. La foule est capable de la lyncher pour la disparition des enfants et nous ne pourrons pas faire grand chose contre tout le village »

Modifié par un modérateur dimanche 27 octobre 2013 22:01:40(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dans la boutique
Gortrek ramassa ce qu’il jugea le plus intéressant pour lui laissant les armes de fer qui ne l’intéressaient pas à ses compagnons. Il soupesa la bourse et ouvrit l’étui à parchemin pour se rendre compte qu’il y en avait encore deux à l’intérieur. En descendant les escaliers il les extirpa pour en connaître le contenu… Le premier était à n’en pas douter un parchemin ésotérique, il lui faudrait l’examiner plus attentivement pour savoir s’il pourrait lui-même s’en servir et quel en était la nature précise. L’autre était un écrit ancien qui devait dater de plusieurs siècle et qui était rédigé dans la langue des nains. Intéressé le druide toujours suivi par son ourse, parcouru le message qui devait être un extrait d’une œuvre plus complète, il était question d’un monastère dont le culte se vouait à Droskar sans doute le plus sombre des dieux nains. C’était avant tout un document d’histoire mais il ne datait pas de plus d’un millénaire à la l’époque où le dieu maléfique régnait, on y parlait déjà du cataclysme qui avait mis fin à la toute puissance des royaumes nains, mais aussi de reliques antiques enfouies au plus profond du monastère. Il était signé de la main et du sceau d’un certain Brillehache, ce nom disait bien sur quelque chose à Gortrek mais le druide était un nain qui vivait dans son temps, quasi au jour le jour et il lui faudrait fouiller dans sa mémoire ou faire appel à ses nouveaux compagnons pour réveiller ses souvenirs.

Le druide imaginait mal ce que le gnome pouvait faire avec un tel document ni comment il se l’était procuré. Les écrits nains n’étaient pas légion, c’était la tradition orale qui était privilégié ou encore la lithographie. Il laissa la lecture plus complète du document à plus tard et alla rejoindre ses compagnons.

Dans la rue principale
Dehors on ressentait une certaine tension. Les armes n’étaient pas toutes rangées et les négociations n’étaient pas vraiment lancées de la manière la plus amicale qui soit. Snarl était enfin parvenu à soigner l’elfe qui essaya de se redresser maladroitement mais il l'attrapa de suite pour la contraindre à répondre à ses questions. Pendant ce temps Nossa qui n'était pas diplomate pour deux sous et Durim qui n'essayait même pas de l'être tentèrent de s'expliquer au quelques uns qui étaient là mais c'était peine perdu et déjà deux des locataires de Laurell l'apothicaire garundi s'en allait en trottinant dans une direction qui sans doute était celle de la caserne de Nid-du-Faucon.

« Je suis consciente, de la souffrance que doivent ressentir les familles qui ont perdu un enfant mais en aucun cas le prévôt n’a cautionné des interventions qui ne seraient pas menées avec son accord et avec les soldats de la garnison. Il y a eu déjà plusieurs exactions de la sorte en ville pendant la nuit et certains ont été arrêtés... d'autres ont perdus la vie. Je vous conseille vous même de vous rendre à la caserne pour vous expliquer auprès de notre prévôt et livrer cette femme si effectivement elle a quelque chose à voir avec les disparitions... En aucun cas je ne vous autorise à l'interroger dans ma maison ! Si vous devez le faire faites le conformément aux règles de notre commune. » L'attitude de la femme n'était pas agressive loin de là mais son air inquiet ne la quittait pas, sans doute aurait-elle préféré ne pas être mêlé à tout cela mais c'était maintenant fait. Elle ne voulait pas de problèmes avec la justice ni même avec personne.

En entendant ce que disait la femme à la peau d'ébène, la demi-elfe toujours très affaiblie mais qui ne semblait plus aussi désespérée que lorsqu'elle c'était jetée dans le vide, tenta de se tirer d'affaire dans un souffle à peine audible hormis pour Snarl et Igor qui se tenaient au plus près, elle dit : « Laissez moi partir et je vous dirai ce que vous désirez savoir ! »

Modifié par un utilisateur mercredi 9 novembre 2011 18:27:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

Nossa avait du mal à se contenir. Elle avait toujours préféré laissé son marteau discuter à sa place et cette humaine lui donnait fortement envie de changement d’interlocuteur. Elle prit sur elle comme elle le pouvait mais ne pu s’empêcher de montrer le ton.

« Bon, écoutez ma ptite dame. Si nous en sommes arrivé là, ce n'est pas de notre faute. Vos petits locataires là, en plus d'être impliqué dans cette affaire, ont agressé mes amis et mêmes tué deux de leurs compagnons. Sans compter qu'un vient de nous attaquer à l'auberge. Alors rentrer chez vous et laissez nous gérer nos affaires. » Nossa n'attendit pas la réponse de la jeune femme. Elle se retourna et rejoignis ses acolytes qui encerclaient l'elfe.

• Intimidation : 1d20-1 donne [18] - 1 = 17

Modifié par un modérateur lundi 28 octobre 2013 08:48:44(UTC)  | Raison: Non indiquée

Laurell fit la moue face à la nouvelle intervention de Nossa cette fois plus intimidante. « Elle s'adressa à ses locataires pour les inciter à ne pas rester dans la rue au contact des nains. Venez, rentrons, les hommes du prévôt ne devraient pas tarder à arriver, il rendront des comptes à ce moment là ! Ces nains sont trop vindicatifs, ils sont à la solde du Consortium du bois si vous vous mettez en travers de leur chemin il sont capables de vous tuer sans ménagement. Laissons les autorités se charger de cela. Tôt ou tard ils auront des comptes à rendre ! »

Les quelques personnes qui se trouvaient là rentrèrent à sa suite dans la boutique et regardèrent par une petite fenêtre depuis l'intérieur ce qui se tramait dans la cours. Des flocons commencèrent à retomber. Il n'avait pas encore neigé aujourd'hui... La demi-elfe suicidaire voyant là une chance de se sortir d'affaire n'avait plus d'autre choix pour sauver sa peau. Il fallait qu'elle parle. Elle se positionna à genoux et dit : « Je vais vous dire ce que je sais !

Jessaabelle

Nous sommes un groupe de mercenaires et d'aventuriers nommés les Aigles gris. L'illusionniste gnome de notre groupe a attiré les enfants dans un piège... Il c'est fait passer pour l'un d'entre eux pour les inciter à quitter leur famille et partir à l'aventure. Le but était de rejoindre le moulin abandonné dans un premier temps. C'est là que nous les avons capturé. Certains d'entre nous sont alors revenus à Nid-du-Faucon pour s'assurer que personne n’était sur notre piste et se porter volontaire pour les retrouver. Il ne nous restait plus qu'à éloigner ceux qui s'aventureraient dans la lande...

Nous devions livrer les gamins aujourd'hui à un groupe de kobolds qui vit dans les ruines d'un monastère de la faille de Droskar. Cela devait nous permettre d'accéder à un niveau situé sous leur antre où se trouve des antiques reliques et des trésors encore jamais retrouvés. D'autres dont Edgrin et notre magicien sont partis au point de rendez-vous, à l'ancien orphelinat quelques temps avant que vous nous surpreniez au moulin. »

Modifié par un utilisateur dimanche 13 novembre 2011 10:24:52(UTC)  | Raison: Non indiquée

«  Un peu d'soins s'rai pas d'refus !

Enfin, tout dépend combien de temps on met jusqu'à cet orphelinat. Mais sinon, moi, mon épée et Gorum, on est prêt à partir. »

Durim n'aimait pas les phases de parlote. Il s'y ennuyait ferme et pensai que Gorum n'en avait que faire.
Il se désintéressait aussi du sort de l'elfe. Qu'elle meurt ou pas lui importait peu. Il avait occis le gnome responsable du meurtre de ses deux compagnons et fait en sorte que deux autres ne s'en sorte pas. Il avait le sentiment du devoir accomplit mais il était impatient de la nouvelle rencontre qui s'annonçait. Des kobbolds, il n'en avait encore jamais affronté !

Modifié par un modérateur lundi 28 octobre 2013 09:22:09(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Oh oh ! Des ennuis visiblement, ces humains sont tellement imprévisibles. Bon, puisque tout le monde est prêt, on est parti. Igor nous rejoint à la sortie de toute façon. Et toi oreille pointue, j'ai dit que tu aurais ta chance, alors je te laisse là, tu te débrouilles. Allez, les gars, on est parti pour l'orphelinat. Durim, je te soignerais en route. Peut-être pourras-tu chasser sur le chemin ? Gortrek, tu pourrais l'aider ? Faudra qu'on mange correctement ce soir. En attendant, tout le monde a des rations ? »

Le prêtre joint le geste à la parole, en prenant la direction du village, mais sans se presser. Il avait selon lui la conscience tranquille et il ramènerait ces enfants, dusse-t-il aller à l'encontre de leurs propres congénères. Foutus humains.
Il attendra Igor en dehors du village.

Modifié par un modérateur lundi 28 octobre 2013 09:32:29(UTC)  | Raison: Non indiquée

« J'ai vécu toute ma vie dans la nature, bien entendu que je sais chasser. Tout le monde devrait savoir d'ailleurs. J'ai aussi quelques rations d'avance en prévision. Personnellement, je suis donc prêt à y aller. Si possible avant que les gardes n'arrivent, je ne voudrais pas que certains d'entre vous se retrouve arrêter et que l'on soit contraint de les attendre. Autant revenir avec les enfants, ça évitera les problèmes. »

Le druide suivi le prêtre dans sa démarche pour quitter la ville.

Modifié par un modérateur lundi 28 octobre 2013 09:44:17(UTC)  | Raison: Non indiquée