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Elorith s'arrêta avec tout son petit groupe à la hauteur des maraudeurs, essayant de deviner, à leur accent, leur provenance: la Varisie?? Elle descendit de son cheval, leur jeta un regard souriant, puis s'approcha de leur carriole... « Les affaires n'ont pas l'air profitables pour vous en ce moment, votre chariot est bien esquinté, votre marchandise pas de la première fraicheur... on pourrait bien demander aux Dieux d'être cléments pas qu'avec les Seigneurs, comme vous dites...
Mais dites-moi, à votre parler, vous viendriez bien d'une lointaine contré... Varisien??
Quel honneur que des voyageurs viennent d'aussi loin honorer notre région! »Puis elle les dévisagea, attendant leur réaction... - Test linguistique : 1d20+6 donne [18] + 6 = 24
- Diplomatie : 1d20+6 donne [6] + 6 = 12
Modifié par un utilisateur samedi 3 mars 2012 12:58:08(UTC)
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 Ornon Grysiel Ornon n'avait guère prêté attention aux trois hommes, jusqu'à ce que Elorith fasse mention de la Varisie. Des visions de gitanes couvertes de voiles diaphanes aux bras ornés de tatouages colorés sorties d'un ouvrage des plus lestes lui envahirent soudain l'esprit et il se réfréna pour ne pas rougir devant ses compagnons. - Linguistique : 1d20+8 donne [1] + 8 = 9
- Connaissances Géographie : 1d20+9 donne [17] + 9 = 26
Modifié par un utilisateur samedi 3 mars 2012 14:50:58(UTC)
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Ornon et Elorith avaient immédiatement reconnus l'accent caractéristiques des nomades varisiens. Il était cependant rare d'en voir aussi loin de leurs terres natales. L'homme qui vous avait interpellé hésita puis sourit, révélant des dents rongées par le tabac...  Maraudeur , répondit-il. « C'est une vie difficile par ici, mais nous en avons vu d'autres... nous espérons pouvoir rejoindre le Taldor mais les routes du Galt sont dangereuses il parait... alors nous espérons pouvoir longer la Sellen jusqu'au royaume elfique de Kyonin.
Nous espérions pouvoir travailler et gagner un peu d'argent dans les Royaumes Fluviaux, on nous avait dit que c'était de bonnes terres pour ceux qui ne rechignent pas à la tâche... mais notre caravane a été pillée par des brigands quand nous sommes passés au nord de Pitax.
Nous n'avons plus grand chose, vous voyez... et il faut bien manger.
Mais ici, les gens ont l'air presque aussi pauvres que nous... et les bucherons ne nous apprécient pas vraiment..." »
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Elorith regarda le maraudeur l'air interrogateur et ajouta: « Les bucherons ne vous apprécient pas?? Je les connais assez, ce sont des hommes rudes, exigeants, j'imagine bien qu'ils ne doivent pas être très accueillants envers les étrangers... venus de si loin...
Et donc quel genre de travail proposez-vous, sauriez-vous lire l'avenir...?
Excusez mon indiscrétion et mes représentations un peu simples, mais je vous souhaite la bienvenue sur cette terre de passage!! Et je pense que vous avez réellement croisé les bonnes personnes pour trouver un honnête travail qui vous permettra de poursuivre votre route plus sereinement ensuite.
Norte herboriste justement me disait tout à l'heure qu'elle manquait incroyablement de plantes dont je n'ai absolument pas retenu le nom... vos chemins vous ont peut être fait connaitre un peu cet art que je ne maîtrise absolument pas, et serait-ce incongru de penser que vous pourriez l'aider, vous qui avez tant voyagé...?? »Puis elle se tourna vers ses compagnons: « Ces étrangers ont subit de mauvaises fortunes, ne pourrions-nous rien faire pour eux?? »Attendant leur réponse, Elorith s'approcha du chariot et fit mine de s'intéresser aux carquois de flèches tordues pour examiner le contenu visible: « Pas en très bon état ces flèches... »- Diplomatie : 1d20+6 donne [4] + 6 = 10
- Perception : 1d20+16 donne [7] + 16 = 23
Modifié par un utilisateur samedi 3 mars 2012 23:24:05(UTC)
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Non, ils ont des grosses chaussures de cuir, pantalons de lourde étoffe déchirée, vestes abimées...L'homme se rapprocha du chariot pour garder un oeil sur Elorith. Les deux autres étaient tout aussi vigilants. Théodric reconnut la posture de ceux qui sont prêt à passer à l'attaque mais qui cherchent à camoufler leurs intentions derrière une fausse nonchalance. Maraudeur , ricana le maraudeur, « Ne croyez vous pas que si cela était vraiment possible, nous serions tombé dans cette embuscade au Pitax ?
Non, nous devons nous fier à ce que nous avons... nous achetons, nous vendons... certains vous diront que nous sommes des voleurs... c'est peut-être vrai, allez savoir. »Il fit une pause et s'appuya contre la roue tordue du chariot. Il fixa Keryana un instant puis reprit sa conversation avec Elorith. « Je crois que quelques unes de nos compagnes connaissent les plantes et les racines, mais je doute qu'elles puissent aider votre amie... le mieux serait d'aller le leur demander...
Mais nous ne faisons pas l'aumône... nous ne faisons que passer par ces terres. A la prochaine lune, vous nous aurez oubliés. D'ailleurs... »Son regard se tourna vers Théodric. « Nos vieux disent que cet endroit n'est pas bon, Seigneur. Vous devriez écouter les signes et retourner chez vous, renvoyer vos gens dans leurs maisons, a l'abri, avant que tout cela ne tourne mal. La forêt est malsaine... et ces collines ont vu trop d'âmes malfaisantes pour accepter votre présence.
Même si nous le pouvions, nous ne resterions jamais ici... même le vent hurle comme un damné... »Il fouilla dans sa poche, en sortit un morceau de tabac noir comme du charbon qu'il se mit à mâcher sans cesser de fixer Théodric. « Il y a quelque chose qui vous intéresse dans ce chariot ? »
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 Toret
Avez-vous peur de quelque chose en particuliers ?
Nous sommes nous-même en quête d'une bête monstrueuse qui massacre à sa guise troupeaux et bergers.
Vous n'êtes pas à l'abri ici.
Il se pourrait que le Baron Théodric, veuille bien vous octroyer une garde cette nuit afin de vous protéger au mieux.
Peut-être même pourrions nous partager un campement ? »- Jet de Psychologie pour faire la part des choses dans le discours des maraudeurs : 1d20+4 donne [15] + 4 = 19
- Diplomatie pour le discours : 1d20+8 donne [5] + 8 = 13
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L'homme leva les sourcils, cracha un bout de tabac sur la terre battue de la route et répondit d'un air sombre... Maraudeur
Y a surement une magie là dessous... me demandez pas quoi, c'est pas mes affaires. Mais on est habitués à ce genre de choses quand on est sans cesse sur les routes comme nous : on veille, jour et nuit... et le feu ne s'éteint jamais.
Vos gardes feraient mieux de s'occuper de ces paysans qui espèrent échapper au pire en se calfeutrant chez eux pendant que leurs bêtes se font dévorer... nous pouvons nous débrouiller... ». Il fit un signe à ses deux camarades qui se rapprochèrent... « Yakov va vous escorter jusqu'à notre camp... c'est pas qu'il est dur à trouver, mais ça vous évitera les malentendus. C'est pas tous les jours que le Seigneur du coin vient s'intéresser à nous. Et souvent c'est pas pour de bonnes raisons... et ça se finit par des jets de pierres. On veut pas d'ennuis, j'vous l'ai dit... dans quelques jours on sera partis.
Demandez à voir Aleria, c'est elle qui dirige la caravane depuis que son mari a été tué par les bandits du Pitax... »Toret écoutait avec attention, scrutant chaque geste de son interlocuteur... l'homme semblait honnête, en tout cas suffisamment confiant dans la situation pour vous inviter à vous rendre au campement varisien. Bien sur, ces nomades étaient réputés pour avoir des oreilles et des yeux partout et il était possible qu'un gamin caché non loin de là ait déjà prévenu les autres de l'éminence d'une visite... Le prêtre se sermonna intérieurement en prenant conscience de ses préjugés.... mais il ne parvint pas à se débarrasser de cette impression d'être manipulé.
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 Théodric Théodric ne savait dire si les hommes étaient menaçants avec eux, ou avec toute rencontre de passage. Néanmoins, il ne tenait pas à déclencher un esclandre sans raison. « Allons rencontrer cette Dame Aleria. Je suis toujours curieux des gens qui foulent les terres de la baronnie. »
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L'homme qui se faisait appeler Yakov vous précéda à travers la lande, le long d'une piste de chèvres qui ondulait entre les collines, jusqu'à un campement à l'aspect délabré. Des ânes et quelques chevaux maigres erraient autour de trois roulottes varisiennes aux peintures défraichies. Une douzaine de femmes et d'enfants de tous âges vous regardèrent arriver. Trois hommes émergèrent de derrière un chariot, armes à la main, qu'ils rangèrent lentement lorsque Yakov leur fit un signe. Aucun d'entre eux ne retira la main du pommeau de leur masse et ils restèrent à une distance respectueuse, sans vous lâcher du regard. Yakov prononça quelques phrases courtes et sèches et une cinquantenaire à la peau brune s'avança vers vous. Son regard s'attarda longuement sur Toret, qui se tortilla, mal à l'aise, sur sa selle. Aucun mot ne fut prononcé durant une longue minute puis elle fit une petite révérence à votre intention.  Aleria
Qu'est ce qui nous doit cette surprise ? »
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Elorith avait suivi Yakov à pied, en tenant son cheval, curieuse de ce qu'ils découvraient. La pauvreté de ces gens la toucha immédiatement, elle restait sur ses gardes mais souhaitait paraître aimable. Elle répondit tout naturellement... « Nous avons rencontré par hasard quelques uns des vôtres sur notre chemin, nous avons entamé la conversation et très vite un jeune homme nous a proposé de vous rencontrer... Je lui disais que c'était un honneur pour nous que de si grands voyageurs passent par ces terres... des terres si rudes !!
De notre côté, mon ami expliquait que nous sommes à la recherche d'une bête qui massacre actuellement les troupeaux et même un berger hier encore... Vous en avez certainement entendu parlé...? Vous-même n'êtes pas à l'abris... »- Test de perception : 1d20+16 donne [1] + 16 = 17
- test de diplomatie : 1d20+5 donne [4] + 5 = 9
Modifié par un utilisateur mercredi 7 mars 2012 21:34:15(UTC)
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Toret Le prêtre écoute distraitement ce que dit Elorith. Il se tortille, a des sueurs, quelque chose cloche avec cette femme... - Perception pour déceler des amulettes ou autres signes distinctif : 1d20+7 donne [14] + 7 = 21
- Connaissance religion : 1d20+6 donne [9] + 6 = 15
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Théodric Théodric descendit de son cheval. « Merci de la bienvenue. Ne qualifions point notre rencontre de visite officielle. Nous étions sur nos terres pour une autre raison que vous a donné Dame Elorith, et avons profité de la rencontre avec votre homme pour vous visiter.
Je me demandais... des rumeurs courent toujours sur les roulottes varisiennes, auxquelles je ne prête guère attention d'habitude, des histoires de voleurs de poules ou de mangeurs d'enfants... huhuhu.... mais... vous êtes dans les environs de Carasmin depuis combien de temps exactement, avez-vous dit ? Il est quand même étrange que ces meurtres sanglants se produisent subitement, en même temps qu'une caravane varisienne foulent les terres de la Baronnie. »Huhuhu... J'ai encore fait un score, moi... J'en rajoute un peu alors...- Diplomatie : 1d20+0 donne [2] + 0 = 2
- Psychologie : 1d20+0 donne [4] + 0 = 4
Modifié par un utilisateur samedi 10 mars 2012 09:19:12(UTC)
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L'ambiance changea avant même que Théodric eut fini sa phrase. Il avait pris son air condescendant qui amusait ses compagnons mais les varisiens murmurèrent entre eux, choqués par l'insulte à peine dissimulé dans les propos du baron. Le visage d'Aléria se fit dur tandis que quatre hommes firent mouvement pour vous encercler. Les femmes reculèrent avec les enfants. Aleria
Sachez que nous n'avons aucun compte à vous rendre et que si notre présence vous pose problème, nous aurons quitté vos terres dès demain. Même si il est visiblement présomptueux de votre part de revendiquer ces collines que vous êtes incapable de protéger.
Pour répondre à vos questions malvenues, nous sommes arrivés ici il y a trois semaines, après avoir franchis le Pitax par le nord des Narlmarches. Nous avons passé quelques jours au comptoir d'Oleg, où nous avons appris que la baronnie d'Eudoxia offrait une protection aux voyageurs... visiblement ce n'était qu'une rumeur.
Depuis lors, nous essayons de nous refaire une santé avant de continuer notre route... mais vos citoyens sont aussi méfiants et incultes que leurs gouvernants, il faut se rendre à l'évidence. Aucun de nous n'a pu trouver le moindre travail honnête... même mes meilleurs combattants ont été refoulés des troupes de mercenaires qui travaillent pour vos bourgeois.
Quand aux meurtres... oui, il y a quelque chose qui rode, depuis deux nuits. Mais le mal vient de l'intérieur des murs de votre cité corrompue. Vous pourrez nous accuser de tous les fléaux, il frappera encore.
Laissez vos soldats ici cette nuit, pour nous surveiller... si cela vous convient. Nous n'avons rien à dissimuler. Demain, vous aurez d'autres cadavres à justifier.
A vous de prendre la bonne décision, Baron... mais vous me semblez bien tendre pour affronter les fantômes des Kamelands. Ces terres ont dévoré des hommes qui avaient un sang plus robuste que le votre... »
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Toret Toret tente de prendre sa voix la plus calme et essaie de sortie le grand jeu diplomatique « Dame, pardonnez les propos du jeune Baron.
Nous faisons face à beaucoup de désagrément, entre les épidémies, les problèmes économiques, tout ne va pas pour le mieux dans notre nouvelle Baronnie.
Et aujourd'hui nous faisons face à un nouveau péril qui irrite, effraie et met en colère nos concitoyens.
La gestion de ce problème nous échappe et nous cherchons partout des idées pour l'éradiquer.
Théodric est sur les nerfs, et ses talents de diplomate s'en ressentent.
Vous pouvez rester ici sans problème, nos hommes resteront que si vous le souhaitez et seulement pour votre protection.
Vous dites que l'engeance que nous cherchons vient de notre cité ?
Auriez vous de plus amples informations ? »- Diplomatie : 1d20+8 donne [8] + 8 = 16
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Aleria ricana... Aleria
Aucune de ces tentatives n'a réussi... tous ont échoués... il ne reste d'eux que des ruines rongées par le temps. Les vieilles légendes ont la vie dure par ici et n'espérez pas y échapper. »La vieille femme se tut quelques instants, semblant réfléchir... puis s'adressa à nouveau à Théodric. « Nous n'avons pas besoin de votre protection. Nous avons traversé un continent avant d'arriver ici et nous ne sommes pas au bout de notre route. Nous sommes bien plus capables de nous défendre que ce que vous pouvez croire.
Si vous souhaitez laisser des soldats ici, faites... vous êtes sur vos terres.
Demain, nous quitterons ces lieux en longeant la rivière, avant que vos bûcherons décident de nous lyncher pour se rassurer.
Quand à ce que vous cherchez... n'allez pas croire que je sais ce qui cause ces massacres mais ceux qui savent lire les traces et les rumeurs ont compris que cela se cachait dans vos murs, pour sortir la nuit. Ce n'est pas un animal en tout cas... c'est malin, rusé... et affamé. Il ressortira certainement encore ce soir, peut-être demain... et si c'est ce que je pense, vous n'en entendrez plus parler... jusqu'à la prochaine lune. Nous, nous serons loin, et il vous faudra alors trouver d'autres coupables.
Je crois que vous devriez y aller maintenant... j'ai un campement à lever et encore beaucoup de travail... »
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Ornon Grysiel La mention de la pleine faisait écho à quelque vieille légende dans l'esprit du magicien. « La lune ? La lune... »Tout d'un coup, Ornon frappa dans ses mains en tâchant de se relever simultanément, en oubliant qu'il était encore sur son cheval. « LA LUNE !!! Bien sûr !!! C'est la pleine lune en ce moment... Ca fait même... 2 jours que la lune est pleine... Au même moment que le premier massacre... »Un frisson lui courut le long de l'échine. « Seigneur Domitian, cette dame que vous avez inconsidérément malmené a sans doute identifié la source de nos massacres sanglants... J'ai peur que nous ayons affaire à la bête qui hante les cauchemars des plus petits, qui fait se signer les paysans devant les lunes rousses...
Baron, nous avons un lycanthrope, un loup-garou sur les terres de la Baronnie. Il se cèle sans doute derrière les murs de Carasmin la journée, impossible à distinguer du commun peuple... et sort la nuit, à la recherche d'une proie facile comme un mouton... ou un jeune berger...
Nous devons nous embusquer à la sortie de Carasmin ce soir... Ce soir... C'est peut-être la dernière nuit de pleine lune. Nous devons l'attraper, sinon nous devrons attendre la prochaine lune... »- Connaissances (Histoire) : 1d20+8 donne [15] + 8 = 23
Modifié par un utilisateur lundi 12 mars 2012 18:45:10(UTC)
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 1 utilisateur a remercié BayouBoozer pour l'utilité de ce message.
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Aleria garda le silence... mais dans ses yeux, chacun pouvait lire qu'elle était convaincue que Ornon était sur la bonne piste. Elle hocha imperceptiblement la tête avant de se détourner pour lancer des ordres à sa petite troupe.
Les varisiens ne paraissaient plus s'intéresser à vous, hormis trois hommes qui vous surveillaient du coin de l'oeil en faisant mine de ranger un chariot.
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Elorith fut abasourdie par la réponse impertinente du jeune baron et blêmit.
Elle approuva le prêtre et fit rapidement le même rapprochement qu'Ornon entre la pleine-lune et le supposé worg...
Puis elle se souvint des renseignements de son ami Percy... d'après les bûcherons, une ancienne malédiction s'est réveillée dans l'ancienne forêt... une malédiction qui s'attaque aux faibles, aux animaux... puis ira au coeur de la cité.
« Non, ce soir ce n'est pas à la sortie de Carasmin que la créature fera de nouveaux ravages... Ce sera au coeur même de la cité, c'est là que nous devrons la traquer. »
Elorith s'était tournée vers Théodric, le visage grave et le ton dur.
Puis elle s'approcha du baron pour lui parler en privé.
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Est ce que Toret intervient ? Ou Théodric ? C'est quoi vos prochaines actions ?
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Toret Toret écoute attentivement Ornon et Elorith. Puis les voyant palabrer, se tourne vers Théodric pour voir quelle décision il compte prendre. « Théodric, je pense que nous avons tous les éléments pour chasser cette engeance.
Que préconisez-vous ? il me semble que nous n'avons plus rien à faire ici et que nous pouvons laisser ces ... personnes à leurs occupations ?
Le temps presse. »Puis se tournant vers Aleria « Madame vous nous avez été d'une grande aide, soyez en remercier. »
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