A la Guilde de magie
Dregar qui avait sans doute fait le tour de la guilde pour se dégourdir les jambes était arrivé en faisant crisser la neige sous ses pieds. Gromulf était essoufflé, il avait du déployer des efforts considérables pour ramener un arbre déraciné aussi grand et amener jusqu'ici le petit personnage qui lui tournait le dos et frappait la porte de la bibliothèque en haut de l'escalier en pierre bleue brute. Le nain se retourna, c'était Gromulf, celui là même qui avait voulu cet escalier de pierre calcaire qui se polissait avec le temps et sur laquelle la végétation ne s'accrocherait pas. Son visage était fermé et montrait les signes d'une inquiétude évidente ! Son python derrière une rambarde se redressa en sifflant, il lui paraissait encore plus gros que la dernière fois qu'il l'avait vu. Décidément il était temps que le mage sorte de son trou.

Le gué de Murmebois avait bien changé depuis que les membres de la guilde avaient décidé de s'installer ici au début de l'automne. Les cabanons abandonnés, hormis par les ermites de passages, avaient été réparés et rénovés par ceux qui avaient bien voulu les aider. Il restait encore à protéger le site qui était viable mais pas à l'abri des éventuelles agressions.

Modifié par un utilisateur samedi 6 avril 2013 08:28:50(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dragan avait reçu la réponse de sa tante comme une demande déguisées à continuer ses recherches concernant l'assassin de Belven. Il ne répondit mot à l'autorisation tacite qu'elle lui avait donné d'aller visiter le notaire Pleindpoil. Mais il avait déjà en tête de demander à ce dernier de préparer l'ensemble des documents qui mettraient tout cela en ordre. Il prévoyait même de lui rendre une petite visite dans l'après-midi.

Il passa la fin du repas à répondre aux questions des uns et des autres sur les cultures qu'il avait découvert durant son long séjour par delà les mers. Il posa lui-même quelques questions sur la manière dont Pointesable avait repris le cours de son existence suite à la fin du Tourmenteur. De nombreuses choses avaient dû se passer durant son absence et il était curieux de la manière dont le village s'était relevé.

Alors que l'après-midi était bien entamée, il quitta ses deux compagnes et son fils, ne voulant pas manquer le notaire. Mais auparavant, il voulait prendre des nouvelles de ses autres compagnons. Il pensait trouver Ursion à proximité de la cathédrale. Celui-ci pourrait sûrement le renseigner sur ce que les uns et les autres avaient fait pendant ce temps là.

Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:55:15(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dregar observa attentivement le nain. Lorsqu'il remarqua le python, il comprit où il l'avait vu. « Par les moustaches du poisson-chat, pardonne moi ma confusion. Je reste bien trop longtemps dans mon laboratoire, je ne t'avais pas immédiatement reconnu. J'ai une très mauvaise mémoire des visages en fait. Montrez-moi un texte et je vous l'apprendrai par cœur, mais pour un visage il me faut plusieurs minutes parfois pour le reconnaitre. Mais trêves de bavardages, tu disais que les animaux étaient malades ? Comment cela malade ? Une maladie inhabituelle je suppose sinon tu ne serais pas aussi inquiet ? Sinon je pense que sécuriser les environs serait une bonne chose. Nous venons à peine de construire la guilde et il serait dommage de tout devoir recommencer. Je pense que nous devrions prévenir le plus de monde possible, car n'oublions pas que, même si nous avons libéré la ville du joug du tourmenteur, il reste encore beaucoup à faire. Car nous ne savons toujours pas pourquoi et qui a introduit cette créature. »

Dregar avait passé le plus clair de son temps à rechercher les origines du tourmenteur sans parvenir à une réponse probante. Il ne désespérait pas cependant de percer ce mystère un jour.

Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:50:59(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Oh oui... Votr' seigneurie... Voilà une excellente idée... » - Toujours enthousiaste, Jean se leva et serra vigoureusement la main de l'aubergiste afin de le remercier pour son chaleureux accueil - « Merci M'sieur Vishkalaï.. C'était toujours... vraiment bien... A bientôt ! »

Dehors l'hiver redoublait de vigilance pour se rappeler à quiconque aurait l'imprudence de se découvrir. Jean resserra le col de son manteau. Les mains enfouies dans les manches, il redressa les épaules pour rentrer la tête et laisser le moins possible de peau rougir sous la morsure du froid. Le nez n'y réchappera pas, mais esprit sain dans un corps sain, l'hiver n'aura pas raison du fermier combattant. Comme il y a quelques mois, il suivait Ursion vers les différents établissements sus-nommés. La bibliothèque d'abord, il aimait bien cet endroit. Il passait beaucoup de temps à lire des écrits que certains avaleraient en quelques minutes, mais là il était seul avec les mots et personne ne se moquait de lui. Puis si les recherches étaient infructueuses, ils iraient alors chez le marchand de potions. Il faisait toujours des trucs un peu bizarre, alors les bizarreries gobelines l'intéresseraient sans doute. De toute façon, il avait bon espoir de trouver avant la fin de la journée, alors il souriait comme à son habitude.

Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:39:52(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Oui j'ai entendu parler de cette bête qui terrorisait la région. Je vis un peu reculé de la ville mais c'est le genre de chose qu'on je ne pourrais pas ignorer même si je le voulais. Allons chercher ces gens alors, comme je l'ai dis tu connais mieux les personnes de confiances des alentours que je ne le pourrais jamais. » Grunyar était souriant et avenant malgré la situation.

« Quelque chose me taraude quand même, si tu as été aussi proche avec ces gens... pourquoi les avoir quitté. Vous formiez une meute, c'est une chose précieuse! Quand au désire de retrouver ta sœur c'est quelque chose que je ne comprend que trop bien. J'adorerais revoir les miennes aussi, mais ça fait bien plus que quatre mois que je ne les ai pas revu. » Le nain retira sa capuche pour se gratter la tête. Un motif Shoanti détaillé avait été scarifié sur son front. le motif se poursuivaitt sur son crâne et le long de ses tempes. Là où le fer était passé les cheveux ne repoussaient plus. La scarification se mêlait à un tatouage aux couleurs chatoyantes sur sa nuque. Le druide se frotta la tête pendant cinq bonne secondes, il remit son capuchon et continua en grimaçant.

« Ahr... je suppose qu'elles trouvent toutes leur voie d'une manière ou d'une autre. Tu sais j'ai failli les tuer un jour » Grunyar avait lâché cette phrase tout sourire et en pleine confiance mais il se ravisa un peu gêné. «  Ça sonnait mieux dans ma tête, je suis sûr qu'on en rigolera un jour mais peut être pas aujourd'hui. Pour l'heure hâtons nous, plus vite nous réunissons tes amis plus vite ils pourront nous aider. Et peut être que nous pourrons les aider en retour, qui sait. »

Grunyar avança de quelque pas dans la direction lointaine de Pointesable puis se retourna en direction de Dregar. « Cette ferme elle se trouve en direction de la ville n'est-ce pas? » - après un instant de silence - « Je crois que tu devrais mener la marche, c'est toi qui sait où on va. »

Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:58:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dregar et Grunyar
Les deux habitants de Murmebois marchaient maintenant sur le sentier qui leur permettrait de sortir de la forêt. Le magicien avait pris ce dont il avait besoin on ne savait jamais sur quoi ils pouvaient tomber ni sur qui que ce se soit en partant ou même en revenant. Leur progression était lente car si les arbres de chaque côté avaient quelque peu limité la neige au sol il n'en restait pas moins près de trente centimètres de neige fraîche aux endroits les moins couverts. Encore une fois Homako semblait mieux tirer son épingle du jeu dans ce paysage hivernal même si les températures basses ne devaient pas trop lui plaire pour la neige l'énorme python femelle semblait glisser comme elle aurait pu le faire à la surface de l'eau.

A la vitesse qui était la leur il leur faudrait près d'une heure pour arriver au première ferme. Avec de la chance, pour la suite ce devrait être plus rapide car il n'était pas nécessaire de suivre un chemin car ce dernier était invisible et on ne leur reprocherait pas de couper à travers des champs en cette période. La ligne droite étant le chemin le plus court en un peu moins d'une autre heure ils seraient à la ferme de Jean. L'ancien soldat désœuvré ces temps ci ne disait jamais non, lorsqu'il s'agissait de donner un coup de main.

Ce fut après deux heures de discutions plus ou moins mystiques que les deux voyageurs arrivèrent en vue de la ferme et ce fut Sylvia qui vint leur ouvrir avant même qu'ils n'arrivent à la porte. Les yeux écarquillés la jeune fille regardait l'énorme serpent, il était évident qu'elle n'aurait jamais ouvert au nain s'il était venu seul jusqu'ici avec une telle créature. « Oh salut mon frère ? Ça fait longtemps qu'on t'a pas vu par ici ? Mais qui c'est lui ? Qu'est ce que vous voulez ? Vous cherchez Jean ? l est parti voir Ursion en ville il y a une heure peut-être un peu plus... »

Dragan, Jean et Ursion
Les deux amis n'eurent rien à payer, une fois de plus Garridan reconnaissant pour la ville et pour sa vie qu'ils avaient sans doute sauvé, avait offert l'intégralité du repas du midi. Jean et Ursion se retrouvèrent sous leur lourd manteau d'hiver à arpenter les rues boueuses et quelques peu désertés de ses habitants qui préféraient la chaleur de leur âtre que le froid et les congères qui obstruaient encore leurs portes. Ils descendirent la grand rue alors que de petits flocons se remettaient à tomber avec légèreté de manière éparse.

Quelle ne furent pas leur surprise lorsque les deux compères reconnurent Dragan qui lui au lieu de descendre remontait la même rue. Ils l'attendirent près de la boutique du libraire où ils commençaient à y être connu par le propriétaire. Cette boutique bien achalandée par Chask Haladan, un amoureux des livres à qui Ursion avait rendu les quelques pages du recueil d'un ancien éclaireur nommé Lothàos qui des années avant eux avait du subir les même désagréments dans le Temple d'Aroden. Après des salutations chaleureuses, ils furent interrompus par Chask qui avaient du être attiré par les voix. « Mais qu'est ce que vous faites dehors par ce temps ?! Ne restez pas là comme des ronds de flancs et venez vous réchauffer. Il est un peu tôt pour ma tisane de l'après-midi mais j'ai là une eau de vie de bière avec laquelle nous la mélangerons pour faire un habile digestif ! »

Comme il l'avait plusieurs mois plus tôt avant qu'ils ne partent dans la lande le propriétaire du Gobelin Curieux les invita à partager une boisson chaude. L'endroit n'avait pas changé et ressemblait plus à un club de lecture où de vieux fauteuils chinés trônaient au milieu d'étagères pleines de livres plus ou moins intéressants.

Modifié par un utilisateur lundi 22 avril 2013 17:26:38(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'intervention de l’adolescente laissa Grunyar de marbre, il affichait un sourire gêné. Contrairement au reste de son corps, son hygiène dentaire était correcte et ses dents étaient encore toute présentes. Il se tourna d'abord vers Dregar sans répondre à sa sœur trop peureux de dire quelque chose qui n'aille pas.

« Ta sœur est plus jeune que je ne pensais, la mienne a 49 ans. Je ne sais pas pourquoi j'imaginais qu'elle aurait cet âge. » - Il se tourna alors vers la jeune fille et la regarda droit dans les yeux sans décrisper son sourire. - « Nous sommes des amis de Dregar. » - Il montre du doigt la python - « Elle s’appelle Homako et moi je m'appelle Grunyar. Elle et moi nous sommes les deux moitiés d'un seul être. Et même si nos corps n'étaient pas rassemblés à la naissance, nos esprits se sont cherchés l'un l'autre depuis la première bouffée d'air que nous avons aspiré. Ensembles nous combattons pour un idéal complexe. Nous pensons que toutes les vérités sont bonne à prendre et à dire et qu'aucune de ses vérités ne doit prendre le pas sur l'autre. Nous pensons que la vie des animaux civilisés comme toi et ton frère ont la même valeur que celle des animaux sauvages comme Homako et moi. »

Pendant qu'il tentait de dialoguer du mieux qu'il pouvais, le nain cherchait régulièrement l'approbation du mage.

« Pour l'instant nous sommes un peu pressé alors je résumerais ça en disant que nous sommes des amis de Dregar. » - Il se tourna vers Son compagnon de marche - « Si c'est "jean" que nous sommes venu cherché et qu'il n'est pas là je te propose de quitter les lieux rapidement. Je comprend qu'il soit agréable de revoir ta sœur mais si nous sommes venu jusqu'à cette ferme alors les bêtes le pourront aussi. Ils peuvent nous pister et ils ont un bon odorat. Tu sais, je ne considère pas comme honorable une activité qui consiste à emprisonner du bétail et à passer ses nerfs en commettant un génocide réguliers sur des plantes céréalières. Mais! En tant que membre de la meute je me dois de te faire part de mes inquiétudes pour cette ferme si nous réglons pas le problème pour lequel nous sommes venu au plus vite. Je serais pour barricader la porte et continuer nos recherches. Cependant, il s'agit de ta sœur et ce sont tes amis que nous allons cherché, c'est donc à toi de prendre la décision. Que fait-on? »

Lorsqu'il ne la regardait pas directement, Grunyar parlait sans complexe devant la sœur de Dregar. Il ne paraissait toutefois pas spécialement à l'aise et le fait qu'il continuait à arborer son sourire de façade en abordant des sujets plus durs était un peu malsain.

Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:58:39(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dregar fut presque amusé des complaintes de Grunyar sur le métier de fermier et de ses abominations causées sur la flore et même la faune. Il se décida pour ne pas le suivre sur ce chemin, qui il le savait, ne lui donnerait jamais raison.

« Ma chère sœur, la joie de te retrouver et de voir que tout va pour le mieux pour toi me remplit de bonheur. Cependant, il me faut t'abandonner pour un temps. Des affaires importantes requièrent la reconstitution du petit groupe que nous formions il y a quelques mois. Nous reviendrons bientôt ne t'inquiète pas.  »

Il prit à part Grunyar pour ne pas affoler d'avantage sa sœur. « Nous allons retrouver Jean au village, et reviendrons ici ensuite. Tu crois que tu pourras endurer cela ? »

Dregar fit un clin d’œil au nain en signe de détente et pour lui indiquer qu'il plaisantait.

Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:51:52(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dragan, Jean et Ursion
Il s'était passé une heure entre le moment où Ursion avait regardé le soleil d'hiver depuis le parvis de l'église et le moment où Jean était venu le chercher. Comme ils étaient presque deux heures à l'auberge pour discuter et partager le repas il était presque trois heures maintenant. Le repas des uns et des autres leur pesait sur l'estomac et donc pourquoi ne pas prendre le temps de discuter encore pour assurer une bonne digestion.

Chask examina les objets que le prêtre lui présentait : « Oh comme c'est joli ! » Il fallait le dire vite en fait ! Les statuettes étaient affreuses même si elles avaient été polies, l'art gobelin n'était pas des plus réputé et les créatures représentées ne pouvaient être que monstrueuses. Si quelque chose avait de la valeur c'éait la matière, une jade nacrée qu'il leur fallait estimer. « Je n'ai pas assez d'or pour vous racheter tout cela malheureusement et puis je préfère rester dans les livres, il n'est pas bon de s'éparpiller dans diverses collections si on en a pas les moyens. J'ai peut-être un ouvrage qui pourra vous aider à estimer le prix des pierres. Tenez regardez il existe des mines de jade dans les monts Ménador c'est au Chéliax sinon c'est une pierre qu'on trouve beaucoup dans les contrées lointaines comme au Tian Xia. L'autre est en obsidienne, c'est plus courant mais ça se travaille aussi ! Il vous faudrait aller voir le bijoutier Chesk, il tient boutique près de la cathédrale. Bien sur il n'est pas collectionneur, il fera de tout cela des colliers, boucles d'oreille... Je vous laisse compulser le livre je vais faire bouillir quelques herbes pour vous ! »

Le bouquin permet de faire 20 sur un test d'estimation de la valeur des objets.

Dregar et Grunyar
Grunyar avait acquiescé à la proposition à la proposition de Dregar de regagner la ville non sans doute sans une certaine appréhension. Le mage salua sa sœur et ils se séparèrent. Le nain n'aimait pas ce que représentait les villes mais il s'y dirigeait maintenant tout droit. S'il pourrait, lui, faire la part des choses et mettre ses idées et ses opinions sur les gens qui vivaient là de côté qu'en serait-il lorsque des citadins peu habitués au choses hors du commun verraient arriver Homako ? Sur ce coup là le druide était pris au dépourvu et n'avait pas eu le temps de se préparer plus avant mais il avait encore le temps de la route pour trouver un idée à moins qu'il ne choisisse de laisser son compagnon pour pouvoir entrer... Après quelques dizaines de minutes ils virent la fumée des cheminées de Poitesable puis au détour d'une colline boisée. Ils aperçurent la petite ville dans sa cuvette en contrebas. Ils seraient sur place dans moins d'un quart d'heure.

La rivière était gelée ici. Elle contournait la ville l'enserrant dans un étau de glace mais les habitants de cette dernière semblait lutter contre cette nature et l'hiver, les rues étaient dégagées et certain toits n'avaient plus de neige car les propriétaire pensaient que ce dernier pourraient s'effondrer avec toutes cette masses neigeuses. Les couleurs des habitations et la mer d'un bleu profond dénotaient par rapport à la morne campagne. Le port était pris par la glace à certains endroits. Seul un accès permettait à un ou deux navires d’accoster. Il y en avait justement un qui quittait le port pour s'enfuir vers le large.

Modifié par un utilisateur lundi 22 avril 2013 17:26:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ursion croisa le regard de Dragan suite à la question de Jean et ne put réprimer un petit sourire entendu. « Bien sûr, Jean. » répondit-il. Puis, tout en observant les statuettes, il ajouta « Tu as déjà une idée précise de ce qui lui plairait ? »

Puis, après avoir partagé un bon thé chaud avec le bouquiniste et papoté de sujets divers et variés, Ursion proposa de reprendre la route pour aller visiter le bijoutier. En chemin, il interrogea Dragan. « Au fait, comment s'est déroulé ton voyage ? As-tu trouvé ce que tu étais parti chercher ? »

Modifié par un modérateur mercredi 17 juillet 2013 12:16:10(UTC)  | Raison: Non indiquée