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 Grunyar Grunyar était pensif face à ce paysage bucolique couvert de blanc. « Les navires continuent de naviguer. Ylimancha sera contente quand je lui rapporterai la nouvelle ce soir. Je ne sais pas si elle appréciera que Gozreh lui aie gelé sa belle rivière mais je suis sûr qu'elle comprendra. L'eau gèle et l'hiver sera rude. Les gens s'enfermeront chez eux et les nouveaux nés seront choisi par Ghlauder avec une extrême précaution. Lorsque nous auront tué ses bêtes sauvages, Barbariccia pourra lui aussi se réjouir. Hâtons nous, je dois encore plaire aux totems Shriikirri aujourd'hui. Ce sont eux qui m'ont présenté à Homako et je leur doit beaucoup. »Puis Grunyar se remit en marche. « Les gens ne sortent pas de chez eux avec de telles températures. C'est bien ! S'ils ne sont pas là pour nous voir, ils ne seront pas là pour assaillir mon amie. Si l'on te pose la question, je suis Grunyar Barund-gun l'heureux dresseur d'Homako le gentil serpent. Nous préparons actuellement un numéro qui consiste à introduire ma tête dans sa gueule sans me la faire décapiter, sensation forte garantie. Je peux vivre avec les regards des gens mais je n'aime pas qu'ils fassent subir la même chose à mon amie. La faire passer pour une gentille serpent adoucira son image. Et il n'est pas acceptable que nous nous séparions l'un de l'autre. »Après quelques temps il repris. « Et au cas où tu te poserais la question : ce n'est pas un mensonge. Homako est une gentille serpent la plupart du temps. Enfin je trouve personnellement. »Le nain affichait un sourire sûr de lui. Il était fier du python qu'il suivait et c'était évident. Il pointa du doigt une maison avec un air de dégoût. « Contrairement à ces gens elle ne se montre violente que pour défendre les siens et pour manger, c'est tout. Et l'humain est particulièrement indigeste de toute façon. » - Il lui fallu quelques seconde pour réaliser les multiples interprétations que l'on pouvait faire de sa dernière phrase. - « Je veux dire... je n'en ai jamais mangé... mais j'imagine... » - tout gêné il cru bon de rajouter. - « Tu me crois n'est-ce pas? »Le druide se racla la gorge. « Je te suis, c'est toi qui connait le mieux la ville. Et je ne veux pas être le premier visage que tes amis verrons. Ma tête ne reviens généralement pas aux citadins. Et pourtant! Les livres sont plein d'histoire qui nous rappelle que la première impression est parfois trompeuse. Voilà ce que je reproche aux civilisés, les dieux leur ont donné un bien précieux, leur intelligence, et des gens bien pensant s'en sont servit pour rendre la survie des faibles trop facile. N'ayant plus à se servir des outils que leur ont donné les dieux pour survivre, ils les utilisent pour d'autres choses. Disons le franchement, généralement le meurtre.
Je suis persuadés que ces actes de violences sont là pour compenser la bienveillances de leurs ancêtres. Je pense qu'ironiquement, leur propre cerveaux les conduira eux même à leur perte. En un sens, toi, tes amis et moi nous sommes très semblables. Bien sûr nous ne sommes ni d'accord sur les méthodes à utiliser ni sur les détails de la finalité à atteindre. Mais nous voulons tous les deux que les choses soient meilleurs. J'espère que tes amis me donnerons une chance de prouver ma bonne foi.
Comme tu l'a fait, toit, en écoutant mes convictions. » Grunyar cru bon de donner une tape amicale dans le dos de Dregar avant de le laisser prendre les devant. Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:58:00(UTC)
| Raison: Non indiquée | "Oh! blame not the bard." Thomas Moore |
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 Dregar Dregar sourit poliment à son compagnon. Il ne lui fit pas part de sa remarque sur ses longs monologues car après tout lui même était peu bavard. Il n'apprécia que modérément la grande baffe dans le dos, mais après tout c'était peut-être une façon naine d'apprécier ses compagnons. Il s'avancèrent en vu de la ville et il chercha le chemin pour aller directement à l'auberge où tant de choses s'étaient passées il y a quatre mois. Le village avait changé, il avait gagné en quiétude et sérénité. Ce n'était peut-être pas plus mal, mais pour l'heure c'était peut-être mal venu. Ils étaient porteurs de nouvelles néfastes pour cette quiétude et Dregar se demandait comment ses compagnons et les villageois allaient réagir. « Commençons par l'auberge, nous verrons bien si nous trouvons ceux que je cherche. Ah, un conseil tout de même. Ne laisse pas ton compagnon reptilien seul à partir de maintenant, quoi qu'il arrive. Les gens d'ici n'ont que peu l'habitude d'en fréquenter, ils pourraient s'affoler voire pire. »Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:49:38(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Dregar et GrunyarLes aventuriers se dirigèrent vers la ville parcourant les derniers mètres qui les rapprochaient de l'enceinte, le pont qui traversait la rivière gelée avait été dégagé de la neige qui devait le recouvrir mais restait glissant. Les deux gardes en faction regardaient venir d'un air inquiet le petit groupe. Forcément la présence d'Homako ne laissait pas indifférent et les deux hommes avaient les yeux écarquillés ne quittant la monstruosité qui se dirigeait vers eux. Ils avaient des lances et ils les baissèrent pointe vers les Dregar et Grunyar mais visiblement ce n'étaient pas eux qui posait problème mais plutôt le python femelle énorme qui les suivait ! L'un d'entre eux les interpella : « Halte là !!! Mais qu'est-ce que c'est que cette horreur qui vous suit ?! Vous ne comptez quand même pas la faire entrer en ville sans même qu'elle soit en cage. »Les deux hommes reconnurent le magicien, la ville était plutôt petite avec ses deux mille âmes. Ici tout le monde se connaissait ou presque. En tout cas de vue c'était sûr. Et à sa manière Dregar était un excentrique de part son comportement quelque peu détaché des préoccupations de la plupart des gens et du fait qu'il ait étudié la magie. Comme il l'avait dit il y a peu à Dregar, le druide nain amorça tout un laïus destiné dans un premier temps à calmer les deux hommes afin de pouvoir tenter de placer le fait qu'il soit un dresseur et qu'il avait un spectacle avec ce serpent hors norme. Le fait qu'Homako soit plutôt calme en toutes circonstances jouait en sa faveur même si ici le serpent agitait la tête à gauche et à droite essayant de comprendre où l'amenait son compagnon à deux jambes. Les lances ne se relevèrent pas après le discours de Grunyar et l'autre milicien déclara : « C'est que nous avons déjà eu un dresseur à l'automne... et ça c'est plutôt mal passé, il avait un énorme chien, comme ceux qu'ont les gobelins ! Il a mis sa tête dans la gueule de la bête et se l'ait faite arracher, ensuite le monstre c'est jeté sur la foule, il s'en est fallu de peu pour qu'un drame se produise. Ton serpent est deux fois plus gros que son chien... »Il me faut un test de diplomatie et un test de bluff.Dragan, Jean et UrsionDragan raconta ses péripéties et son voyage qui l'avait conduit jusqu'à la fantastique Absalom, la capitale du monde sous l'oeil attentif d'Ursion et celui un peu moins de Jean qui réfléchissait à ce qu'il pourrait bien offrir comme bijou à Sylvia. Ils avaient quitté leur hôte pour remonter la grande rue principale qui traversait la ville tout comme la rue du festival un peu plus loin. Il aborda ensuite le cas de l'associé varisien de Belven, ce Zadig Montégani... « Je l'ai toujours suivi en fait sans jamais réussir à le rattraper et pour finir il est revenu à Magninar où j'ai appris qu'il déménageait pour Pointesable je suis revenu ici il y a quelques heures pour le retrouver oh comble de l'ironie, à mon point de départ ! Mais je ne pense pas avoir perdu mon temps. » Le rôdeur caressa la tête de son ourse. « Rien que le voyage en valait la chandelle n'est-ce pas Arth ? »Le petit groupe arriva à la bijouterie des Kesk. Il y avait deux gardes du corps qui sans manteaux attendaient dans le froid devant la porte grande ouverte avec un air de pas y toucher alors qu'à l'intérieur on entendait une femme qui criait à tue-tête. Les trois hommes comprirent qu'ils arrivaient à un moment compliqué. Ursion savait que le couple était réputé pour ses disputes conjugales et que la femme du bijoutier joaillier était une vraie harpie. Était-ce bien le moment d'entrer dans la boutique ? L'un des gardes voyant le trio regarder avec hésitation la porte d'entrée. Leur fit un signe montrant qu'ils pouvaient approcher. Mettant la main devant sa bouche pour ne pas se faire entendre sans doute des propriétaires à l'intérieur il dit au trio : « Ça fait déjà un moment que ça barde ! Ça ne devrait plus durer longtemps si vous n’êtes pas pressé vous pourrez y voir le patron juste après l'orage. »En effet cela ne dura pas longtemps alors que le garde finissait sa phrase. Un homme quinquagénaire sortit en râlant dans sa moustache, il fit signe à ses employés de rentrer et aperçut alors le groupe. Immédiatement un sourire quelque peu édenté vint illuminer son visage, visage pour le moins débonnaire et sympathique avec une chevelure hirsute qui lui donnait une allure de savant fou. « Oh des clients ?! L'après-midi est déjà bien entamé mais il n'est jamais trop tard pour faire affaire, n'est-ce pas ?! Je suis Maver... Maverr Kesk... Pour vous servir ! Si vous voulez bien vous donner la peine d'entrer je me ferais un plaisir de vous satisfaire au mieux. J'ai des pierres de toutes les tailles, précieuses et semi-précieuses mais aussi des bijoux en or et en argent. Je peux faire également sur commande ce que vous désirez. Dites ce que vous voulez et Maver le fait ! »Un test de Psychologie.Modifié par un utilisateur vendredi 26 avril 2013 08:52:28(UTC)
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 Dragan  Arth En voyant le vieux Maverr sortir de son échoppe les cheveux ébouriffés et la moustache frémissante, Dragan se dit qu'il ne faudrait peut-être pas faire une totale confiance en ce grippe-sou. Mais Ursion avait l'air de savoir où il mettait les pieds et le rôdeur le laissa entamer la discussion. Dragan pensait à la réflexion de Jean et au clin d'oeil que lui avait fait le prêtre. Un sourire illumina son visage pensant à la jeune fille qui semblait avoir les faveurs du colosse. Il n'aurait jamais pensé que le guerrier eut pu faire preuve de romantisme et cette idée l'égayait. Lui donnant une légère tape sur l'épaule, il lui souffla. « Va choisir ce qui te plaît, je suis sûr que ce sera bien reçu. »Puis il s'approcha d'Ursion et lui dit. « Une fois que l'affaire sera faite, m'accompagnerez-vous jusqu'à l'étude de maître Pleindpoil ? Je dois lui faire faire quelques papiers concernant la succession de mon oncle et j'aimerais que cela soit terminé au plus vite. Et je crois que votre présence rassurante lui montrera le bien fondé de ma démarche. »Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:56:56(UTC)
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 Ursion Ursion avait accepté avec plaisir l'invitation du rôdeur. Le père Zantus avait parlé à Ursion, à mots plus ou moins couverts, de la possibilité de prendre sa place… mais le fidèle de Sarenrae n'était pas encore tout à fait prêt à s'établir et à rester en place. Tout ce qui pouvait sortir de l'ordinaire continuait à l'intéresser… Il se racla la gorge et observa fixement le vendeur pendant quelques secondes, pour que ce dernier se rende compte qu'il n'était pas homme à se laisser berner par de belles paroles et des trucs de marchandeurs. Puis, finalement, il s'adressa à lui en déposant sur le comptoir les divers objets qui les avaient amenés là. « Nous voudrions quelques renseignements au sujet de ces objets, plus particulièrement en ce qui concerne leur possible prix de revente et, peut-être, l'identité d'acheteurs potentiellement intéressés. »Pendant que le marchand observait les reliques, Ursion alla flâner du côté des bijoux et autres pièces qui avaient attiré l'attention de Jean. Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:46:54(UTC)
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 Jean Le fermier combattant se rendit très vite compte qu'il était dépassé par les tentatives d'estimation. Il reprit donc son rôle de garde du corps afin de protéger Ursion, ses compagnons et leurs intérêts, se redressant et prenant avec sérieux et application la surveillance de l'environnement proche et de ce fourbe de bijoutier. Son père lui avait toujours enseigné que l'or pouvait rendre fou et que les personnes les plus gentilles et droites pouvaient être prises de folie à la vue de l'or. Ici il y avait de belles choses et le bijoutier devait être un homme espiègle et animé par l’appât du gain et le profit, une perversion que le colosse n'était pas près d'avoir. Pendant un court instant, il pensa à Sylvia et se demanda quel genre d'objet lui ferait plaisir. Il se rendit très vite compte qu'il n'y connaissait rien du tout concernant ce sujet. Il devait demander conseil à Ursion, il ne voulait surtout pas se tromper et risquer de ne pas voir le sourire illuminer le visage de la jeune femme. Il voulait que le bijoux soit magnifique mais discret afin de ne pas attirer la convoitise des autres, ce qui pouvait la mettre en danger. Il voulait aussi que le cadeau soit personnel et signifie quelque chose pour eux deux, une sorte de lien qui les unirait, un lien de profonde amitié et de confiance, voire plus encore. Un collier serait peut-être trop voyant et gênerait peut-être Sylvia dans ses tâches quotidiennes. Un bracelet et une bague seraient aussi très voyant et attirerait la convoitise et peut-être la jalousie. Des boucles d'oreilles, Sylvia avait les cheveux longs et elle pouvait les cacher avec, un pendentif suspendu au bout d'une simple chainette en argent ou en or, le pendentif pouvait répondre à de nombreux critères dans sa sélection : discrétion, personnalisable, en apparence une simple chainette comme pouvait avoir une jeune fille en héritage d'une aïeule, un bijoux de famille, il restait à savoir ce que représenterait l'objet pour elle et pour lui. Il sortit de ses réflexions et surveilla la transaction. Il ne voulait pas que Dragan ou Ursion soient mis en danger par sa déconcentration. De toutes façons, il devrait demander conseil au prêtre. Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:38:31(UTC)
| Raison: Non indiquée | Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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Ursion Quand Jean avait fait part de ses critères de choix à Ursion, ils avaient tous les deux abouti à la conclusion qu'un pendentif serait une des meilleures solutions : à la fois discret et précieux, facile à cacher et discret à porter. Il restait la question du symbole… Ursion jeta un coup d'œil aux choix qui s'offraient à eux : il y avait un peu de tout. Réfléchissant à haute voix, Ursion suggéra « Sylvia et toi habitez les environs de Sandpoint, dans des fermes… peut-être un symbole qui correspond à ça, qui rappelle l'endroit d'où vous venez ? » Le regard du novice tomba sur un petit médaillon en forme d'épi de blé. « Que penses-tu de cela, Jean ? L'épi de blé, c'est un symbole de la nature et des fermes. Un Érastilien dirait que cela représente le fruit du travail ; un Desnien parlerait plutôt des plants qui s'envolent et voyagent avec le vent. En tant que Sarénite, j'y vois surtout une promesse : la promesse d'un futur pain, ou d'une farine qui servira à une pâtisserie ou à un autre plat. Un blé peut-être pas encore tout à fait mûr mais, avec les rayons du soleil, qui peut savoir ce qu'il deviendra ? »Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:47:05(UTC)
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Jean Le sourire bêta habituel fendit le visage en deux - « Oh... Votr'seigneurie... Vous avez parfaitement raison... C'est ça qu'il faut... à Jean... Faut encore... Que Jean puisse l'acheter hein... Enfin avec sa part... »Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:38:43(UTC)
| Raison: Non indiquée | Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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Dregar Dregar ne fit pas surpris de la réaction d'un des gardes du village. Il préféra l'approche amicale et tenta d'expliquer le pourquoi de la présence du serpent ici, et surtout de son comportement inoffensif. « Allons, allons du calme. D'une part ce n'est pas un chien mais un serpent, un gros serpent je vous l'accorde. Mais il serait dommageable de généraliser une situation d'il y a quelques mois en arrière à aujourd'hui. De plus, il me semble que quelqu'un d'autre a pu se balader en ville si je ne me trompe et avec un plus gros animal n'est-il pas ? Serait-il lui aussi interdit de présence en ville s'il se présentait ici ? » Dregar parlait bien entendu de l'ours. - diplomatie : 1d20+1 donne [13] + 1 = 14
Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:49:54(UTC)
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Dregar et Elneth« J'ai vu cet ours lorsqu'il était enfermé dans une geôle de la garnison. Il ne s'est jamais montré agressif mais par mesure de précaution avec le risque qu'il soit lui aussi contaminé, le prévôt avait décidé qu'il devait mourir. Il a été emmené par ces bons à rien de la ville mais ces derniers n'ont pas été capable de l'occire... Je sais qu'il a été récupéré par un des hommes du primo-enquêteur et que ce dernier est de la famille des Valdemar. Cela ouvre des portes... mais le prévôt Cyrius Déverin ne voit pas vraiment cela d'un bon œil et sa présence à Pointesable est loin d'être gravée dans le marbre qu'elle que soit le rôle qu'il a pu à jouer dans la mort du démon tourmenteur.
Pour ce serpent c'est loin d’être la même bête il est deux fois plus gros que l'ours et pourrait l'étouffer et l'engloutir, je n'en n'ai jamais vu d'aussi gros et pourtant ma famille est originaire de Wartle. Les gens de la ville vont être terrorisé. Pour rien au monde je ne voudrai qu'il m'approche et les gens de la ville ne permettrait pas qu'une telle créature puisse se trouver dans la même enceinte que leurs enfants. Il ne pourra entrer et je vous demanderai de l'emmener ailleurs si vous ne voulez pas que je signale sa présence au prévôt. » Visiblement le jeune magicien n'avait pas été convaincant. Dragan, Jean et UrsionMaver Khesk examina les statuettes de jade d'un air intéressé... « Un collectionneur ? Pour de l'art gobelin ? Non je n'en connais pas, ici ce serait plutôt du genre qu'on vous les rachèterait pour se faire un plaisir de les éclater à coup de marteau. Mais je suis prêt à vous en reprendre pour la valeur marchande de la pierre. C'est à dire deux cent voiles d'or la pièce. C'est à dire une somme plus que correcte d'autant que personne d'autre ne pourra ici vous en offrir meilleur prix à Pointesable. » Ursion remarqua qu'en donnant son tarif l'homme avait fermé les yeux puis tortillé sa moustache en la roulant sous ses doigts. Rien de bien méchant mais Maver était un marchand et entamait une partie de négoce. On ne parlait effectivement pas d'une petite somme et allonger comme on disait dans le jargon huit cent voiles ne se faisait pas à l'emporte pièce d'autant que le retour sur bénéfice ne se ferait qu'après la réalisation et la vente des bijoux, ce n'était pas pour tout de suite, l'investissement était conséquent pour un bijoutier d'une aussi petite ville. Suivant les conseils du prêtre Jean admirait le travail d'orfèvrerie du bijoutier. S'il avait déjà trouvé la chaînette en argent il ne lui manquait que le pendentif... mais pas d'épi de blé, de maïs ou autre qui pouvait faire penser au travail du champs. Il remarqua néanmoins une corne d'abondance en argent de la taille de deux ongles et de l'ambre qui façonnait ressemblait à des pots de miel. Cela pouvait faire l'affaire, le premier valait douze voiles et le second neuf. Modifié par un utilisateur jeudi 9 mai 2013 17:47:52(UTC)
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Jean Il n'y avait pas de pendentif en forme d'épi de blé - Ce n'est pas grave pour Jean... Les deux bijoux sont jolis aussi. Il se mordit la lèvre, se retenant d'intervenir dans la discussion des grandes personnes. Le marchandage avait commencé et il ne voulait pas mettre ses gros pieds dans le plat histoire de tout faire capoter. Il dansait d'un pied sur l'autre, attendant patiemment que les adultes aient fini de parler, puis s'approcha d'Ursion - « Euh... J'm'excuse de vous d'mander pardon votr' seigneurie mais... Jean... Il a pas trouvé.. D'épi de blé... Mais c'est pas grave pour Jean... Il va acheter... Ces deux bijoux là... Et puis il va demander... Au bijoutier de fabriquer... Le pendentif... En épi de blé... Comme ça... Ça fera un autre cadeau... Pour Sylvia... Hu hu huu... » - Le rouge était monté aux joues du colosse en prononçant le nom de la jeune fille. Pourquoi était-il aussi gêné ? - « Jean il peut payer... Les bijoux... Et la commande... Vous en faites pas pour Jean... »Cette fois il attendit son tour pour faire ses affaires avec le marchand. Il ne savait pas négocier. Le prix demandé serait sans aucun doute le prix qu'il paierait. Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:38:55(UTC)
| Raison: Non indiquée | Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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Ursion Ursion s'adressa au bijoutier. L'homme avait visiblement envie de négocier, mais c'était là un petit jeu auquel le novice de Sarenrae ne trouvait aucun plaisir. Il soupira et prit appui sur le comptoir avant de regarder le commerçant droit dans les yeux. « Vous me connaissez, et vous connaissez ceux qui m'accompagnent. Cela fait un petit bout de temps que nous sommes à Pointesable. Vous savez également que je suis un serviteur de Sarenrae, la déesse-soleil, à la fois douce par la caresse des ses rayons qui réchauffent et torride par la brûlure avec laquelle elle punit ceux qui s'en prennent aux autres d'une manière ou d'une autre. »Il laissa les dernières paroles faire leur chemin avant de poursuivre. « Je suis prêtre, pas négociant. Et sans grande patience pour ces petits jeux, pour tout dire. J'irai donc droit au but : économisez-nous une perte de temps et faites moi la meilleure offre raisonnable que vous puissiez faire. Et, également indiquez-moi combien de temps il vous faudrait pour réaliser ou faire réaliser un pendentif en forme d'épi de blé. »- Diplo : 1d20+8 donne [18] + 8 = 26
- Psycho : 1d20+12 donne [3] + 12 = 15
Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:47:18(UTC)
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Dregar Dregar était dépité, mais il fallait se rendre à l'évidence le serpent ne pourrait entrer. « Grunyar, je pense qu'il vaut mieux attendre ici. Je n'en ai pas pour très longtemps et puis cela t'arrange en un sens, tu n'auras pas besoin de pénétrer dans cette ville. Je me dépêche. »Dregar attendit l'accord de Grunyar et entra en ville aussi vite que la marche de ses jambes le permettait. Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:50:06(UTC)
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DregarGrunyar aquiesca à la demande du mage après tout il était son employeur et il n'avait pas besoin de lui pour convaincre des personnes qu'il connaissait si peu. Par contre Homako avait déjà beaucoup souffert à se déplacer dans la neige, il n'était pas dans son élément ici et préférait nettement dormir dans le cabanon du druide pendant de longues heures. Ce ne serait peut-être pas le cas aujourd'hui, la menace était aussi grande que les loups. Les sanguinaires seraient bientôt à la recherche d'une nouvelle proie à leur taille et bien que Gromulf soit assez fort pour se défendre ou puisse se cacher un temps, il ne ferait pas le poids contre plusieurs de ces créatures enragées si elle venaient jusqu'à la clairière où se trouvait la guilde. Le druide fit un signe de la main plus en guise d'au revoir que de salut. Le danger était réel et Dregar vit dans les yeux du nain qu'il n'avait pas l'intention de l'attendre ici. Les deux se séparèrent, le Grunyar partit en trottinant suivi de son énorme python. Il s'en était sans doute fallu peu pour que le garde appelle des renforts, une telle créature avait-elle sa place aux abords de Pointesable ? Dregar ne se retourna plus et s'engouffra dans la ville boueuse et enneigée, il n'eut pas à aller bien loin en voulant aller au Cerf blanc il passa devant la boutique de Maver Khesk le bijoutier où il entraperçu la silhouette du grand Jean. Dragan, Jean et UrsionLe bijoutier se confondit en excuse après le sermon de sa femme voilà qu'il se prenait celui du prêtre. « Je suis désolé où avais-je la tête... Les statuettes valent certainement près de 250 voiles pièce, c'est tout ce que je puis vous offrir pour un tel bien quand à votre dague le matériel utilisé, l'obsidienne n'est pas assez rare pour que je vous en offre chose que le prix de l'arme. Pour le bijoux je peux le réaliser en or pour dans deux ou trois jours combien voulez-vous mettre de voiles pour la réalisation. »Modifié par un utilisateur jeudi 9 mai 2013 17:48:19(UTC)
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Ursion Ursion hocha la tête et remercia le commerçant. « Va pour un millier de voiles pour les quatre statuettes et la dague alors. En complément, je compte sur vous pour réaliser le plus beau pendentif en épis de blé que vous puissiez faire. C'est un cadeau pour un être cher. Il doit donc être parfait. » ajouta-t-il en souriant. Il jeta un rapide coup d'œil sur le rideau qui séparait le comptoir de l'arrière-boutique où la femme avec laquelle le bijoutier venait de se disputer se trouvait et continua d'une voix légèrement plus forte, juste assez pour être entendu des deux côtés du rideau, « Et vous savez sans doute à quel point il est important de bien prendre soin des êtres qui nous sont chers. »Se tournant vers Jean, il lui demanda de confirmer « Tu es toujours partant pour lui offrir ce type de pendentif ? Ça doit être ta décision avant tout. »Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:47:30(UTC)
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Dregar Dregar s'approcha de la boutique du bijoutier. Il ne se manifesta pas tout de suite, trop heureux de retrouver d'anciennes connaissances. Entendant les paroles d'Ursion il ajouta à la suite. « Bien sûr qu'il est important de prendre soin de ceux qu'on apprécie. Il aurait été dommage que cela soit le contraire n'est-ce pas ? Chaudes larmes mes amis, comment vous portez-vous ? »Dregar salua respectueusement Jean et Ursion. Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:50:17(UTC)
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Jean Jean acquiesça vigoureusement accompagnant sa réponse des milles pardons, excuses, votr'seigneuries et larges sourires habituels. Il donna les arrhes au bijoutier pour commencer au plus vite les travaux et acheta la petite corne d'abondance en argent en attendant que le pendentif soit fait. L'épi de blé en or et la corne d'abondance feraient de merveilleux présents pour la fille d'un des exploitants agricoles les plus importants des Terres cultivés. Jean espérait sincèrement que les bijoux seraient à la hauteur et plairaient à Sylvia. Il donna les douze voiles pour ce bijoux et 12 autres pour l'avance du pendentif. Lorsque Dregar arriva, le colosse affichait un large sourire heureux - « Oh... Bonjour maître... Dregar... Ha... Y'a aussi Dragan... Là juste derrière... Vous avez besoin... De Jean... Pour la Guilde ?.. Des travaux de force ?.. Jean est là pour ça... » - Ce n'était pas la première fois que la guilde faisait appel à lui. Il épaulait le géant des marais qui finalement grâce à lui avait été épargné. Jean était plutôt content que cette rencontre se soit terminée par une entente. Le géant des marais travaillait pour la guilde à présent et il était mieux accepté par les autres. Jean aimait bien venir l'aider lorsque sa force colossale était requise. Bien-sûr le géant était bien plus fort que lui mais parfois seul certains ouvrages sont beaucoup plus difficile. Par contre c'était bien la première fois que Dregar venait en personne le chercher. Plutôt étrange...
12po pour la corne d'abondance en argent large comme 2 ongles et 12po d'avance (environ ¼ du prix) pour le pendentif. Shait tu me diras si ça te va ?
Hop 24po retirés de la besace de JeanModifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:39:11(UTC)
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Dregar Dregar se recula un peu se mettant volontairement en retrait tout en profitant pour examiner les différents articles proposés par l'orfèvre. Il se rappela que lui aussi devait se préparer pour les futurs jours à venir. Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:50:30(UTC)
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Localisation : Charente Aquatique (17)
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Jean Aussitôt le colosse devint empressé et alarmiste - « Oh... Il y a des problèmes !.. Alors allons-y... Il faudra passer à la ferme... Que je prenne... Mes armes... »Jean rangea soigneusement la broche en forme de corne d'abondance en argent dans son étui et le rangea dans sa poche bien à l'abri et en sécurité. Il ne voulait pas perdre un si précieux cadeau pour Sylvia. Toutefois il ne pouvait laisser Ursion ainsi et il attendit que le prêtre en eut fini avec les transactions pour ouvrir la porte et laisser le vent glacé pénétrer. Ursion devait aussi probablement aller à l'église chercher ses affaires... Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:39:25(UTC)
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Localisation : Rennes (35)
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Dragan Arth En voyant Dregar entrer dans la boutique, un léger sourire éclaira le visage habituellement impassible de Dragan. Ce qui restait de la petite troupe qui avait mis un terme à la triste existence du tourmenteur se trouvait à nouveau réunie au grand complet. Mais les derniers mots du magicien mirent rapidement un terme à la joie du rôdeur. « La guilde à besoin d'aide ? Et moi qui pensait que Pointesable en avait fini avec tous ses tourments... Je vais finir par me demander si j'ai bien fais de faire s'installer Donnfhlaidh et Círdan ici... Que se passe-t-il exactement Dregar ? »Modifié par un modérateur vendredi 12 juillet 2013 07:57:16(UTC)
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