Copier collé des descriptions des salles G, F, et H pour Kaiser :

G : la grotteLa grotte mène vers une porte au nord qui connecte vraisemblablement avec la salle à l'est de celle des poissons. Il y a une fissure dans la roche à l'est par laquelle il semble impossible de se faufiler à moins d'un mécanisme caché. Enfin, au sud il y a un passage qui mène à des fosses.

F :Le laboratoireVous pénétrez dans une salle rectangulaire dont les murs creusés avec précaution et précision dans la roche contrastent avec le reste des catacombes. On a même pris le temps de décorer cette pièce avec de somptueuse tentures datant de la colonisation (connaissance : folklore ou histoire pour plus d'info). Deux tables en bois réglè à hauteur de halfling trônent au milieu de la pièce.

La première est plutôt simple à décrire tant il n'y a rien d'autre de remarquable que cinq marques de griffures sur les deux côtés les plus longs et deux marques de couteau sur un des côtés le plus court... ah si ! Il y a un livre négligemment posé en plein milieu. Le côté des pages est taché de noir comme si le lecteur avec eu la mauvaise idée de tourner les pages après un passage salissant aux sanitaires. La seconde table est bien plus intéressante ! C'est cette table que l'habitant a choisi pour inscrire en cercle, à la craie, et à même le bois une série de runes mystérieuse (connaissance : mystère pour plus d'info). Une tache de sang séché permet de s'imaginer tout et son contraire ; elle dessine une silhouette humaine au milieu du cercle. Le sang semble carbonisé par endroit un peu comme si la créature qui a apposé sa marque sur la table avait été disloquée sur place pendant des heures et sans se débattre.

Un peu plus loin, une étagère se cache dans un coin encore plus sombre que le reste de la pièce pourtant plongée dans une obscurité relative en attendant Anrel. L'étagère est encore fermée et l'humble conteur que je suis ne vous fera pas l'insulte de vous expliquer ce qu'est une étagère en bois à deux tiroirs fermés surtout qu'il y a beaucoup plus intéressant au dessus de la dite étagère. A savoir une collection d'aiguille fort complète accompagnée d'une collection non moins impressionnante de fils de toutes les tailles et de toutes les résistance mais malheureusement pas de toutes les couleurs. A croire que vivre calfeutré dans l'obscurité retire tout sens de l'esthétique.

Mais continuons avec les rangements, je parle bien sûr de ces trois jarres en terre cuite qui suintent d'un liquide bleu fluorescent. L'une d'entre elle contient de petites pièces de chaires couvertes de circonvolution non sans rappeller celles dont sont affublés les oreilles de Quaïs ; toute une jarre quand même, quelqu'un doit réellement haïr les elfes dans cette cité ! Une autre jarre est remplie de cerveau en tout genre à croire que le propriétaire des lieux adorent les circonvolutions. Et la dernière contient ce que vous espérer vraiment être des tranches de lard bien que ça ne soit certainement pas ça. Toutes ces "pièces détachées" si on peut les qualifier comme telles baignent dans une solution azure qui a le mérite de couvrir le fumet délicat de la viande purulente. Bonne appétit bien sûr.

Pour finir, il y a deux portes, une en bois au nord et une en fer au sud.


H : La salle des spécimensCette nouvelle salle aux deux tables révèles des secrets pire encore que les pièces précédents. Plusieurs réservoirs cylindrique d'eau bleu sont classés méticuleusement par taille sur les tables. Les plus grands contiennent des vréatures écailleuses qui nagent en cercle dans leurs aquariums.

Ces anguilles étranges disparaissent et réapparaissent à la faveur de l'eau trouble. La soudaine apparition du bretteur les fascinent et ils se mettent à s’immobiliser et à scruter le moindre de ses mouvement comme une troupe de jeune fille en fleure scruterait les gestes d'un beau chevalier étincelant. L'un d'entre eux se retrousse la lèvre supérieure pour réveiller une rangée de dent carnassières qu'il lèche avec une langue pale comme pour nettoyer sa dentition en préparation d'un bon repas.Les plus petits contiennent au contraires des rats immobiles avec des yeux injectés de sang. Ils ont les quatre pattes en l'air, totalement rigides et atrophiées. Ils flottent à la surface dans des postures moribondes qui évoquent les cadavres non-lestés qui remonte du Jeggare quelques jours après une opération d'envergure de la société céruléenne. Les rats ne portent aucune marque de violence et leurs yeux rouges sangs indiqueraient qu'ils ne sont pas mort de noyade.

On a posé une coupelle sanguinolente en bout de table qui contient des dés d'une viande que vous n'arriver à identifier formellement. La salle est reliée par une porte en bois à une autre salle à l'est.