Grim avait encore une fois permis à Astrid de gagner une once de confiance et elle annonça de sa voix la plus enjouée possible : « Fijas et moi viendrons avec vous demain. A nous de raviver la mémoire de nos ancêtres ! »

En prononçant ces mots, elle savait pertinemment que les chances de retrouver des indices sur sa lignée étaient bien faibles. Cependant, Grim répondait présent et elle n'imaginait pas encore le quitter. Elle se délesta enfin du sac contenant son petit saurien, le libérant ainsi de son entrave de cuir. Puis elle attrapa un morceau de gras traînant sur l'une des table et l'envoya à l'animal. D'un coup sec et précis, celui-ci happa le met puis se lécha les babines.

L'histoire des enfants disparus trottait dans l'esprit d'Astrid. Un des client avait parlé d'un "sombre mage local". La curiosité de la naine avait été piqué à vif lorsqu'elle avait entendu ces termes. Qui était cet homme? Quels pouvoirs avait-il? Etait-il accepté par le village ? Elle se dirigea vers un groupe de clients et les interrompit cordialement : « Excuser moi de vous importuner mais j'ai ouïe dire que des enfants étaient portés disparus. Savez vous depuis combien de temps? Connaissez vous le mage dont on a kidnappé la descendance ? »

• Jet de diplomatie : 1d20-1 donne [5] - 1 = 4

Modifié par un modérateur jeudi 27 février 2014 10:03:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Hé bien voilà une bonne façon de finir la journée ! Les ennuis semblait loin avec une bière en main ! Branak brandit la sienne et lança à la cantonade : « Au royaumes nains ! A notre quête ! Et à cette soirée ! »

Il cru entendre la jeune naine posé une question et on lui répondit mais il n'y prêta pas attention. Sa tête était déjà remplie de cavernes, de dangers épiques et de découvertes fabuleuses...

Le barde trinqua avec ceux qui le voulait bien avant de boire sa bière à grande goulée. Dans son clan, il était reconnu pour sa résistance à l'alcool alors ici il devait être légendaire ! Il se retourna ensuite vers ses compagnons : « Et bien il semblerait que notre but nous a été offert sur un plateau d'argent ! Mangeons et buvons ! Et que les dieux nous aident dans nos épreuves ! »

Modifié par un modérateur jeudi 27 février 2014 13:53:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

Grim suivait du coin de l’œil les évolutions d'Astrid dans la foule. Il était toujours prêt à lui venir en aide si jamais quelques mains un peu trop baladeuses ou insistantes venaient à l'ennuyer ou encore quelqu'un venait à l'importuner outre mesure, ce qui entre nains ne devaient pas avoir lieu. Mais à Nid de Faucon, les nains n'étaient pas à l'abri des mauvaises manières et à priori certains avaient emprunté un chemin peu recommandable comme ceux qui avaient enlevé ces enfants, si on en croyait la rumeur que colportait le nain interpellé par Branak et que la jeune Astrid était venu interroger ensuite. Elle revint sans encombres, mais sommes toutes ennuyée et en toute confiance lui fit part de ses tourments. Toujours souriant, il posa la main sur l'épaule d'Astrid et lui fit un petit signe de tête affirmatif avant de prendre la parole de sa voix calme et apaisante, ni trop bas pour avoir besoin de lui chuchoter dans l'oreille, ni trop fort afin de ne pas perturber ce moment de libation que l'annonce avait générée.

« Ne t'inquiètes pas, je suis sûr que ça va bien se passer. Torag a voulu que notre route nous conduise à Jernashall. Demain dès l'aube nous seront devant la porte de la forge de Dorna et elle pourra nous dire ce qu'il en est de cette histoire aussi. Je crois comprendre que des nains mal intentionnés se sont rendus coupables d'enlèvements, si on en crois les dires. Mais ces même rumeurs parlent aussi d'un groupe de nains, menés par Algrim et Borodek Pied-sûr, ainsi que le propre fils de Dorna, ils se sont mis en marche pour retrouver les renégats et les enfants. Je crois que nous devons leur faire confiance. Mais tu as raison, demain matin, nous poserons la question à Dorna. Qui mieux qu'elle pour être le plus au fait de cette histoire ? Est-ce que cela te convient ? »

A peine le cortège parti, que les discussions entre les nains reprirent de plus belle un peu partout dans l'auberge, chacun se félicitant de la bonne nouvelle mais quelques secondes après, les congratulations, les chants, et autres "vas-y on trinque", laissèrent place à des discussions plus sérieuses sur la difficulté de la tâche à accomplir et même pour les plus pessimistes sur sa faisabilité.

Il y avait un autre groupe de nains qui se trouvait dans un autre coin de l'auberge qui s'était porté volontaire pour affronter les dangers de l'Ombreterre. Ceux là ne semblaient pas se connaître de longue date comme Branak, Grimvat, Astrid et même Dovvet et faisaient connaissance. Ils nains étaient eux aussi en pleine discussion depuis un moment et chacun faisait sans doute part aux autres de ses connaissances ou son expérience sur le sujet.

Dans l'auberge du Canard assis, les nains les moins fortunés ou les plus sérieux quittaient déjà la taverne mais il en restait encore une bonne quarantaine. Les anciens pensaient eux aussi à partir comme ils se sentaient fatigués ou peut-être moins concernés par ce grand départ qui s'annonçait même si on en entendait certain qui se voyait bien finir le vie dans les montagnes où ils étaient nés. Ces derniers départs laissèrent deux tabourets et même un banc de quoi faire en sorte que les nains s'installent plus confortablement, profite pleinement de la chaleur de l'auberge et du repas qu'amenait la serveuse à grand renfort de : « Chaud devant !!! »

On déposa à leur table un repas consistant qui était le brouet du jour appelé Brouet de chou, fèves et saucisse. Branak avait bien œuvré, c'était la première fois que les nains allaient manger de la viande depuis qu'ils étaient arrivés à Nid-du-Faucon, si on ajoutait à cela les fèves voilà qui serait assez consistant pour des nains comme eux, le tout était parfumé au vin blanc. Si ce n'était pas le plat de l'année et si on était loin des odeurs de l'odeur du cochon de laie que l'on pouvait sentir de temps à autre pour le petit groupe de nains cela paraitrait sans doute délicieux. Pour le batracien et reptilien ce serai une autre affaire mais ils se délecteraient tout de même de la saucisse même si elle était cuite. Sur la table la serveuse avait déposé également un pichet d'eau très fraîche et une miche de pain dorée.

Modifié par un utilisateur vendredi 28 février 2014 08:29:18(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ah à manger ! Voilà qui était parfait ! Branak écouta la prière et remercia ses ancêtres silencieusement et ses maîtres pour son art qui rassasiait ses amis. Puis il écouta ce que dit le prêtre et se dit que c'était le bon moment pour en parler il rassembla ses souvenirs sur cette période de l'histoire naine afin d'en faire un récit détaillé.

• Jet de connaissance Histoire : 1d20+8 donne [16] + 8 = 24

Modifié par un modérateur vendredi 28 février 2014 20:05:41(UTC)  | Raison: Erreur dans le code du lancé

Astrid, bercée par le ronronnement de Fijas et le ventre se remplissant, commençait à somnoler. Elle écoutait cependant ses compagnons d'une oreille distraite, prête à intervenir et à compléter leurs dires avec ses connaissances ésotériques et avec son savoir sur les êtres sombres, redoutés ou étranges plus ou moins notables qui avaient marqués l'histoire de la montagne des cinq rois.

Elle avait passé des heures dans les bibliothèques du Druma à consigner et à chercher toutes informations possibles sur les phénomènes inexpliqués de la région.

• Histoire : 1d20+7 donne [20] + 7 = 27
• Mystères : 1d20+7 donne [6] + 7 = 13
• Plans : 1d20+7 donne [20] + 7 = 27

Modifié par un modérateur vendredi 28 février 2014 20:04:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

Pour Dovvet le domaine d'expertise était la religion à son grand désarroi il avait du étudier les livres pendant sa jeunesse devant parfois laisser ses armes mais c'était il y a longtemps et ce n'était pas ce qui lui plaisait le plus et il ne put pas apporter beaucoup d'élément sur le sujet. Heureusement le barde avait beaucoup à raconter, il savait que suite à ce qu'on appelait la Déchirure et l'éruption du volcan Torag qui sera rebaptisé plus tard Creuset de Droskar, la puissance des nains c'était étiolée, le dernier grand empire c'était effondré et pour couronner le tout ce qui restait de pouvoir était tombé au mains d'une théocratie fidèle à Droskar le plus sombre des dieux nains avec à sa tête Ordrik le régicide du roi Garbold, ce qui avait créé une exode massive des nains surtout au Druma et en Andoran. Si cette théocratie n'était plus maintenant, les cités naines des Cinq Rois n'avaient plus le prestige et la puissance d'autrefois.

Branak essayait aussi de se souvenir de ce qu'il avait pu apprendre en terme de contes, de chansons de geste et autre saga sur les cités naines. Le but à la base était de retrouver le chemin menant à Jandershall la grandiose capitale qu'avaient voulu les rois de Tar Khardum descendants de Khadon le puissant qui avait repoussé les orques des montagnes, il savait qu'à la surface Raséri Kanton était une ville ouverte au commerce et à tous même à l'Isger et au Chéliax. Jamais le rayonnement d'une ville naine n'avait été aussi important. Les tremblements de terre et l'explosion du volcan avaient fait que les ponts titanesques qui reliaient l'ancienne capitale des Cinq Rois avaient été détruits et la ville c'était retrouvée isolée. Ceux qui n'avaient pas fui avaient du périr dans les flammes noires. On savait maintenant que des morts-vivants hantaient la région. La cité la plus proche Taggoret empêchait les âmes en peine qui arrivaient à traverser les failles de progresser plus au nord dans les montagnes. Du coup, ces dernières se répandaient plus au sud dans la forêt pour s'attaquer aux explorateurs, aux chasseurs aventuriers de Sombrelune et même aux fées.

Sous terre, la lave avait bouché toutes les issues et la menace d'une nouvelle explosion du creuset de Droskar faisait qu'on y était jamais retourné et après tant d'années qui sait ce qui avait pu se passer dans les anciens couloirs de l'ancienne capitale. Si en surface il y avait des morts qui marchent, il y avait de grandes chances qu'on en retrouve à Jernashall sans compter tout ce qui avait pu remonter des profondeurs comme aberrations pour s'y installer et échapper à d'autres prédateurs. En Ombreterre c'était autre chose, les nains n'étaient plus descendus depuis longtemps de ce côté, il n'y avait pas de raison. Tout pouvait se passer maintenant, les orques du nord avaient pu trouver des chemins. Le Kyonin n'étant pas loin, la jalousie des elfes noirs faisait qu'ils pouvaient être tout proches, de même pour les duergars avec les anciennes cités naines. On disait aussi que les profondeurs de la terre menaient aux enfers... Quant aux dangers naturels Igmar savait que comme partout tout pouvait être à la fois attrayant comme dangereux, on y trouvait des mousses et des champignons et des richesses minérales variées qui feraient sans doute son bonheur lorsqu'elles ne seraient pas toxiques.

Astrid avait des souvenirs plus précis, elle savait également que les Noirmarteaux étaient le dernier clan à avoir régné après 500 ans de déclin. Talhirk Noirmarteaux dit l’Industrieux voulait donner à tous les nains la capacité de s'enrichir grâce à un dur labeur cherchant à ré-insuffler l’esprit et l’éthique du genre nain à son peuple tombé dans l'apathie et la paresse. Mais se faisant il n'avait pas vu qu'il ouvrait la porte des cités naines à des nains qui trop zélés se tournèrent peu à peu vers des doctrines qui n'étaient plus celles de Torag le Père de la Création mais de son ancien et meilleur disciple Droskar qui avait été maudit et chassé du panthéon pour avoir favorisé l'esclavagisme pour le travail...

Très vite on enseigna sa doctrine : l’implication dans une tâche était la condition du succès et que ceux qui échouaient n’avaient pas du faire assez d’efforts. Le dieu prit de l'importance et ses temples et ses églises sortirent de terre un peu partout. A la mort de Talhirk des luttes intestines éclatèrent pour prendre le pouvoir. Son fils Garbold devint roi en choisissant de s'allier aux disciples du Dieu Sombre pour assurer son pouvoir et l'influence des prêtres de Droskar devint partout présente. Ordrik un cousin du roi et haut prêtre de Droskar devint son premier conseiller. Pour être cohérent avec la doctrine de son dieu, il a fait sienne la maxime "La fin justifie les moyens", que ces moyens soient le mensonge, la tricherie, l’exploitation des autres ou pire encore le crime. Il envoûta Garbold pour en faire une marionnette et fini par l'assassiner lorsque le culte fut suffisamment présent partout dans les Cinq Rois pour installer une théocratie. Ainsi Ordrik devînt le régicide qu'avait évoqué Dorna.

Les heures passèrent, les nains et le grippli qui allaient collaborer ensembles, se nourrissaient de discutions, sur l'Histoire, sur leur passé commun ou pas dans les Cinq Rois, sur leur désirs, leurs illusions et leurs futurs exploits. Ils partagèrent des tactiques de combats, des expériences passées et ce qu'ils pourraient apporter au groupe. La salle commune se vida progressivement, les serveuses commençaient à ranger, à débarrasser et à nettoyer...

Modifié par un utilisateur samedi 1 mars 2014 09:03:34(UTC)  | Raison: Non indiquée

Toutes ces histoires fascinaient toujours autant Grimvat. Il les écoutait avec une attention et un plaisir évident et était toujours demandeur de plus d'histoires encore sur les nains. En cela il avait rencontré des personnes qui étaient de véritables puits de savoirs entre Astrid et Branak, sans oublier Dovvet qui connaissait les dieux et leurs panthéons, Igmar qui maitrisait l'alchimie tous et enfin Ankelsvinn dont les connaissances de survie et des milieux naturels étaient primordiales ces derniers temps. Que savait-il lui, alors qu'il approchait le siècle d'existence... Il savait forger les armes et les armures, mais c'était un art pas une connaissance.

A la fin de la soirée, il remercia ses compagnons pour toutes les connaissances qu'ils avaient bien voulu partager et s'excusa de nombreuses fois de ne pas pouvoir les aider dans ce domaine. La gêne était évidente et dans ces occasions là il ne se sentait pas aussi nain qu'eux. Malgré tout il afficha un sourire non feint lorsque Dovvet annonça partir pour ses appartements. Il lui souhaita bonne nuit - « Oui il va falloir être les premiers devant la porte de Dorna. D'autant plus qu'à priori nous avons de la concurrence... Ou peut-être des alliés. Ces nains là ne se connaissent à priori pas depuis longtemps, mais semblent vouloir tenter l'aventure en Outreterre aussi. Pensez-vous que ce serait mieux d'allier nos forces et nos compétences ? Plus on est nombreux, plus on a de chances de réussir non ? »

Il y avait encore une vingtaine de nains dans la salle si la moitié d'entre eux étaient sur le départ après avoir dépensé certainement un peu plus que de raison en alcool. D'autres qui n'étaient sans doute pas du cru local et qui n'avait pas assez d'argent pour se payer une chambre. Allaient contre quelques pincettes monnayer de dormir dans la salle commune avec leur propre couchage. L'aubergiste alla chercher également des paillasses c'était presque une douzaine de nains qui allaient dormir ici cette nuit dont certainement l'autre groupe de nains qui avait accepté la dangereuse mission. L'un d'entre eux était en grande discussion avec le tenancier et était certainement parvenu à un accord. Ce dernier sortit de dessous de son comptoir plusieurs objets qui avaient été abîmés...

Le verre était assez rare et ceux qui savaient le façonner étaient des artisans qui faisaient payer assez cher leur création même les plus basiques et les bouteilles en verre étaient recyclées et ceux qui en détenaient y faisaient attention comme à la prunelle de leurs yeux. L'aubergiste du Canard assis en avait plusieurs de fendues, tout comme des gobelets en terre cuites de même il avait quelque choppes en étain déformées, d'autres récipients à boire faits dans de la corne fissurés, à cela on pouvait rajouté de la vaisselle ébréchée. En quelques secondes, l'homme édenté sortit toute une batterie de cuisine qui n'était plus trop utilisé et qui faisaient défaut à son établissement. Le nain incanta un sort qui fit s'illuminer une bouteille qui s'en trouva réparer quelques secondes plus tard.

Il s'adressa à une serveuse un peu plus mûre qui aurait pu être sa femme. « Germaine on a un mage ! Il va nous réparer pas mal de choses emmènes le en cuisine et puis après à l'étage ! Amène aussi ce qui reste du brouet... avec du pain... c'est une aubaine que vous soyez là, je n'avais pas compris qu'elles étaient vos talents. Il est bien évident que j'offrirai une grande pinte de bière à chacun de vos amis. »

Sans mot dire Ank avait lui aussi pensé à ce qu'ils allaient de voir affronter, l'hiver avec la neige et le froid il faudrait près d'une journée et demi pour arriver à la lisière de la forêt de Sombrelune à l'allure d'un nain. Il faudrait trouver son chemin dans le bois et là c'était son affaire, il faudrait certainement contourner la rivière qui y coulait et atteindre les premières failles dans le sol, ici le relief était perturbé par les contreforts des montagnes et il faudrait encore trois jours pour arriver au pied du creuset de Droskar le fameux volcan qui avait détruit Raséri Kanton et Jernashall et après mystère. Combien de temps leur faudrait-il pour trouver le chemin viable vers l'Ombreterre ? Cela restait un mystère.

Ensuite tout se compliquerait le gripli savait que tout était différent sous terre et cela était de plus en plus flagrant. Déjà le groupe ne seraient plus tributaires des conditions météorologiques. Plus on descendait la température se réchaufferait lentement à mesure qu'on descendait. On partirait certainement d'une température à la limite du gel pour atteindre une température estivale passé les 1000 mètres de profondeur. Il fallait imaginer des grottes de glace près de la surface et des poches de lave en Ombreterre.

Dessous les différentes civilisations accueillaient des créatures étranges et Ankelsvinn redoutait par-dessous ces grandes araignées intelligentes capables de communiquer que l'on nommait Skis'Ral. Enfin quelque chose comme ça ! Qui remontaient parfois à la surface. Toutes les créatures étaient plus fortes sous terre et avaient du s'adapter à de rudes conditions de vie. En effet il n'y avait pas de plantes, d'herbes ou d'arbre, donc pas de bois, pas de fruits, ni de légumes. Pour la viande c'était pareil pas de mammifères, pas de lait ni de fromage. Le nains allaient souffrir ! Par contre il y avait des lézards, des serpents, des insectes, des champignons et des mousses parfois mais le poison était un moyen de défense autant pour la faune et la flore locale. Pour l'eau, il n'y avait pas de manque, ça coulait de partout, infiltrations, rivières souterraines quelque fois des lacs plus ou moins grands et là on peut t trouver à manger mais il ne faut pas avoir peur de manger d'étranges poissons inconnus à la surface.

Quand à la progression elle était anarchique, c'était comme gravir une montagne mais là il fallait descendre. Bref il allait falloir s'équiper en conséquence et avoir la capacité de s'aménager des zones de conforts pour pouvoir récupérer d'un voyage qui s'annonçait compliqué.