Méliac visa le Wyverne devant lui et banda son arc. Ce dernier en profita pour lui asséner un coup de chaîne cloutée que le guerrier esquiva. La flèche se ficha profondément dans l'abdomen de l'homme qui grimaça et grogna, visiblement bien atteint. « Un seul à la fois, tous sur le demi-orc ! » hurla Randalan. Le rufian blessé par Méliac se dirigea alors vers Dorguth, monta sur un sarcophage, fit tournoyer son arme et la balança sur le guerrier. Son attaque, mal ajustée, passa bien au-dessus de la tête de son adversaire.
A côté, le chef des Wyvernes leva son fouet au-dessus de sa tête et d'un coup sec le fit s'enrouler autour de l'arme de Dorguth puis lui arracha des mains. Il se recula ensuite derrière ses hommes (l'arme de Dorguth est à terre dans sa case).
Pendant ce temps, l'Almsman se faufila derrière Randalan et se dirigea vers Siha. De là, il incanta un sortilège et apposa sa main sur la jeteuse de sort qui vit une bonne partie de ses blessures se refermer.

Modifié par un utilisateur mardi 15 décembre 2015 21:28:00(UTC)  | Raison: Non indiquée

Mon opposant git par terre. La voie est libre pour moi et je constate que Dorguth est désarmé face à 2 adversaires. Je profite de l'instant pour avancer devant moi et frapper le Wyverne qui fait écran entre le chef et moi. Déplacement en E9 et je frappe celui qui est en E8.

Modifié par un utilisateur mercredi 16 décembre 2015 21:31:50(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le feu profane de Siha ayant eu raison du chef fanfaron, Helam se concentra sur l'un des bandits mal en point.

Déplacement en H11. Tir sur Wyverne3.

• Arbalète légère : 1d20+3 donne [20] + 3 = 23
• Dégâts : 1d8 donne [6] = 6
• Dégâts critique supplémentaire : 1d8 donne [1] = 1

Modifié par un utilisateur jeudi 17 décembre 2015 08:37:51(UTC)  | Raison: critique

Helam se déplaça vers la droite de la crypte et fit feu sur l'un des Wyvernes. Le carreau se planta d'un coup sec dans l'épaule de l'homme qui, déjà sérieusement blessé, s'écroula sans un mot. Pendant ce temps, Dorguth dégaina son cimeterre et s'avança vers le rufian en face de lui. Son attaque faillit réussir mais son adversaire se recula au dernier moment et la lame ne fit qu'érafler son armure de cuir. Voyant la situation, le dernier Wyverne en état de combattre jeta sa chaîne cloutée par terre et leva les mains en signe de reddition.

Je laisse l'init au cas où Méliac veut continuer, sinon le combat est fini

L'elfe à la peau sombre fit basculer son arbalète sur son épaule. Le sol du sanctuaire était maculé de sang, et les blessés agonisaient lentement. « Stabilisez ceux qui peuvent l'être, ils pourront ensuite être confiés à la garde j'imagine. » Dit-il en regardant l'Almsman. Puis désignant l'ulfe il ajouta « Celui-ci vous rapportera peut-être même une petite récompense qui sait ? »

Je viens de réaliser que le combat est fini. je souffle et prend conscience des risque que j'ai pris.
Ma prochaine prière pour Néthys sera plus longue que les précédentes
Je regarde autour de moi, il ne reste que 2 Wyvernes debouts, 3 gisent dans des mares de sang au sol. Mes compagnons sont tous vivants et l'Almsman est indemne.
Je m'approche des Wyvernes survivants et exige qu'ils s'agenouillent les mains dans le dos. Lorsque c'est fait, je leurs ligote les mains dans le dos.
Je me retourne enfin vers ceux qui gisent inconscients ou morts, et je me penche sur eux afin de définir leur état vital.

Modifié par un utilisateur samedi 19 décembre 2015 14:39:25(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'Almsman ne fit aucun mouvement pour stabiliser ou soigner les Wyvernes agonisant. « Je préfère ne pas mêler la garde à tout ça, » dit-il, « sinon ils risquent de découvrir mon identité et l'existence de cet endroit secret. Mais, si vous le souhaitez, rien ne vous empêche de les livrer vous-même en racontant que vous les avez combattu dans une autre partie des égouts. Effectivement, il se peut qu'une récompense soit offerte pour la capture de Randalan. Quoi qu'il en soit, s'ils ne sont pas morts, je préférerais bien sur les savoir à l'ombre pour quelques temps même si la correction qu'ils ont reçue les fera réfléchir à deux fois avant de revenir dans les parages.  »

« En tout cas, merci sincèrement pour votre aide, » poursuivit-il. « Je savais bien que je pouvais vous faire confiance. Si, comme moi, vous avez besoin de soins, je peux encore prier Abadar et invoquer son énergie divine. »

Les Wyvernes inconscients étaient tous encore vivants, y compris Randalan. L'un d'eux était aux portes de la mort cependant et s'il n'était pas stabilisé ou soigné très rapidement, il y passerait.

Les truands survivants se laissèrent ligoter et fouiller non sans réticence. Outre leur chaîne cloutée, ils avaient sur eux une armure de cuir et une bourse avec une dizaine de pièces d'or. Randalan lui possédait un fouet de qualité supérieure (de maître), une armure de cuir cloutée magique, trois flasques d'acide et une bourse avec vingt pièces d'or.

Modifié par un utilisateur lundi 21 décembre 2015 10:55:36(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dorguth n'avait que faire de savoir qui était mort et qui ne l'était pas. Tout comme il se fichait de savoir si ce Randalan allait ou non se venger de ce prêtre. Après tout, son groupe n'avait rien à voir avec les autorités locales et leur mission n'englobait en rien l'arrestation de ces brigands. Si on ajoutait à cela que, quoi qu'il advienne, un autre groupe aurait tôt fait de remplacer celui-ci...

L'orque n'en fit pas cas, laissant cet Almsman leur déballer ce qu'il savait. Il attendrait de s'être éloigner pour en faire part à ses compagnons.

« Oui, nous avons rempli notre part du marché, à vous maintenant ! On vous écoute. »

Le guerrier, toujours incertain sur la relation entre cet homme et le pseudo prince, resta concentré sur ses paroles, cherchant à deviner ce que ce dernier pourrait omettre.

"Ce fut un plaisir de vous aider même si j'ai craint un instant que cela tourne mal." Méliac ne fut pas particulièrement surpris d'entendre parler d'un excès de consommation de champignons hallucinogènes. Cette histoire sentait l'eau de boudin depuis le début...

L'Almsman réfléchit un instant. « Ma foi non, » répondit-il, « je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais rencontré autre chose que des rats, des insectes ou des serpents. »