La caravane s'arreta. Lorsque l'homme expliquat ses désirs, Juan ramena doucement ses jambes à lui avant de se redresser. Il était le plus silencieux possible. Il s'approcha à pas de loup de la sortie du chariot et se camouflant, tenta de surprendre le maximum de ces fameux bandits. Il sortit son arme évasé et eu un petit sourire. Il y avait moyen de faire une trés mauvaise blague à l'archer...



+1 en discretion si nous somme en collines

Modifié par un utilisateur vendredi 23 décembre 2016 13:18:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le pluie était toujours battante quand ce poltron me dit de fuir pour qu'il puisse se servir dans la caravane. Si il y a bien une chose que j'ai apprise pendant ma jeunesse, c'est qu'une barbare ne fuit jamais. Hugo réagit plus vite que moi. Je le laisse finir, et serre mon arme à deux mains en répondant à l'homme.

«  Je ne parais pas forte, je SUIS forte. Comme tu le vois, je ne suis pas seule, mais j'aurai pu me débarasser d'un maigrichon pleutre comme toi d'une main. Rendez vous, toi et tes complices, ou tu souffriras comme jamais tu n'as souffert. »

• Intimidation : 1d20+6 donne [15] + 6 = 21

Tout le monde s'afférait à leur manière pour les préparatifs de la bataille qui, à moins d'un coup du destin, s'annonçait imminente. Juan tenta une approche furtive, Hugo rejoignait la barbare, s'approchant vers le bandit visible, et Crysania, elle, empoignait verbalement les cou...rages du malfrat à visage découvert et peut être de ses comparses dispersés en embuscade.

Toute ses perceptions à plein régime, Timothee sut repérer chacun des bandits qui pointaient leur arc sur Crysania. Et a ce moment il dut décider entre le cri du caribou ou de la loutre adulte pour alerter sa compagne de route qui allait ressembler incessement sous peu à un pelote d'aiguilles. Mais dans le doute, supposant que la barbare n'interpréterait pas les 7 stries aiguës de la loutre pour signifier le danger ni le Bram du caribou pour indiquer les positions, le druide cria directement et distinctement les indications à la barbare.

Bien heureux lui en fasse car les dés étaient jetés et au vu de la tension ambiante, la voix grave du druide incantant sortit de sous la bâche de la caravane tandis que flèches et magie s'apprétaient à être tirés, sang et liquide couler; Mort venir.

Lance nchevêtrement, je n'aurais accès à la BM que tard ce soir, Tim immobilise qui ça arrange le mieux mais surtout le plus de personnes possibles.

Hugo voulut se lever lorsqu'il vit que Tim allait utiliser de la gnôle pour soigner ses blessures mais celui-ci n'en eu cure et procéda malgré tout aux soins.
« C'est gentil mais c'est quand même un sacré gâchis, tout ce bon alcool rependu ainsi. Enfin si c'est ce que tu as trouvé pour te faire pardonner de cette foutu végétation et d'avoir lancé les hostilités en pleine négociation j'accepte. » dit-il magnanime.
Désignant le chef de la bande de brigands il lui dit: « Va voir si tu peux encore le sauver, afin de l'interroger, sinon on se contentera des deux sous-fifre restant. »
« Ca va James? Pas eu trop peur?  »demanda-t-il à l'agent de l'empire qui était resté bien planqué au fond de la caravane.

Une fois la végétation revenue au calme par les soins du druide, Juan s'empressa de remettre en état son arme. Nettoyage, resserrage d'une vis qui s'était défaite, calibrage léger et surtout, fine douche à l'eau pour refroidir le canon ardent. Il prit ensuite bien soin de sécher l'arme afin d'éviter rouille et surtout humidité. Il s'occupa ensuite de sa plaie, tachant de la panser avec un morceau de tissu en attendant de trouver mieux.

Il partit ensuite en quête de corde pour s'assurer de l'immobilité de leurs prisonniers, corde qu'il trouva chez Hugo. Alors qu'il les fouillait Jet de perception pour armes dissimulées et qu'il les attachaient, il passa devant celui qui l'avait blessé. Il le regarda sans animosité et quand il fut lié, lui donna une tape amical à l'épaule. « Jolie coup mon gars. Je sais pas où t'as appris à te servir d'une épée comme ça mais en tout cas, tu la manie à merveille. » dit il devant son regard surpris. Pourquoi se montrer aussi amical envers celui qui avait failli vous trancher un poumon ? Juan s’expliquât avec un demi sourire. « On avait un désaccord, on l'a réglé. Je devait protéger ce convoi, tu devais le voler. On a réglé le problème, il y a un gagnant et un perdant. Je comprend pas pourquoi on devrait encore s'en vouloir. Tiens, fait voir la blessure que je t'ai fait à la jambe. »

Il s'approcha et jeta un œil à la plaie. « Mouais, ça m'a pas l'air trop profond. Je m'y connais pas vraiment en premiers soins alors quand tu croisera un gars qui s'y connais, tu lui dira d'entailler légèrement la plaie et de retirer la balle avec une pince à bouts rond. Ensuite, un simple bandage suffira. Maintenant, excuse moi mais j'ai à faire. »

Il rechargea discrètement son arme, y glissant une petite dose de poudre noir. Alors, il attendit la fin des soins du noble pour s'approcher de lui par derrière et lui taper l'épaule. Lorsque ce dernier se retourna, Juan brandit son arme, l’œil déterminé, canon contre le noble front. Une seconde interminable passa. Il appuya sur la détente. Une grande explosion retentit dans la forêt. Des oiseaux s'envolèrent.

«  Ça, c'est pour ton tour de passe passe. J'aime pas qu'on me mette de l'herbe dans les pieds pour m’empêcher de bouger. La prochaine fois, je mettrait peut être une balle avec la poudre et crois moi, ça fera bien plus mal qu'une simple douleur dans les tympans. »

Il laissa Tim en plan, surpris pour aller réunir le matériel des bandits. Bien sur, il avait tiré à blanc, il n'allait pas tuer le noble. Mais cette frayeur lui servirait peux être de leçon.

Modifié par un utilisateur jeudi 26 janvier 2017 17:12:02(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les bandits portent tous exactement le même équipement : Une épée longue, un arc, un carquois avec 20 flèches et une armure de cuir. Tout l'équipement semble neuf, à part quelques éraflures, les armures sont intactes, le fil des épées est encore frais et la pointe des flèches encore brillante. Juan examine les alentours mais à part les bandits et ce qu'ils transportaient, il n'y a rien

Hugo ne releva pas la remarque de noble sur sa "grande efficacité qui leur avait sauvé la vie." Il était une fois de plus pédant et le moment serait venue de lui faire fermer son clapet.
Il préféra regarder la barbare, le souffle rauque, la respiration haletante, sa poitrine se gonflait abondement à chaque goulée d'air, tandis que d'innocentes goutes de sueur coulaient entre ce qui aurait fait le plaisir de plus d'un homme.
La détonation le tira de ses pensées grivoises pour s'entendre comparer en terme de virilité avec Snirff, il utilisa sa propre queue pour faire un petit signe à ce dernier, accompagné d'un clin d’œil qui se voulait complice et non prometteur d'un rapprochement caudale.
« Bon maintenant que nous savons qui a les plus grosses ici, je vais aller interroger ce qui reste de ces piètres détrousseurs.
Crys si tu as encore besoin de soin après le passage de Tim n'hésite pas à demander. »

S'accroupissant face aux prisonniers il les regarda droit dans les yeux, ses yeux serpentesque ayant un quelque-chose d'hypnotisant.
« Bien messieurs, je compte sur votre coopération, je ne voudrais pas que l'un de mes compagnons prennent l'envie de vous torturer pour que nous ayons réponses à nos questions.  »
Plantant une dague en face de chaque brigand pour apporter du poids à ses propos il continua:
« Étiez vous informé de notre passage ou attendiez vous en espérant un quelconque passage? Si vous attendiez notre convois qui vous a informé de son passage? » Commença-t-il en préambule.
Il écouta calmement les réponses avant de continuer ses investigations.
Sortant de sa poche un des avis de recherches il le montra aux prisonnier:
« Connaissez-vous ces gus là et savez vous où les trouver? »