Cersei savoura le vin comme il se devait, appréciant l'effort de Wahlmina et s'interrogeant sur les coutumes de son lieu d'origine.
Sous sa nouvelle apparence, elle regardait le long tunnel jusqu'à ce qu'ils entendirent les gardes au dessus.


«  je peux envoyer mon rat, ou, mieux, m'éloigner, lui confier un de mes sorts, et les étourdir quand il entrera dans la pièce sans qu'on n'entend d'incantation. Il faudra après vite neutraliser les gardes présents si on fait ainsi. »

Karselyne fit marche arrière


«  Non ça n'ira pas, je vais essayer autre chose, attendez qu'ils soient tous descendus, regroupez vous à côté de moi. »
Karselyne commença par s'éclaircir la voix prenant une voix d'homme sortant d'un son imaginaire, avant de faire apparaître une copie de Lord Havelyn. Elle ouvrait d'un coup sec la trappe avant de faire monter le capitaine


«  Soldats, le sol s'est dérobé dans la pièce où j'étais, venez m'aider des serviteurs sont coincés sous les débris. J'espère que ce ne sont pas les nains ... »
avant de leur faire signe de descendre et de lentement redescendre.

son imaginaire puis image silencieuse. Une fois qu'ils sont descendus, je casse la concentration, l'illusion reste deux rounds de pls, je fais un pas de placement et j'utilise couleurs dansantes, DD 19

Modifié par un utilisateur mercredi 25 janvier 2017 13:11:40(UTC)  | Raison: Non indiquée

Walhmina venait tout juste de penser qu'en jouant les demoiselles en détresse, elle pourrait attirer les gardes que Karselyne la devança...de manière beaucoup plus efficace que tout ce qu'elle aurait pu trouver elle même! Clairement, les talents de l'illusioniste étaient extrêmement utiles.
Malheureusement, son second sortilège n'avait pas aussi bien marché, mais ils avaient l'avantage de la surprise. Dès que l'illusion se fit entendre, elle posa un doigt sur le bouchon d'une des outres d'eau qui ne la quittait jamais...
Un geyser dansant frappa l'un des deux gardes qui étaient encore conscient, mais la précipitation gêna sa précision...

Modifié par un utilisateur mercredi 25 janvier 2017 21:52:53(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'eau heurta l'armure sans parvenir à la faire plier, tandis qu'Eudonius envoya un formidable coup dans la mâchoire du garde. Le garde répliqua à son tour d'un coup de poing mais il était bien moins adroit qu'Eudonis avec ce style de combat, il envoya un violent coup de pied frontal en pleine gueule, déboîtant la mâchoire inférieur alors que son cou se brisait par la même occasion. Alors que le garde heurtait le sol, l'autre fut plus prudent et frappa du plat de sa lame, heurtant le visage d'Eudonius

« Attention Seigneur, ils sont possédés! »

Modifié par un utilisateur jeudi 26 janvier 2017 15:56:00(UTC)  | Raison: Non indiquée

C'est au cœur de la mêlée qu'Eudonius trouvait sa véritable place. Il reporta son attention sur le garde faisant face à Karselyne Garde3 tout en faisant écran de son corps pour protéger Whalmina.



La BM

Le garde évita la boule avec un réflexe de soldat, esquivant le jet d'eau par la même occasion, il tente de placer un coup d'épée en s'avançant à Karselyne mais rata lamentablement.

« Ah chienne! » dit il de rage alors qu'Eudonius en profita pour lui briser les reins alors qu'il passait devant lui, d'un violent coup de genou.

Modifié par un utilisateur vendredi 27 janvier 2017 14:58:51(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le garde fut disloqué, rejoignant ses compagnons au sol. Le dernier d'entre eux resta là alors que Wahlmina lui brisait la nuque d'un jet d'eau. L'image du seigneur se désagrégeait alors que Walhmina ouvrit la trappe pour voir à l'étage sous la vigilance d'Eudonius et Karselyne. Rien au leur. À l'étage encore au dessus, deux gardes se marraient en se racontant des histoires grivoises. À celui où ils avaient tuer les gardes, aucun bruit aux alentours, là où le couloir menait aux différentes chambres des capitaines.

Modifié par un utilisateur samedi 28 janvier 2017 15:35:03(UTC)  | Raison: Non indiquée

Walhmina redescendit de son perchoir.
« Bon, on dirait qu'on a pas fait sonner l'alerte. Dans l'immédiat, il faudrait qu'on se débarasse des corps, le souterrain me paraît la meilleure idée pour ça, et prendre leur apparence pour aller et venir tranquillement. Ensuite, je pense qu'on devrait profiter du calme relatif pour visiter le fort, et s'assurer que nous avons toutes les infos dont nous avons besoin. Une fois que ce sera fait, on pourra s'occuper des lettres. Ca vous paraît bien? »

Les trois soldats se promenèrent autant que possible, prenant des risques mesurés et payants. Certains zones semblaient trop incertaines pour s'y aventurer. Les patrouilles fixent étaient des duos, et par chance pour eux, ils étaient trois, ce qui leur permit de visiter bon nombre de lieux sans attirer de soupçons.

Commençant par l'étage où était l'armurerie, ils se promenèrent en portant une partie des outils dont ils avaient besoin pour l'armurerie afin de légitimer leur voyage, ils purent ainsi :
-trouver les quartiers du capitaine Mott où avait eu lieu le repas( 6)
-trouver les quartiers du capitaine Eddarly ( 5)
-trouver les quartiers du capitaine Barhold (3)
-trouver les quartiers du capitaine Varning (4)
Les chambres n'étaient pas verrouillées, sauf celle du capitaine Varning, absent (pour longtemps). Il n'y avait pas de garde, le seul moyen de passer en dehors du passage secret était par l'autre côté de la porte qui menait à la grande allée, où se trouver deux gardes, ou en venant de l'armurerie, qui demandait de passer par ce même lieu, ou par les deux gardes à l'étage, le lieu n'était donc pas davantage sécurisé.
-ainsi que les latrines, leur permettant de se soulager en (7) et d'y déverser dans le vide le contenu par un levier et une trappe.
On avait ensuite dans le grand hall qui reliait tout six à huit gardes et servants, qui vaquaient à diverses occupations. On pouvait voir passer à peu près tout le monde à différents moments de la journée.
Comme l'avait décrit le rat de Karselyne, on trouvait un lieu de stockage et cellier (13), une cuisine (10), un garde-manger pour le frais (11) et un réfectoire (12).

De l'autre côté du hall, on trouvait la salle de repos (9) et ces ronflements provoqués par des gardes obligés à dormir dans des lits partagés entre chaque poste. Une trentaine de lits étant là, et chacun en finissant son temps de sommeil faisait le lit pour le suivant. Les gardes ne semblaient pas avoir le sommeil léger vu le vacarme. On pouvait voir quelques servant qui venaient changer des draps. La pièce à côté était fermée, comme tout le maigre quartier des acolytes, et qui menait à l'église.

De l'autre côté du pont (18), il était difficile d'approcher car quatre nains étaient occupés avec le Lord, le Magister et quatre gardes, en grande discussion, regardant la rangée de pierre au dessus d'eux et ses mécanismes de défense.

C'était l'occasion rêvée pour vite aller au Fort central, à l'étage. repassant par l'armurerie, ils arrivèrent à la salle des bannières (32), allant vite vers le Fort, où les deux gardes les saluèrent chaleureusement, précisant que le Lord n'était pas là. À l'intérieur (31), la salle était peu meublée, mais avait le minimum pour permettre au Lord d'accueillir des visiteurs du haut de son siège royal. Au fond à droite l'escalier les amena jusqu'au hall d'honneur (34) avec le nom des soldats morts au fort, environ deux cents, où deux gardes et nains discutaient des gravure. À gauche, des cellules vides (35), comme la chambre de torture (37) qui n'était plus utilisée. Derrière le quatuor, on pouvait apercevoir un énorme rocher, qui devait pouvoir se placer pour bloquer l'accès à cet étage et ceux du dessus pour ceux d'en bas, si deux hommes forts la faisait rouler. entre les deux pièces vides, ils prirent l'escalier (36) pour arriver à l'étage où deux gardes purent les prévenir que le Magister n'était pas là, comme le Lord, leur demandant "vous allez voir la catapulte pour les ingénieurs nains?". Les deux portes derrière eux étaient pour le laboratoire (40) et la chambre (41) du Magister, alors que les gardes leur expliquait comme il était détestable et faisait monter tous ces repas pour le laboratoire où il était toujours fourré.
À l'étage, deux gardes (44) regardaient avec suspicion le trio, leur confirmant l'absence du Lord, et les obligeant à se diriger par l'échelle vers le ciel, où, au dernier étage, en plein air, ils se retrouvèrent seuls avec une grande catapulte, et une vue imprenable sur le fort. Le Lord et le Magister discutaient toujours avec les nains et soldats au loin, ils décidèrent donc de redescendre pour partir avant que les habitants de la tour ne reviennent et les croisent.

Retournant vers la salle des drapeaux, où les bannières étaient assez grandes pour cacher quelqu'un, ils montèrent à l'étage du dessus, les gardes semblaient s'en moquer, et avec raison : ils arrivèrent dans la salle des carquois et flèches stockés (38), leur présence était donc toute justifiée. Des milliers de flèches et dizaines de carquois étaient ici, sans rien d'autre. Au dessus, avant même d'y être, ils le savaient, le sentaient tant l'odeur de fiente était forte : le lieu de vie des corbeaux et de Martin le Fou était au dessus d'eux. (43)

Modifié par un utilisateur lundi 30 janvier 2017 14:40:39(UTC)  | Raison: Non indiquée