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La remarque de Roelia avait fait sourire le jeune homme. « Nous verrons une fois arrivés. Mais il faut rester concentré et vigilant. Si on ne fait pas attention, on a vite fait de marcher sur une branche sèche ou de louper un détail précieux. Et peut être en échange pourrez-vous m'apprendre quelques trucs »Quant à la remarque du noble, aussi blessante fut-elle, il savait qu'elle était fondée. La jeune fille aux cheveux bleus était inconstante et avait l'esprit vagabond. Aussi discrète qu'un sanglier en pleine charge. Mais son sourire était désarmant. Et quitte à lui apprendre quelques rudiments, peut être pourrait-il en intéresser d'autres, qui eux seraient plus aptes à le suppléer dans sa tâche.
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Les chariots s’ébranlèrent sur la rive de la Vive et la troupe sous l’égide du fils de Shaus ne quitta plus la route qui la menait à son objectif premier. Le temps fut clément durant les jours qui suivirent, à la fois frais et sec, baigné par la bonté de Drom. Après quatre jours de route, ils croisèrent enfin les vallons boisés (au sud-est de cette carte). La fatigue du voyage commençait à se faire sentir, mais l’espoir d’arriver à destination fut ravivé lorsqu’Arthémus leur affirma qu’il n’en avait au plus que pour six ou sept heures de marche. Ils firent halte aux abords du lac du pêcheur pour y passer la dernière nuit avant d’arriver à bon port. Arthemus conseilla de se diriger vers le gué du marais, car cette route était plus courte pour eux, ce à quoi acquiesça Maekar. Le noble espérait arriver rapidement au filon, car tant de choses restaient à faire. Ils coupèrent donc à travers la plaine et lâchèrent la vive environ une heure, avant de la recroiser à l’embouchure de Longlac. Sous le coup de midi, ils atteignirent le Gué du marais et y firent halte pour se nourrir. faites un jet de « Survie » et un jet de « Perception »
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- Perception : 1d20+2 donne [19] + 2 = 21
- Survie : 1d20+4 donne [11] + 4 = 15
La route n'était plus longue d'après Arthémus. Heureusement. Guilhem se sentait fatigué de ce long voyage. Mais cela avait du bon sous certains points. Sachant qu'il était un des rares aptes au combat du groupe il en était devenu plus concentré sur sa tâche, plus vigilant. Il espérait que cette vigilance n'était pas émoussée par la route. En chemin, il avait parfois conversé avec la volubile Roelia, pipelette intarissable mais avide de savoir, et plus rarement avec les autres. Lucille, la plus jeune, semblait mal à l'aise en présence des autres. Les plus renfrognés sont souvent les plus faibles se dit-il en s'approchant d'elle « Je t'ai vu chasser le rongeur l'autre nuit. Tu fais ça depuis longtemps ? »Modifié par un utilisateur lundi 2 avril 2012 16:48:13(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Rang : Sage d'honneur
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- Survie : 1d20+1 donne [17] + 1 = 18
- Perception : 1d20+1 donne [16] + 1 = 17
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Localisation : Château de Véretz
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Maekar profita de la halte pour se dégourdir les jambes. Loués soient les dieux, leur périple touchait bientôt à sa fin. Mais ce ne serait pas pour autant la fin du calvaire... Quand la seigneurie tournerait, il pourrait souffler... - Perception : 1d20 donne [7] = 7
- Survie : 1d20 donne [8] = 8
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Rang : Sage d'honneur
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 Roélia Pommeroug Roélia profita de la petite pause, pour aller à une position légèrement élevé au centre du groupe. « Mes amis, nous sommes bientôt au but de notre voyage et je pense que nous devrions monter notre communauté sur le savoir et la connaissance. Je vous propose donc de faire des exercices de groupes pour apprendre les langues étrangères, les mathématiques, la chimie et l'alchimie. Je pense que les résistances des matériaux, les efforts contraires et l'ingénierie ne sera pas pour le moment, mais si quelqu'un veut en apprendre plus je suis ouvertes à vous l'apprendre. C'est pour cela que je demande à notre cher seigneur, qui peux aussi avoir des cours, cela ne lui fera pas de mal, de diviser le temps en 5 parties et qu'une d'entre elle soit disponibles au cours, à la pratique et à la théorie. Il a était prouvé qu'une communauté composée à plus de 77% de personnes sachant raisonner et ayant une bonne culture, survivent en milieu difficile pendant 6,43 fois plus de temps à difficulté égale. Merci de m'avoir écouté. »Roélia retourna s'asseoir sur une petite buche pour continuer à manger.
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Maekar se tourna vers la paysanne aux cheveux bleus. Il ne releva pas l'insulte mais le chevalier en prit toutefois bonne note. Inutile de se demander pourquoi est-ce que sa famille nous l'a refilée...Le seigneur eu un sourire en coin en songeant qu'à part elle, l'ensemble des serfs ne savaient ni lire, ni écrire. Alors leur apprendre les langues étrangères... Non vraiment, elle était trop déconnectée de la réalité pour pouvoir lui être d'un vrai soutien. Sans compter la façon qu'elle avait de s'adresser à lui... Si elle continuait ainsi, il faudrait prendre des mesures radicales... Il ne pouvait pas se permettre de perdre le respect de ses hommes... Pas quand ils allaient se retrouver en petit comité pendant une durée inconnue... Bien trop longue en tout cas. Il grommela en prenant une gamelle pleine d'un brouet indescriptible que lui tendait Arthemus, remerciant toutefois le mineur d'un signe de tête. Il touilla un moment la bouillie de céréales avant d'en avaler une cuillerée. L'épaisse purée avait un goût indescriptible. Sans parler de sa consistance... « Merde... » lâcha-t-il presque malgré lui en songeant que cela allait leur servir de repas quotidien pendant un moment. Si pour les serfs ce plat constituait un repas ordinaire, il s'approchait plutôt d'une punition pour un jeune noble comme lui. Maekar maudit intérieurement son père et son frère qui devaient sans doute se régaler en ce moment de cygnes, de paons ou même de sangliers... Le tout arrosé de vins et de bières... Merde ! Merde ! Merde !!!Une colère sourde, glacée, commençait à pointer en lui. Le jeune seigneur engloutit rapidement le contenu de son écuelle, tâchant de faire abstraction du goût, avant de se lever. Tournant le dos au campement, il se dirigea vers les arbres au bord de la berge. Il fallait qu'il se vide l'esprit... Qu'il se calme... Il donna un grand coup de pied dans un caillou, l'envoyant voler au dessus du lac avant que finalement ce dernier ne disparaisse dans l'eau dans un "floc" sonore. Modifié par un utilisateur lundi 2 avril 2012 23:27:06(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Roélia Pommeroug Roélia mangea assez rapidement et regarda le noble pendant quelques instants. Il avait l'air tendu et n'avait pas eu de réaction enthousiaste à l'annonce du message de la jeune fille. Peut être qu'il avait simplement besoin de parler et qu'il ne se sentait pas à sa place avec les gens du peuple. Roélia se leva donc et s'approcha le plus discrètement possible du jeune noble. - Discrétion pour s'approcher du noble sans qu'il entende : 1d20+1 donne [11] + 1 = 12
- Diplomatie pour être sûr que les paroles soient bien prises par le noble : 1d20+4 donne [8] + 4 = 12
Elle avait dit ça en s'approchant tout en restant à une distance raisonnable pour ne pas que le noble pense qu'elle veuille s'approcher plus. « Je pense que nous allons faire de grandes choses tous ensemble et qu'un jour vous serez autant fier de nous, que ce que nous avons comme estime pour vous. »
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Alors qu’elle parlait, Roélia se pencha sur la gauche, regardant derrière le noble tout en continuant à parler comme si rien ne pouvait l’arrêter. « Dites, vous avez vu là? », ajouta-t-elle le plus naturellement du monde à la fin de sa phrase. Un détail avait attiré son attention au sommet de la petite butte qui bordait le gué : il semblait y avoir là-haut un rond de pierre pour faire un feu, le reste d’un campement, mais aussi divers débris.
Voir la Battlemap. Les débris sont en B12. Antoine, Arthemus et Gildor sont à l’extérieur de la carte, sur la droite (Est).
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Maekar se tourna en entendant la jeune fille. Quand cette dernière fit mention de son courage à prendre la direction de l'expédition, le chevalier eu un ricanement désabusé. « Parce que tu crois que l'on m'a laissé le choix ?? Non... Mon père ne m'a même pas demandé mon avis... Seigneur qu'il m'a dit que je serais... Seigneur de quoi ? Seigneur de rien. Il m'a envoyé ici pour crever de faim et de froid en votre compagnie, sur ces terres qui ne sont même pas les siennes... »Le jeune noble faisait visiblement des efforts pour ne pas exploser de colère mais parvint à se contenir. « Quant à la fiancée, je peux faire une croix dessus. Je n'ai ni terres ni richesses, rien qui attirerait une épouse... Sans parler de nos conditions de vie des années futures... »Il regarda la jeune femme dans les yeux. « Combien de temps penses-tu qu'il va nous falloir pour s'établir ? Pour fonder une seigneurie digne de ce nom ?? Dix ans ? Vingt ans ?? Plus ?? Toi qui semble adorer les chiffres, dis-moi ! » poursuivit-il, envoyant au passage une nouvelle pierre dans le lac. « Et tout cela, à condition que les troupes govaniennes ne nous tuent pas... » commença-t-il à dire avant que Roélia remarqua quelque chose derrière lui. Interrompant sa phrase, Maekar se tourna en direction de ce que la jeune femme avait repéré. Poussant un soupir, le seigneur ferma un instant les yeux. Bon... Pas la peine de parler... Un rien la distrait... pensa-t-il en se pinçant l'arrête du nez. Le chevalier fit la moue avant de reprendre la parole. « Bien... Allons voir ce dont il s'agit... » fit-il en faisant demi-tour, se dirigeant en direction du point repéré. Modifié par un utilisateur mardi 3 avril 2012 23:49:32(UTC)
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Je me répète, mais je perd des minutes par paquets de 10, à chaque fois que je prend le temps de lire et écrire sur ce forum. D'une façon générale, je suis décidé à changer d'ordinateur, car je crise. Ca va se faire sans doute d'ici 2 semaines, maximumÉcrit à l'origine par : Oraz  Lucille, la plus jeune, semblait mal à l'aise en présence des autres. Les plus renfrognés sont souvent les plus faibles se dit-il en s'approchant d'elle
« Je t'ai vu chasser le rongeur l'autre nuit. Tu fais ça depuis longtemps ? » (Heu... je considère que la discussion a lieu durant le dernier repas du voyage.)Lucie est enthousiasmé par cette question, et elle sourie. « Oui, je chasse souvent... Enfin, souvent des rongeurs, car au village s'était ce qui était le plus utile et le plus facile à chasser. Je t'ai observé, tu es un vrai chasseur, toi. Mes parents sont de simple paysants, alors je n'ai jamais participé à une vraie chasse... » Lucie a un rejret dans la voie. « Tiens, j'ai grillé se rat en brochette, et j'ai cuit ses musaraignes sur une pierre plate. » Lucie tend à Guilhem un long pique où un gros rat nettoyé et écorché fume. Elle tiens de l'autre main, un lot de musaraigne par la queue. Note : Le rat se mange plus ou moins comme une brochette, et les musaraignes ainsi cuites se mangent un peu comme des nemes, enfin, j'imagine...« Tu en veux ? » demanda-t-elle à Guihlem. - teste de perception (pour savoir si je vois ce qu'à vu Roélia, ou si j'ai vu que Roélia et Maekar ont vu quelque chose) : 1d20+2 donne [16] + 2 = 18
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Attrapant la brochette, Guilhem sourit de toute ses dents. « Pourquoi pas ! » Enfin il avait réussi à la dérider. Son sourire disparut en mordant dans la chair. Filandreux, sans goût et dur comme du bois. Enfin, pas la peine de faire son difficile. Après tout, le rat est ce qu'on risque de manger si la zone n'est pas assez giboyeuse Afin de masquer sa moue a la jeune fille, et surtout de ne pas la décourager, il ajouta « Le vrai chasseur, c'est celui qui ramène quelque chose. Rat ou sanglier. Et on sera ravi d'avoir une chasseuse de rat en hiver, quand le gibier est plus rare »Tournant la tête vers le noble, son air jovial se renfrogna... celui là allait nous faire son précieux dépressif pendant combien de temps encore ? pas un mot pour ses serfs, toujours dans son coin, mais attends un peu que je lui ramène un chevreuil, ça sera le premier à sauter dessus. Le voyant s'élancer à l'assaut d'une colline en compagnie de Roelia, il se releva. « ces deux là on l'air d'avoir vu quelque chose... on y va ? »
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Rang : Sage d'honneur
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Roélia Pommeroug Roélia accompagna le noble par rapport à ce qu'elle avait vu, elle profita de la route pour répondre aux dernières phrases de Maekar. « Même si vous êtes forcés d'être en notre compagnie, nous pouvons passer les prochaines années dans une entente parfaite et ça ne changera rien à votre statue. Je pense que nous devrions mettre 44 jours pour mettre en place les bases de la ville, 215 jours pour avoir un début de confort et 4017 jours pour avoir un bourg digne de ce nom. Bien entendu tout cela avec une marge d'erreur de 12%. »Tout en marchant elle remit ses cheveux en place et pris une voie encore plus douce. « Pour la fiancée, je dirai que seule celle qui verra ce qu'il y a en vous, tout en ignorant vos biens et titres, fera une bien meilleure compagne que celle qui sera la, car vous aurez des terres. Enfin je pense que vous méritez une femme qui vous aime et je souhaite ça à chacun d'entre nous. »
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Lucie hocha la tête. Elle avait aussi aperçu les débris et était curieuse de savoir ce que c’était. Elle et Guilhem rejoignirent donc Maekar, qui arrivait sur les lieux.
Sur la butte se trouvait l’emplacement d’un feu. Une tente éventrée était étendue au sol et des morceaux de bois traînaient ça et là. Maekar aperçut une épée courte à ses pieds, puis, sur sa droite, un sac à dos ouvert (en E7, sur la Battlemap)dont les sangles étaient déchirées.
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Maekar répondit à la dernière remarque de la jeune fille.
« Pour vous peut-être. Et c'est d'ailleurs tout le mal que je te souhaite Réolia... Mais en ce qui me concerne, je suis sensé faire un mariage politique... »
Le noble haussa les épaules en poursuivant sa route.
« Mais bon... Tu as peut-être raison... Le fait de me retrouver ici me dispensera peut-être de ce genre d'union... Il ne peut pas y avoir que des désavantages à être ici... »
Arrivé au niveau du campement, le chevalier mit un genoux à terre pour examiner ce qui se trouvait au sol.
Ramassant l'épée, le jeune homme examina l'arme.
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L’épée était de bonne facture, très bonne même. À en juger par sa garde, ce devait être une arme astrienne. Elle était un peu plus effilée qu’une épée courte ordinaire, mais étonnamment un peu plus lourde, quoique bien balancée.
Parmi les autres débris, Lucie repéra des vêtements déchirés. Certains étaient tachés de sang. De sous la toile de la tente, une armure de cuir de taille humaine dépassait. Il y avait aussi deux sacs contenant de la nourriture moisie et un bâton de marche, droit et solide.
Roélia, pensive, remarqua d’étranges traces sur le sol qui allait en direction du sac à dos : un objet lourd semblait avoir été traîné. Elle se prit évidemment à penser que ce devait être un corps.
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« Hum... Une bonne arme... » dit Maekar à lui même.
Se tournant vers Réolia, le jeune seigneur demanda.
« Que penses-tu de ça ? Un voyageur qui se serait fait attaquer pendant son sommeil ? »
Réfléchissant à voix haute, le jeune homme poursuivit.
« Seuls les nobles et les gens de guerre ont le droit de porter des armes... Quoique dans cette région, il n'a y pas vraiment de lois... Mais cette épée est bien trop belle pour avoir appartenue à un brigand... ou à un simple soldat... »
Maekar réfléchissait à toute allure.
« Il ne portait pas son armure... Il devait donc se reposer quand il a été attaqué... Bien qu'il manque sa bourse, ses agresseurs ont laissé cette arme de prix... Et je doute qu'une bête affamée ai laissé pourrir de la nourriture... »
Le noble se redressa, le front barré par un pli soucieux.
Avisant Guilhem et Lucie qui s'approchaient des restes du campement, le chevalier fit signe au jeune homme.
« Peux-tu jeter un oeil à ça, Guilhem ? Qu'est ce qui a pu faire ça ?? Des brigands ? Une bête sauvage ?? » lui demanda-t-il alors qu'il glissait l'arme qu'il venait de ramasser dans sa ceinture.
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Localisation : Montréal
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Tu peux aussi faire un jet d'estimation sur l'arme... mon oubli lors du post
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Rang : Habitué
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Localisation : Château de Véretz
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- Estimation : 1d20 donne [4] = 4
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Inscrit le : 24/06/2011(UTC)
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Lucie ramassa le bâton de marche, car elle n'avait pris aucune arme, et elle se sentait soudainement démunie. Après s'être baissé, machinalement elle fouilla dans le sac à dos. Y-avait-il des trucs récupérables ? Elle pensait notamment à une dague, car plus le temps passait plus elle pensait que cela lui manquait. Et puis au fait, y-a-il des marques de rongeurs dans le sac : troues, crottes... qui pourraient permettre de dater depuis combien de temps le sac traîne ainsi au sol ? - teste de fouille : 1d20+2 donne [7] + 2 = 9
- teste de survie : 1d20+7 donne [13] + 7 = 20
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