Orphilas se concentra à nouveau pour libérer plus d'énergie, le halo lumineux déjà engendré s'amplifia pour atteindre une luminosité quasi aveuglante. Les zombis arrêtèrent de se battre comme hypnotisés par l'énergie purificatrice et vengeresse d'Iomédaé ! Les restes de peau des mort-vivants se détachèrent pour tomber en cendres, brûlés par la force divine du prêtre, les os se disloquèrent brûlant eux aussi pour rebondir sur le sol en de nombreux cliquetis...

Dans le même temps Méliandre enfonçait profondément son épée dans le corps de son adversaire. Ce combat était terminé, les aventuriers avaient une nouvelle fois vaincu ! Seul Cornio restait inanimé sur le sol mais Qualindra qui possédait une potion pourrait bien entendu s'occuper de lui pour le ranimer...

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Modifié par un utilisateur vendredi 15 février 2013 07:29:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orphilas était vidé, blessé, et l'adrénaline du combat retombait.

«  Oh, Corniau ... Avélin désolé je suis vidé de toute énergie » dit Ophilias en s'agenouillant à coté du pauvre animal, il sortit sa trousse de premier secours et tentant de stabiliser le chien.

• Premier Secours : 1d20+6+2 donne [16] + 6 + 2 = 24

Bido se mit à genou et laissa couler quelques larmes, la fatigue, les blessures et son esprit, fit qu'il ne put les retenir. Il se releva et se dirigea vers le nain et son chien puis s'adressa à l'ensorceleuse.

« Dame Qualindra, vous reste t'il une potion de soin ? Nous ne pouvons pas laisser ce brave Cornio mourir ici après ce qui l'a fait pour nous aider !! »

Le jeune acrobate se mit de nouveau à genou prêt du chien et passa sa main sur sa tête. « Tiens le coup ! Nous allons te sortir de là !!  »

Modifié par un utilisateur dimanche 17 février 2013 12:56:48(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliandre hocha la tête.

« Ca va. Je serais prêt à remettre ça tout de suite si il le fallait. » répondit-il avec un petit sourire en coin alors qu'il rajustait son écu.

« Nous avons nettoyé cette partie là du complexe... » fit-il en indiquant l'endroit d'où venait le groupe.

« Si il reste du monde, ils viendront de par là. » Il acheva sa phrase tout en pointant du bout de son épée l'endroit d'où les zombies et la monstruosité gobelinoïde étaient venus.

« Reposez-vous, soufflez un coup. Je vais me poster là-bas pendant ce temps. » Dit le chevalier en se dirigeant vers la porte par laquelle avaient surgis les monstres.

Modifié par un modérateur lundi 18 février 2013 10:58:02(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orphilas jeta un œil reconnaissant à l'adresse de l'elfe, puis se tourna vers son compagnon Méliandre.

« Pour moi, Méliandre, ce n'est vraiment pas le cas, j'ai de multiples griffures profondes, et je suis bien fatigué. L'énergie divine, à laquelle je peux faire appel, est infime voir inexistante maintenant. Je ne sais pas quelle heure de la journée il est, mais si je m'écoutais, je m'effondrerais sur place et dormirais jusqu'à demain matin, pour être baigné par la lumière radieuse de Iomédaé.

Si nous avons à faire à une aussi forte partie que cette fois, je ne pourrais d'être quasiment d'aucune aide, et je crois qu'Avélin est dans un aussi mauvais état que moi ou presque.

Il serait sage de se poser et de reprendre des forces... à moins qu'une ou deux autres potions de soins traînent dans vos besaces... »

Modifié par un modérateur lundi 18 février 2013 14:57:38(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le chevalier n'entendit rien du tout apparemment pour les combats c'en était fini pour le moment mais il lui était encore difficile de dire combien il y avait de salles et de monstres potentiellement dangereux susceptibles de venir les attaquer à la première occasion. Rester trop longtemps au même endroit était aussi dangereux que ne pas bouger. Les monstres qui avaient investit l'antique complexe pouvaient se rassembler et converger vers eux, vers le lieux où ils avaient entendus les cris de leurs congénères. Certains étaient lents comme les zombis, s'ils pouvaient être facilement évité lorsqu'ils étaient peu nombreux ce ne serait pas le cas s'ils étaient plus d'une dizaine.

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Modifié par un utilisateur lundi 18 février 2013 18:15:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

Avélin était touché par le désir de ses compagnon à vouloir garder son compagnon en vie ainsi que pour le sacrifice consenti de la précieuse potion de soin, et malgré la tragique mais honorable destinée.
« Merci. »

Il prit son chien à bras. Puis il répondit à la proposition de l'éclaireur du groupe.
« Oui, trouvons une issue et filons d'ici. »
Espérons quee Cornio tienne le coup jusqu' à récupération de mes pouvoirs...

Tout le monde était d'accord pour laisser partir Bido devant, il ne fallut pas longtemps pour se mettre en route. Bien sur il lui fallait de la lumière, il avait le choix entre entre la bille de fronde qu'Avélin avait lancé et la torche dansante de Qualindra. Il ne savait pas combien de temps il partirait et les autres pouvaient recréer de la lumière. Il alla ramasser cette dernière, repartit sur la plate forme branlante et avança dans l'inconnu. Le bois grinçant fit place une nouvelle fois aux dalles de pierre. Une peur indicible étreignit au ventre le halfelin, il était seul ! Il avança avec prudence conscient que la lumière dont il avait besoin pouvait le faire repérer...

Après une petite dizaine de mètres, il arriva dans une salle carrée avec deux issues dont les portes de pierre ouvertes ne lui poseraient pas de problèmes pour les franchir. Il y avait beaucoup de métal ici ! Tout était rouillé bien sur et inutilisé depuis longtemps. Il valait mieux d'ailleurs on était ici dans une salle de torture, il y avait de tout une vierge de fer, des chaînes qui pendaient du plafond, une table de vivisection en pierre en forme d'étoile, une cage, des pinces, des crochets et d'autres objets à fourrer dans des orifices naturels que l'acrobate préféra ignorer tellement cela faisait froid dans le dos. Apparemment il n'y avait aucun danger ici. Les traces des monstres devaient venir de la porte d'en face. Sur la droite la porte menait à une toute petite salle peut-être un bureau mais il ne restait que des vestiges de bois pourri et avec l'humidité sans doute des parchemins qui n'étaient plus que des bouillies. Il y avait trois nouvelles portes de pierre sur lesquelles étaient gravés des étoiles à sept branche dans ce bureau qui menaient chacune à des espaces de rangements. Là aussi à première vue, il n'y avait rien.

Il alla voir la dernière porte elle menait à un long escalier descendant. Il voyait quasiment le bas dans la pénombre. Les autres pouvaient au moins approcher jusqu'ici sans craindre quoi que ce soit ! Il alla les chercher.

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Modifié par un utilisateur mardi 19 février 2013 11:06:03(UTC)  | Raison: Non indiquée

Arrivant dans la salle de torture la jeune elfe avait un peu plus serré la main de son chevalier. cette salle est monstrueuse.

La magicienne fit léviter sa torche au dessus d’eux. « J’avoue qu’un peu de repos ne pourrais pas nous faire de mal mai pas ici, cherchons plutôt un endroit moins humide. Et au pire, on pourra faire des tours de garde. »

La belle elfe s’approcha des l’oreille de son fiancé et lui murmura a travers son heaume : « Mon amour, tu es un valeureux chevalier, mais même les lus valeureux ont besoin de repos. En plus mon cœur, ton doux visage me manque ainsi que d’être dans tes bras, malgré ton armure je m’y sentirais bien. » Comme sur la falaise …

Modifié par un modérateur jeudi 21 février 2013 11:20:18(UTC)  | Raison: Non indiquée