Décidément cette femme à l'air de me prendre réellement pour un enfant... Et si... hmm... Qui ne tente rien n'a rien...Durant le déplacement du groupe vers les enfants malades, Ergoh profite d'un moment d'inattention de la tante, pour se faufiler discrètement vers les enfants qui jouent aux billes, en se faisant passé pour un des orphelins.

Modifié par un utilisateur mercredi 12 septembre 2012 16:08:41(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Oh, vous ne buvez manifestement pas qu'un peu. Mais je vous en prie, restons courtois. »

Anna s'approche ensuite des enfants et observe de plus près les conditions de leur traitement. La propreté des draps et de leur tenue, l'état du sol et des lits, les matériaux servant aux soins, l'aération et la lumière dans la pièce, la santé des enfants (mal nourris ? pas lavés ? ...). Elle tente de comprendre le mal dont souffrent les enfants. Sont-ce les mêmes maux pour tous ? Comment ont-ils pu attrapés cela ?

« Dispersons-nous pour parler à ces pauvres gosses. » Elle interroge ensuite un pensionnaire, tandis que le groupe réparti dans la pièce ne permet pas à la vieille mégère de suivre tout le monde, histoire que l'enfant puisse parler librement :
« Alors mon petit, comment t'appelles-tu ? Tu es malade depuis longtemps ? On s'occupe bien de toi ici ? Je suis chargée de faire un rapport sur la directrice, parle sans crainte, il ne t'arrivera rien de mal. Personne ne saura que tu as parlé. »



Je suppose que mon 19 en premiers soins, obtenu sur l'autre fil, est pris en compte maintenant, pour l'analyse de la situation ?

Anna inspecta le dortoir sous le regard sévère de la vieille femme. Tout cela semblait très propre et correct. Quand les Éclaireurs posaient des questions à des enfants, l'ombre de la tante Baltwin était toujours là et nos héros recevaient les réponses d'enfants malades qui souffraient d'un peu tout ce que pouvait souffrir des enfants qui vivaient dans une grande ville de Golarion.

La vieille femme ne laissa pas les héros restaient seul avec les enfants et surtout pas avec Anna qui avait été celle qui avait porté de virulente accusation.

Anna voit la barbare descendre au rez-de-chaussée avec soulagement. Elle se fait alors un plaisir de poursuivre les questions aux malades, laissant tout le temps à Belka de mener son enquête en bas. Bien jouée, l'amie ! Cette mégère semble avoir bien des choses à cacher, des trucs pas nets à éclaircir, c'est évident. Ce n'est peut-être que mon imagination, mais il faut en avoir le cœur net : il s'agit d'enfants, tout de même.

Histoire d'énerver peut-être un peu plus la directrice, ou lui mettre la pression :
« Vous réfutez donc toucher des sacs remplis de pièces lors de vos séances de jeu ? »

« He!! mais vous allez où comme cela?? » La veille femme avait été surprit de voir Belka et Nebrys redescendre sans sa permission et surtout en laissant Ergoh et Anna à l'étage. Elle semblait désorienter entre le fait de suivre, les deux Eclaireurs qui étaient descendu et rester là avec les deux autres.

elle se tourna vers Anna quand elle lui posa encore une fois une question sur un soi-disant versement d'argent. « Je trouve votre comportement intolérable, vous venez chez moi, une pauvre dame qui aide les enfants malades avec plein d'accusation et de calomnie. Il est temps pour vous de prendre congés allons de ce pas rejoindre vos amis qui ont disparu au rez de chaussée. » Le ton était des plus contrariés.

En bas, Belka s'approcha d'un petit groupe d'enfant qui jouez avec des dés et des pions sur le sol même du salon.
Les enfants la regardèrent avec de gros yeux. « C'était vraiment à un animal sauvage la peaux que vous portez madame?  » C'était le garçon qui semblait le moins intimidé par Kellide.
Belka vit Nebrys lui faire une signe de la main. Il commença à fouiller dans les tiroirs, armoires et autres endroits pour chercher des preuves contre la vieille tante Baltwin.

Pas de 20 possible sur le jet de Perception (tire un dé), Belka si elle parle avec les enfants me fait un jet de diplomatie.

Belka fit signe à Nebrys qu'elle allait d'abord voir les enfants et s'approcha d'un groupe de gamins en train de jouer. La Kellide était plus à l'aise pour interroger un prisonnier une dague sous la gorge qu'un groupe de jeunes orphelins et elle ne savait pas trop comment s'y prendre d'autant qu'elle avait l'impression qu'elle leur faisait peur. 

Elle se força à sourire à la remarque du jeune garçon. « Oui, mon gars, c'est une peau de renne, un animal de mon pays. » Elle saisit ensuite une canine de grande taille qui ornait son collier. « Et ça, c'est une dent de lion des cavernes. C'est pour donner de la force et du courage. »

Elle jetta un bref regard à l'étage puis continua. « Et je suis magicienne aussi. Si tu réponds à mes questions, je te ferai un tour de magie, d'accord ? »

Elle attendit la réaction du jeune garçon avant d'enchainer. « Parles-moi de la tante Baltwin. Est-ce qu'elle est gentille avec vous ? »

Modifié par un utilisateur jeudi 20 septembre 2012 19:32:29(UTC)  | Raison: Non indiquée

Belka jeta un nouveau regard vers l'escalier. Ca commençait à barder au-dessus. Ils n'allaient pas tarder à être chassés.

Elle se hâta de poser une autre question, baissant la voix pour ne pas que la vieille femme entende. « Et les médicaments qu'elle reçoit la tante Baltwin, vous savez ce qu'elle en fait ? Elle les donne aux enfants malades, elle les garde pour elle ou bien elle les vend à d'autres personnes ? »

Anna préfère ne rien dire tout de suite, pour ne pas envenimer la situation. Elle reste convaincue que laisser des enfants sous la garde d'une alcoolo avec de fortes suspicions de traffics pas nets est une très mauvaise idée. Son opinion est faite. Elle reste cependant encore cinq bonnes minutes à observer les enfants et leur environnement, la présence des médicaments et des outils, comme elle l'a fait jusqu'à présent. Surtout histoire de gagner du temps.

Puis, après avoir traîné au maximum :
« Désolé que vous l'ayez pris comme cela. C'est en soit un aveu de culpabilité. Bonne journée, madame. »

Elle quitte l'orphelinat et attend dehors ces camarades, elle l'espère, fructueux.

« On a un peu foiré la mission non ? » dit Belka d'un air dépité une fois qu'ils eurent mit un peu de distance entre eux et l'orphelinat. « Il y a des soupçons mais au final, on ne peut pas dire qu'on ait trouvé grand chose. On sait qu'elle boit, qu'elle crie sur les enfants et qu'elle reçoit des sacs d'argent d'on ne sait ou. Ca fait pas beaucoup. Et on s'est fait jeter comme des malpropres » dit-elle avec un regard noir vers la maison de la vieille femme.

« Qu'est-ce qu'on fait, on essaye de retrouver ceux qui lui donnent de l'argent ou on retourne voir la paladine ? »