« Non, je ne les connais pas, mais on en saura plus sur leurs intentions après ça... »

Valeria se tourne vers le demi-orc et l'humain, elle leur fait de geste, consciente qu'on la remarque peu du haut de son mètre et ses 63 centimètres. Elle leur crie :
« Allons donc vous deux ! Ne restez pas tout seul chacun dans votre coin. Vous venez voire l'habitant de cette maison ? »

Modifié par un utilisateur lundi 17 décembre 2012 18:26:57(UTC)  | Raison: Non indiquée

LLoreth était arrivé bien après les autres visiteurs du moment. Il surgit d'une ruelle voisine. Grand échalas, brun aux yeux noirs il portait des vêtements simples et sombres. Visiblement, il ne cherchait pas à se faire remarquer; et ne s'était pas approché ni du groupe, ni du demi-orque. Il semblait jouer nerveusement avec un jeu de carte, les cartes passant d'une main à l'autre assez habilement d'ailleurs, à la manière d'un croupier.

L'interpellation de la jeune fille lui attira un regard noir. Une expression agacée passa dans ses yeux. Il se dirigea sans un mot vers la porte et toqua.

Modifié par un modérateur lundi 17 décembre 2012 19:22:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

Lloreth n'obtint pas de réponse après avoir frappé à la porte. Il décida donc de l'ouvrir et s'engouffra à l'intérieur.
La première chose que l'on remarque en entrant dans cette petite bicoque est une forte odeur de fleurs et d'épices exotiques. La pièce unique de cette maison est légèrement éclairée, la lumière filtrant à travers les rideaux colorés.
Le mur sont tous ornés de tapisseries : l'une représente une créature bipède à pelage noire jonglant avec des cranes humains, une autre montre des anges dansant sur un sommet enneigé, et une dernière affiche une figure encapuchonnée, à moitié fondue dans la brume, tenant une épée enflammée de sa main squelettique.
Plusieurs meubles sont disposés sur les bords de la pièces, tous en bois usé, et plusieurs d'entre eux portent des fumoirs d'encens allumés - sans doute la source des odeurs.
Enfin au centre de la pièce se trouve une large table, sur laquelle est posée un tissu écarlate. Les chaises entourant la table sont hautes et noires - sans doute un bois de qualité.
Un panier en osier trône au centre de cette table, il est recouvert d'un morceau de tissu bleu, et sur ce morceau de tissu, une feuille de parchemin a été déposée. On peut y lire le message suivant :
"Merci d'être venus. J'ai dû m'absenter un court instant. Je vous en prie, faites comme chez vous. Le panier contient du vin et du pain que j'ai spécialement préparée pour vous."

Je considère que Lloreth rentre, et que les autres rentrent aussi, ou au moins, regardent à l'intérieur.

Modifié par un utilisateur lundi 17 décembre 2012 20:06:29(UTC)  | Raison: Non indiquée

La prudence... Maître mot en ce monde, cette humain n'en avais pas fait preuve. Cela semblait énerver la-courte-sur-patte ! Sacré tempérament ! Elle plaisait de plus en plus à Séoth, qui ne put s'empêcher d'esquisser un sourire en la voyant houspiller l'homme.
«  Lady à raison... (chouette surnom !) Prudence est de mise, je propose en effet de ne pas manger cette nourriture... Et pour sauver le bon gout du monde de détruire ces tapisseries !  » il s'esclaffa de sa propre plaisanterie.
Il prit avec politesse le mot des mains de l'humaine et le parcourue à son tour.
Il ronchonna en orque :
«  Maudit humain ! Pourrais être à l'heure dans leurs propre intrigues  »
Séoth commença à fouiller légèrement la pièce
"
A Valeria « Pour répondre à votre question, ces intrigues ne me plaise gère, et l'envie de faire couler le sang me monte de plus en plus... Mais je tacherais de me retenir pour aujourd'hui. »
Au groupe :
«  De quels méfaits le voleur d'enfant vous à offensé ? »

Modifié par un utilisateur lundi 17 décembre 2012 23:01:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Anrel ne pouvait qu'apprécier la prudence de Valéria:
« Lady Mazinas a évidemment raison, ne touchons à cette nourriture sous aucun prétexte. »
Puis, voyant Delisar se servir de vin allègrement, en soupirant :
« Mais après tout c'est vous qui voyez... »

Le paladin se sentait le devoir de répondre au demi-peau verte:
« Sire Séoth, soyez sûr que j'apprécie l'humour mais soyez sûr également que personne ne touchera à de telles tapisserie en ma présence. En ce qui concerne Gaedren, votre "voleur d'enfant" n'est pas que ça : il distille également son poison dans les rues et des âmes innocentes, et parfois très jeunes, en souffrent. Il est de mon devoir que cela cesse. »

En parlant, Anrel étudiait les tapisseries, essayant de les rattacher à des choses qu'il aurait déjà vu ou entendu.
Je ne sais pas quelle connaissance rentre en jeu donc:


Quelquechose dérangeait le paladin dans cette pièce... Pourquoi laisser brûler de l'encens lorsque l'on s'absente ? Il entreprit donc d'éteindre les fumoirs et se dirigea vers la porte d'entrée pour l'entrouvrir:
« Je suis peu être trop méfiant, mais je préférerais garder cette pièce aérée. »

Modifié par un utilisateur lundi 17 décembre 2012 21:40:56(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Bien vu sir Anrel, il serait en effet fâcheux de se faire prendre à un piège aussi grossier. »

Valeria s’assied sur un bord de la table et se tourne vers Dellisar.
« J'ai un frère... enfin j'avais un frère. On l'a retrouvé poignardé dans une ruelle. Je ne sais pas qui l'a tué, mais cette personne lui a dérobé un anneau qui nous venait de notre mère. J'ai retrouvé cet anneau chez un commerçant. Je l'ai interroger et apparemment c'est ce Gaedren qui lui aurait vendu. » - Valeria essuie une larme qui lui coule le long de la joue - « Je ne pense pas que Gaedren a le sang de mon frère sur les mains, je me fiche de lui. Mais je veux retrouver les déchets de soli qui ont fait ça ! ... Et Gaedren a commis l'erreur de connaitre les noms de ces personnes. »

Modifié par un utilisateur mardi 18 décembre 2012 10:31:49(UTC)  | Raison: typo

En se dirigeant vers la porte, Anrel fut troublé par l'émotion de Valéria. Il marqua une pause :
« Madame, vous me voyez navré pour votre frère. Que Shélyn m'en soit témoin, je vous aiderai du mieux que je le pourrais à éclaircir ce triste évènement »

Avant de continuer vers la porte, il sortit une carte à jouer de la poche intérieur de son surcot et la tourna face visible vers le groupe. C'était "Le Paladin" :


« Pas très original pour ma part... » dit-il avant de la remettre à sa place.

Modifié par un utilisateur mardi 18 décembre 2012 10:40:40(UTC)  | Raison: ajout image de la carte

Dellisar, Quaïs, Anrel et Séoth : Rien ne vous vient à l'esprit en observant les cartes les tapisseries ou la pièce en général.