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Offline Elentir  
#1 Envoyé le : lundi 4 mars 2013 21:54:05(UTC)
Elentir
Rang : Staff
Mécène: Merci de ton soutien !
Inscrit le : 22/12/2009(UTC)
Messages : 3,404
Localisation : Marseille
Un petit background sera demandé pour vous aider à incarner votre personnage.

Les posts seront rédigés au passé (plus par souci d'uniformité)

Dans la mesure du possible, merci de relire ses posts pour éradiquer les plus grosses erreurs orthographiques et grammaticales.

Votre personnage peut être né à Nybor, habiter dans le village ou en dehors. Il peut connaitre un des pnj et venir d'ailleurs.

Les alignements Chaotique Mauvais et Neutre Mauvais seront proscrits.

Pour visualiser votre personnage vous pouvez utiliser un jeton, vous trouverez une banque de jetons ici. Où bien soumettez moi une image et je créerai le jeton.

Modifié par un utilisateur vendredi 29 mars 2013 22:39:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

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Offline Toki  
#2 Envoyé le : mardi 5 mars 2013 09:38:42(UTC)
Toki
Rang : Habitué
Inscrit le : 01/03/2013(UTC)
Messages : 164

Vasq

9/9

Vasq est né à Magnimar, d'un père demi-orque et d'une mère humaine, son seul héritage Orque vient de sa mâchoire légèrement avancé, d'ou deux petits crocs font leur apparition lorsqu'il sourit.
Agé d'à peine 16 ans, il cumule déjà un nombres incalculable d'idiotie, son père, le frère de Vors, n'en peut plus de toute ces idioties et s'il continue, Vasq finira dans une geôle et confie donc son fils à son oncle pour travailler en cuisine, peut être apprendra t'il un peu la discipline, Vors étant sévère.
Cela fait maintenant 3 mois qu'il travaille dans les cuisines à éplucher des légumes, faire la plonge, et l'ennui le gagne, si rien ne se passe, il finira par fuir...il a déjà voler dans deux, trois maisons, et les soupçons commence à se porter sur lui, il a hâte de retourner à Magnimar ou tout autre ville suffisamment grande pour lui apporter son lot d'étranger à qui il pourra faire quelques poches!!!
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Offline Ganshir  
#3 Envoyé le : mercredi 6 mars 2013 22:32:49(UTC)
Ganshir
Rang : Habitué
Inscrit le : 02/02/2013(UTC)
Messages : 54
Localisation : Sarthe
Voilà mon petit Background :

Brocknarmalindor écarta les ronces qui barraient son chemin, cela faisait maintenant deux jours qu'il avait quitté Port-Enigme et marchait en ligne droite ou à peu près. Il ne pouvait s'empêcher de penser aux événements qui l'avait amené dans ce sous bois pleins de ronces...

"Alors, le moustachu, tu crois toujours que la chance t'accompagne ?
-Monsieur Bourzag Grasgar, la question n'est pas de savoir si elle m'accompagne, mais si elle veut bien dénier se manifester !"
Bourzag le demi-orc regardait le Gnome avec un air malsain qui ne transpirait pas les bons sentiments, le genre de regard qui voulait dire : "Je te déconseils de gagner, si tu veux sortir d'ici en vie."
Brocknarmalindor avait joué toutes ses économies dans un bouge qui lui avait semblé de prime abord plus tôt engagent si on fermait les yeux sur la crasses, l'état de charpente qui tombait en morceaux et les quelques filles de joie édentés qui se pavanait devant l'entrée. Il s'était présenté à une table de jeux de dé, en habitué il avait commencé par misé de petites sommes afin de se rendre compte de la possible rentabilité du jeu, voyant que Desna était à ses côté il s'emballa un peu et misa des sommes outrancières ce qui ne manqua pas de faire tiquer Monsieur Bourzag Grasgar.
"Vu la somme que tu as récupérée sur mes fidèles clients, j'ai bien l'impression que la chance n'a rien à voir la dedans, j'ai comme qui dirait l'impression qu't'es pas net l'rouquin !
-Voyons Bourzag, vous me permettez bien sûr de vous appeler Bourzag, il n'y a pas plus net que moi ici. Brock se saisit des dés et les lança avec force sur le plateau jeux...

Cela faisait six fois d'affilé qu'il obtenait un triple six, il était normal que Monsieur Bourzag soit suspicieux envers Brocknarmalindor. Le premier dé s'arrêta de rouler à côté du tas d'or et babioles qui appartenait à Brock indiquant un six, le second dé s'arrêta un peu plus loin indiquant à son tour un six. Les hommes de Bourzag avaient déjà saisis leurs haches prêts à assener un coup au Gnome. Le troisième dé continua de rouler sur lui-même pendant quelques secondes qui parurent durer des heures et quand enfin il se posa, on pouvait y lire un quatre. Brock qui avait les yeux fixé sur le troisième dé leva doucement la tête vers le visage pleine de cicatrice du demi-orc et lui fit un immense sourire, remis sa moustache en forme et saisie son chapeau haut de forme qui couvrait sa tête. C'est à ce moment précis qu'une partie de l'établissement décida de s'effondrer, Monsieur Bourzag Grasgar et ses acolytes se retrouvèrent sonné un étage plus bas, la table qui contenait l'enjeux du pari n'avait pas bougé ni Brock, qui en profita pour récupérer le butin et filer par une ouverture qui venait d'apparaitre dans le mur. Au moment où il quitta le bâtiment, la maison de jeux fini de s'effondrer sur elle-même. Les dés roulèrent de nouveau pour indiquer un triple six.

La faim commençait à lui serrer les entrailles quand il déboucha sur la place d'un petit village animé par la vente aux étales de marchandises fraîches. Brocknarmalindor rangea un étrange cadran semblable à une montre à gousset avec le symbole de Desna sculpté dessus, celle-ci lui servait de guide dans les moments d'hésitations et c'était ce cadran qui l'avait mené au village de Nybor. Lorsqu'il déboucha des ronces, les regards se tournèrent naturellement vers lui, loin d'être décontenancé il se dépoussiéra et se dirigea vers l'étale de poissons lança une pièce au marchand et commença à le manger crus. Puis il se dirigea vers un débarra en retira une caisse qu'il traîna au milieu de la place puis grimpa dessus.
Brock remit ses moustaches en bonnes formes et s'adressa à la foule de badaud :

"Je me présente, Brocknarmalindor Marchandent rebouteux itinérant, prêt à vous aider en échange de quelques piécettes ou menu services." Sur ces paroles Brock se dirigea vers l'auberge du Charig Chantant attendant ses premiers clients en faisant une partie de dé avec les gens de passages.


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Offline Zoug  
#4 Envoyé le : jeudi 7 mars 2013 13:37:35(UTC)
Zoug
Rang : Nouveau
Inscrit le : 03/03/2013(UTC)
Messages : 39

Enfant peu aimé par une mère lui faisant supporté son ressentiment envers un père absent, Kylas quitta son foyer dès qu’il le put, ou tout du moins dès qu’il l’osa.
Depuis, jamais il n’avait réussi à trouver un endroit où se sentir chez lui. Ce furent donc quelques années d’errance plus que de voyage.
Son attrait pour la nature et les grands espaces, sûrement un héritage provenant de son père inconnu., ne fit que grandir avec le temps.
Pourtant, la solitude commençait a lui peser de plus en plus souvent. Aussi, lorsqu’il entendit parler de Nybor, il décida d’aller y jeter un oeil pour savoir si enfin il pourrait se trouver un port d’attache.
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Offline Skarn  
#5 Envoyé le : mardi 12 mars 2013 18:49:22(UTC)
Skarn
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Messages : 365

Kurgess

15 / 15
Zstellian était un ancien aventurier, ayant parcouru les vastes terres de Golarion. Il eut la chance d'être le leader d'une petite compagnie, avec des compagnons de fortunes, pouvant narrer leur histoire. Et parmi ces compagnons avaient un des anciens barbares du Nord, dont ses colères étaient devenus légendaires. Il se nommait Nethel et semblait être un boeuf tout le temps enragé.
Quand Zstellian quittait la compagnie pour fonder sa petite famille, son ami Nethel fit de même pour prendre la tête d'une des hordes du Nord. Cela se fit dans le sang, dans la douleur et dans le viol de la fille du vaincu. Voici comment naquit Kurgess, appelez comme le demi-dieu, car le bébé était un petit bonhomme robuste, même pour les barbares. Le jeune enfant grandit parmi les membres du clan et commençait à avoir un penchant pour les cours du sorcier du village. Ce dernier lui apprit les rudiments du culte de Gozreh et surtout le langage des hommes arbres. Les enfants de son âge se moquait de lui, le trouvant peu digne d'être le fils du chef. Malheureusement pour eux, les colères du fils du chef était lui aussi devenu légendaire et il aurait bientôt la capacité d'inspirer la crainte autant chez les membres de son clan que chez les ennemis du clan.
Mais son père ne voulait pas un fils impulsif, un fils comme lui. Il espérait que son ancien ami arriverait à l'apaiser, à l'aider à trouver une paix intérieur.
Kurgess fut envoyé chez Zstellian à ses huit ans. Zstellian et Imdlara l'ont élevé comme leur propre fils et ce dernier les considère comme ses propres parents. La naissance de sa "petite soeur" est une source de bonheur pour le garçon, pouvant jouer le rôle de "grand frère", en lui enseignant le culte de Gozreh (dont c'est un amoureux de la nature et de sa région d'adoption). Néanmoins, elle lui cause des soucis avec les animaux recueillis, dont il essaye de la couvrir comme il peut, tout comme la curiosité de la jeune fille qui joue les exploratrice.
Mis à part cela, Kurgess travaille dans la taverne en tant que menuisier,serveur et gorille. Enfin Zstellan l'obligea apprendre la menuiserie afin que le jeune homme puisse se défouler dans une activité non-guerrière, permettant au vieillard de le surveiller et de le conseiller.

Modifié par un utilisateur mardi 12 mars 2013 18:50:05(UTC)  | Raison: Non indiquée

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Offline Slim  
#6 Envoyé le : mardi 9 avril 2013 21:03:40(UTC)
Slim
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Messages : 624

Berwyn

12 / 12


La vie de Berwyn a réellement commencé le jour où Hébus Brunefeuille l’a retiré de l’orphelinat dans lequel il avait grandi. Hébus était un mage, qui avait beaucoup voyagé à la recherche d'anciennes connaissances et avait acquit une certaine réputation. Il emmena le jeune Berwyn dans sa villa de Magnimar où il en fit son disciple.

De nombreuses années s’écoulèrent. Satisfait de son disciple, il l’adopta et en fit son successeur, puis il lui fit part de son intention de partir explorer des ruines à l’est.

Après près d’une année de recherche et de préparatif, Hébus se lança dans son expédition avec un associé, Merkior Runefroide, un explorateur renommé. Ils arrivèrent, après un long périple devant un antique mausolée caché par une végétation luxuriante. Berwyn attendait à l’entrée quand revinrent les deux explorateurs. Hébus tenait triomphalement une idole dorée à la surface poli, lorsqu’un des suivants se glissa derrière le magus, passa un bras au-dessus de son épaule et l’égorgea d’un geste vif. Il récupéra l’artéfact et le présenta à Merkior.

Prit de panique, Berwyn lança un sortilège lui permettant de disparaitre un instant et de s’enfuir. Dans sa course effrénée, Berwyn sentit une piqure dans son cou. Quelques instants plus tard sa vision s’embruma, il sentit le sol se dérober sous ses pas et dévaler une pente raide pour plonger dans une eau étonnamment chaude.

Quand Berwyn ouvrit ses yeux à nouveau, il était allongé dans un lit, une demi-elfe était à son chevet et lui préparait une mixture à l’odeur âcre. « reposez-vous » étaient les seuls mots qui sortirent de sa bouche et il dut attendre plusieurs jours avant de savoir où il se trouvait.

Il avait été repêché dans le lac des braises par un gnome du nom de Lalmrolar, qui expérimentait sa nouvelle invention. Il se trouvait dans un petit village du nom de Nybor et reprenait des forces à l’auberge du charig chantant.

Berwyn savait bien qu’aujourd’hui, il ne pouvait rien faire contre Merkior, mais il était de nouveau sur pieds et il devait commencer une nouvelle vie en attendant l’heure de la vengence.

Modifié par un utilisateur mardi 16 avril 2013 07:49:06(UTC)  | Raison: changement de classe

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Offline garulfo  
#7 Envoyé le : dimanche 12 mai 2013 10:52:50(UTC)
garulfo
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Yspaen

9 / 9


Mon premier souvenir remonte à mes quatre ans, quand mes parents m'ont laissé chez mon maître. Ils devaient être trop pauvres pour avoir une bouche de plus à nourrir, du moins c'est ce que je veux croire. Habitants le village de Wartle, ils m'ont conduit un jour à un petit hermitage situé à quelques lieux de l'orée de la forêt de Sanos. Bien que laissé dehors pendant qu'ils parlaient au maître, je les ai entendu dire que s'ils ne pouvaient me confier là, ils m'abandonneraient dans le marais du Mush. Puis, ils sont partis. Ma mêre est revenue quelque fois, les visites s'espaçaient de plus en plus, et je l'ai revu la dernière fois pour l'anniversaire de mes six ans.

Ce premier jour alors que j'essayais de ravaler mes larmes de désespoirs, mon maître m'a regardé et a dit :
"Que vais-je bien pouvoir faire de toi ?"
Ce fut la seule fois où je l'ai vu douter.

A l'hermitage, je m'occupais du quotidien : le ménage, la cuisine, aller chercher de l'eau et du bois. L'après-midi, j'entretenais le petit potager dont provenait la majeure partie de nos repas. j'aimais beaucoup ses moments. Et j'étais fier de subvenir en parti à nos besoin. Mon maitre lui partait de temps en temps dans les bois et revenait avec un lapin ou un daim. Mais je ne l'ai jamais vu chasser, ni d'ailleurs courrir, poser un piège ou porter une arme. Toujours d'un grand calme, il remplit toujours le lieu où il se trouve de sa sérénité.

Mon maitre occupait la plupart de ses matinées à l'entrainement. Les premiers mois, je le regardais avec étonnement et intérèts, et voyant cela, il m'a vite invité à participer. Il me faisait travailler ma force, mais surtout mon agilité ainsi que ma rapidité. Comme il disait en riant :
"Tu ne perdras jamais si on ne peut pas te toucher."
Il me faisait courir, taper sur des poteau de bois enfoncés dans le sol, grimper aux arbres le plus rapidement possible, me déplacer avec un seau d'eau sur la tête. Régulièrement aussi, il m'envoyait des cailloux que je devait éviter, et cela à toute heure de la journée.

Le soir, il m'enseignait, même si je ne pense pas qu'il aurait utilisé ce mot. Il me parlait des gens, de la vie, de la nature et de la religion, souvent en riant. Et moi, j'essayais de retenir tout ce savoir, mais je ne crois pas être très doué pour cela. D'ailleurs un jour, mon maître m'a dit :
"Et bien, on n'aurait pas fait de toi un magicien."
et il a rit.

Les mois et les années se sont passés paisiblement. Jamais l'hermitage n'a été attaqué par des bêtes ou des gens. Je me suis même dit que c'était étrange, et quand je m'en suis ouvert à lui, il m'a dit qu'"ils" avaient bien retenu la leçon. Je n'ai pas compris, mais je n'ai pas cherché à savoir plus.

De temps en temps, mon maître s'absentait pour quelques jours, au plus deux semaines, mais revenait toujours aussi serein. Pour ma part, il m'envoyait de temps en temps à Wartle pour quelques courses, mais je n'aimais pas cela. J'ai toujours été intimidé par les gens, et j'avais peur de rencontrer mes parents. Cependant, je pense qu'ils m'évitaient également.

Enfin, il y a quelques jours, mon maître m'a dit :
"Je ne peux plus rien t'apprendre maintenant tant que tu n'auras pas appris la peur. Te garder ainsi plus longtemps à mes côtés ne serait pas bon pour toi, il faut que tu t'affrontes à la vie. Pars, rencontre des gens, vis des aventures et affronte des ennemis. Je t'ai appris les bases pour que tu t'en sortes et quand tu penseras être prèt, tu pourras revenir."
Et il m'a donné un sac à dos avec quelques possessions, un baton et m'a conduit à la lisière de la forèt qui borde l'hermitage. Je suis parti sans même lui dire en revoir ... j'avais trop mal. Mais je crois que je comprenais.

J'ai attendu la nuit pour traverser Wartle, puis j'ai pris le chemin pour le village le plus proche, Nybor. Arrivé sur place j'essayerai d'aider ou de me faire embaucher. Ne sachant pas très bien comment faire et je pense avoir trouver un bon moyen. Sur une vieille planche pourrie ramassée en bord de route, j'ai écrit au charbon de bois :
"Disponible pour tout travail un peu risqué et à ma porté."
Je crois que c'est suffisamment clair. Je me mettrai sur la place, ou devant l'auberge locale, et quelqu'un devrait bien passer. Sinon, je pourrai toujours me faire embaucher comme jardinier et trouver un coin de grange pour dormir. Enfin, je pense ...

Modifié par un utilisateur dimanche 12 mai 2013 13:43:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

Offline Elentir  
#8 Envoyé le : lundi 13 mai 2013 21:46:38(UTC)
Elentir
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Offline Merlipili  
#9 Envoyé le : vendredi 17 mai 2013 12:08:26(UTC)
Merlipili
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Mati

pv 6/6

Mati est originaire des environs de Nybor, ses parents tiennent un petit lopin de terre en périphérie du village. Elle est peu concernée par le travail de la terre et a passé le plus clair de son enfance à la taverne, écoutant les histoires des aventuriers de passage, ou dansant au son des crincrins de quelques bateleurs égarés du côtés de Nybor.

Elle est très attachée à ses parents, mais les trouve trop triste et trop routinier. Tout le contraire d'un duo d'aventurier intrépide qu'elle considère comme ses meilleurs amis, Mirayelis l'elfe et Rudnor le nain dit "Tonton Gros Barbu". Ils passaient faire relâche du côtés de Nybor environ tous les deux à trois mois, des amis de ses parents, chaque fois qu'ils étaient au village, elle les suivait, vivant leurs aventures par procuration dans des dédales sombres, ou au côtés du célèbre Renard à la poursuite d'une bande d'esclavagiste !

Mati s'entraîne dur pour pouvoir elle aussi un jour briller, elle s'accorde à tout savoir des rumeurs du village, parce que Mira lui a dit que le savoir était l'arme la plus puissante. Et elle ferraille dur contre le terrible Erythnul en slip rose, espèce de créature de bois, paille munie d'une culotte de la couleur sus-nommée. Elle s'accorde également à travailler sa souplesse et son agilité, ça c'est Tonton qui lui a dit "Hahaha moi j'peux pas sauter tout ça, m'faufiler et 'scalader, mais toi petite plume, toi t'es faite pour ça Pardi! Alors gambade, et si un jour ça va mal esquive plutôt qu'encaisse!!


"Je vais partir, je vais partir, ça va être hiboux !!".


Mais malgré ses désirs d'aventure, Mati est très attachée au village, à ses parents, au trio de gnome en particulier Lalmrolar et ses serrures et mécanismes.

Mais Mira lui a promis, écoute, reste vigilante, ne craint pas les ombres, danse toujours danse et un jour nous nous retrouverons...

Seulement voilà ça fait déjà 6 mois que son amie l'elfe n'est pas reparue pareil pour Tonton. Que faire les chercher, attendre encore...
Offline Donatius  
#10 Envoyé le : mardi 21 mai 2013 23:14:57(UTC)
Donatius
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Zatanys

6 / 6


Zatanys est née sur l'île de Jalmeray, île entourée de mystères, perdue au milieu de la mer intérieure...

Comme pour tous les habitants de Jalmeray, le sang du Vudra coulait dans ses veines. Cependant, pour Zatanys... il y avait un peu plus que ça.

Zatanys n'a en effet pas été conçu un jour ordinaire, mais un jour de très grand orage.
Cet orage a été si violent, que les mystiques de Jalmeray ont eu des doutes sur son origine naturelle. Certains d'entre eux ont même prétendu avoir senti des failles inter-plans s'ouvrirent durant la nuit. Mais le plus étrange dans tous cela,... c'est que la tempête empêchait chacun de sortir de chez lui, et que le père de Zatanys n'était justement pas chez lui soir là. Qui a donc engendré Zatanys ?

Personne n'aura jamais la réponse à cette question... En effet, la mère de Zatanys fut mystérieusement frappé de surdité à la suite de cette nuit là et elle ne savait pas écrire. Les prêtres de l'orient ont affirmés que le bruit qu'elle a entendu ce soir là n'a pas été supportable. Son corps a préféré perdre l'usage de l'ouïe plutôt que d'endurer cela. Qui a donc fait tant de bruits, une nuit d'orage à l'origine douteuse, sur la mystérieuse île de Jalmeray ?

En grandissant, Zatanys a démontré des facultés mystiques hors du commun. Il quitta rapidement le domicile familial, s'entendant très mal avec son père qui ne le reconnaissait pas, et ne pouvant communiquer avec sa mère. Il prit la route de l'université élémentariste de Jalmeray afin de maîtriser ce qu'il avait toujours considéré comme son origine : la foudre.

Mais là, il ne trouvât aucune réponse. La grande bibliothèque des élémentaristes ne parlait pas d'enfant de la foudre... jusqu’au jour où il ouvrit ce livre... Le Livre : Elementaires : Grands seigneurs des Plans.

Il comprit ce jour que s'il voulait comprendre d'où il venait, il allait lui falloir rencontrer les élémentaires. Et pour cela, maîtriser son élément s'imposait comme une obligation. Mais par où commencer ?

Mais si bien sûr... Zatanys fouilla alors dans ses notes. Dans les nombreux livres qu'il avait parcourus, certains passages pourrait se révéler finalement utiles. Il cherchait la note qu'il avait griffonnée sur un bout de papier pendant sa lecture de Animaux magiques : l'influence des éléments.

Là, ça y est, il l'avait ! Voilà par où il allait commencer. S'il voulait comprendre pourquoi il était si différent, il lui fallait aller à la rencontre de créatures différentes, mais pas n'importe lesquelles, des créatures liées plus ou moins à son élément, des créatures qu'on pouvait soupçonner d’électriques.

Il était désormais décidé, il prit son sac, ses quelques affaires, son petit sceptre à l'effigie des mystiques de Jalmeray, puis passa les portes de l'Académie. Peut-être le futur le rappelerait-il ici ? Pour le moment, le présent l'appelait ailleurs.

Alors que le soleil se couchait sur Jalmeray, île brumeuse et mystérieuse au milieu de la mer intérieure, les ombres recouvraient petit à petit la bibliothèque de l'Académie élémentariste. Une note griffonnée qui reposait sur une table menaçait d'être englouties par les ombres. Ça y est, le soleil allait disparaître, le bout de papier s'enfonçait dans les ténèbres, seul ces derniers mots restaient visibles :

Charigs, salamandres iridescentes de Nybor...

Modifié par un utilisateur mardi 21 mai 2013 23:25:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

Par les bois du djinn où s'entasse de l'effroi
Parle et bois du gin ou cent tasses de lait froid
Offline Elentir  
#11 Envoyé le : mercredi 22 mai 2013 21:15:59(UTC)
Elentir
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Merlipili et Donatius Clap
Offline SipJin  
#12 Envoyé le : dimanche 26 mai 2013 18:20:25(UTC)
SipJin
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Khéosis

10/10 pv


Khéosis est issu d'une famille Vudranaise de la caste des Atanapratta. Il est né à Manaket en Territoire Rahadoum, ou toute religion est bannie. Ces deux premiers éléments déterminent sa nature profonde.

Durant sa prime enfance il a suivi ses parents sur les côtes de la mer intérieure. Ainsi durant près de 10 ans ils explorèrent les provinces du Garund qui bordent la mer intérieure (Rahadoum,la Thuvie et l'Osirion). Cette vie de nomade, faite de rencontres et de découvertes lui a permis de développer une certaine compréhension de la nature humaine.

Ses parents lui enseignèrent l'importance des traditions et des règles, qui importent tant, au yeux des castes Vudranaises. Le respect de leur organisation basé sur les castes est primordiale. Néanmoins cette éducation est des plus discrète. Cela fut d'autant plus important que nulle manifestation de signe religieux n'est toléré sur le territoire Rahadoum. Aussi Khéosis est resté fortement accroché aux valeurs familiales et a développé une foie profonde dans les valeurs de sa caste. Notamment pour ce qui concerne l'importance du voyage et du respect de ses engagements.

Alors âgé de 10 ans Khéosis entreprit un voyage avec ses parents en mer intérieure. Parti de Totra pour rejoindre le Chéliax, une violente tempête emporta le bateau et l'équipage. Khéosis fut séparé de ces parents dont il ignore ce qu'ils sont devenus. Echoué sur les côtes de Thuvie, le contact avec la terre fut brutal les rochers sont particulièrement coupants sur la côte et le jeune garçon subit de nombreuses blessures qui le marquèrent pour toujours,ainsi il a de nombreuses cicatrices sur le visage qui ont diminué quelques peu son charme. Il fut Recueilli par un pêcheur, Ibram, il fut confié à un monastère proche de la Cité État d'Apenthar (une cité à la tradition martiale très prononcée). Ce temple est placé sous la protection de Irori, les moines résidant vivent sous ses préceptes.

Durant les 10 ans qui suivirent Khéosis mena une vie spartiate et frugale, faite d'entraînement, de jeûne et de méditation. Cet enseignement fut très positif pour le jeune garçon qui développa ses sens, sa condition physique et mentale. Cela renforça aussi sa foi et ses convictions. En effet, pour les moines de son monastère peu importe le bien ou le mal il faut avant tout respecter les règles de vies et chercher à développer ses capacités comme l’a enseigné Irori. Seul compte le dépassement de soi dans le but de la sagesse infinie et de l’ultime perfection dans l’équilibre du corps et de l’esprit.

A ses 20 ans, tout juste ordonné moine,Khéosis prononça 3 vœux. En tant que moine respectant les principes d'Irori, le jeune homme se doit d'être fiable et honorable, c'est pourquoi son premier voeux est celui de la vérité. Afin de respecter les autres et de montrer digne de sa foi il fit le vœux de propreté. Et enfin, pour continuer a purifier son corps il fit le vœux de jeûne.
Peu de temps après il eut un long échange avec les supérieurs de son ordre. Bien que décidé à respecter sa vie durant les principes qu'on lui a enseigné et ses vœux. Il ne peut oublier d'où il vient. Il est né Atanapratta. Aussi il se doit de voyager et d'apprendre par le voyage.

C'est pourquoi il reprend la route seul, bien décidé à respecter sa voie, peu importe la destination seul compte le chemin.
Khéosis est un moine d’Iori qui a foi dans sa voie et soif de découvrir le monde.


Khéosis prend le premier bateau qu'il croise sur les quais d'Arpentar ...
Ou le mènera-t-il ?
...

Le voyage vers Magnimar fut long et éprouvant.
Durant la traversée on lui a vanté les bienfaits du Lac des braises.
Nybor parait être la destination idéale pour s'y rendre ...

Modifié par un utilisateur dimanche 26 mai 2013 23:40:43(UTC)  | Raison: Non indiquée

Offline Elarcil briseroc  
#13 Envoyé le : mardi 28 mai 2013 19:46:13(UTC)
Elarcil briseroc
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Messages : 22

Elarcil

6/6

Elarcil est né dans une petite bourgade du sud de l'Isger, petite contrée dépendante des états d'âme de ses voisins et dont le dirigeant avait plus à cœur sa richesse que le bonheur des habitants.
D'une famille modeste, sans histoires, Elarcil avait une vie paisible et normale, noyée dans la foule des habitants et des voisins. Un grain de poussière parmi tant d'autres, il vivait sa vie sans rien demander à personne... Mais tout cela allait bientôt basculer.
Ses 12 ans à peine atteints, Elarcil fut témoin et victime d'un évènement tragique. Un homme en noir, tenue noire, cape noire, gants et masque rouge et métal, un homme est arrivé en ville. Nul ne savait qui il était, nul ne savait ce qu'il voulait. Personne ne lui demandait rien, il ne demandait rien à personne.
Un jour cependant, il se rendit dans la demeure d'Elarcil et, pour une raison inconnue, Assassina toute sa famille, sans exception. Elarcil, blessé et sans connaissance, fut laissé pour mort, nul ne sait pourquoi.

Il fut alors recueilli par un homme qui, le prenant en pitié, lui administra quelques tâches en échange de quelques pièces d'or. C'était un maître d'armes réputé invaincu et le plus noble qui soit. Elarcil ne mit pas longtemps à lui demander de lui enseigner ce qu'il savait et l'autre, comprenant son besoin de vengeance, accepta. Durant sept années, Elarcil servit son maître, loyalement, et en échange, ce dernier lui enseignait à se battre, à gagner sa vie avec la musique, et surtout, à savoir se montrer loyal et humble, car le meilleur des escrimeurs n'est rien s'il ne respecte pas ses adversaires.

Et c'est alors que l'histoire se répéta. Ce maître d'Armes invaincu, ayant appris au jeune barde tout ce qu'il savait, fut provoqué en duel par celui-là même qui avait décimé sa famille. Le duel fut rude, acharné, le vainqueur en sorti couvert de blessures, mais vivant. Le maître d'Armes était vaincu. Mort. Elarcil ayant réussi à s'enfuir erra plusieurs mois avant de s'installer à Nybor, petit village de Valésie, où il continua à s'entraîner régulièrement, attendant le jour où il allait rencontrer l'homme à la cape noire. Et le tuer.

Modifié par un utilisateur samedi 22 juin 2013 11:24:48(UTC)  | Raison: Non indiquée

C'est un unique chemin, horizon des possibles ;
D'innombrables merveilles se cachent sous ses fleurs ;
L'aventure y palpite, poursuivons-là sans peur ;
Pour les aventuriers, toujours sa corde vibre.
Offline Flammy  
#14 Envoyé le : mercredi 29 mai 2013 23:02:25(UTC)
Flammy
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Bado

9 / 9


Bado Segrin, un halfelin roublard connue pour être un sois disant chasseur de trésor, celui-ci ne manque pas de dire partout où il va qu’il est le meilleur dans sa profession avec son mentor, lui aussi roublard mais nain.

Durant toutes leurs vie entre eux ils ont dérobé plus qu’un simple trésor et revenait presque toujours indemne, ne chassant pas que des trésors ils effectuent aussi parfois des contrats du style de dérober des parchemins ou autre à de puissant sorcier.
Mais une fois il leurs a suffi de tomber sur un mage bien trop puissant qui avez réduit toute leurs caractéristique, devenons de plus en plus faible ils décidèrent de s’enfuir et rentrèrent chez eux à Absalom.

Pensant être en sécurité ils avaient planifié de se refaire en commençant un contrat du à leurs nouveaux niveaux, ils entrèrent alors dans une cachette de brigand que nul ne connait, et essayant de jouer un coup de poker on leurs baratinant pour tenter de les intimider due à leurs renommer, certains d’entre eux avez étaient en vérité payer par un fameux mage pour les retrouvez, c’est alors qu’ils furent tous deux mis à terre, évanoui.

Bado se réveilla dans la cale d’un bateaux, seul et attacher, après avoir réussi à ramper vers un morceau de verre il coupa ses liens et pus sortir de là, la calle tanguer à droite et à gauche puis soudainement Bado se retrouva le nez au sol comme si quelque chose au dehors se produisait, à nouveau le bateau bougea mais il bascula sur le coter le haut devenant le bas et le bas le haut.
Bado pus voir à travers la trappe qui permettait de sortir alors ce qui se passait, un kraken avait émergé et s’en prenait au bateau comme pour son propre casse-croute.
L’Halfelin s’accrocha le plus fort possible à ce qu’il trouva mais glissa jusqu’à la trappe et pu se rattraper à elle, d’autre personne n’avait pas la même chance que lui sur le bateau ou alors certains avait réussi aussi à s’agripper et semblait ne pas trop savoir quoi faire étant démuni, Bado tenter tant bien que mal à monter le plus haut possible vers le bas du bateau à l’extérieur, croisant au passage certain de ses ravisseurs avec lesquelles ils dut se débattirent et les envoyer dans la gueule du Kraken.
Une fois en haut il ne savait pas trop non plus lui-même quoi faire alors à ce moment le Kraken reposa le bateau à l’envers sur l’eau et cassa ce qui restait de ce dernier, Bado fut éjecter et tomba une nouvelle fois inconscient.

A son réveil il était emmitoufler sous une couverture, il faisait jour, lorsqu’il se leva il put apercevoir à ce moment un homme.
Inconnue : Enfin te voilà réveiller, bon sang ça fait trois jours que je t’ai trouvé endormie sur cette plage et que tu dors, ta eu une fête bien trop arroser ou quoi ?
Bado : Vous êtes qui ? Et j’ui ou la ?
Inconnue : Moi ? Je suis un Rodeur elfe, j’ai était banni de mon village car j’ai tué un animal, je m’en veux encore d’ailleurs et je mérite amplement mon châtiment. Sinon pour votre deuxième question, on est dans une plaine, ou exactement, et bien en en Varisie, j’imagine que vous n’êtes pas d’ici n’est-ce pas ?
Bado : … Hum oui, et vous comptez vous rendre ou exactement ?
Au passage il avait remarqué que cet elfe n’avait pas mentionné son nom, c’est pourquoi il en fit de même.
Inconnue : Je ne sais pas, là où mes pas me guident. Vous savez, vous n’êtes pas dans l’obligation de me suivre, je suis très bien seul, si vous le désirez il y a un village pas très loin vous n’aurez cas vous y rendre.
Bado : Vous n’aimez pas la compagnie et vous m’avez sauvez ?
Inconnue : Hey, j’ai dit aimer être seul, pas que j’étais une personne mauvaise qui aime tuer ou piller une personne sans défense, d’autant plus que je dois expier mes fautes pour ce que j’ai fait à cette pauvre bête.
Bado : Je vois, je vous remercie donc, je vais y aller, dès que je me sentirais en état d’y aller.
Inconnue : Bien.

Puis arriva le moment ou notre halfelin partit en direction du village ou l’aventure pour lui continue.
thanks 1 utilisateur a remercié Flammy pour l'utilité de ce message.
Offline Greatowl  
#15 Envoyé le : vendredi 7 juin 2013 09:27:33(UTC)
Greatowl
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Tulduen

7 / 7


Tulduen Kalhédron a grandi dans la ville de Magnimar, de l'ancien empire de Cheliax. Elevé par son père, un magicien humain de la haute société, il n'a pas de souvenir de sa mère, une elfe de Miérani. Son père le prit à son service très jeune, en lui demandant de préparer des composantes et d'étudier de vieux grimoires pour des rituels d'invocation douteux.

Le jeune Tulduen commença par trouver cela amusant, et s'avéra très doué pour l'étude et la manipulation d'énergie magique, en particulier pour se prémunir des effets indésirables des rituels complexes. Il rêvait parfois de sa mère, se demandant quelle avait dû être la vie de cette elfe qui avait quitté famille et amis par amour pour son père. Ses talents et sa prestance firent merveille malgré son origine : dans une société issue d'un empire qui ne rechignait pas à dompter des démons, des oreilles pointues et des yeux violets ne sont pas une si grande difformité.

Les années passant, il commença à se sentir de plus en plus mal à l'aise dans le milieu décadent de l'ancien empire cheliaxien. Il observait ses compatriotes, apprenait à percer à jour leur hypocrisie, et acquérait un réel don pour noter les petits détails révélateurs d'une illusion ou d'un artifice destiné à donner l'impression d'une grande capacité magique.

Le vrai tournant fut une rencontre avec un prisonnier elfe, un soir où il passait devant la prison. Ce dernier lui murmura par une grille de venir le trouver, qu'il avait des informations importantes à lui révéler. Intrigué par ce qu'il pourrait apprendre, il endormit le garde à l'aide d'un sort nouvellement appris, lui emprunta la clé et ouvrit le cachot. S'en suivit une longue conversation lors de laquelle Tulduen apprit que sa mère avait en fait été capturée et emprisonnée lors d'une escarmouche. Son père avait demandé à garder la prisonnière et avait eu avec elle une relation peut-être sincère de laquelle Tulduen était né. Elle avait été déportée un peu plus tard, son père n'ayant pas eu le courage de s'y opposer. Personne ne sut ce qu'elle était devenue.

Tulduen fut abasourdi. Il avait eu maintes occasions de ne pas se faire d'illusions sur la société cheliaxienne, mais il n'avait jamais remis en question la personne de son père. L'elfe lui dit de partir, qu'il ne pouvait rien pour lui car il était retenu par une puissante malédiction. Il retourna trouver son père, qui lui dit qu'il pressentait que cette conversation viendrait un jour. La discussion fut difficile, le fils pressant le père de renoncer à cette vie misérable, le père n'en ayant manifestement pas le courage.

Le père conseilla finalement à Tulduen d'aller chercher ailleurs la vie que lui-même n'avait jamais eu la force de mener. Dépité, Tulduen partit donc après ce brutal passage à l'âge adulte, sans but précis autre que de chercher un sens à sa vie. Il gardait au fond de lui une désapprobation morale pour le système social insensé, tout en n'osant s'avouer une certaine fascination pour les connaissances occultes auxquelles on lui avait demandé de sacrifier sa jeunesse. Il hésitait à se servir des pouvoirs dont il se sentait capable, et se promit en tout cas de ne jamais se laisser dominer.

Il pensait remonter vers le Nord ou l'Est, et après un bref passage à Pointesable, il arriva devant le lac des braises, à l'auberge de Nybor, commençant à trouver sa vie trop solitaire.

Modifié par un utilisateur vendredi 7 juin 2013 22:50:49(UTC)  | Raison: Non indiquée

Offline Mookie  
#16 Envoyé le : vendredi 7 juin 2013 16:15:22(UTC)
Mookie
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Ellana

10 / 10

Originaire de Vigil, capitale de Dernier-Rempart, née d’une famille aisée de commerçants, Ellana n’a eu de cesse toute sa jeunesse de rêver d’aventures et de contrées lointaines.

Elle passait de nombreuses heures dans les bibliothèques à dévorer tantôt des romans d’aventures tantôt des ouvrages capables d’assouvir sa soif de connaissances. A l’âge de dix ans, elle fut confiée à quelques sarinths (1) du temple d’Irori afin de lui enseigner leurs arts. Durant plusieurs années, ces précepteurs lui inculquèrent leurs savoirs. Elle apprit notamment à diminuer les maux des blessés ou malades, certaines doctrines théologiques ou encore certains mystères de la magie.

Elle développa une dévotion envers ce Dieu qui satisfaisait à la fois son envie d’apprendre et son besoin d’apporter son aide aux nécessiteux. Elle se révéla un excellent disciple et à l’âge de dix-huit ans on l’envoya vers sa première mission qui fut une réussite complète. Ce succès lui permit d’être affectée à bien d’autres charges qui lui firent découvrir des contrées bien au-delà des frontières de Dernier-Rempart.

La dernière en date fut d’escorter une caravane de marchands jusqu’à la ville de Magnimar et d’en profiter pour déposer quelques ouvrages anciens à la bibliothèque de cette même cité. Sur le chemin du retour le convoi fit escale à Nybor un village situé au sud du lac des Braises pour y trouver repos.

(1) Sarinths: Erudit appartenant à l'Eglise d'Irori chargé de transmettre son savoir.

Modifié par un utilisateur lundi 10 juin 2013 17:20:47(UTC)  | Raison: Non indiquée

Offline Ariock  
#17 Envoyé le : vendredi 14 juin 2013 00:18:31(UTC)
ariock
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Localisation : Paris

Athanaël
Sorts niv 1 : 4/4

8 / 8

Je suis né dans le Belkzen, à Urgis, la célèbre cité orque. Plus précisément dans une de ces geôles. En effet mon père et ma mère ont été capturés suite à une rafle, alors qu'ils demeuraient dans un village du royaume d'Ustalav, situé entre Tamrivène et Ravengro. Je n'ai évidemment pas de souvenir de mon arrivée inopinée dans ce monde, mais je sais que mon jumeau serait lui, mort-né. Comme quoi, j'ai eu de la chance. Les conditions de libération ne sont pas tout à fait clair, il me semble qu'une rançon a été payé pour notre libération. Mon enfance fût assez tranquille jusqu'à l'âge de mes 5 ans, lorsqu’une autre attaque orque venant du Belkzen mis fin à la vie de mes géniteurs. Entre-temps, ma mère avait accouchée de ma petite sœur, et mon père a pu m'initier à la langue elfique (surtout les insultes et les brimades, mais c'est tellement plus beau en langage elfe !!!). A ce moment précis, je n'ai plus eu de nouvelles d'elle et après quelques jours passé dans une maison que je ne connaissais pas, je fus emmener par un groupe de moines de passage.

Le voyage nous amena jusqu'à la douce province de Razmiran, et sa belle capitale de la Marche du Trône. Enfin, des personnes allaient s'occuper de moi !!! grâce aux prêtres, je fus initié au culte de Razmir. Razmir est grand, Razmir est tout puissant et nous devons craindre sa colère !!! En fait je craignait surtout les coups de bâton des moines, lorsque je ne me tenais pas bien, lorsque je ne travaillais pas assez. Mais, honnêtement, Razmir ne m'a jamais passionné. Aux grands damnes de mes nouveaux tuteurs !!! En tout cas ils m'ont appris à découper malgré moi des animaux divers pour la réalisation de cérémonies, et à me battre contre mes petits camarades, car je n'étais pas le seul enfant dans ce monastère. Ces moines nous poussaient ainsi à grandir et à nous battre entre nous mais jusqu'au premier sang seulement. En fait, ils nous disaient que nous serions bientôt des serviteurs fidèles de Razmir. Tout ce passait paisiblement, le fouet avait remplacé le bâton, jusqu'au jour où j'ai eu l'affront de contredire un moine lors de son cours théologique. Je finis ainsi dans un amas d'ordures laissé pour mort (je commençais à avoir une mauvaise influence sur mes camarades …). A cette époque, j'avais onze ans.

Je ne me rappelle plus vraiment comment ça s 'est passé par la suite, mais je fus récupéré par des hommes en armes. Ceux-ci m'ont ramené dans le Varno, province du royaume d'Ustalav. Je fus ainsi soigné et enfin libre. J'ai pu ainsi me faire quelques amis parmi les soldats de garnisons et j'arrivais à survivre en les aidants un peu, et en traînant en ville aussi. C'est seulement 2 ans plus tard que je décidais avec quelques compagnons de rues de retourner voir les moines qui m'avaient tant apportés. Nous étions 4 entre 13 et 16 ans (vous n'imaginez pas ce que ça m'a coûté de les persuader de me suivre dans cette aventure !!!). Ainsi, nous avons pu nous introduire de nuits dans le monastère et après quelques périples, j'ai pu raisonné 3 de mes anciens camarades à me suivre, avant que nous nous fassions surprendre. L'affaire aurait pu mal tourné et nous avons échangés quelques coups avec mes anciens tuteurs. Heureusement la capture d'un moine nous a aidés dans la fuite. Mais je fus le seul à rester avec le moine otage, afin d'y retourner le lendemain pour tenter de délivrer le reste de mes camarades. Mauvaise idée … je fus capturer par la milice, jugé et mis au cachot. Finalement le monastère était pas si mal par rapport aux prisons de la Marche du Trône. Retour aux sources ? Je suis né en prison, périrais-je ainsi ? En fait, je n'ai fais que quelques jours … dont je me souviendrais quand-même pendant longtemps. J'ai donc décidé de changer d'air et pris le chemin des Royaumes Fluviaux, où j'ai pu m'engager au service d'un seigneur. Après quelques années à guerroyer j'ai récemment fais un petit voyage jusqu'à Magnimar et enfin jusqu'ici, Nybor. Pour le moment j'hésite à repartir vers le Nord ou l'Est, (ou le Sud, qui sait …)

Modifié par un utilisateur mardi 18 juin 2013 10:56:27(UTC)  | Raison: correction grammaticale

Offline Tartem  
#18 Envoyé le : mardi 18 juin 2013 09:48:31(UTC)
Tartem
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Moidor

10 / 10


Née à Heaume dans une famille de marchands honnêtes. Bien qu'à l'abri de tout soucis, son père, gros râleur, parlait sans cesse des problèmes du métier : escrocs, tricheurs et autres vilains. Pour Moidor ils deviennent rapidement l'ennemi numéro un. Elle découvrit que bien que la justice soit présente, les trainer devant est compliqué, elle décida donc qu'elle serait cette personne, mais pas par la force, plutôt par la finesse. C'est donc bien jeune qu'elle se mit à l'espionnage dans le cercle familial, pour s'entrainer avant de plonger dans le vaste monde. Écouter au portes, dépouiller les livres de comptes, crocheter les portes... une préparation intensive. Un peu maladroite elle laissa échapper dans de banales discussions ce qu'elle avait trouvé, à la surprise générale. On l'a d'abord cru trop curieuse puis véritablement fouineuse, comme elle ne s’expliquait jamais, elle voulait garder secret son ambition pour travailler en toute sécurité et sans éveiller le moindre soupçon chez les potentielles cibles, c'était sa règle numéro deux, après " Ne jamais faire de tord à un innocent ".

Un beau jour elle se fut trop, prise en flagrant délit d'intrusion dans le sacré-cœur de son père, à savoir son étude, elle fut mise à la porte. Déçue mais pas vaincue, elle se mit en route bien décidé à s'améliorer et à -bien évidement- mettre à mal des malhonnête-gens. De son coté le père, la colère passée, attend toujours sa tendre enfant. Mais déjà elle l'oubliait pour prendre en filature un type louche, puis un autre, et qui de fil en aiguille la mena à Nybor ou elle abandonna sa dernière proie par manque de preuve à son encontre. Se faisant souvent passer pour une bête aventurière, malgré son grand dessein, elle se demanda ce qu'elle allait trouver de mal dans ce village.

Modifié par un utilisateur mercredi 19 juin 2013 09:40:33(UTC)  | Raison: Non indiquée

Offline Elentir  
#19 Envoyé le : mercredi 19 juin 2013 11:41:05(UTC)
Elentir
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Mécène: Merci de ton soutien !
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Offline Ythildine  
#20 Envoyé le : samedi 14 septembre 2013 16:57:37(UTC)
Ythildine
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Messages : 1,094

Ythildine

11 / 11

J'ai été retrouvée errante aux environs de Nybor, il y a environs cinq ans, affamée et dépenaillée. Les reste de mes vêtement trahissaient la mode des elfes sauvages. Je suis restée quelque temps murée dans un mutisme inquiétant, avant de m’attacher à Lyla, et forcement un peu plus tard à ses parents.

Pour gagner ma place dans le village, je suis devenue assistante Aubergiste. Et non simple serveuse comme les mauvaises langues osent le prétendre, mais ces dernières sont rapidement remisent en place avec le service d'une salade de phalanges bien frappée.

Avec le temps mon regard c’est à nouveau porté vers la forêt, et en plus de mon service à l’auberge j’ai rejoint la milice du village ou mon instinct sauvage à ses utilités.

Toujours souriante et optimiste, j’essaye souvent de trouver une autre issus que le conflit direct, mais bon parfois la violence c'est plus rapide.

Étrangement, je n'ai pas choisi une divinité tutélaire spécifique mais je rends fréquemment hommage à Calistria, Cayden Cailéan, Desna, Gozreh, Pharasma, Sarenrae et Shélyn mais il m'arrive d'avoir des pensées ou des mots de remerciement aux autres. A près tout pourquoi demander la protection d'un dieux alors qu'ils sont nombreux.

Depuis quelque temps j'amasse autant d'or que je peux pour m'offrir un équipement acceptable, car il faut dire que pour l'instant c'est plus tôt un assemblage de bric et bric qu'autre chose.


Lorsque je travail a l'auberge je suis équipée d'une paire de botte robuste, d'une jupe en cuir d'un chemisier en tissus, et à la ceinture avec une dague.
Mais des qu'il s'agit d'aller vadrouiller ou lorsque je suis avec la milice, je passe un gilet de cuir, j'enfile une chemise de maille et je sort ma panoplie d'armes varié tant par leur origine que par leur type...
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