Drewan était aussi venu s’inquiéter de la santé de sa capitaine
« Plus "toi même" ??? Que veux tu dire ? On t'as lancé un sort bizarre lors du dernier abordage ?  »

Je sais plus si Drewan est au courant de la nature d'Aspexia

Aspexia sursauta presque. Elle ne s'était pas rendu compte que Drewan était à portée d'oreille de la conversation. Elle aurait préféré que cela reste privé, mais de toutes façons, le principal était qu'elle conserve son autorité. Faisant comme si rien ne l'avait troublé, elle répondit, laconique.
« Pas vraiment. Je crois que la pleine lune et ma lycanthropie font mauvais ménage. Ou bien peut être est ce l'alcool.  »

Morelia insista pour guider Sshaksii, aussi Aspexia la laissa-t-elle prendre les devants. Les rues bordées de boutiques exotiques et l'atmosphère étrange avait éveillé son attention, aussi voulait elle arpenter les rues avant la tombée de la nuit.
« D'accord, partez devant. On se retrouve à la taverne. Et...méfiez vous de la garde. Je ne suis pas certaine qu'ils soient dignes de confiance. »

Laissant sa navigatrice, sa chirurgienne et Hitsuna, elle s'éloigna dans les petites ruelles de Zeibo, seules avec ses pensées. Elle avait un peu plus d'une heure à tuer avant de se diriger vers le Dragon Dansant, autant en profiter pour visiter la ville.

Hitsuna suivit Morelia sur le quai, et acquiesça lorsque cette dernière lui demanda de l'accompagner.
« Oui, il faut que nous parlions. Et j'aimerai ssssavoir qui est cette Sshelyn dont vous avez parlé? Les miens n'ont pas de temples dédiés aux dieux de la surface. Et cette ville est étrange, et je crains de m'y perdre, ssseule. Ce ssssera un plaisir et un honneur de me joindre à toi, Morelia. »

Elle ajouta, à voix basse:
« Et il faut que nous parlions... »
Elle claqua des doigts, et un voile trouble passa sur son visage, qui soudain ressemblait à celui de n'importe quelle jeune femme. Elle avait la peau hâlée, les cheveux blonds cendrés, et le regard perçant. En y regardant de plus près, ces pupilles étaient verticales.
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Aspexia attirait l'attention, et elle qui voulait réfléchir fut sans cesse importunée par des vendeurs, principalement de plats au nom et à l'aspect exotiques: brioches fourrées (des Manju), ravioli (jiaozi), nouilles et leur soupe (ûdon), des viandes et du poisson grillés, et même du serpent rôti.
D'autres essayaient de lui vendre des animaux exotiques ou des étoffes de soie chamarrées. Mais, devant l'absence d'intérêt de la jeune femme, et son accoutrement la désignant clairement comme une pirate, ils finirent par laisser tomber.
Les rues de Zeibo, presque toutes fortement inclinées, étaient pavés, et bordées de demeures en bois aux toits courbes. L'après midi avançait, et elles étaient aussi assez animées. En dehors de marchands, les pêcheurs revenaient, les artisans et ouvriers rentraient chez eux, la plupart avec un repas acheté sur le chemin. Une fois encore, Aspexia fut frappé par la proportion d'elfe, qui devaient représenter plus de la moitié de la population.

Les gardes étaient rares, mais toujours vigilants, et paraissaient autrement plus efficace que les badernes invalides de Senghor. En armure complète, leurs armes paraissaient redoutables entre les mains d'un combattant expérimenté, et aucun d'entre eux ne dormait à son poste.

Elle eut rapidement fait le tour de la ville, cependant. Il n'y avait que quelques centaines d'habitants, et les deux seuls bâtiments important étaient le Séminaire des Pétales et le palais du Gouverneur.

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A l'expression effarée de Floyd, et malgré sa retenue initiale et son âge, Flora laissa échapper un petit rire très juvénile, et elle fit signe à l'enfant de ressortir.
« Tu veux bien revenir dans une minute?  »
Le gamin hocha la tête, et ressortit, mais il avait clairement quelque chose à lui demander, et ne tarderait pas. Flora sourit à Floyd, demandant avec une pointe d'ironie.
« Tu m'as ramené ma dague, Floyd? »

Tenant Sshaksii par la main, Morelia montait les rues pavées vers le temple de Shelyn, elle non plus ne s'était jamais vraiment préoccupée des autres divinités, elle n'en avait aucune envie à Onero et évidement aucun moyen dans le golfe d'Albastre puisque la seule religion accepteé était celle dite locale. Celle de sa déesse N'Scabra.

Elle trouvait que Zeibo avait un charme intriguant jusqu'au moment où elle vit un serpent rôti. Elle s'arrêta nette. Et quelque chose d'étrange se passa. Quelque chose qu'inouïe. Elle trouva ça drôle. Et elle utilisa ses dons magique pour faire siffler les serpents grillés Morelia utilise son imaginaire en attendant la réaction du vendeur.

Plus tard. Après avoir demandé à un passant médusé par le visage de Morelia où se trouvait le temple, ils y arrivèrent rapidement et avant de l'apercevoir, Morelia dit :

« Qu'essst-ce qui ssc'est passssé hier sssoir avec les prissssoniers ? »

Et demanda ensuite à Hitsuna Morelia a expliqué à Sshaksii la situation quelques minutes avant sur ses légers doutes sur Victoria :

« J'ai eu un mauvais presssentiments avec sscette femme... non pas que je la trouve dangereuse... tout les pirates le sssont. mais j'ai comme l'impressssion qu'elle nous cache quelque chossse qui nous générait sssi on l’apprenait. Quelles sssont tes intuisstions Hitssssuna ? »

Ayant désormais l'apparence d'une jeune femme brune, Hitsuna siffla doucement, une habitude difficile à perdre.
« J'ignore exactement. Peut être qu'il n'y a rien à craindre. Peut être n'est ce pas un problème, puissque vous êtes des pirates...mais les adeptes d'Ydersius ne sont jamais une bonne nouvelle. Le Roi Sans Tête ne cesse jamais de comploter, et je ne ssserais pas étonnée qu'elle ait ssses propres objectifs en joignant votre équipage. »

Tout en parlant, ils atteignirent les portes du temple de Shelyn. Ce dernier ne ressemblait absolument pas à ceux qu'on pouvait trouver un peu partout. Celui ci était entouré d'un mur d'environ deux mètres, et une porte en bois, qui n'était pas verrouillée, donnait sur un jardin à la mode Tian Min. Un étang et une rivière artificielle coulait sous un pont de bois, au milieux de petites collines couvertes de fleurs et de cerisiers et pêchers fleuris, et d'érables aux feuilles écarlates.



A l'entrée, une jeune femme leur ouvrit la porte. Elle portait une veste de coton blanche, et un pantalon large, écarlate, et une large ceinture nouée à la taille. Ses longs cheveux noirs tombaient le long de son dos. Elle portait une broche dorée en forme de branche de cerisier ornée de rubis dans les cheveux. Ses sandales ne faisaient pas le moindre bruit sur les graviers.
« Bienvenus, étrangers. Que puis je faire pour vous? »

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Le Dragon Dansant était bâti à deux pas des quais, sur le front de mer, directement au bas de la rue du Régent de Jade, qui menait au palais (ou plutôt au manoir) du gouverneur.
Malgré le décor très exotique, même pour la région, le Dragon Dansant avait tout d'une taverne ordinaire. Bien sûr, l'architecture était Tian Min, à base de bois, d'écran de papier, et de toiles courbes couvert de tuiles anthracite, mais à l'intérieur, autour de table basses, on trouvait une faune composée de pêcheur portant encore leurs chapeaux de paille coniques, de marins venus du reste de l'archipel, qui pour la plupart allaient torse nus, en pantalon de toile, et portaient d'énormes tatouages, représentant jeunes femmes dansant dans la tempête, dragons féroces, géants monstrueux, samouraï, et tengus. Tous étaient armés, de sabres à l'apparence aussi tranchante que celle de leur porteur était négligée. Il y avait aussi des pirates des Entraves, portant bandeaux, anneaux, sabres d'abordage, et quelques joueurs professionnels attendant le pigeon de la soirée. Les serveuse étaient vêtus de kimonos imitant les tenues traditionnelles Tian Min, mais bien plus court. Néanmoins, à titre d'avertissement, elles portaient toutes une dague à la ceinture. Le patron était un hobgobelin à l'air patibulaire, et à la peau écarlate. Il était efficace, mais le tetsubo posé derrière le bar indiquait qu'il ne plaisanterait pas avec les fauteurs de troubles.
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Flora soupira un peu tristement.
« Je ne pensais pas la revoir...et toi non plus. Mais je suis heureuse qu'elle t'ai permis de me revenir. »
Elle indiqua le garçon qui trépignait déjà d'impatience à la porte.
« Il s'appelle Corwin. Et il n'a pas encore mis le pied sur un navire qu'il ressemble déjà à son pirate de père. »
Soudain plus sérieuse, elle planta son regard dans celui de Floyd.
« Il n'a jamais eu de père, Floyd. Je savais à quoi je m'engageais, lorsque nous partagions mon lit il y a toutes ces années, et je l'ai élevé-je l'élève-de mon mieux. Je n'attends pas de toi que tu tienne ce rôle. Et puis, tu es un pirate. Qui peut dire quel abordage sera le dernier? Je ne veux pas que mon fils ait à souffrir de ça. Qu'est ce qui t'a ramené à moi? Une nostalgie du bon vieux temps? »

Modifié par un utilisateur lundi 2 mars 2015 21:53:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

Faisant un effort surhumain pour se contenir il demanda à l'enfant restant dans la pièce, accrochée aux jupes de sa mère, de bien vouloir sortir

Mon garç.. Et merde ...

Il venait de se rendre compte de son erreur, celui qu'il avait prit pour un petit garçon qui jouait en bas des escaliers était en fait une petite fille aux cheveux très court. Bien que garçon manqué, elle avait quelque traits du visage de la mère de Floyd.

Fillette, veux tu bien sortir, s'il te plaît.

Trop timide pour lui répondre, et encore moins lui obéir, ce fut sa mère qui la confia à son frère. Ce n'est que lorsque leur progéniture fut dehors qu'alors Floyd explosa. Il était rarissime que quelqu'un arrive à le faire sortir de ses gonds, d'usuel c'est lui qui jouait à ce jeu sur les autres. D'une voix puissante, il se fit impérieux. Jamais il n'avait employé ce ton avec Flora.

La paix, femme !

S'approchant dangereusement, il pointait un index accusateur sur Flora.

N'essaye pas de me la faire à l'envers. Non seulement tu es une herboriste chevronné, mais en plus de cela tu fournis tout Zeibo en thé de lune que tu cultives dans ton jardin de simples. Et de toute ma carrière au temple de Port Enigme, je n'ai jamais vu une prêtresse ou une consœur tomber enceinte avec cette herbe, ni entendu d'ailleurs de rapports mentionnant l'échec de cette plante qui, précisément est réputée infaillible dans ses propriétés contraceptives.

Il s'était rapproché encore.

Malgré le fait que nous soyons tout deux sans illusions et n'ayons jamais prononcés de serments grandiloquents, d'engagements ad vitam aeternam l'un envers l'autre, si je comprend bien, tu te décides subitement de ne plus consommer de thé de lune avec moi. Et si j'en déduis correctement l'âge du premier, ça date d'après ma seconde venue. Tu décides donc de garder non pas un, mais deux enfants de moi. Moi ?!

Floyd avait une expression véhémente qui trahissait son incompréhension totale, non pas aux faits, mais à la raison finale de Flora. Insatisfait dans sa soif de comprendre, il poursuivait son énumération des dits faits.

Or, lors de ma troisième venue, je n'ai pas entendu le marmot dans la maison, et je ne me souviens pas t'avoir entendu non plus mentionner son existence ... cela traduit le fait que tu m'as délibérément caché mon fils, le confiant sans doute à l'une de tes amies.

Se rapprochant encore, il était très très proche désormais.

Tu as ratée ta vocation, Flora, avec toute cette luxure, cette tromperie et ces complots tu aurais du faire prêtresse de Calistria ...

A nouveau un petit pas et ils se frôlaient à présent.

Tu es une tordue, Flora, j'ai toujours aimé ça en toi, tu veux savoir pourquoi je suis revenu toutes ces années et encore aujourd'hui ? Au delà du fait que nous ayons fait escale à Zeibo, au delà du fait que nous avons notre propre navire désormais et que j'en suis le Second, j'aurais très bien pu tout simplement aller à la taverne me lever une jouvencelle ou deux et tu n'aurais appris que le lendemain que Floyd Mac Hemp et la Verge de l'océan ont fait escale ici. Mais je reviens parce que j'ai trouvé en toi l'une de mes équivalentes féminines et malgré tes côtés de perversions bien cachés, je sais que tu ne m'enfermerais pas à double tour pour me garder rien que pour toi à l'instar de certaines si j'avais le malheur de revenir les voir. Toi tu es ...

Désillusionnée mais attentionnée,
Tu es un cadeau béni.

Malgré tout, Floyd la courtisait comme il le faisait jadis. Vil flatteur, mais néamoins sincère, il poursuivit

Et si tu fais mention des années qui se sont écoulées depuis la dernière fois, crois moi, si j'avais su pour les enfants, je pense que j'aurais tout tenté pour venir ici, quitte à en crevé, plutôt que de passer six années en exil et de traque dans les terres à l'est qui dans tout les cas ont bien faillit m'avoir ... mentalement ou physiquement parlant. Maintenant, saches une chose, comprends moi bien, dans plus d'un village dont je ne remettrait probablement jamais les pieds ont doit appeler untel, non pas le fils du facteur, mais le fils de Floyd. Et je m'en cogne pas mal. Mais dans le cas présent ... c'est différent, ce n'est pas le cas et je veux comprendre ... Pourquoi, Flora, pourquoi ?

Il ne lâchait pas la femme du regard et avait posé délicatement ses mains sur ses épaules. Depuis son coup d'éclat du début de son monologue jusqu'à la fin, le ton s'était considérablement radouci, il n'en demeurait pas moins qu'il voulait la vérité

Modifié par un utilisateur mardi 3 mars 2015 07:04:22(UTC)  | Raison: p'tit oubli rp

Owlbear acquiesça avec enthousiasme. Un peu simple d'esprit, il était fasciné par l'exotisme de la ville.
« Oh oui! Je viens. »
Suivant de son pas lourd l'agile pistolero, et sans prêter attention aux regards un peu étonnés que lui lançaient les passants, Owlbear se mit en quête de ce verre.

La Grue Endormie était une taverne...mais tout à fait différente du dragon dansant. En fait, si extérieurement les deux endroits se ressemblaient plutôt, la faune qui y rôdait n'était absolument pas la même. En lieu et places des pirates, pêcheurs et truands, on y trouvait des artisans, des marchands, un ou deux gardes, et même quelques officiers. L'atmosphère n'était pas enfumée, et l'endroit était copieusement éclairé par de multiples lanternes. La tenancière était une elfe outrageusement maquillée, le visage blanchi à la poudre de riz, et les lèvres peintes d'écarlates. Elle haussa un sourcil à l'entrée d'Owlbear, mais ne commenta pas.
« Irrashaimasse, voyageurs! Que puis je faire pour vous? »

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Flora avait pâli devant la colère de Floyd, mais à mesure qu'il se calmait, elle retrouva un peu de sa contenance. Elle parvint même à atteindre un sourire timide en réponse à ses flatteries.
« Pour être honnête...je ne sais pas vraiment. Je n'avais pas pris de précautions particulières, mais une fois que je me suis rendu compte que j'étais enceinte...j'ai décidé de porter l'enfant. Je me demande si je n'essayais pas de te garder avec moi, d'une certaine façon. Et puis...j'avais besoin d'un peu de stabilité, et je savais que ni toi, ni aucun autre pirate ne pourrais m'offrir cela, et je n'avais aucune envie d'enchaîner mon destin à celui d'un homme.  »

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La prêtresse leur fit signe d'entrer.
« Vous êtes les bienvenues dans la demeure de Shelyn. Néanmoins, je dois vous demander de laisser vos armes à l'entrée. Elles vous seront restituées à votre départ. Suivez moi, je vous prie.  »
Elle leur fit signe de l'accompagner, vérifiant bien que les trois pirates déposaient leur armement dans un coffre de bois posé près de la porte.
« Savez vous de quel sortilège il s'agissait? Cela pourrait m'aider à vous guérir. »

Morelia était suspendu à la beauté de l'endroit, c'était réellement magnifique. C'était la première fois qu'elle rentrait dans un temple d'une autre Déesse. Elle se sentait intimidé et laissa ses armes à l'entrée sans se sentir en danger. Quel était l'impression d'Hitsuna à ce sujet ? Elle se le demandait.

« Sssortilège de sscécité... Combien sscela va coûter ? » Dit-elle en continuant d'observer le temple. La divinité ne l’intéressait pas mais l'ambiance zen la détendais comme jamais.

Arf parfois j'aimerais bien jouer Floyd quand je tombe sur des PNJ comme ça !

Dans le fond de la salle, rougeoie une lueur mystérieuse.



« Mon dieu, je tremble.
Mais, belle Dame, vos exploits ne mériteraient-ils pas qu'on les chante dans les ports et sur les navire ? »

Modifié par un utilisateur jeudi 26 mars 2015 18:20:17(UTC)  | Raison: Non indiquée

Sshaksii, agenouillée, sentait les mains de la prêtresse la toucher. Elle ressenti une douce chaleur comparable à celle qu’elle-même dégageait quand la puissance de Calistria émanait d’elle. Puis rapidement, elle revoyait : tout d’abord des formes vagues sans couleur, puis les contours du kimono de la prêtresse se faisaient plus nets, puis des explosions de couleurs vives et belles. Des larmes de joie étaient visibles sur les joues de Sshaksii. Elle ferma les yeux pour mieux apprécier ce sentiment. Puis, elle les rouvrit et prenant les mains de l’adoratrice de Shelyn, se leva : « Nos déesses sont différentes mais toutes deux apprécient la beauté !Je vous suis reconnaissante consœur ! Je reconnais les vertus de la bonté, même si je suis des voies plus tortueuses. Je me souviendrai de vous et vous suis éternellement reconnaissante. En cas de besoin, vous savez que vous pourrez compté sur une alliée ! » puis baissant la tête en signe de respect, elle fit un pas en arrière tout en murmurant un merci clair et chaleureux.

A la sortie du temple, Sshaksii embrassa sa cousine, ainsi que Sshaksii : « Merci à toi, cousine ! Tu m’as accompagnée et guidée jusqu’ici ! Merci !
Et si maintenant nous allions boire un verre ! Il me semble me souvenir qu’Aspexia nous attend… »

Modifié par un utilisateur vendredi 6 mars 2015 13:03:18(UTC)  | Raison: Non indiquée