« Rien de bien notable, c'est juste que je connaissais certaines de ces personnes. »




Vous avez bien évidement le droit à un jet de psychologie qui va bien pour en savoir plus sur l'attitude du prêtre.

« Des condamnés à morts ? » - il reste circonspect. - « Non, des personnes qui ont croisé ma route et que j'avais cru pouvoir aider. »




Quais soupçonne qu'Ishani pourrait être un meurtrier qui retrouve avec délectation le noms de ses victimes dans ce recueil, ça ce vois dans ses mains tremblantes de plaisir, c'est évidant ! ... Ou alors peut-être tremble-t-il des mains car il a une envie pressante, c'est ça c'est évident, il est tout pale ! ... Ou alors...

Pour dire vrai Quais ne sait pas vraiment.

Ca y est, la discution avait atteint le point de patience du demi-orque, il quitta le cercle des participants et alla s'adosser contre un mur. Faisant silence, il tachait de ne pas rire du prêtre qui dégageai je ne sais quoi de comique.

« Très bien compris Maréchale, pardon de vois avoir dérangé, veuillez toutefois recevoir les éléments dont nous disposons ici  » ajoute Quaïs gardant pour lui la pièce de monnaie ... « Je crois que nous en avons terminé alors, si vous permettez ...  »termine-t-il avec un sourire affable avant de se diriger vers la porte ...


...

Une fois dehors (si rien n'est venu barrer leur route) ...

« Bon ben voilà une enquête que nous ne mènerons pas ! Et franchement, ce n'est pas pour me fâcher j'ai grand besoin de quelques jours pour me ressourcer ... Lloreth me conduirais-tu chez ce collectionneur d'art ?  »

Séoth s’apprêtait à sortir de la pièce sans s’embarrasser des politesses de Quaïs il se ravisa, et se tourna vers la Croft avec un visage soucieux. D'un ton assez respectueux il s'adressa à elle
« Maréchale, je vous demande de reconsidérer une de vos positions. Je souhaiterais m'entretenir avec Lady Mazinas avant quelle rencontre sa mort, je pense qu'il est dans notre intérêt à tous que je lui demande les raisons de son acte. Son antipathie pour vous la rendra têtu et fermé à votre questionnement. Je pense que nous avons déjà démontrer notre loyauté à la ville. Mais je ne prétend pas faire ça pour quelques raison patriotique, je tient juste à savoir pourquoi une ancienne compagnon d'arme viens de faire quelque chose d'aussi stupide, et je crois que vous aussi. »

Seoth asquieca au termes qui lui paraissait honnette, mais tut ses soupçons concernant les complices de Valeria.

J'ai considéré qu'aller voire Valeria était une décision de groupe, vous avez donné à la maréchale le registre mortuaire et vous pouvez le rayer de votre inventaire, vous avez choisi de ne lui montrer aucun autre document que vous en ayez ou pas (voir vos F.D.P.s).

La maréchale prend une plume et un bout de papier pour rédiger une note qu'elle replie deux fois vers son centre non sans éponger le surplus d'encre avec un buvard au préalable. Elle sort un bâtonnet de cire du placard et elle l'approche d'une bougie pour chauffer l'extrémité et faire couler une goutte de cire rouge qui cachette la missive. Sans attendre, elle appose sa chevalière sur la cire chaude et vous tend la lettre.




« Vous donnerez ça à la caporale Rondine qui garde les cachots, elle vous conduira jusqu'à Lady Mazinas. »



La maréchale de campagne Cressida Kroft vous raccompagne à la sortie et Ishani le prêtre vous fais un signe de main rapide tout en continuant de parcourir le recueil de nom. La porte qui mène vers les cachots se trouvent en bas dans la court, que faites-vous ?

Modifié par un utilisateur samedi 8 novembre 2014 16:58:10(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'air inquiet Quaïs suit son ami en silence.

Le groupe décide donc de descendre dans la court et de se diriger vers la porte sombre qui mène vers les cachots. Vous vous orientez dans la pénombre à travers une série de passage peu rassurant fréquentés par les criminels les plus gueulards et les gardes jouant le plus aux cartes de toute la Varisie. Vous traversez tout d'abord une section bourrée de spoulards à en faire plier les barreaux. Les pochtrons les moins frais cuvent leur soul, mais les plus frais vous arrangent avec la subtilité et le vocabulaire mesuré inhérent à leur condition. Leurs haleines sentent mauvais les relents de vin épicés jusqu'à l’écœurement.

Ensuite vous descendez d'un étage et c'est au tour des larrons de bas étage arrêtés pour vol. Ceux là sont plus calmes que les précédent mais il y en a bien un ou deux qui quémandent un droit de sortie en vous promettant de partager avec vous le butin de leur journée de larcin, butin qu'ils ont bien sûr planqué entre deux platanes avant de se faire prendre par la garde. Vous descendez encore deux étages plus sombre que les précédent et vous arrivez au cinquième étage qui n'est autre qu'un long couloir qui se dessine à travers la lucarne d'une porte de bois blanc. Derrière cette porte, à la fin de ce couloir, une cellule individuelle où est enchainée une silhouette de femme. La demoiselle en détresse est resserrée en position fœtale tout au fond de son mètre carré. Devant cette porte, juste sous vos yeux, une garde halfling qui vous toisent de haut, ou en l’occurrence de bas. Ce petit bout de garde a un écusson cousu sur son uniforme qui indique probablement son grade. Connaissance local pour connaitre le grade.




« Trosker ep Styrk citoyens ! Puis-je vous assister ? »

Modifié par un utilisateur mardi 11 novembre 2014 19:21:53(UTC)  | Raison: Non indiquée