Source : Bestiaire 2 p.166
PX 800
Défense
CA 17, contact 15, pris au dépourvu 14 (Dex +3, naturelle +2, taille +2)
pv 27 (5d6+10)
Réf +7, Vig +3, Vol +6
Faiblesses vulnérable au feu
Attaque
Corps à corps épieu +3 (1d4-1/x3)
ou 2 griffes +7 (1d4-1)
Espace 75 cm (3/4 c) ; Allonge 0 m (1,5 m (1 c) pour l'épieu)
Attaques spéciales attaque sournoise +2d6, projection d'éclats de bois
Caractéristiques
For 8, Dex 16, Con 15, Int 11, Sag 14, Cha 13
BBA +2, BMO +3, DMD 12
Langues commun, sylvestre
Particularités déplacement facilité (forêt), saut de ronces
Écologie
Environnement forêts tempérées
Organisation sociale solitaire, couple ou bande (3-8)
Trésor standard
Pouvoirs spéciaux
Projection d'éclats de bois (Ext) Par une action simple utilisable trois fois par jour, un homme-brindille
peut projeter un déluge d’éclats de bois et de ronces à partir de son corps. Cette attaque crée un cône de 4,50 mètres d’éclats acérés qui infligent 4d6 points de dégâts de type perforant à toutes les créatures situées dans le cône. Un jet de Réflexes contre un DD de 14 permet de diviser les dégâts par deux. Le DD du jet de sauvegarde dépend de la Constitution.
Saut de ronces (Sur). Au cours d’une action de mouvement, un homme-brindille peut se téléporter sur de courtes distances entre des ronces, des buissons ou des fourrés comme s’il utilisait porte dimensionnelle. L’homme-brindille peut ainsi voya-ger sur une distance totale de 18 mètres par jour. Ce mouvement doit être utilisé par tranche de 3 mètres et ne provoque pas d’attaque d’opportunité.
| Cette créature émaciée de forme vaguement humanoïde semble être
composée uniquement de brindilles attachées par des lianes épineuses.
Au plus profond des forêts ancestrales, les hommes-brindilles
passent leur temps à tourmenter les intrus et à semer la
destruction dans les communautés de colons. Ces êtres
féeriques malicieux agissent tels des protecteurs
déments et représentent une menace constante pour toute
tentative de civilisation. Les hommes-brindilles adorent casser
les roues des chariots qui composent les convois de colons,
briser les arcs des chasseurs et détruire les huttes et les villages
isolés. Très peu de créatures, même parmi les autres fées,
tolèrent très longtemps la compagnie des hommes-brindilles
(qui sont pourtant intelligents). Les sylvaniens les trouvent
particulièrement ennuyeux et ne supportent pas les allusions au
fait qu’il pourrait s’agir de créatures apparentées. Les hommes-brindilles eux aussi ne supportent pas d’être considérés comme
des plantes et sont fiers de leur héritage féerique. Ils font parfois
des efforts considérables pour tenter d’impressionner les dryades,
mais ces tentatives sont rabrouées quasiment à chaque fois.
Certains spriggans, viflins et autres fées maléfiques s’associent
parfois avec les hommes-brindilles. Les gobelins se méfient des
hommes-brindilles mais les gobelours, par contre, usent souvent
de violence pour les contraindre à les servir.
Le corps des hommes-brindilles est intégralement constitué
d’épines et de brindilles tordues rassemblées en fagots par des
lianes. Au-dessus de leur tête se trouvent des excroissances de
mousse qui ressemblent à des touffes de cheveux. Les yeux de
ces créatures prennent la forme de nœuds de bois ou de
trous sombres et leur bouche se réduit à un
gouffre bordé de bâtonnets brisés qui
divise leur tête en deux parties.
Ici et là, des feuilles et des
bourgeons poussent sur
leur corps.
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