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 Aragrim
Poingdanel Projectiles de feu: 8/8
Mains brûlantes: 1/1 CA : 20
Langues :Commun, Nain, Druidique, Géant Jet de Sauvegarde:
Réflexes : +2, Vigueur : +6 Volonté : +8
Sur les paroles de Arslann, Aragrimm commença à prier une éloge à Torag à voix basse, et il apposa sa main fraiche mais au contact rassurant sur Arslann. Une légère brise entoura alors le Nain bénit par le dieu de la pierre. " Soyez guidé, soyez inspiré dans la bravoure !" Il recommença en attendant de savoir qui irait l'accompagner, et tendit sa main en restant concentrer. Sort lancé:
- Assistance divine : +1 à un jet de compétence, sauvegarde, attaque, caractéristique (au choix du joueur, temps : 10 rounds/1 minute)Modifié par un modérateur lundi 11 décembre 2017 23:06:53(UTC)
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Localisation : Charente Aquatique (17)
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 insi c’était le moment de prouver à leurs aînés qu’ils n’étaient pas là juste pour les suivre en tant que charge mais qu’ils avaient aussi des capacités pouvant permettre à la communauté de progresser et de vaincre des obstacles. Arslann s’était avancé de nouveau, saisissant cette fois l’occasion de mettre en pratique sa proposition qu’il avait maladroitement avancée au moment inopportun. Cette fois c’était le bon moment et il allait tout faire pour ne pas décevoir le groupe et encore moins l’Ambassadeur qui semblait être quelque part une personne de haute importance vu la vigilance que les jumeaux adoptaient pour le protéger. Ils étaient des gardes du corps et c’était après tout leur rôle, mais ils semblaient prêts sans hésiter, au sacrifice ultime pour protéger Gulkrik Deux-Lames et quiconque représentait une menace pour lui avait affaire à leurs armes, même s’il s’agissait des membres de la communauté naine elle-même. Le jeune dévôt de Magrim sembla recueillir l’aval de tous et une fois qu’Arslann l’eut béni par les pierres sacrées du Maître des maîtres artisans, il s’apprêta à partir, resserrant les sangles de son ceinturon d’armes et de ses affaires afin qu’elles ballottent le moins possible et par mà même fassent un minima de bruit. Qui savait ce qui les attendait là-bas plus loin ? Boïndil Coup-Fatal saisit alors les rênes des mains du fils Angridson en se râclant la gorge et en montrant de la pointe de la barbe la direction que s’apprêtait à prendre Arslann – « Ahem… Deux nains, l’un qui surveille l’autre et qui se protègent mutuellement. C’est comme ça que ça marche et ce n’est pas une question de jumeaux. Va avec lui, je vais garder tous les Pottock à côté d’Eldrick. » – Poussant Dwallin vers l’avant il prit la place laissée vacante par Aragrim qui s’était avancé pour apporter son aide au dévot de Magrim. Le Forgerune ne put faire autrement que de sentir la présence imposante du frère Voddhka. Ce dernier s’était mis épaule contre épaule et il tenait les rênes courtes plaçant les têtes des poneys à toucher le dos des deux nains. Il se mit à rêvasser à voix basse juste à l’attention d’Eldrick – « Je me souviens d’un compagnon d’armes, pour ne pas dire un frère, avec qui nous avons combattus depuis notre plus tendre enfance. Nous avons affronté les Orcs ensembles et je ne me souviens plous le nombre de fois où il m’a sauvé la vie ou celle où c’est moi qui ait sauvé la sienne. C’est ainsi que nous sommes rentrés dans la Garde Royale, parce que nous étions les meilleurs, même si Boëndal et moi étions beaucoup plus disciplinés que lui… C’était un formidable combattant, passionné par les armes, engagé dans ses combats, il y avait en lui comme une sorte de rage qui le poussait toujours vers les ennemis les plus puissants comme autant de défis de plus en plus importants à relever… Et puis cette rage a fini par le consumer en pleine bataille… Il s’est laissé envahir complètement par elle alors qu’un Géant des Collines fonçait droit sur le roi. Il s’est interposé et a encaissé la charge du monstre, évitant par là-même une mort certaine du roi qui sans cela aurait été piétiné et écrasé…Le choc a été brutal, un bruit que je n’oublierai jamais… Il est rentré alors dans cette furie de destruction, frappant à tours de bras le plus fort possible, hurlant comme une bête sauvage, ne ressentant pas la douleur des coups qu’il prenait, il a fini par vaincre le géant et lorsqu’il s’est rendu compte qu’il l’avait réduit à l’état de pulpe, après avoir frappé encore et encore dans ses chairs mortes, il s’est retourné pour trouver d’autres victimes. Il s’est avancé vers nous, son Urgrosh en mains, les yeux rougis par la rage. Je me suis interposé entre lui et le roi… Je me souviens encore de son regard qui a croisé le mien, je me souviens encore du bruit des os de son crâne qui se sont brisés sous mon poing… Je n’avais pas le choix… C’était lui ou le roi…Et au moment où la vie l’a abandonné, il venait de s’en rendre compte… » - Il laissa quelques secondes de silence avant de planter cette fois son regard dans celui d’Eldrick – « Fais en sorte que cela ne t’arrive pas. Je n’aurai aucune hésitation. »Le jumeau Voddhka pousse un peu au cul de Dwallin mais ce dernier n'est pas obligé d'y aller s'il ne veut pas.
Pour Arslann et éventuellement Dwallin s'il l'accompagne : test de discrétion et test de perception svp | Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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 Arslann
Ragnazir
Noircorbeau Jugement 1/1
Défi 1/1
Résolution 1/1 CA : 16 Arslann accueilli les réponses de ses compagnons avec fierté, il allait pouvoir montrer à tous ce qu'il pouvait faire. Il pria Magrim et utilisa une oraison pour l'aider dans sa tâche. Il se retourna vers le couloir et commença à avancer le plus discrètement possible, chaque pas était mesuré, ses sens étaient au aguets. Il était confiant, Magrim était avec lui, dans son cœur. lance inspection puis avance discrètement à la recherche de piège et d'indice sur les ennemis- discrétion : 1d20+5+1 donne [14] + 5 + 1 = 20
- perception(piège) : 1d20+9 donne [17] + 9 = 26
- perception : 1d20+7 donne [7] + 7 = 14
| Et sur le rêve de Kali construire leur vie |
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 Dwallin Angridson - CA : 13 (17) Dwallin n'eut guère besoin d'être poussé avec vigueur et emboîta le pas d'Arslann à la première remarque, tout en adressant un sourire au jumeau Vodhka et un signe de tête au Noircorbeau : « Je te couvre Noircorbeau. »Arbalète en mains, l'éclaireur ouvrit grand les yeux en se déplaçant avec précaution et silence. - Perception : 1d20+8 donne [18] + 8 = 26
- Perception pièges : 1d20+8+1 donne [14] + 8 + 1 = 23
- Discrétion : 1d20+9 donne [5] + 9 = 14
 Eldrick Rage runique 7/7
Sorts 1 : 3+1 Pacte 0/1 CA : 16/12/14 De son côté Eldrick ressenti l'impressionnante et puissante présence du frère Vodhka à ses côtés et écouta l'histoire que celui-ci lui narra à voix basse. Le forgerune sentit la moutarde lui monter lentement au nez et il se força à attendre un peu avant de répondre d'un ton sec mais à voix basse : « Je suis désolé pour votre ami... mais les runes de bataille ne sont pas simplement une rage animale... Elles sont l'essence de la guerre, de la fureur et du combat. Au même titre que les autres runes elles sont l'essence du pouvoir. Elles sont un don de Torag. Je me suis entraîné toute ma jeune vie de nain pour apprendre à les maîtriser et je maîtrise parfaitement ce que je fais. Je comprends votre inquiétude, mais elle n'a pas lieu d'être, les Forgerune ne sont pas comme ... pas comme ça. » Eldrick avait envie de lui répondre qu'en outre la supériorité du frère Vodhka au combat restait à démontrer, mais il se tut. Le jumeau était son aîné et au fond le forgerune sentait que le guerrier lui était supérieur armes en mains... pour l'instant... Un jour, se dit-il, un jour je leur montrerai à tous ! Modifié par un utilisateur jeudi 13 juillet 2017 17:29:56(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Localisation : Charente Aquatique (17)
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 n duo de jeunes barbouzes se détacha donc de la communauté naine, sous le regard vigilent des aînés comme des novices. L’échange entre le jumeau Voddhka et Eldrick ne se poursuivit pas davantage, chacun semblant apporter leur soutien aux deux éclaireurs qui seuls allaient désormais s’aventurer vers ce que le Péager avait présagé de dangereux. L’attention se portait donc sur Arslann et Dwallin qui tout en fouillant les ténèbres de leurs yeux inquisiteurs à a recherche du moindre danger, trace, indice, piège ou tout autre obstacle, tout en essayant de passer inaperçu. Devenir invisible envers des créatures qui possédaient probablement la vision dans le noir était complètement absurde, par contre ne pas attirer l’attention était possible. Si on ne regardait pas vers eux, on ne les verrait pas et pour ça il fallait se déplacer en priorité en silence. Leurs ennemis ne savaient en aucun cas à quel moment ils allaient arriver et peut-être qu’à force d’attendre, leur attention serait portée vers une autre préoccupation et si c’était le cas, le duo avait une chance d’approcher suffisamment près pour observer et se faire un topo très détaillé. Il fallait jouer cette carte ou se préparer à un combat imminent. Pas à pas, Arslann et Dwallin avançaient. Ce fut d’abord des bruits, des petits cliquetis métalliques, comme celui des ceinturons d’armes ou des armures en partie faites de métal. Puis il y eut les échos de voix un peu gutturales et nasillardes, une sensation désagréable avant tout lorsque l’un comme l’autre reconnut le langage des profondeurs. Leurs sens aux aguets, ils poursuivirent leur chemin, faisant attention à chaque pas. Ce n’était pas le moment de se faire remarquer. Le Péager avait raison, il y avait un comité d’accueil car tout ce qui parlait ce genre de langage était très souvent une race impie et maléfique et surtout des ennemis des nains. Au sortir d’une courbe vers la droite, le Tunnnel de Brom faisait une grande ligne droite sur près d’une trentaine de pas avant d’être obstrué par des sortes de murets de 2 pieds de haut, dressés en quinconce comme pour limiter le passage et obligeant à zigzaguer pour se frayer un passage au centre. Parvenus sans bruits assez près pour que la vision dans le noir leur donne la possibilité de voir au-delà des barricades, le duo ne s’était pas fait remarqué et ils pouvaient à loisir se poser quelques instants pour bien tout observer. Quatre barricades se dressaient en quinconce. Devant la plus proche, les ennemis avaient éparpillé des petites billes métalliques hérissées de pointes sur une quinzaine de pas, rendant toute approche ou course ou charge plus difficile sans risquer de se faire blesser par les chausse-trappes. Il était facile d’imaginer pendant ce temps, les ennemis se camper derrière les murets et tirer à l’arc ou l’arbalète tout en restant à l’abri. En parlant de ces ennemis, ils étaient visiblement un groupe d’une quinzaine de créatures affreusement laides de trois pieds de haut. Leur corps décharné malingre était surmontée d’une tête démesurée et allongée qui semblait difficilement tenir sur un corps aussi frêle. De grandes oreilles, des yeux rouges petits et dépourvus d’intelligence, les deux éclaireurs nains reconnurent immédiatement des Gobelins des profondeurs si on se fiait à la couleur bleu-nuit de leur peau. Arslann et Dwallin ne savaient que peu de choses à leur sujet. On les disait plus féroces que leurs cousins de la surface, plus primitifs aussi. Ils étaient en retard ne terme d’évolution de leur race et bien souvent, ils servaient d’esclaves pour des races plus intelligentes ou plus fortes. Généralement, leurs armes étaient simples, souvent à base de bois ou de pierres taillées, même si leurs maîtres les équipaient parfois d’objets d’armes en métal, par contre afin de pallier à leur faiblesse physique, ils maîtrisaient parfaitement l’utilisation de poisons rarement mortels mais incroyablement incapacitants, pouvant aller de la nausée affreuse à la paralysie complète grâce à des venins concentrés d’araignées géantes. Le groupe de Gobelins avaient établi un bivouac derrière les barricades ou plutôt entre les barricades, car le même genre de défenses étaient dressées de l’autre côté, laissant un espace d’une quinzaine de pas entre les deux, un espace envahi par les Gobelins, mais pas seulement, comme le fit remarque Dwallin à Arslann. Au milieu, entre les barricades, près de la paroi gauche, deux autres créatures plus robustes et plus grandes d’un pied. Ils ressemblaient à des nains à la peau grise, barbus, mais chauves, aux yeux froids dépourvus de toute expression. Ils étaient revêtus de robes noires à capuche rabattue, ne laissant paraître que le bas du visage envahi par une barbe courte et pointue. Des nains gris, des Éxilés comme l’avaient appelé les aînés, ceux qui n’avaient pas poursuivi leur quête vers le ciel et considéraient que les nains, ceux qui avaient atteint la surface et la lumière, les avaient trahis et abandonnés. Les Duergars vouaient une haine féroce envers tous ceux qui vivaient sous la lumière et encore plus féroce envers les nains. Leur accoutrement laissait à penser qu’il s’agissait de sortes de mages ou quelque chose comme cela. Pour l’heure, Arslann et Dwallin n’avaient pas été remarqués. Leur chance allait-elle se poursuivre ? | Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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Arslann
Ragnazir
Noircorbeau Jugement 1/1
Défi 1/1
Résolution 1/1 CA : 16 Arslann regarda la configuration des lieux, et la mémorisa. Il chercha dans ses connaissance s'il savait quoi que ce soit sur les ennemis.Il se retrouva prit dans un dilemme, deux choix s'offraient à lui: - retourner faire son rapport aux autres et préparer une stratégie d'attaque - profiter d'être là pour écarter les chausses trappes du chemin et ainsi faciliter l'attaque. Le risque de se faire repérer en déminant le chemin était trop grand et s'ils étaient découvert, leurs compagnons en venant à leur secours ne pourraient pas profiter du repérage effectué et seraient pris entre les chausses trappes et les gobelins en embuscade. Le mieux était parfois l'ennemi du bien, aussi Arslann regarda Dwallin et lui fit signe discrètement de prendre avec lui le chemin du retour. il reparti avec beaucoup de précaution afin de prévenir les autres et de voir comment passer cet obstacle. - test connaissance religion : 1d20+8 donne [17] + 8 = 25
Modifié par un utilisateur jeudi 20 juillet 2017 07:18:53(UTC)
| Raison: Non indiquée | Et sur le rêve de Kali construire leur vie |
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Dwallin Angridson - CA : 13 (17) Dwallin jura intérieurement lorsqu'il reconnu des duergars en compagnie des gobelins des profondeurs. Les seconds étaient stupides et n'étaient pas de nature à inquiéter le jeune Angridson, malgré leur nombre, mais les seconds étaient une autre paire de manche. Il levait son arbalète, hésitant à abattre l'un de deux duergars lorsque Arslann lui fit signe de se replier. Dwallin hésita un instant, peut-être qu'avec un peu de chance... mais il hocha finalement la tête, le sage Arslann avait raison, il fallait informer les autres et monter un plan d'attaque, pas tout jouer sur un coup de dé. Faisant signe au Noircorbeau, il le suivit s'assurant que nul ne remarquait leur retraite. - Perception : 1d20+8 donne [4] + 8 = 12
- discrétion : 1d20+9 donne [10] + 9 = 19
Modifié par un utilisateur lundi 28 août 2017 09:54:38(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Localisation : Charente Aquatique (17)
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 es deux éclaireurs avaient fait leurs observations. Il était temps de retourner voir le groupe et de faire leur rapport. Dwallin sembla se faufiler dans les ombres aisément, prenant garde à ne pas marcher sur une de ces petites sphères hérissées de pointes. Prenant plus de temps, Arslann suivait en prenant milles précautions étant donné l’importance de ne pas échouer, mais par là-même il augmentait aussi ses chances qu’une des sentinelles si peu vigilantes finisse par tourner le regard dans cette direction et le remarque. Retenant son souffle parfois, le dévot de Magrim poursuivit tout de même sa tâche avec le sérieux et l’application que l’on connaissait chez les nains. A mesure que le duo progressait, les bruits des Gobelins de la Nuit et de leurs maîtres s’estompaient en même temps que les questions fusaient. Comment allaient-ils se sortir de cette impasse ? Le combat semblait inévitable et pourtant le terrain jouait en leur défaveur. Les ennemis étaient nombreux et s’étaient retranchés derrière des obstacles, sans oublier le champ de chausses trappes qui empêcherait toute charge éventuelle. Bref la situation semblait difficile, mais un nain ne renonçait jamais et donc il y avait forcément une solution. Les aînés sauraient sans doute très vite quoi faire, mais de ce que les jeunes barbouzes avaient pu observer, l’Ambassadeur du royaume de Kadrin appréciait écouter les avis et propositions des cadets avant de prendre une décision, tel un grand seigneur avec ses conseillers. De longues secondes s’écoulèrent durant lesquelles Arslann et Dwallin prenaient leurs distances. Ils étaient sortis de la zone piégée par les chausses trappes et à priori tout s’était bien passé. Ils n’entendaient aucun tumulte du côté de leurs ennemis, aucune agitation particulière, ils pouvaient respirer plus librement et s’éloigner avec moindre risques. Ils firent encore quelques pas avent d’avoir cette sensation étrange d’être observés. Ils s’arrêtèrent, à cet instant, sentant comme un courant d’air plus froid voire glacial les traverser, comme une légère brise qui venait de passer. Ils scrutèrent partout autour d’eux sans jamais repérer quoi que ce soit qui put leur enlever cette sensation d’être observés. Les deux nains se rendirent compte qu’ils avaient des sueurs froides, sans doute la cause de cette sensation glaciale soudaine. Il n’y avait pas de doute, il se passait quelque chose de pas normal mais aucun des deux ne saurait dire quoi. Il y avait soudain une notion de danger ou d’urgence, même si la peur était quelque chose d’inconnu chez les nains ou considéré comme une maladie voire un handicap. Il fallait prévenir les autres avant que quelque chose n’arrive, si ce n’était déjà pas trop tard. Ils pressèrent le pas, parcourant les dizaines de pas nécessaire avec toujours cette sensation devenue clairement désagréable d’être observé et ces sueurs froides. Le groupe attendait là où le duo les avait laissés. Le Péager et un des jumeaux Voddhka formaient un front visiblement prêts à en découdre, mais ils ouvrirent le passage afin de faire rentrer les deux éclaireurs qui se retrouvèrent face à Gulkrik Deux-Lames et le reste du groupe. La proximité et la présence de l’Ambassadeur sembla leur redonner de la chaleur, chassant cette désagréable sueur froide et même la sensation d’être observés. Celui-ci avait toujours cet air bienveillant et paternel, souriant à l’approche des deux jeunes barbouzes. Sa voix grave et rocailleuse résonna plus dans leurs oreilles que dans le tunnel – « Bon retour parmi nous. Alors racontez-nous ? » | Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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Arslann
Ragnazir
Noircorbeau Jugement 1/1
Défi 1/1
Résolution 1/1 CA : 16 Arslann ne savait pas comment interpréter cette sensation, devenait-il paranoïaque? Magrim le prévenait-il de quelque chose? Était-ce du aux nain gris? Il ne savait pas et se dit que si cela venait des exilés, l'alerte aurait déjà été donnée. Cette sensation était probablement une imagination due au stress de cette mission de reconnaissance et Arslann ne voulait pas passer pour un "handicapé" auprès de Dwallin ou des autres. Donc faisant la part belle à la fierté des barbes, il garda ses doutes pour lui. Lorsque Gulkrik les accueilli, Arslann commença son rapport: « Il y a camp ennemi, composé d'une quinzaine de gobelins des profondeur et d'au moins deux Exilés. Il sont vêtus de robes à capuche, probablement des mages ou autres...
Le camps est à l'abris de quatre barricades de deux pieds de haut disposées en quinconce et des chausses trappes sont placés devant la plus proche du camps. Ils ont placé le même dispositif de l'autre côté... »Il regarda ses compagnons « Savez vous quelques chose sur ces gobelins? et sur les Exilés?
Quelqu'un a t-il une idée à proposer pour les attaquer? »Puis il regarda Dwallin, l'encourageant à ajouter toute information qu'il avait pu omettre. | Et sur le rêve de Kali construire leur vie |
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Dwallin Angridson - CA : 13 (17) Dwallin avait haussé un sourcil en voyant Arslann avoir quelques difficultés à avancer rapidement en silence, il retint toute manifestation désagréable mais ne put s'empêcher de penser qu'il aurait été plus efficace seul... mais également plus en danger. L'austère nain avait l'étrange faculté de faire sentir à ceux qui l'entouraient qu'ils étaient protégés et Dwallin pensait qu'Arslann serait sans doute prêt à se sacrifier pour protéger ses compagnons. Avec un signe de tête, il encouragea donc son compagnon à continuer de progresser en silence à son rythme. C'est alors qu'il eut une sensation très désagréable, des sueurs froides mouillèrent sa chemise et il de retint de déguerpir pour ne pas perdre la face. Aussi, lorsqu'il regagnèrent la précaire sécurité du petit groupe, Dwallin pris un peu de temps pour souffler et calmer son coeur affolé, laissant Arslann faire son rapport. Il prit ensuite la parole sur l'invitation muette du dévôt de Margrimm. « Effectivement, les exilés semblent immobiles veillant sur le campement des gobelins, qui semblent aussi désordonnés et indisciplinés que leurs congénères de la surface. »Dwallin sembla hésiter, mais il ajouta finalement un peu timidement : « Je... euh... je dois vous prévenir que j'ai eu une drôle de sensation pendant qu'on revenait vers vous, comme si j'étais observé depuis les ténèbres ou quelque chose comme ça... ça m'a collé de sueurs froides et je n'ai pas pu me défaire de cette sensation jusqu'à ce qu'on vous retrouve... peut-être ont-ils un guetteur que nous n'avons pas vu... invisible ou... Je ne sais, mais j'ai appris à me fier à mon instinct, donc il faudrait considérer que nous sommes attendus. »Eldrick Rage runique 7/7
Sorts 1 : 3+1 Pacte 0/1 CA : 16/12/14 Eldrick sourit et lança un : « Mouais, ou alors t'as juste eu un coup de peur. »Le regard noir que lui lança Dwallin n'impressionna guère le Forgerune qui le fixa sans sourciller. Les deux jeunes nains semblaient partis pour s'affronter du regard lorsqu'Eldrick leva sa main gauche en signe d'apaisement : « Mais ta sensation pourrait aussi peut-être correspondre à un sort ou un pouvoir de scrutation quelconque, d'après ce qu'on m'a dit... Je pense que, comme tu le dis, il serait plus malin de considérer que nos ennemis nous attendent et prendre en compte cette éventualité dans notre plan. »- Art de la magie Eldrick concernant la sensation décrite par Dwallin : 1d20+8 donne [8] + 8 = 16
Modifié par un utilisateur mercredi 9 août 2017 13:10:37(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Arslann
Ragnazir
Noircorbeau Jugement 1/1
Défi 1/1
Résolution 1/1 CA : 16 En entendant, Dwallin raconter qu'il avait ressenti la même sensation que lui, Arslann su que ce n'était pas créé par son imagination ou pire de la peur lui et donc il maudit intérieurement son orgueil et sa fierté mal placés. Il répondit à Eldric « Maître Eldric, je puis confirmer que ce n'était pas de la peur, j'ai ressenti exactement les mêmes sensations...
ça ne peut être une coincïdence...
Et s'ils nous attendent nous ne seront pas à notre avantage, il faudrait pouvoir les immobiliser le temps de traverser les pièges, ou pouvoir passer par autre part... »Il s'interrompit un instant puis regarda Tharkûn. « Maître Péager, vous connaissez les moindres recoins de ces tunnels, n'y aurait-il pas un passage permettant d'arriver d'autre part? Pour les encercler peut-être? »Modifié par un utilisateur mercredi 9 août 2017 14:18:03(UTC)
| Raison: Non indiquée | Et sur le rêve de Kali construire leur vie |
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Localisation : Charente Aquatique (17)
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 Tharkûn
Le Péager es aînés écoutaient le compte-rendu des deux éclaireurs. L’Ambassadeur du royaume de Kadrin avait le visage fermé tout comme le Péager du reste. Ce dernier répondit avec un air absent ou plutôt pensif à la question, du dévot de Magrim – « Non cette fois i n’y a pas de tunnel secondaire dans cette partie… » - Le vieux nain se replongea dans ses réflexions – « J’ai un œuf de Tolbereth. Nous pouvons utiliser la Lumière du Mineur ! » – Fit-il comme s’il venait d’avoir une révélation. Cependant il regardait Gulkrik comme s’il attendait une quelconque autorisation de ce dernier. Celui-ci regarda le Péager puis les jeunes barbouzes puis les jumeaux  Gulkrik Deux-Lames – « Je pense qu’il y a un Ashkar et son disciple. C’est une sorte de mage chez les Égarés et ils sont toujours par deux, le maître et l’apprenti, même si le terme d’apprenti n’est pas tout à fait approprié puisqu’ils sont déjà assez puissants à eux seuls. Enfin ils sont apprentis tant que leur maître est encore en vie et qu’ils ne l’ont pas vaincu. J’ai entendu dire qu’ils se servent de pierres magiques, des sortes de boule de Crystal, qui leur permettent de communiquer entre-deux mais aussi d’observer autour ce qu’ils ont vu déjà au moins une fois. Ça doit être ça la sensation de scrutation. Donc fini de faire dans la finesse… »Il se redressa soudain – « Bien voici ce que nous allons faire… Les chausse-trappes sont un problème mineur. Avec des semelles solides il est possible de traverser un champ ainsi piégé sans trop de dégâts. Il faudra serrer les dents. Les Gobelins de la nuit et les Égarés n’aiment pas vraiment la lumière trop forte. Tharkûn va pouvoir en générer une grâce à sa Lanterne. Cela éblouira suffisamment nos ennemis pour qu’ils ne puissent nous viser correctement. Nous sommes 9 et nous avons 7 poneys et une mule. Nous pouvons préparer trois poneys et mieux protéger leurs sabots avec des fers plus épais. On doit pouvoir doubler l’épaisseur en utilisant les fers des trois autres poneys. Nous laisserons les quatre poneys restants et la mule ici, nous reviendrons les chercher quand tout sera terminé. Nous nous rapprocherons tous de la zone piégée. Les jumeaux chargeront à dos de poneys, les deux sur un poney, ce qui laissera un poney préparé pour une autre paire de nains, le Péager sera juste derrière avec sa lanterne perchée, sur le troisième poney. Nous suivrons le passage ouvert par les 3 poneys, mais nous serons plus lents car à pieds et prudents afin de ne pas se blesser, même si nos bottes ont en général des semelles épaisses. Sur le front, il faudra tenir bon jusqu’à ce qu’on vienne les aider. Mais je ne me fais pas trop de soucis, les Jumeaux font partie des meilleurs guerriers du Royaume et chacun d’entre vous a démontré que vous étiez de très bons combattants. »Il laissa tout le monde appréhender le plan qu’il venait d’exposer et questionna du regard chacune des jeunes barbouzes afin d’avoir leur assentiment. Les jumeaux et Tharkûn se préparaient déjà, le sourire figé et l’excitation qu’un combat imminent provoquait bien souvent chez les nains, un combat qui leur permettrait une fois de plus d’éprouver leur bravoure et leur aptitude martiale. Le peuple fier aimait exceller dans ce domaine. Gulkrik reprit la parole – « Qui formera le second duo ? Avez-vous des suggestions concernant ce plan, des axes d’amélioration ou une idée complètement novatrice ? Rien n’est encore figé, il s'agit quand même de foncer dans le tas... Grosso modo... » | Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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Arslann
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Noircorbeau Jugement 1/1
Défi 1/1
Résolution 1/1 CA : 16 Arslann écouta ses aînés proposer une stratégie simple mais efficace, d’ailleurs il se dit qu'elle avait l'efficacité de sa simplicité. Vu qu'ils étaient attendu autant y aller franchement.... Lorsque Gulkrick demanda qui voudrait être sur le second poney, Arslann avança d'un pas. « Comme je l'ai dit au départ de ce voyage, ce nain est votre outil. Ce serait un honneur pour moi d'être sur le second poney lors de l'assaut. Je ne suis pas des meilleurs cavalier, mais une fois dans leur rang, par Magrim... je sèmerai la mort et enverrai ces exilés faire face au marteleur des âmes. »Il tremblait d’excitation, il se calma, respira,puis il ajouta d'une voix sereine. « juste avant de lancer l'attaque j'implorerais Magrim de nous bénir, ainsi nous serons capable, grâce à son aide d'être le plus efficace possible » | Et sur le rêve de Kali construire leur vie |
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Rang : Habitué
Inscrit le : 09/09/2013(UTC)
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Eldrick Rage runique 7/7
Sorts 1 : 3+1 Pacte 0/1 CA : 16/12/14 [/float]Eldrick regarda ses compagnons en un rapide regard tournant avant de s'avancer d'un pas : « Je suis également volontaire pour faire partie du second duo qui mènera la charge. »La main sur sa lame, Eldrick avait dit celà d'un ton qui semblait ne pas admettre de contradiction, mais il baissa le regard devant Gulkrik, témoignant ainsi du respect qu'il devait à son aîné. Son ton semblait plus s'adresser à ses propres compagnons. Avant que quiconque n'ait pu le reprendre, il ajouta : « je suis entraîné pour ce type d'assaut frontal et Othair et ses pouvoirs sont trop précieux pour être exposés de la sorte... »Le nain se prépara en ajustant son équipement, vérifiant le sort de protection qu'il avait invoqué via la baguette magique et en préparant les composants du sortilège de protection qu'il invoquerait juste avant la charge (bouclier).
Sort actif :
Armure de mageModifié par un utilisateur mercredi 16 août 2017 10:43:41(UTC)
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Rang : Habitué
Inscrit le : 22/04/2016(UTC)
Messages : 76
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Aragrim
Poingdanel Projectiles de feu: 8/8
Mains brûlantes: 1/1 CA : 20
Langues :Commun, Nain, Druidique, Géant Jet de Sauvegarde:
Réflexes : +2, Vigueur : +6 Volonté : +8
Sortant son marteau de pierre, et s'avançant vers ses camarades. Il chuchote : Et moi ! Je me propose de venir en tant que soutien de notre force de frappe. Permettez moi de vous suivre dans cette ultime épreuve et de prouver que la magie de la pierre équivaut à toutes les autres. Ce serait un plaisir de botter les fesses à ces impies. Nous devons les délivrer de leur malédiction par la mort. Voici comme j'aimerai procéder :
Je monterai sur l'une des montures. J’appellerai à l'aide une entité qui nous donnera son appui lors des premières secondes de la bataille. Ensuite je renforcerai mon armure et je préparerai mes puissants sortilèges de combat, principalement du feu. Sachez que si vous trouvez ralenti ou pris en lutte par un ennemi, il suffit de m'apeller à l'aide. J'utiliserai l'un de mes sorts pour vous aider, mais ce n'est pas toujours efficace.
- Assistance divine (+1 à un jet pendant une minute) x3
- Peau d'écorce
- Sort flamme ou trait de feu
- Liberating commandModifié par un modérateur lundi 11 décembre 2017 23:07:10(UTC)
| Raison: Non indiquée | |
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Rang : Membre
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Arslann
Ragnazir
Noircorbeau Jugement 1/1
Défi 1/1
Résolution 1/1 CA : 16 Devant la résolution affichée par le druide, et l’appui stratégique que celui-ci pourrait fournir en première ligne à la fois aux jumeaux et a Eldrick, Arslann choisit de laisser la seconde place de la monture à ce dernier. « Dans ce cas je vous laisse ma place maître Aragrim, de bon coeur, je me joins à l'équipe d'assaut à pied. »Il posa ses mains sur les épaules du druide des Menhirs et du forgerune dans un geste d'encouragement. « Puisse Magrim, dans sa grandeur, guider vos bras et me permettre d'arrivez à temps pour vous aider. »Il regarda les autres. « Si Tout le monde est prêt permettez moi d'en appeler à la volonté du marteleur, il y a des âmes qui ont besoin de lui. » Juste avant l'assaut Arslann lance une bénédiction | Et sur le rêve de Kali construire leur vie |
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Rang : Staff
Inscrit le : 23/12/2009(UTC)
Messages : 5,665
Localisation : Charente Aquatique (17)
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es nains se mirent au travail, les cadets aidant les aînés. Deux poneys furent délestés de leurs fers afin de doubler ceux de deux autres poneys. Les jumeaux et les deux jeunes barbouzes, Aragrim et Eldrick, qui s’étaient portés volontaires pour la charge montée s’en occupèrent avec l’aide de Dwallin et Arslann. Le Péager préparait quant à lui sa lanterne afin de générer ce qu’il appelait la Lumière des Mineurs, une lumière qui devait être si forte que les monstres des profondeurs en seraient éblouis, mais pas ceux qui vivaient sous la lumière du soleil, même s’il fallait quelque part tout de même éviter de regarder directement la lanterne. Othair, en bon serviteur de Torag, vérifia les fers et les clous enlevés d’un côté par Arslann et Dwallin et remontés de l’autre par les frères Voddhka, le maître de la pierre et le Forgerune. Tandis que chacun était occupé, l’Ambassadeur du royaume de Kadrin montait la garde afin de ne pas se laisser surprendre. Quelques gouttes de sueurs et coups de marteaux plus tard, les nains étaient fin prêts, chevaux équipés, armes affutée, sorts de préparation lancés, armures ajustées. Les jumeaux allaient charger en tête à deux sur un poney ouvrant la voie, au second poney où se trouveraient Aragrim et Ekdrick. L’un devait guider la monture tandis que le second aurait pou charge de tenir la perche où trônait la Lanterne du Péager. Les frères Voddhka allaient se jeter dans la mêlée afin de semer la mort et la confusion, ce qui laisserait le temps au second poney de s’arrêter et à ses cavalier d’exercer leurs arts. Le renfort à pieds viendrait assez vite pour soutenir l’assaut. Un plan simple qui avait ses failles, mais les nains ne le verraient pas ainsi. La seule question qui pouvait encore se poser était qui de Aragrim ou de Eldrick allait guider le poney et donc par déduction qui porterait la Lanterne. L’un comme l’autre avait un rôle prépondérant. Le Cavalier devant mener sa monture sans faillir et le Porteur ne devant jamais laisser tomber la Lanterne quoi qu’il arrive, car de sa lumière dépendait la réussite de cette charge épique. Il était temps de décider et de se mettre en selle. Test d’équitation pour celui qui guide le poney
Test de Volonté pour celui qui porte la Lanterne.
Pour tous, vos derniers tests d'inti et de perception ayant servi dans la caverne aux champignons, refaites des jets sur le fil adéquat.La MAP en cours de construction | Tu sais ce que c'est, être réduit à l'état de pulpe ? |
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Rang : Habitué
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Messages : 4,818
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Eldrick Rage runique 7/7
Sorts 1 : 1+0 Pacte 0/1 CA : 16/12/14 Eldrick aida à harnacher les poneys chargés de la charge et vérifia les selles par deux fois. Puis il se tourna vers Aragrim : « Je serai plus à l'aise que toi pour guider le pottock... et puis, je préfère pouvoir manier mon épée et avoir les mains libres si ça ne te dérange pas. » dit-il en désignant d'un coup de menton la longue perche de la lanterne du péager. Tout à coup le forgerune se frappa le front. « Attendez, je ne vais pas monter sur le pottock, mais je vais vous suivre. Donnez moi quelques instants et je serai en mesure de vous suivre sans peine. »Le forgerune, dégaina sa lame et suivit du doigt le tracé de certaines runes présentes sur celle-ci. Des ailes verdâtres translucides apparurent à ses chevilles, tandis qu'un bouclier orangé translucide apparut devant le nain, des runes de puissance apparaissant et disparaissant à la surface du bouclier magique flottant dans l'air. Puis, à l'issue de la dernière incantation, Eldrick se mit à croître en taille de manière surprenante, jusqu'à atteindre celle d'un ogre. Ses bras puissants se tendirent tandis qu'il soulevait sa lourde lame devenue également bien plus grande. « Quand vous voulez » lâcha-t'il alors d'une voix plus grave et plus sonore, prêt à foncer sus à l'ennemi. Sorts actifs :
Armure
Bouclier
Repli expéditif
Agrandissement
Nouvelles carac : Taille G; Force 20 ; Dext 12 ; Attaque épée à deux mains :1d20+8; dégâts:3d6+7; allonge ; CA : 18; Vitesse : 12 cases de base
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Arslann
Ragnazir
Noircorbeau Jugement 1/1
Défi 1/1
Résolution 1/1 CA : 16 Lorsque le forgerune annonça qu'il ne monterait pas sur le pottock, Arslann se porta immédiatement volontaire pour le remplacer. « Dans ce cas je prends votre place sur le pottock messire Eldrick. »Puis il se retourna vers celui qui partagera le pottock « Si cela ne vous fais rien maître Aragrim, je m'occuperai de la lanterne, comme je l'ai dis précédemment je ne suis pas un cavalier émérite, mais ma volonté est plus solide que l'adamantium »Il prit place sur le pottock, la lanterne dans les mains, et lorsqu'il vit la nouvelle carrure d'Eldrick, il fut admiratif. « Eh bien, maître Eldrick, tâchez de nous laissez quelques gobelins, et surtout si jamais je tombe, rattrapez moi et remettez moi sur le pottock, ne me lancez pas dans le tas par pitié. »Déclara t-il dans un sourire. « Je suis prêt »Il commença a en appeler à la bénédiction de Magrim. lance bénédiction dès le début de la charge | Et sur le rêve de Kali construire leur vie |
 1 utilisateur a remercié nauron pour l'utilité de ce message.
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 ette fois il était temps de se lancer à l’assaut des barricades. Après quelques instants de flottement parmi les jeunes barbouzes, finalement ce furent Aragrim et Arslann qui prirent place sur le second pottock, le premier en tant que cavalier devant guider la monture, le second devant porter la perche qui supportait la lanterne du Péager. Quant à Eldrick, il fit appel aux runes forgées pour doubler sa taille, ce qui devait lui procurer certainement un avantage de force, mais pas de mobilité. La charge serait donc menée par les jumeaux Voddhka, suivis du second équipage poney et duo de nains, eux-mêmes suivis par les nains à pieds avec Eldrick, Gulkrik, l’ambassadeur du royaume de Kadrin, Dwallin et Othair, laissant le Péager en base arrière pour garder les poneys restant et sa mule. L’affaire était dite, bénédictions et autres tours de magie lancés, les frères Voddhka talonnèrent leur pottack et celle-ci se lança dans un galop bruyant, les fers battant la pierre comme un roulement de tonnerre. Tharkûn avait laissé tomber une poignée d’un mélange étrange dans le réservoir de la lampe qui se mit aussitôt à briller d’une vive lueur aux nuances jaunes-verdâtres, la luminosité s’amplifiant à mesure que le mélange alchimique se mélangeait à l’huile et brûlait – regardez plutôt vers le bas si vous ne voulez pas que la lumière vous brûle les yeux – avait-il conseillé aux nains avant de se reculer vers les montures restantes. Puis Arslann avait dressé la perche, portant haut la lampe afin qu’elle éclaire le plus loin possible, telle un phare au milieu d’une nuit de tempête. Le fils Poingdanel talonna le pottock et le duo de jeunes barbouzes emboita le pas des aînés devant eux. Devant, les jumeaux se livrèrent à une sorte de jeu d’intimidation. Ils criaient comme s’ils commandaient une armée naine – 3ème et 4ème Fer de Lance en position ! Boucliers devant ! Formation du Bloc ! Pas de quartier ! Chargez ! – Et autres ordres que le second jumeaux répétait comme si le premier était un commandant et le second un capitaine qui transmettait les ordres aux troupes. Le vacarme dû au martellement des sabots des pottock sur la pierre donnait l’impression qu’une foule de bottes ferrées martelait le sol, ce qui rendait potentiellement plausible le subterfuge. Par ailleurs il y avait bien des bottes dures à semelle épaisses, deux fois plus épaisses d’ailleurs qui courraient derrière, puis les trois autres nains à taille normale mais sans discrétion non plus, l’ensemble donnant l’impression qu’une troupe chargeait droit devant, une troupe que les ennemis allaient avoir du mal à percevoir ce qui leur arrivait dessus à cause de la forte lumière générée par la lanterne. Très vite ce fut une grande agitation parmi les créatures de la nuit. Plusieurs carreaux et flèches volèrent par salves, tirant à l’aveugle et donc se perdant contre les parois des murs, le plafond ou le sol. Des incantations vinrent même éclater non loin des cavaliers, des petites explosions ténébreuses qui s’estompaient quasi aussitôt devant la Lumière du Mineur, les cris terrifiés ou paniqués ou sauvages des Gobelins de la nuit n’allait pas tarder à couvrir le bruit des sabots. Le duo de tête était entré au galop dans le champ miné par les chausses trappes. Les sabots doublement ferrés du pottock des jumeaux écrasaient voire repoussaient les petites boules hérissées de pointes sans que celles-ci ne parviennent à blesser la monture. Aragrim guida le second équipage sur les traces du premier, finissant de déblayer à son tour afin que les nains à pieds n’aient aucune difficulté. Par ailleurs, le géant Eldrick allait lui aussi faire un peu de ménage, si bien que les chausses trappes ne représenteraient aucun obstacle notable. Le stratagème semblait fonctionner, les nains allaient fondre sur les barricades et les Gobelins de la nuit tel un bélier sur la grande porte et tout fracasser au passage. Mais c’était aussi sans compter sans la magie insidieuse et perverse des Ashkars, les sorciers duergars ou nains gris ou encore les Égarés comme les appelaient les résidents du Royaume de Kadrin. Arslann sentit comme une main glacée enserrer son cerveau et faire pression. Sa volonté commença à fléchir tandis qu’il avait l’impression que son esprit gelait au point de ne plus pouvoir réfléchir. De grosses gouttes de sueur commencèrent à perler sur son front. Il était en lutte avec cette espèce de magie coercitive qui tentait de le dominer et de l’obliger à jeter la lanterne au sol. S’il ne résistait pas, il détruirait la lanterne du Péager et par là même la Lumière du Mineur s’éteindrait, ce qui permettrait aux créatures des souterrains et de la nuit de voir à nouveau meurs cibles… Arslann : Ton premier test de Volonté est échoué. Tu es maintenant sous l'emprise d'un des sorciers duergar. Il te faut effectuer un test de Volonté DD15 ou tu fracasses violemment la lanterne contre la paroi rocheuse ou au sol dans le but de la détruire. La MAP
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